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l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa.

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MessageSujet: l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. Empty7/4/2016, 23:34

.l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.

billie
&
elsa
« Putain, mais casse toi de ma chambre Romain. Tu me fais chier là. » Ta voix résonne fort dans votre appartement alors qu'il n'est que huit heures du matin. T'es sûre que ce connard a fait exprès de te réveiller si tôt alors que tu es revenue du travail complètement épuisée. T'aurais bien aimé dormir un peu plus, mais ton abruti de demi-frère en a décidé autrement. Il te regarde, un sourire pervers sur le visage, tandis que tu ne rêves que d'une chose le foutre à la porte de ta chambre. JE VAIS LE TUER CE CONNARD DE MERDE ! Tu te demandes encore quel jeu vicieux il va encore inventer pour t'avoir à sa merci. « Pas de repos pour les esclaves ma princesse des glaces. » Un frisson te parcoure l'échine alors que tu grimaces lorsqu'il prononce ton prénom. Cette pourriture a compris où se trouvait tous tes points faibles, alors il les use contre toi sans aucun scrupule. Il continue de parler et tu n'écoutes pas vraiment ce qu'il te raconte obsédée par l'idée de te défaire de son emprise. La meilleure solution serait d'en parler à ta mère, de tout lui raconter. Cependant, t'es pratiquement  certaine qu'elle fera une attaque quand tu lui avoueras que tu as quitté tes études de management pour faire danseuse dans un cabaret et serveuse dans un bar. Ce n'est pas du tout ce qu'elle attendait de toi et elle sera déçue à tous les coups. « Tu m'écoutes Elsa ? » Sa voix te fait sortir de tes pensées et son visage si près du tien te fait devenir toute rouge. Il l'a fait exprès ce bâtard. Il sait que même si t'es à l'aise sur scène quand tu danses, tu n'es absolument pas à l'aise avec les contacts humains provenant des spécimens mâles de l'espèce. « Euh... Oui oui. » Romain sourit fier de lui d'avoir réussi à te faire ravaler ton caractère de merde et de te faire balbutier. Toi tu ne peux que le fusiller du regard. Tu détestes qu'il ait autant de pouvoir sur toi. En fait, tu le détestes tout simplement. Ta vie se passait bien jusqu'à ce qu'il entre dedans. Maintenant, ce n'est que disputes et cauchemars. Si seulement tu pouvais partir de chez lui. Oui, parce que tu es chez lui depuis que ta mère t'a abandonné pour faire le tour du monde avec ton beau-père. Elle t'a laissé avec ce type qui ne pense qu'avec sa bite. La preuve, il sort de sa poche de la lingerie. Tu commences à avoir sérieusement peur de ce qu'il va te demander. « C'est ce que je veux que tu portes aujourd'hui pour cuisiner. Ça devrait pas te poser de problèmes puisque tu te balades déjà comme ça devant des inconnus. » annonce-t-il avec un sourire encore plus pervers sur le visage. Toi, tu restes bouche bée. Non mais il est sérieux ! Il m'a vraiment demandé ça. Mais qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez ce type. Ses parents l'ont bercé trop près du mur ou quoi ? « Va te faire Romain. Hors de question que je porte ça et encore moins pour toi. » Sans savoir comment tu as fait, tu arrives à le faire tomber de ton lit avant de récupérer une de ses jambes et de le traîner hors de ta chambre. Putain qu'il est lourd. Une fois que c'est fait, tu fermes la porte à clé, histoire qu'il ne puisse plus rentrer. « Et reste loin de ma chambre, sale pervers. » Tu l'entends rire derrière la porte parce que même si tu te rebelles contre lui, c'est plus pour la forme qu'autre chose. Tu sais que tu vas lui obéir et lui aussi le fait. Tu as plus peur de ce qu'il pourrait dire à ta mère pour avoir gain de cause de ce qu'il est capable de te faire faire. Tu soupires en t'allongeant sur ton lit, fixant le plafond immaculé. Ce bâtard m'aura tué avant que je n'arrive à me sortir de cette galère. Pourquoi faut toujours que je tombe sur des connards. Ton téléphone vibre et c'est Victoria qui t'apprend qu'elle a décidé de partir en week-end dans un pays lointain pour la défense de la cause animale. Tu souris devant ton téléphone. Cette fille a toujours le don de te remonter le moral dès que tu ne vas pas bien. Elle fait des trucs loufoques comme essayer de t'initier à l'art d'être végétalienne. Parce que oui, pour elle c'est un art. Pour toi, juste la perte de quelque chose de super important pour le corps et de bon. Tu réponds à ton amie avant de te rendormir comme une merde. Des coups tambourinés à la porte te réveillent en sursaut et tu essuies la bave qui macule le coin de ta bouche, ainsi qu'une partie de ta joue. Très glamour tout ça Elsa. Tu te lèves de ton lit en priant pour que Romain ne soit plus là et tu sors de ta chambre en ne portant rien d'autre qu'un t-shirt trop grand et un boxer. Tu ouvres alors la porte, après avoir vérifié que ton demi-frère ne se trouvait pas dans les parages et tu tombes sur Billie. « Billie ? » demandes-tu avec un air ahuri sur le visage. Mais que t'es conne Elsa. Bien sûr que c'est elle. Mais qu'est-ce qu'elle fait là ? Tu ne te souviens pas avoir donné rendez-vous à ta meilleure amie et pourtant c'est le cas. Vous deviez vous retrouver il y a déjà presque une demie heure en bas de chez toi. Cependant, toi et la ponctualité c'est pas ton fort. Si en plus on y ajoute ta cervelle de poisson rouge, on obtient un combo parfait. « Qu'est-ce qui t'arrive ? On devait se voir aujourd'hui ? » Même en essayant de te rappeler, de remuer tes souvenirs, il n'y a rien qui te vient. « Mais entre, reste pas dehors. » Tu la laisses entrer avant de fermer la porte derrière toi. Tu ne sais pas la raison de sa venue et ça t'inquiète. Ta meilleure amie a perdu la mémoire après un accident. Elle ne se souvenait même pas de toi. Tu es sûre qu'elle ne se souvient probablement pas de grand chose de votre relation, mais tu t'en moques. Tu as décidé de l'aider à retrouver. Seulement, là, maintenant, tu es plus inquiète qu'autre chose.


