Noa Blondain a écrit:

OH PUTAIN. Et une nouvelle poisse sur Noa. Visiblement Paris ne te voulait pas sur ses vieilles terres rongées par la pollution et la mauvaise humeur des parisiens. oh putain, oh putain, oh putain. Tu sors de ta chambre vêtue de ton pyjama. OK le calme plat. C'est pas normal. Tu gigotes dans tous les sens à la recherche de tes colocs avant de te rendre compte que tu étais seule au monde. Tu pouffes avant de replonger ton regard sur le message de ta mère. oh putain le bouleeeeeeet. Oui t'étais un boulet, le pire boulet du monde. Tu avais envoyé un message en te trompant de destinataire et c'était ta mère qui l'avait reçu........ Ça t'apprendra à te prendre pour une américaine en appelant ta mère "mom". Le message avait un contenu assez... spécial. Le genre de message que tu voudrais surtout pas que tes parents reçoivent. T'es un boulet Blondain.

Sarah Lefevre a écrit:

j'avouuuuuuuuuuuuuuue c'est magnifique

Noa Blondain a écrit:

OH PUTAIN. Et une nouvelle poisse sur Noa. Visiblement Paris ne te voulait pas sur ses vieilles terres rongées par la pollution et la mauvaise humeur des parisiens. oh putain, oh putain, oh putain. Tu sors de ta chambre vêtue de ton pyjama. OK le calme plat. C'est pas normal. Tu gigotes dans tous les sens à la recherche de tes colocs avant de te rendre compte que tu étais seule au monde. Tu pouffes avant de replonger ton regard sur le message de ta mère. oh putain le bouleeeeeeet. Oui t'étais un boulet, le pire boulet du monde. Tu avais envoyé un message en te trompant de destinataire et c'était ta mère qui l'avait reçu........ Ça t'apprendra à te prendre pour une américaine en appelant ta mère "mom". Le message avait un contenu assez... spécial. Le genre de message que tu voudrais surtout pas que tes parents reçoivent. T'es un boulet Blondain.

cette fille est folle

Zoé Scofield a écrit:

Vous avez deux nouveaux messages… Oui bon je n'ai pas envie d'écouter mes messages. Pourquoi j'ai appelé mon répondeur déjà ? Ah oui parce que je me suis trompée, je suis sûre que j'étais blonde dans une autre vie. Bref, Lukas. Si je lui dis pas que je suis bien arrivée à bon port, il va croire qu'un mec a détourné l'avion. En ce moment, il a trop les idées malsaine, il voit le mal absolument partout. Ça lui réussit pas de bosser sur des films d'horreur ou de policier, ça lui monde légèrement au cerveau. Message envoyé. Heureusement que de nos jours, les forfaits hors  pays existe, sinon je lui enverrai la facture ou inversement.

T'as fini de m'afficher toi et encore j'étais pas au max

Baptiste Belfort a écrit:

C’était Sarah et la musique. L’un n’allant peut être finalement pas sans l’autre. Sarah était sa muse. Elle inspirait ses plus beaux textes, lui donnait envie de toujours se surpasser, de s’améliorer. La musique le rendait heureux et lui permettait donc d’aimer Sarah comme elle le méritait. L’un ne pouvait pas aller s’en l’autre. Son père avait eu tort de quitter sa mère finalement. Il aurait dû se battre pour elle, exactement comme Baptiste se battait pour Sarah ce soir là. Il allait peut être la perdre, elle allait peut être lui rire au nez d’oser lui proposer une chose pareille mais il avait au moins prit le risque. Car Sarah méritait clairement que l’on prenne des risques. Tout ce qu’elle était en valait la peine. Son amour pour elle en valait la peine.

Baptiste Belfort a écrit:

Sarah Lefevre a écrit:

j'avouuuuuuuuuuuuuuue c'est magnifique

Noa Blondain a écrit:

OH PUTAIN. Et une nouvelle poisse sur Noa. Visiblement Paris ne te voulait pas sur ses vieilles terres rongées par la pollution et la mauvaise humeur des parisiens. oh putain, oh putain, oh putain. Tu sors de ta chambre vêtue de ton pyjama. OK le calme plat. C'est pas normal. Tu gigotes dans tous les sens à la recherche de tes colocs avant de te rendre compte que tu étais seule au monde. Tu pouffes avant de replonger ton regard sur le message de ta mère. oh putain le bouleeeeeeet. Oui t'étais un boulet, le pire boulet du monde. Tu avais envoyé un message en te trompant de destinataire et c'était ta mère qui l'avait reçu........ Ça t'apprendra à te prendre pour une américaine en appelant ta mère "mom". Le message avait un contenu assez... spécial. Le genre de message que tu voudrais surtout pas que tes parents reçoivent. T'es un boulet Blondain.

cette fille est folle

 Noa on doit rp ensemble ! Je sens que tu vas me vendre du rêve !

