Diane Leeroy a écrit:

celle que t'avais en le voyant pour la première fois. celle d'un gros dur mystérieux. pourtant, ça fait longtemps qu'elle est cassée cette image. depuis que tu lui as apporté ce fameux plat de lasagnes le premier jour. en fait. c'est comme une petite boîte remplie de chocolat. il faut savoir l'ouvrir pour voir la merveille.

Baptiste Duchannes a écrit:

N’empêche, la vie serait tellement plus facile s’ils étaient tous des chiens. Se renifler le cul pour se dire bonjour, pouvoir baiser sans se soucier des maladies et où on voulait, quand on le voulait, dormir et manger toute la journée et le plus important ne pas avoir à se soucier de la vie. En gros, avoir la belle vie.

sans commentaire...

Mérédith Delmare a écrit:

Tu ne remarques pas que certains magazines sont triés de manière aléatoire pour la simple et bonne raison que tu ne t'y attardes pas. Ce qui ne t'échappe pas en revanche, c'est le culot de la jeune Lecomte. « Bon, et bien, je crois que c'est bon. » Elle ose te dire ça en te regardant droit dans les yeux. Est-elle réellement en train de croquer dans cet immonde sandwich comme elle croquerait une éventuelle victoire ? Comme c'est étrange tant de confiance dans un si petit corps.

Timothée Lannaud a écrit:

La voix masculine qui te répond te fait te relever directement. Sauf que t’avais pas prévu cette douleur qui te prend en bas des reins. Tu grimaces de douleur en jurant. « Putain de merde ! » Sans avoir besoin qu’on te fasse un dessin, tu comprends ce qui s’est passé. Tu as pris la bite de ce bel asiatique que t’as aguiché dans la boîte, dans le cul.

CQFD.

Timothée Lannaud a écrit:

Tu te jures que jamais tes frères n’apprendront que t’as couché avec un mec. Non mais t’imagines la honte si ça venait à être le cas. T’aurais le droit à des moqueries en tout genre. T’es presque sûr que Gauthier trouverait de quoi se foutre de ta gueule en parlant de lubrifiant à paillettes ou ce genre de truc. Ouais tu le sais parce que ton grand frère et toi vous avez le même esprit tordu.

les conneries de la cb ont leurs raisons que la raison ignore.

Timothée Lannaud a écrit:

Ouais tu pars du principe que s’il ta défoncé le cul ça veut dire qu’il est gay. Sinon pourquoi l’aurais-t-il fait ? En plus, sans vouloir être méchant, il a la tête de l’emploi quoi.

pour terminer, RIP jaesun.

Victor Hwang a écrit:

A grands renforts de pensées négatives, de regrets, de remords, jamais la fatigue ne réussît à prendre le dessus. Et jamais derrière ses paupières ne pût-il voir un semblant de rêve. Ou même de rien du tout. Juste rien du tout, ç'aurait été suffisant. Parfois un rêve est cauchemar. Et parfois, il est plus douloureux que la réalité. Car il est un concentré de tout ce que l'on refoule. Pourtant là, c'était bien la réalité qui l'agressait. Parce qu'il s'était ouvert pour quelques minutes à peine, il se retrouvait incapable de refermer la brèche et un flot incessant d'émotions l'assaillait. Et il souffrait. Il souffrait de façon continue.

Amaury Delestre a écrit:

Mad tu sais toi. Tu te souviens. De mes premiers viandages. Tu m'connais toi. Tu m'connais si bien. Tu veux bien qu'on se raconte hier, qu'on se raconte demain. Les soirs où le monde tourne plus très rond, où on marche à l'envers comme deux pauvres cons. Viens Mad, qu'on esquisse le pas de bourré, celui où on se raconte, l'envers du décor, derrière le rideau des pires soirées.

Hadrien Delaunay a écrit:

Oui, il ne faut pas s’attendre à ce que le critère de base soit la culture de la demoiselle, quand on a des rapports sexuelles, on s’en fout de savoir si la personne peut réciter Goethe en allemand.

Malek Fakhti a écrit:

putain t'es mort. tu t'approches d'emma et tu lui sors allez meuf, rend toi utile pour une fois et sauve moi ! j'te ferais un couscous si tu veux d'une voix pressante.

Méredith Delmare a écrit:

Ce n'était pas parce que sa barbe mal entretenue ressemblait à s'y méprendre à son balai-brosse qu'il devait être négligé de la tête aux pieds.

Baaaaaaam ! Punchline.