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Billie Carpentier
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PSEUDO : anaëlle (ou isamongus, cf. alana et cam - nan j'balance pas, salut). sinon les intimes m'appellent bilal - même si j'm'appelle pas bilal (svp cherchez pas).


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MessageSujet: Re: l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. Empty19/4/2016, 23:22


L'amitié double les joies et réduit les peines
De toute évidence, si tu avais la possibilité de remonter le temps, tu ferais tout ce qui est en ton pouvoir pour éviter ce fichu accident. Tu ferais ton possible pour éviter ce fichu coma. Tu ferais tout, absolument tout pour éviter cette fichue amnésie qui te ronge encore aujourd'hui. T'as beau prétendre que tu vas mieux, que t'acceptes ton état pour la simple et bonne raison que tu n'as pas vraiment le choix, il y a des blessures internes qui tardent à guérir. Vivre sans le moindre souvenirs t'affecte plus que tu ne le laisse paraître. Comme le disait si bien Charles Péguy, “c'est la mémoire qui fait toute la profondeur de l'homme”. Alors toi, t'as la sensation d'être une pauvre vitre, trop fine, trop transparente, trop lisse. Le pire, c'est que tu ne peux même pas affirmer que tu as connu mieux, car la vérité, c'est que tu n'en sais rien. Tu ne sais rien tout court. Ce qui te console de tout ce mal qui te ronge, c'est d'avoir toutes ces personnes à tes côtés : certaines qui sont toujours restées quelque part dans ton esprit, d'autres que tu as pourtant oubliées contre toute volonté. Victoire, Elsa, tes parents, et d'autres encore. Et là où tu as davantage de chance, c'est que ceux qui ont fuit ton esprit n'ont pas fui ton coeur. Aussi, bien que ton amnésie ait décidé de chasser ta meilleure amie de ta mémoire, il y a ce petit quelque chose au creux de ta poitrine qui se souvient pour toi. Et puis il y a elle aussi, tout simplement. Comme vous en avez du temps à rattraper ensemble, et comme il vous en reste des choses à faire. Par chance, vous étiez autant décidées l'une que l'autre à changer tout ça. D'ailleurs, c'est précisément pour cette raison  que vous aviez convenu de vous voir aujourd'hui.


Vous avez (1) nouveau message
De Elsa, le 18/04/2016 à 17h02

« Si t'as rien de prévu demain (et même dans le cas contraire d'ailleurs), rdv à 12h00 en bas de chez moi. On mangera ensemble, et je t'ai même préparé une petite surprise ! Petit indice : albums photos. Je ne t'en dis pas plus, sois à l'heure demain. Bisous ! »

Elsa savait comment te mettre l'eau à la bouche. En toute honnêteté, tu avais déjà hâte de la retrouver demain. Quand bien même il n'y avait pas de surprises à la clé, la simple idée de passer du temps avec elle te rendait heureuse. Depuis ton accident, tu aimes à puiser des bribes de bonheur dans les choses simples de la vie. Laisser d'écouler les heures aux côtés d'Elsa à discuter de tout et de rien faisait indéniablement partie de ces bonheurs. La vérité c'est que depuis la première fois où tu l'as retrouvée en sortant du coma, tu as la délicieuse sensation de ne jamais l'avoir quitté, de ne jamais l'avoir oubliée. Jamais.
Tu jettes un oeil à ton téléphone portable qui indique 11h57. D'aussi loin que tu t'en souviennes, tu n'avais jamais eu de souci avec la ponctualité, ce qui n'est pas le cas d'Elsa en revanche. Tu savais pertinemment que tu allais poireauter en bas de chez elle au moins dix bonnes minutes. Par chance, le temps était doux. Le soleil n'était pas très chaud mais le vent n'était pas glacial. Bref, la météo était à peu près de ton côté pour aujourd'hui. La météo, oui, mais les minutes beaucoup moins. Est-ce que c'est toi ou est-ce que ça fait bien vingt minutes que tu attends ? Un nouveau coup d'oeil à ton téléphone te confirme qu'il est déjà 12h20 passé. Elsa est une retardataire expérimentée, certes, mais pas à ce point-là. Finalement, après avoir laissé s'écouler une ou deux minutes de plus, tu te décides à aller toquer chez elle directement. 5 secondes. 10 secondes. 15 secondes. 20 secondes. La porte s'ouvre enfin. « Billie ? » Machinalement, tu fronces les sourcils et restes silencieuse quelques instants. Comment ça “Billie ?” ? Remettait-elle réellement ta présence en question ? “Billie !” d'accord. Mais “Billie ?”... L'air perdue qu'Elsa arborait n'annonçait rien de bon. « Qu'est-ce qui t'arrive ? On devait se voir aujourd'hui ? » Manifestement, Elsa n'avait plus aucun souvenir de ce rendez-vous qu'elle t'avait donné la veille. Tu laisses échapper un rire. « Ôte-moi d'un doute... c'est moi qui suis amnésique ou c'est toi ? » Mieux valait rire de ta triste situation plutôt que d'en pleurer. Et les circonstances actuelles prêtaient franchement à rire, justement. Alors qu'elle te propose tout de même d'entrer, tu t'exécutes, et, dans le même temps, tu lui présente le fameux sms devant les yeux afin de lui rafraichir la mémoire. « Mais... peut-êre que je tombe mal... est-ce que tu caches un beau jeune homme sous ton lit ? Parce que si c'est ça, je repars aussi vite que je suis arrivée, ni vu ni connu ! » Il n'y avait qu'un garçon pour faire tourner la tête d'une jolie fille, pas vrai ? Concernant Elsa, le problème venait sûrement de sa célèbre mémoire de poisson rouge, mais ne sait-on jamais ?
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MessageSujet: Re: l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. Empty1/5/2016, 17:46