Isaac Delatour a écrit:

Baptiste Belfort a écrit:

C’était Sarah et la musique. L’un n’allant peut être finalement pas sans l’autre. Sarah était sa muse. Elle inspirait ses plus beaux textes, lui donnait envie de toujours se surpasser, de s’améliorer. La musique le rendait heureux et lui permettait donc d’aimer Sarah comme elle le méritait. L’un ne pouvait pas aller s’en l’autre. Son père avait eu tort de quitter sa mère finalement. Il aurait dû se battre pour elle, exactement comme Baptiste se battait pour Sarah ce soir là. Il allait peut être la perdre, elle allait peut être lui rire au nez d’oser lui proposer une chose pareille mais il avait au moins prit le risque. Car Sarah méritait clairement que l’on prenne des risques. Tout ce qu’elle était en valait la peine. Son amour pour elle en valait la peine.

Sarah Lefevre a écrit:

Isaac Delatour a écrit:

Baptiste Belfort a écrit:

C’était Sarah et la musique. L’un n’allant peut être finalement pas sans l’autre. Sarah était sa muse. Elle inspirait ses plus beaux textes, lui donnait envie de toujours se surpasser, de s’améliorer. La musique le rendait heureux et lui permettait donc d’aimer Sarah comme elle le méritait. L’un ne pouvait pas aller s’en l’autre. Son père avait eu tort de quitter sa mère finalement. Il aurait dû se battre pour elle, exactement comme Baptiste se battait pour Sarah ce soir là. Il allait peut être la perdre, elle allait peut être lui rire au nez d’oser lui proposer une chose pareille mais il avait au moins prit le risque. Car Sarah méritait clairement que l’on prenne des risques. Tout ce qu’elle était en valait la peine. Son amour pour elle en valait la peine.

mon baptou il écrit trop bien

ALEXANDRE SIMON a écrit:

Ouais il est en manque, ouais ça fait deux jours que George hiberne en bas et ouais c'est peut-être une preuve supplémentaire qu'il a abusé hier soir mais y'a des limites. Voir cent pénis, c'est un peu poussé. Même pour lui. Il fronce ses sourcils et pivote une nouvelle fois sur lui-même. Ses pupilles tombent enfin sur Alix et l'arrachent par la même occasion à son questionnement intérieur. Alix, Alix, j'savais que t'aimais les queues mais à ce point-là... Il désigne d'un geste vague le mur dans son dos. Alex se dirige vers le centre de la pièce sans vraiment se soucier de quoi que ce soit. Comme si c'était totalement prévu qu'il se pointe à huit heures du matin sans prévenir. Il s'arrête à quelques mètres du brun et coince sa pomme dans sa bouche. Et comme ça, sans prévenir, il commence à retirer ses habits. Tu sais, c'est glauque ton truc, moi à ta place j'rajoute des paillettes, des putains de lampes néons tu sais... Ses mots sont un peu mâchés à cause du fruit emprisonné entre ses dents mais il arrive quand même à parler, il a eu de plus gros engins en bouche, il gère. C’est l’entraînement. Ses doigts s'enroulent autour des bords de son t-shirt, il le tire lentement au-dessus de sa tête. ... J'ai lu que ça avait un effet reposant ou une connerie du genre. Et puis c'est son pantalon et son boxer qui se retrouvent à ses pieds d'un coup de main agile. Il est là, complètement nu avec une putain de pomme dégoulinante entre ses dents. Il s'empare à nouveau du fruit vert et essuie le jus qui a coulé sur son menton d'un revers de main. Le coin de ses lèvres s'étire, il lève un sourcil et pose une main sur sa hanche. Son ton ruisselle de malice. Bon, tu m'peins ou merde? Il s’humecte les lèvres en laissant traîner ses yeux sur le corps du bouclé. J'te préviens, j'décline toute responsabilité avec George, il est un peu à cran aujourd'hui. Il désigne son entrejambe d'un geste rapide. Il a tendance à s'emballer tout seul...

Isaac Delatour a écrit:

Tu le regardes dans les yeux et tu souris. T’as pas vraiment envie de lui dire la vérité, parce que mine de rien, ça te plait bien toi de jouer à ça. Au mec hétéro. Mais t’en as trop dit ou pas assez. « Désolé, j’ai bien compris que selon toi c’était un pêché mais on m’a pas vraiment laissé le choix à la naissance. » C’est toujours pas très clair, t’en est conscient, mais tu sais pas pourquoi, tu ressent le besoin de souligner ça. T’hésites à lui dire que t’es la grosse tâche qui fait honte à ta famille de gros bourges, que t’es un peu le bouc émissaire de ton frère, mais t’as simplement pas envie. Tu veux pas passer pour un mec à plaindre devant lui. Toi, ça t’atteint pas, t’en as rien à foutre. Tu le vis bien. Du coup, tu te contentes du minimum syndical. « J’suis gay. » De toutes tes forces, tu tentes d’empêcher ce rire nerveux qui te chatouille a gorge de sortir. Sans ça, il te croirait pas. D’ailleurs, t’es même pas certain qu’il te croit, là, tout de suite.