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Te faire réveiller par des coups tambourinés à la porte est nettement plus agréable que par ton abruti de demi-frère. Juste parce qu’il a par hasard appris que tu avais abandonné tes études et que maintenant tu dansais à moitié nue au Moulin Rouge, il se croit tout permis. En même temps, c’est de ta faute. Tu le laisses faire ce qu’il veut parce que tu as trop peur d’affronter le regard déçu que ta mère posera sur toi quand elle apprendra tout ça. Tu ne veux pas qu’elle ait honte de toi, parce que toi tu n’as pas honte. C’est un métier comme un autre. Tu fais juste ça en attendant de trouver mieux. Tu souffles quand t’entends qu’on frappe à la porte et te lèves de mauvaise grâce. Si c’est Romain, je lui referme la porte au nez et je le laisse se démerder. Cette idée te fait sourire. Ça serait prendre ta revanche sur ce qu’il t’a fait ce matin. Vraiment ce type est un vrai pervers. Te demander de porter des sous-vêtements que normalement tu ne porterais que sur scène, en jouant un personnage, quel culot ! Si tu avais pu, tu lui aurais fait bouffer ce string et ce soutif. Seulement, t’as pu rien faire comme d’habitude. FROUSSARDE ! Ce mot s’inscrit dans ta tête alors que tu te diriges vers la porte d’entrée en espérant ne pas le croiser dans le salon. C’est vrai que t’as peur de lui et de ce qu’il pourrait te faire s’il venait à devenir sérieux. Pour le moment, c’est encore des choses ‘’raisonnables’’ comme t’habiller d’une certaine façon, lui faire tel ou tel plat à manger. Le jour où ça deviendra plus excessif, tu te décideras peut être à réagir. Mais pour le moment, tu le laisses faire, avec difficulté certes, mais il a le champ libre. Tu ouvres la porte et tombes nez à nez avec Billie, ta meilleure amie. Tu la regardes comme si tu voyais un fantôme avant de poser une question totalement stupide à savoir « Billie ? ». Bien sûr que c’était elle, tu le vois puisqu’elle est devant toi. T’as l’air complètement perdu à essayer de te souvenir de la raison de sa présence. L’as-tu invité ? Oui c’est fort possible et ensuite, comme d’habitude, tu as oublié. Tu demandes donc ce qui lui arrive et si vous deviez vous voir aujourd’hui. La jeune femme lâche un rire. Je me souviens pas et en plus elle se fout de moi. Je suis irrécupérable. « Il me semble que c’est toi. Mais avec tout ce que j’oublie, je vais bientôt te suivre sur le chemin de l’amnésie. Heureusement que j’oublie pas de manger. » Ça c’est sûr que t’oublieras jamais de manger. La nourriture est trop précieuse pour toi et gourmande comme tu es, tu n’iras pas loin. Tu lui dis d’entrer parce que vous n’allez pas rester dehors comme deux idiotes à attendre que tu te souviennes. Lorsqu’elle rentre, elle te place sous le nez son téléphone avec un sms de ta part. Tu le lis et aussitôt ton regard s’illumine. Mais oui, c’est vrai tu avais prévu de lui montrer tes albums remplis de photos avec elle. Comment t’as pu oublier ça. Tu vas pour t’excuser quand elle te coupe l’herbe sous le pied en te posant une question qui te met de suite mal à l’aise. Tes joues prennent une jolie teinte rosée. Non mais à quoi elle pense ? Comme si je pouvais ramener un mec ici avec l’autre connard qui surveille tout ce que je fais. D’ailleurs, ce serait plutôt à moi de surveiller ce qu’il fait… Rapidement, tu secoues tes mains devant toi en essayant d’être cohérente. « Non… y a personne. Enfin, si y a quelqu’un… Mais il est pas là… Enfin bref, y a pas de beau jeune homme caché sous mon lit. » Et pourtant qu’est-ce que t’aimerait que ce soit le cas. Cependant, tu ne vas pas trop le dire parce que si Romain rentre à ce moment-là, il serait capable de ne plus te lâcher et de passer ses nuits sous ton lit. WAHOU L’HORREUR ! Un frisson te parcoure à cette idée. Rien que d’y penser et t’as envie de vomir. Certes, il te plait ce demi-frère qu’on t’a imposé mais il est tellement tordu que ça ne passerait pas entre vous. Mais bon, en même temps, tu n’attires que les tordus, alors un de plus ou un de moins, tu as perdu le compte. « Désolée de t’avoir oublié Billie. Je suis rentrée tard du boulot hier et ce matin, mon « adorable » frère m’a réveillé à 8h… Quand il est parti j’étais tellement crevée que je me suis rendormie. » Quand tu parles de Romain, on peut entendre dans ta voix tout le mépris, la colère que tu lui voues. Tes mots sont emplis d’ironie et tu fais un sourire crispé à ta meilleure amie. Cependant, tout ce que tu ressens pour lui s’évapore au moment où tu réalises qu’il ne gâchera pas votre après-midi entre filles. « Tu m’excuses hein ? » Tu lui offres un magnifique sourire suivi d’un léger bisou sur la joue. Tu sais pas encore trop comment réagir avec elle. Même si physiquement, elle est restée la même Billie que tu connais, elle a tellement changé depuis son accident que tu ne sais plus vraiment sur quels pieds danser avec elle.


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Billie Carpentier
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MessageSujet: Re: l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. Empty6/5/2016, 00:51

L'amitié double les joies et réduit les peines
Les minutes s'écoulent et toi tu attends, ne manquant pas de jeter des coups d'oeil réguliers à ta montre dont les aiguilles semblent galoper à une vitesse folle. Comment se fait-il que leoub temps soit à la fois si lent et si rapide ? La patience n'a jamais été ton fort, bien que tu t'appliques à corriger ce défaut que tu as depuis trop longtemps déjà. Disons que la jeune femme ponctuelle que tu es ne comprendra jamais que l'on puisse être continuellement en retard. Toutefois, tu pardonnes toujours tout à Elsa, parce que tu l'aimes comme ça, indéniablement. Après avoir poireauté de longues minutes en bas de chez cette dernière, tu te décides finalement à aller frapper directement à sa porte, en espérant qu'elle ne s'était tout simplement pas réveillée - ou un autre truc du genre, tout à fait digne d'elle. Le temps qu'elle vienne t'ouvrir, tu t'amuses à imaginer tous les cas de figure possibles et imaginables... tu es bien forcée de constater que tu n'as pas pensé à l'hypothèse “j'ai oublié que j'ai rendez-vous avec ma meilleure amie”. Si tu n'es pas sans savoir que la capacité de stockage de sa mémoire est relativement limitée, tu n'aurais jamais imaginé qu'elle an arriverait un jour à un point si critique, et il va sans dire que la situation t'amuse. Qui était l'amnésique de vous deux en fin de compte ? « Il me semble que c’est toi. Mais avec tout ce que j’oublie, je vais bientôt te suivre sur le chemin de l’amnésie. Heureusement que j’oublie pas de manger. » Toi, tu aurais plutôt tendance à dire “heureusement qu'elle n'oublie pas de respirer”, mais après tout, manger c'était à peu près toute sa vie alors ça revenait sûrement au même. « Si un jour tu en viens à oublier de t'alimenter, il sera grand temps que je m'inquiète de ton cas », tu confirmes avant d'en rire. Le pire dans tout ça, c'est très certainement la véracité de vos propos. La brunette avait ses habitudes, ses spécificités, et, au temps que ta mémoire a malheureusement effacé, tu l'as aimée pour ça. Mais ce dont tu es certaine, c'est qu'encore aujourd’hui, tu l'aimes pour ça aussi. Néanmoins, au fond, y'a ce petit truc qui te picote le coeur. Pour n'importe qui, un oubli pourrait sembler si futile ; une défaillance qui arrive si vite et si fréquemment. N'importe qui, oui... mais pas toi. Tu ne sais que trop la souffrance de l'oubli, le vrai. Tu donnerais tellement pour pouvoir te souvenir de mille-et-uns petits détails, mêmes les plus insignifiants. Tu paierais cher pour retrouver la mémoire que tu avais avant. Avant ça. Alors t'as mal, c'est vrai. Toutefois, tu ne laisses rien paraître, soucieuse de passer le meilleur moment qui soit avec Elsa, quoiqu'il t'en coûte. Alors, après avoir adressé un doux sourire à ton amie, tu pénètres finalement dans son appartement sans dire le moindre mot, espérant ne pas t'être pointée au mauvais moment. Ceci aurait pu expliquer cela. Néanmoins, tu savais pertinemment que tu aurais été la première au courant s'il y avait une histoire de garçon – enfin, dans le cas où Elsa n'aurait pas oublié cet état de fait en plus du reste. « Non… y a personne. Enfin, si y a quelqu’un… Mais il est pas là… Enfin bref, y a pas de beau jeune homme caché sous mon lit. » t'affirme-t-elle tandis que ses joues s'empourprent inévitablement. Tu te sens immédiatement coupable de l'avoir embarrassée à cause d'une petite plaisanterie ridicule. Tu n'ignores pourtant pas que la demoiselle n'a jamais été à l'aise avec ça ; le sexe opposé, son corps, et tout ce qui va avec. « Je rigole... Allez, approche ! » Aussitôt, tu poses ton sac au sol et prend Elsa dans tes bras, un geste qui te permet non seulement de t'excuser, mais aussi de la saluer comme il se doit. La brunette méritait toujours un accueil chaleureux, qu'importe les circonstances, et le fait qu'elle t'ait oubliée n'allait clairement pas changer cela. « Désolée de t’avoir oublié Billie. Je suis rentrée tard du boulot hier et ce matin, mon « adorable » frère m’a réveillé à 8h… Quand il est parti j’étais tellement crevée que je me suis rendormie. » Une légère grimace déforme tes lèvres lorsque tu ressens l'amertume dans chacun de ses mots. D'ailleurs, tu hésites à rebondir sur ce sujet si délicat. « ça ne se passe pas très bien entre vous deux, hm ? », tu l'interroges finalement. Au fond, tu sais déjà que non, mais tu espères en ton for intérieur que leurs rapports n'iront qu'en s'améliorant. Après tout, un tel conflit ne pouvait pas durer éternellement. Seul un sentiment aussi pur que l'amitié pouvait durer toujours. Du moins, c'est ce que tu te tues à croire depuis que tu es toute petite. D'ailleurs, Elsa et toi en étiez l'exemple parfait, pas vrai ? Bien sûr, ta mémoire t'a joué des tours. Bien sûr, vous avez changé durant ces quelques mois de néant. Bien sûr, rien ne serait plus comme avant... mais cela pouvait devenir encore mieux. Alors, quand ton amie te demande si tu es prête à l'excuser, tu es tentée de dire que oui, et pourtant... « Désolée mais... ça va pas être possible. » C'est un lourd silence qui accompagne tes propos ; rien de plus, rien de moins. Et puis finalement, tu ne peux t'empêcher d'éclater de rire. « Mais bien sûr que je te pardonnes voyons, ne sois pas bête ! », tu avoues finalement avant de lui asséner un coup d'épaule amical. Contre toute attente, le sourire que tu arbores est on ne peut plus sincère bien qu'il dissimule adroitement cette once de douleur au fond de toi que tu ne parviens pas à réprimer. Mais qu'importe, tu as la ferme intention de passer outre. « Par contre, j'espère que tu n'as pas oublié le programme de la journée car je ne peux vraiment pas t'aider... Malheureusement, je n'ai pas encore le pouvoir de lire dans les pensées, même si j'aimerais beaucoup ça. » Tu hausses les épaules comme pour t'excuser par avance. « MAIS, si vraiment ta mémoire est défaillante à ce point, ne t'en fais pas, j'ai tout un tas de choses à te proposer ! » tu t'exclames afin de la rassurer. Puis, tu entoures ses épaules de ton bras de manière à l'attirer avec toi jusqu'au canapé sur lequel tu finis par t'étaler lamentablement. Machinalement, tu balaies l'appartement du regard, et c'est ainsi que tu remarques les dessous très attrayants qui jonchent le sol. « Ouh... c'est en quel honneur ça ? », tu demandes à ta meilleure amie en désignant la fameuse lingerie d'un geste de la tête.
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MessageSujet: Re: l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. Empty25/5/2016, 00:00