Sarah Lefevre a écrit:

Isaac Delatour a écrit:

Tu le regardes dans les yeux et tu souris. T’as pas vraiment envie de lui dire la vérité, parce que mine de rien, ça te plait bien toi de jouer à ça. Au mec hétéro. Mais t’en as trop dit ou pas assez. « Désolé, j’ai bien compris que selon toi c’était un pêché mais on m’a pas vraiment laissé le choix à la naissance. » C’est toujours pas très clair, t’en est conscient, mais tu sais pas pourquoi, tu ressent le besoin de souligner ça. T’hésites à lui dire que t’es la grosse tâche qui fait honte à ta famille de gros bourges, que t’es un peu le bouc émissaire de ton frère, mais t’as simplement pas envie. Tu veux pas passer pour un mec à plaindre devant lui. Toi, ça t’atteint pas, t’en as rien à foutre. Tu le vis bien. Du coup, tu te contentes du minimum syndical. « J’suis gay. » De toutes tes forces, tu tentes d’empêcher ce rire nerveux qui te chatouille a gorge de sortir. Sans ça, il te croirait pas. D’ailleurs, t’es même pas certain qu’il te croit, là, tout de suite.

doudouuuuu

Zoé Scofield a écrit:

Ah c'est quoi. GOTCHA ! Shit ! Une minuscule araignée. Je me la joue Buffy contre les vampires, enfin non moi c'est Sarah contre les insectes, partout où je passe les insectes trépassent. Oui enfin là il faut que je me lave les mains. Il faudrait que j'arrête d'utiliser ma paume comme tapette ! Non vraiment, mon mur n'en peut plus, le blanc devient … blanc macabre. Quand je dis que je suis prête pour la nuit zombiasque, non zombicale ? Zombieland ? Zombietrucmuche ! Bref je ne suis pas publiciste, ça c'est sûr. Il est quelle heure ? Oh bah juste cinq heures du mat. Trois fois rien, il est quatre heures à Londres … Pourquoi je suis revenue déjà ? Ah oui parce que ma mission est finie et pour lui… Ouep… Et il faut que j'arrête de faire ce truc avec ma bouche, un jour je vais gober des mouches. J'ai un sérieux problème avec les insectes cette nuit… non ce matin.

Isaac Delatour a écrit:

J’crois bien qu’Albane était morte. Zigouillée. Ou alors qu’elle s’était faite kidnapper par un ours sanguinaire. Ouais. Très courant les ours à Paris. Ça pouvait être que ça. Il arrive toujours un moment dans la vie où l’on est obligé de faire face à la réalité. Pour moi, ce jour, c’était aujourd’hui. Ça faisait trois jours que je n’avais pas vu Albane, il lui était FORCEMENT arrivé quelque chose. Quand elle est vivante, je me tape environs 757384329 sms, le double d’appels, et encore, ça, c’est quand elle n’est pas fourrée chez moi –ou moi chez elle. Y’a que quand elle est morte qu’elle est… morte quoi. Et qu’elle ne donne plus aucun signe de vie. Parce que ouais, elle avait déjà été morte une fois… Bon en réalité, elle avait fait tomber son téléphone portable dans les toilettes, ce qui avait évidemment causé sa perte – au portable, pas à Albane… quoi que. Toujours était-il que je m’étais inquiété, parce que ouais, ça m’arrive dans les moments extrêmes. Ne pas avoir de nouvelles de la brunette, c’était pire qu’extrême, ça relevait de l’impossible. Mais comme les parasites ne meurent jamais – canard wc le dit lui-même, on peut les désinfecter mais pas les supprimer – Albane n’avait pas tardé à repointer le bout de son nez chez moi, comme si de rien n’était.