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Tu ne serais pas Elsa Chevalier si tu étais à l’heure et que tu n’oubliais jamais rien. Cette particularité que tu as de toujours te pointer en retard et t’avoir une mémoire de poisson rouge, t’as souvent été fatale. Personne n’aime quand les gens ont toujours trente minutes de retard. Du coup, tes amis te demandent de venir trente à quarante minutes à l’avance pour être sûrs que tu sois à l’heure. Cette technique a porté ses fruits, si bien que maintenant ils l’utilisent la plupart du temps. Pourtant, ils n’ont pas encore trouvé de solution pour ta mémoire. C’est pour cette raison que tu sembles si surprise de voir Billie devant toi. En même temps t’as oublié qu’elle venait mais aussi ton adorable frère t’a réveillé aux aurores pour son jeu pervers. S’il n’avait pas été là si tôt dans ta chambre à essayer de te faire porter ce ridicule ensemble pour son propre plaisir, peut-être, oui parce que tu n’es pas certaine à cent pour cent, tu aurais été à l’heure pour ta meilleure amie. A se demander si ce n’est pas toi l’amnésique. D’ailleurs, c’est exactement ce que te demande la brune. Tu ris avec elle avant de répliquer qu’heureusement que n’oublies pas de manger. Toi le ventre ambulant, tu ne sautes aucun repas et si en plus tu peux grignoter entre eux, tu ne te prives pas. C’pas ma faute, si jamais manger autant. Et puis, je perds tout une fois que je fais un peu de sport. Tu te mets à rêver d’un bon plateau de sushis. Rien que d’y penser t’as l’eau à la bouche. Cependant tu es stoppée dans tes rêveries par Billie qui reprend la parole. « Effectivement, il est pas encore arrivé le jour où j’oublierai de me nourrir. » Vous riez toutes les deux de tes paroles. Tu ne te rends pas compte qu’il y a quelque chose qui semble la tracasser. Enfin, tu te doutes que le fait que sa mémoire lui fasse défaut l’embête parce qu’elle ne se souvient pas de celle qu’elle était avant l’accident, mais tu n’en as jamais trop parlé avec elle, de peur de la brusquer ou de la faire se sentir mal. C’est bien la dernière chose que tu voudrais faire, que ta meilleure amie se sente mal en ta présence parce que tu n’as pas su tenir ta langue. Tu laisses rentrer la brune chez toi et referme la porte derrière elle tandis qu’elle te demande si quelqu’un se cache sous ton lit. Aussitôt, tu piques un fard et balbutie quelques explications. C’est vrai qu’il n’y a personne chez toi pour le moment, mais tu vis avec Romain, ton demi-frère par alliance, donc il compte comme un garçon. Cependant, il n’est pas là et ça te soulage quelque peu. T’en as un peu marre de ses fantasmes qu’il te demande de réaliser simplement parce qu’il t’a surprise à danser à moitié nue au Moulin Rouge. Il te fait du chantage maintenant parce que tu devrais toujours être en train de faire des études. Seulement, tu as abandonné tes études et tu ne veux pas que ta mère le découvre. Du coup, tu obéis comme un petit chien à chacun de ses désirs même si tu rêves de pouvoir te rebeller un jour. Du coup, tu ne sais pas vraiment comment réagir avec lui ni même avec Billie qui insinue que tu as une vie sexuelle. A part Loïc, tu n’as pas eu grand monde dans ta vie. Et encore, tu ne gardes pas forcément un super souvenir de ta relation avec ton ex, parce qu’il s’est bien foutu de ta gueule. Les mecs sont tous des connards ! Et ils sont tous tordus ! Heureusement, la brune ne te laisse pas ruminer tes pensées contre les hommes trop longtemps puisqu’elle te prend dans ses bras en t’assurant qu’elle rigolait. Même si c’est le cas, ça n’empêche que tes joues sont toujours roses à cause de tout ça. T’as beau danser devant des gens à moitié nu le soir dans le cabaret, tu n’es pas plus à l’aise que ça avec ton corps et la sexualité. C’est juste une façade, un rôle que tu joues à la perfection. Tu t’excuses alors d’avoir oublié ton amie devant chez toi en expliquant les raisons de ton oubli. Encore une fois c’est Romain qui est en cause. Un jour je vais l’étrangler dans son sommeil…. « Non pas vraiment… Il est toujours aussi détestable. Je crois qu’il a pas digéré le fait de vivre avec moi. Mais il croit quoi que moi, j’ai envie de vivre avec un taré pervers dans son genre. » Tu soupires alors que tu sens ton sang bouillonné en toi. Ce n’est pas le moment de t’énerver contre quelqu’un qui n’est pas là. Tu auras tout le temps de le faire quand il reviendra. Tu laisses donc ton demi-frère dans un coin de ton esprit, prête à passer l’après-midi avec la fille que t’aime le plus au monde. Mais avant que ça puisse se faire, tu lui demandes si elle t’excuses. Tu sors le grand jeu : yeux du Chat Pottés et bisou sur la joue. Seulement, ça n’a pas l’effet escompté. En effet, elle te dit que ce n’est pas possible. Tu te décomposes instantanément. Ton visage devient blanc et tu ouvres la bouche comme un poisson hors de son bocal. QUOI ???? MAIS POURQUOI ? Tu te sens même prête à pleurer quand elle reprend sur le ton de la rigolade qu’elle te pardonne. Tu soupires une nouvelle et lui frappes gentiment l’épaule. « Me refais plus jamais ça. » Tu lui sors ta moue boudeuse qui s’estompe au fur et à mesure des paroles de la jeune femme. Bien entendu que non t’as pas oublié le but de sa venue. Enfin, si mais avec le message qu’elle t’a montré tu te rappelles que tu voulais lui montrer des photos de vous, de tous les moments que vous avez passés ensemble afin de l’aider à se souvenir. Elle t’attrape par l’épaule pour vous diriger vers le canapé où elle s’étale et tu la rejoins un sourire sur le visage. Tu la vois qui parcoure la pièce du regard avant de tomber sur quelque chose qui attire ses yeux. Elle ne détourne pas la tête pour te demander ce que c’est. Tu suis son regard et aperçois la lingerie que Romain t’as demandé de porter. Aussitôt tes joues prennent une nouvelle fois feu et tu te lèves pour récupérer et balancer le tout à la poubelle. « C’est… c’est euh… une des filles que Romain voit qui a laissé ça ici. » mens-tu dans l’espoir qu’elle te croit. Hors de question de lui dire que c’est ce que Romain voulait que tu portes ce matin pour faire la cuisine. Billie est peut-être au courant de ce qui se passe entre vous, tout du moins en surface, t’es pas prête à lui avouer que t’es devenue une poupée entre les mains de ton demi-frère. « Je vais chercher les albums photos… Fais comme chez toi. » Tu t’empresses de changer de sujet et de sortir de la pièce pour reprendre tes esprits. Dès qu’il rentre je le détruis, je le découpe et j’envoie ses morceaux à son père par la poste. T’as beau penser à ça, tu sais que tu ne feras rien. Tu vas juste lui dire le fond de ta pensée en sachant très bien que tu feras tout ce qu’il ordonnera.


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Billie Carpentier
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MessageSujet: Re: l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. Empty23/6/2016, 00:01

L'amitié double les joies et réduit les peines
Elle y peut rien Elsa, elle est comme ça. L'esprit toujours ailleurs, la tête dans les nuages. Au fond, c'est aussi pour ça que tu l'apprécies tant. Elle te mets du baûme au coeur Elsa, tous les jours sans exception. Alors bien évidemment, lorsque tu  tu sens cette pointe de tristesse te pincer le coeur, tu fais de ton mieux pour ne pas lui en tenir rigueur. D'ailleurs, comment pourrais-tu lui en vouloir, hein ? Elle était de ces personnes pour qui l'on accepterait absolument tout parce qu'elle a ce sourire communicatif qui adoucirait les peines les plus douloureuses. Aussi, tu ne peux t'empêcher de lui sourire à ton tour alors que tu pénètres finalement dans l'appartement de la jeune femme dont les joues se sont inévitablement empourprées à cause de ta précédente réflexion. Tu n'es pas sans savoir qu'Elsa et les garçons, c'est une équation difficilement résolvable, et pour cause, elle a beau ne pas avoir eu beaucoup d'histoires d'amour, elle a eu l'occasion d'en voir des vertes et des pas mûres. Ajoutez à cela un demi-frère des plus insupportables, et vous obtenez ce cocktail détonant duquel Elsa tente tant bien que mal de se dépétrer au quotidien. Pour une raison qui t'échappe, Romain ne lui laisse aucun répit, aimant à s'acharner sur sa nouvelle soeur par alliance. Si t'avais fait des études de psycho, tu trouverais sûrement le truc qui cloche dans son comportement – parce que oui, c'est évidemment, y'a un truc qui tourne pas rond. Manque de chance, tu n'y connais rien à tout ça, alors tu te contentes de rabâcher sans arrêt à Elsa qu'il est tout simplement cinglé. Néanmoins, même si ça fait toujours du bien de se lâcher, cela ne résoud pas pour autant le problème. La preuve en est que lorsque tu demandes à Elsa si la situation s'est un peu arrangée, elle affirme que non. « Non pas vraiment… Il est toujours aussi détestable. Je crois qu’il a pas digéré le fait de vivre avec moi. Mais il croit quoi que moi, j’ai envie de vivre avec un taré pervers dans son genre. » Tu lèves les yeux au ciel, dépitée par le fait que son comportement n'ait pas évolué d'un cil. Tu te demandes sincèrement ce qu'il cherche en agissant de la sorte. « Un bon coup de pied où je pense, voilà ce qui lui remettrait les idées en place ! » tu lances avant de rire de l'image mentale qui traverse alors ton esprit. Là où il a de la chance ce Romain, c'est que la brunette est bien trop gentille pour faire quoi que ce soit contre lui. Dans ce cas, il ne lui reste plus qu'à prier pour que la roue tourne réellement, comme l'assure le proverbe. Si seulement tu y mettais du tien toi aussi plutôt que  de t'amuser à lui faire croire que tu ne peux plus lui pardonner ses innombrables oublis. Pour sûr, elle fonctionne ta blague, mais t'as bien failli te prendre une tarte en pleine face. « Me refais plus jamais ça. » Tu pinces tes lèvres et t'empêche de rire dans le même temps. « Promis ! » tu clames sans plus attendre avant de lever ta main droite en l'air, preuve de ta bonne foi. « Crois-moi, je n'ai aucune envie d'aller en enfer », tu insistes tandis que tes lèvres se déforme en un rictus grimacier. T'es pas certaine d'arrêter les blagues, mais tu feras de ton mieux pour éviter les plus risquées, te faire continuellement frapper par ta meilleure n'étant clairement pas dans tes projets d'avenir. Bien que cette petite moue boudeuse qu'elle arbore soit on ne peut plus adorable, tu préfères grandement la voir sourire, c'est évident. Et puis elle ne t'avais sûrement pas donné rendez-vous pour autre chose que pour passer un bon moment avec toi ; ça tombe bien, t'attendais que ça. D'un pas décidé, tu entraînes donc la jeune femme avec toi jusqu'au salon, et c'est à ce moment précis que tu remarques de jolis dessous qui traînent au sol. Aguichant, certes, mais somme toute très sensuels. Tu ne doutes pas un seul instant qu'Elsa ferait tourner des têtes dans cet ensemble. Pour autant, tu es persuadée que ce n'est pas à elle pour la simple et bonne raison que ce n'est tout simplement pas son genre. D'ailleurs, sa réponse achève de confirmer tes pensées. « C’est… c’est euh… une des filles que Romain voit qui a laissé ça ici. » Tu hausses les sourcils, étonnée. « Parce qu'en plus il a le culot de ramener des poules ici ? » tu la questionnes en t'attendant déjà à une réponse positive de sa part. Rien que pour ça t'as déjà les cheveux qui se hérissent sur la tête. « Il manque vraiment pas d'air celui-là. » Tu secoues la tête, encore un peu plus dépité que la minute précédente. Décidémment, ce Romain ne cessera jamais de te surprendre, et pas franchement dans le bon sens terme. Néanmoins, tu ne cherches pas à t'étaler davantage sur le sujet parce que tu sens que ça coince du côté d'Elsa et qu'elle ne veut absolument pas en parler. C'est très probablement pour cette raison qu'elle change elle-même de sujet. « Je vais chercher les albums photos… Fais comme chez toi. » Sourcils froncés, tu observes sa réaction, anormalement inquiète. Tu te rends bien compte que la situation lui procure beaucoup plus de soucis que de raison, mais tu te refuses à te mêler de cette histoire avant que ce soit Elsa qui ne le décide. Néanmoins, rien ne t'empêche de lui faire comprendre par tous les moyens que tu seras toujours là pour elle, que tes oreilles seront toujours attentives et que tes épaules seront toujours assez solides. « Je suis consciente que ces derniers mois n'ont pas été faciles à cause de moi », tu commences assez fort pour qu'elle t'entende de là où elle est. Elsa, elle a été là pour toi depuis les premiers jours où tu es sortie de ce fichu coma, et elle l'est encore aujourd'hui. Elle passe son temps à s'occuper de toi et t'as la désagréable impression de ne pas en faire autant pour elle. « Mais c'est pas pour autant que je ne peux pas prendre soin de toi moi aussi, tu sais. » Elle te ménage depuis quelques temps, tu le sais, et tu ne lui en veux pas de le faire. Néanmoins, tu ne veux pas qu'elle croie que ses problèmes à elle ne t'importent pas. C'est même tout le contraire. « Si t'as besoin de te confier, de te changer les idées ou que sais-je encore ? Tu sais que je suis là », tu termines le sourire aux lèvres, tout en sachant pourtant qu'elle ne te voit pas. Mais elle le connaît par coeur ce sourire rassurant. « Ceci dit le mieux c'est qu'on oublie nos soucis ensemble, pas vrai ? »
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MessageSujet: Re: l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. Empty1/8/2016, 17:43