THEODORE LEANDRE a écrit:

Tu sais à l'instant même où ton regard se pose dans l'sien que la donne a changé. Au sourire qu'il arbore, tu comprends qu'il n'a pas mis longtemps à t'oublier et pourtant, tu conserves ton orgueil et joue les mecs cyniques. T'as jamais appris de tes erreurs, tu apprendras jamais. Tu préfères te leurrer en pensant que rien n'est de ta faute, même si cela te paraît parfois égoïste, tu t'en contentes. Au moins, t'as l'avantage de ne jamais te sentir coupable pour rien... pourtant, cette rupture, ta rupture... Le goût est différent, plus amer, plus âcre. T'as beau le reconnaître à sa démarche, il te semble aussi étranger que n'importe lequel des autres hommes de la capitale. T'essaie de te souvenir de ce que vous avez vécu mais en avançant vers lui, tu sens que tout t'échappes. Et tu ne te trompes pas.
(...)
T'as toujours été impulsif, à ne jurer que par ton instinct. Et malgré les tours que ça a pu te jouer par le passé, tu t'en es toujours plutôt bien sorti. Ta situation actuelle était satisfaisante, pas incroyablement épanouissante mais tu savais t'en contenter. Dans le tableau de ton existence, il ne manquait que la couleur... cette couleur que seul Alexis savait y mettre. De ses mains savantes, il avait rendu ton existence plus colorée, plus heureuse, plus épanouissante. Quel enfer que de ne remarquer la valeur des choses qu'une fois qu'elle nous échappe. T'avais pris sur toi de revenir vers lui, au départ. Fierté oblige, t'avais jamais été du genre à revenir la queue entre les jambes après une décision foireuse. T'avais quitté beaucoup de mec dans ta vie mais aucune rupture n'avait été aussi douloureuse que celle que tu avais vécu avec Alix. En le lui annonçant de but en blanc, ce soir-là, il n'avait pas remarqué tes poings serrés dans les poches arrières de ton jean. T'en étais presque à chialer en lui avouant que tu le quittais mais t'avais su garder cette attitude méprisable et austère. Après tout, c'était ton canevas, ta façon de fonctionner. T'avais pas pris le temps d'une explication car tu t'en sentais pas capable... t'avais peur de céder s'il s'était mis à chialer devant toi et de rester. T'avais pris ton envol, tu t'étais bien cassé la gueule. Plutôt que d'avoir à l'admettre, tu préférais faire irruption dans sa vie trois ans plus tard et lui en rouler une devant Paris tout entier.

J'VOUS SHIPPE A FOND TRUC DE DINGUE BYYYYYE

GAËL LENOIR a écrit:

Elle est là, juste à côté de moi et... j'ai la soudaine sensation d'être le roi des cons. Ouais, le roi des rois des gros cons. Putain, cette nana me fait un effet pas possible ! Pourtant, elle est assez petite, ses seins paraissent plutôt petits et ses cheveux sont mal coiffés. Ouais, c'est pas miss monde... Et pourtant, j'ai l'impression de n'avoir jamais posé les yeux sur une telle beauté auparavant.

j'ai ri et puis en même temps je trouve ça trop chou adiooooos

Naïs Jensen a écrit:

Tu aurais pu apprendre le métier d’actrice en Amérique, c’est vrai. Quoi de mieux que fréquenter les stars d’Hollywood pour se faire une place parmi elles ? Mais ce n’est pas ce que tu voulais. Non, ton rêve était de voyager pour apprendre autre chose. Continuer de danser, de chanter et de jouer mais d’une manière différente. Découvrir de nouvelles manières de s’exprimer. Fuir. Parce que dans le fond, t’en avais un peu marre de ta vie. Partir, oui. Mais pas seulement pour le plaisir de quitter la terre de son enfance. Ce que tu voulais, c’était tout recommencer sans oublier le passé. Être toi-même sans souffrir. Et à force de te battre, tu as réussi. Apprendre à parler une autre langue n’a pas été une mince affaire. Sauf que tu l’as fait sans difficultés apparentes pour les autres. Un génie, comme ils aiment le dire. Pour toi, c’est juste le fruit d’une féroce envie de survivre.

GABRIEL ROYER a écrit:

Cela faisait désormais quelques semaines qu'une ambulance avait déposé Gabriel devant cet entrepôt, cet endroit mal chauffé et mal éclairé qu'on lui avait pourtant bien présenté comme étant son logement. Visiblement ses papiers en attestaient et même s'il avait d'abord eu du mal à y croire, le jeune homme n'avait pu que constater qu'il avait effectivement vécu dans cet endroit. En arrivant, il avait trouvé un lit défait, une table, des assiettes, une pièce qui servait apparemment de salle de bain de fortune…. bref, tout le nécessaire pour vivre dans cet entrepôt qui avait pour principale vocation d'accueillir un nombre incalculable de tableaux. Avait-il peint tout ça de ses propres mains ? Impossible de le savoir. Les médecins avaient eu beau lui parler de ce déclic qu'il pourrait avoir en rentrant chez lui, et qui l'aiderait à retrouver la mémoire… Gabriel n'en avait toujours pas vu la couleur. Il s'était simplement retrouvé projeté dans cette vie dont il ne savait rien, et dans laquelle il avait bien du mal à se sentir à sa place.