.l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.

billie
&
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Voir Billie te rend de suite plus joyeuse que quelques heures plus tôt. Tu n’en peux plus de ton demi-frère qui pense que c’est amusant de t’utiliser comme son objet et de te faire faire tout ce qu’il veut. Tu voudrais bien des fois te rebeller, mais t’as pas envie que ta mère apprenne pour les études que t’a abandonné. Ça allait bien avant qu’il n’arrive dans ta vie. Comme quoi, quand tu dis que les hommes ne servent à rien et font toujours tout rater, tu n’as pas tort. Et c’est encore plus compliqué avec ton attirance pour Romain. Ouais il t’attire. Un peu trop même. Je vais finir par tomber amoureuse de lui, si je ne fais pas quelque chose… Mais bon, ça risque pas d’arriver s’il garde ce comportement déplacé et irrespectueux envers moi. Si seulement il existait dans le monde quelqu’un pour toi, pour ne pas qu’un désastre pareil arrive. Mais tu ne te fais pas d’illusions. T’as trop eu de fois le cœur pour faire confiance aux hommes encore plus quand tu vois le taré qui vit avec toi. T’espère pour ta mère que le père de Romain n’agit pas aussi de cette façon avec elle. Rien que de penser à ça, tu frissonnes d’effroi. Oh putain le cauchemar ! Cependant, tu ne peux pas t’attarder plus longtemps sur cette pensée parce que ta meilleure amie aborde le sujet de Romain. Tu ne caches pas le fait que tu le détestes royalement. T’as même envie, pendant l’espace d’un instant, de tout lui raconter. Seulement, tu ne le fais pas. Quelque part, tu as honte de ce qui se passe. Tu sais que Billie t’aiderait dans cette situation, mais t’as peur qu’elle ne te juge, ou pire qu’elle te laisse tomber pour ça. Alors, plutôt que d’avoir à voir de la pitié dans le regard de la brune, tu préfères te taire. Et regarde où ça te mène ! Tu t’en sors pas toute seule mais tu préfères ne rien dire plutôt que de l’affronter avec quelqu’un d’autre. Tu es pathétique Elsa. La remarque de Billie te fait rire. Certes, tu pourrais le faire, ça te défoulerait mais tu as peur de ce qu’il pourrait te faire après ça. Tu ne sais pas encore de quoi il est capable quand il est à son maximum de pervertitude. Tu ne sais même pas si ce mot existe mais pour le décrire ça lui va plutôt bien. « Je pense pas que ce soit une solution de lui faire mal. Te méprends pas, j’ai bien envie de lui envoyer mon poing dans la gueule mais bon… » Tu ne finis pas ta phrase, parce que tu ne sais pas quoi dire de plus. Tu es trop gentille et surtout trop peureuse pour tenter quelque chose. PATHETIQUE ! Ce mot s’inscrit dans ton esprit alors que tu détournes les yeux, gênée de ne pas avoir plus de force de caractère. Si seulement tu n’avais pas peur des représailles, il y a bien longtemps que tu aurais pris les devants et l’aurait frappé pour qu’il arrête son jeu malsain. Cependant, pour le moment, tu ne t’enfermes pas dans tes plans de revanche, parce que tu boudes un peu Billie pour t’avoir fait croire qu’elle ne te pardonnerait pas le fait que tu l’aies oublié. Heureusement, pour toi et ton petit cœur, ça ne dure pas longtemps, et tu pouffes de rire quand tu la vois prendre un air solennel et lever la main pour prouver sa bonne foi. « C’est bon, baisse ta main. Je te crois. » Tu penses être alors débarrassée de Romain et de tout sujet sur ton demi-frère. C’était sans compter sur le fait qu’il ait laissé en plein milieu du salon, l’ensemble de sous-vêtements qu’il voulait que tu portes aujourd’hui. Aussitôt, ton visage devient si rouge que t’as l’impression qu’il prend feu. Tu sors alors la première excuse qui te passe par l’esprit. Tu ne trouves donc rien de mieux à dire qu’accuser Romain t’avoir amené chez vous une fille. La réaction de Billie ne se fait pas attendre et tu t’en veux un peu d’avoir dit ça. T’aimes pas spécialement qu’on le dénigre pour quelque chose qu’il n’a pas fait. « Ça arrive de temps en temps. Mais quand c’est le cas, je m’arrange toujours pour ne pas être dans les parages. L’entendre faire son affaire, très peu pour moi. » Dommage que ce ne soit pas avec moi qu’il la fait son affaire. Aussitôt après avoir pensé ça, ton visage se retrouve encore une fois rouge et tu détournes une nouvelle fois la tête pour ne pas qu’elle te voit dans cet état. Tu changes donc de sujet et te précipites hors du salon pour aller dans ta chambre en pensant à toutes sortes de choses à faire subir à Romain quand il rentrera de là où il est allé. Sauf que tu sais que tu ne feras rien du tout. Tu cherches les albums photos que tu as promis à ta meilleure amie quand tu entends sa voix te provenir dans la chambre. Tu souris tristement à ses paroles. Oui c’est vrai elle t’a fait peur quand elle s’est retrouvée à l’hôpital et qu’elle ne se souvenait de rien. Mais c’est pas grave, elle était en vie c’était le principal pour toi. Ton sourire se fait un peu plus joyeux tandis qu’elle continue. C’est fou ce que tu peux l’aimer cette petite brune. Tu serais complètement perdue sans elle. Tu continues d’entasser les albums sur tes bras, toujours le sourire aux lèvres alors qu’elle poursuit. Tu reviens dans le salon quand elle a terminé et tu as les yeux remplis de larmes. Tu laisses donc tomber les albums sur la table et tu prends Billie dans tes bras. « Je t’aime tu sais ! » T’es pas du genre à étaler tes sentiments de cette manière mais cette fois t’en as besoin. T’as besoin de lui dire ce que tu as sur le cœur. Enfin, pas tout non plus. Elle risque de prendre la grosse tête la Bélinda. « Je sais pas ce que je ferai sans toi Billie. » Tu la serres encore un peu contre toi avant de te détacher d’elle. « Et si on regardait ces albums ? » Tu veux pas trop continuer les effluves d’amour alors tu prends un album et l’ouvre à la première page. Il s’agit d’une photo de vous deux à la fin de l’année scolaire de première et au début de l’été. « C’était le premier jour des vacances d’été. On avait prévu de se voir tous les jours et de ne rien faire d’autre que de se prélasser au soleil, enfin soleil, on est à Paris quand même, en se racontant les derniers potins du quartier. » Tu souris à ce souvenir, même si ça te fait quand même de la peine parce que tu sais qu’elle ne s’en rappellera pas forcément. Ce serait quand même cool qu'elle se souvienne de quelques trucs quand même. Perds pas espoir !


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MessageSujet: Re: l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. l'amitié double les joies et réduit de moitié les peines. | billie & elsa. Empty18/8/2016, 00:54

L'amitié double les joies et réduit les peines
Comme souvent, tu ne peux t'empêcher de mentionner Romain, pour la simple et bonne raison que tu t'inquiètes pour Elsa. Son demi-frère n'est pas un tendre et il ne la ménagerait pour rien au monde. Et toi, t'as beau être trop gentille (du moins, c'est ce qu'on te reproche bien souvent), tu t'es promis que le jour où tu te retrouverais en face de lui, tu lui enverrai ses quatre vérités en pleine face. Vu le personnage, cela ne changerait probablement pas grand chose, mais tu te sais bien incapable de lui foutre ton poing dans la tête de toute façon. Et puis, comme le souligne finalement Elsa, la violence n'a jamais rien résolu. « Je pense pas que ce soit une solution de lui faire mal. Te méprends pas, j’ai bien envie de lui envoyer mon poing dans la gueule mais bon… » Tu lui adresses une moue contrite pour toute réponse. De toute évidence, vous pensez la même chose. Néanmoins, Romain n'a de cesse de profiter de la gentillesse de ta meilleure amie, et ça, ça te met hors de toi ; plus encore lorsque tu apprends qu'il profite même parfois de l'appartement pour faire ses petites affaires avec des demoiselles qu'il ramène sans une once d'embarras. « Ça arrive de temps en temps. Mais quand c’est le cas, je m’arrange toujours pour ne pas être dans les parages. L’entendre faire son affaire, très peu pour moi. » Tu t'apprêtes à répliquer, à lui dire qu'elle n'a pas à faire ça pour lui et tout un tas d'autres choses, mais tu vois qu'Elsa se précipite bien trop rapidement hors du salon, signe qu'elle n'a clairement pas envie de s'éterniser sur le sujet. Tu te contentes donc de lâcher un soupir lours de sens en attendant son retour. C'est au bout d'une ou deux minutes tout au plus qu'elle pointe à nouveau le bout de son nez. Lorsque tu lèves alors les yeux vers elle, tu es surprise de remarquer que ses iris brunes sont anormalement claires, manifestement embuées par des larmes que tu n'aurais jamais voulu voir dans ses yeux. Tu t'en veux aussitôt, consciente que sa peine n'est pas anodine. De deux choses l'une : soit elle est émue par ta faute, soit elle ne va pas si bien qu'elle aime à le prétendre. L'éclat inconnu que tu décèles dans son regard noisette te souffle qu'il s'agit peut-être bien des deux. Tes sourcils se froncent d'eux-même, non pas par colère, mais par inquiétude. Toi qui pensais que l'accident n'avait endommagé que ta mémoire, il semblerait bien que tu te sois trompée. Visiblement, t'es aussi devenue aveugle. Tu te serais bien frappée toi-même mais le soudain élan d'affection dont fait preuve Elsa t'en empêche. « Je t’aime tu sais ! » Tu as beau être étonnée par son geste si innatendu sur le moment, tu n'hésites pas une seule seconde à la presser contre toi de toute tes forces. Au fond, oui, bien sûr que tu le sais, parce que tu l'aimes tout autant. « Moi aussi je t'aime », tu la rassures de la manière la plus naturelle qui soit. « Il y a certaines choses qu'on n'oublie jamais », tu poursuis simplement. Ce n'est pas une fichue amnésie qui te fera oublier ça, parce que les sentiments ne s'effacent pas. « Je sais pas ce que je ferai sans toi Billie. » Un sourire touché étire tes lèvres. Touché et peiné alors que tu ne peux t'empêcher de te demander comment tu as pu passer à côté de son mal. Tu ignores ce qui se passe, ce qui ne va pas. Mais ce dont tu es certaine, c'est que tu ne te trompes pas et qu'il y a quelque chose qui cloche. Aussi, tu secoues doucement la tête de gauche à droite afin de lui signifier que ces derniers temps, tu n'as pas été si douée. Finalement, c'est toi qui serais perdue sans elle. T'as envie de sauter sur l'occasion, de lui dire que t'as été trop bête mais que ça y est, t'as enfin compris et qu'elle peut te parler de tout ce qui l'a tracassée (et la tracasse peut-être encore). Néanmoins, tu ne le fais pas par peur de la brusquée. Tu sais comment elle est, Elsa. Elle réfléchit à tout une dizaine de fois, il faut qu'elle aille doucement et par-dessus tout, qu'elle se sente prête à se lancer. C'est ainsi dans tous les domaines, tu n'as pas oublié ce fait. La presser ne servira à rien d'autre qu'à l'inciter à se renfermer davantage sur elle-même, et ce, même si c'est toi. Lorsqu'elle se détache de ton étreinte et que tu fais de même avec la sienne, tu entoures ses joues rosées de tes deux mains de manière à ce qu'elle te regarde dans les yeux. « Et je serai toujours là pour toi, tu le sais. Pas forcément physiquement dans cet appartement, mais à n'importe quel heur du jour ou de la nuit, si tu ressens le besoin de parler à quelqu'un, je serai là, hm ? », tu lui expliques d'un air entendu avec autant de sincérité dont il était possible de faire preuve. Tu n'en dis pas plus, persuadée qu'Elsa comprendra où tu veux en venir. Aussi loin que tu t'en souviennes, vous n'avez jamais eu besoin d'un trop grand flot de mots pour vous comprendre, il n'y avait aucune raison pour que cela commence aujourd'hui. Par ailleurs, la brunette reprend finalement la parole. Et si on regardait ces albums ? » Tu hoches positivement la tête en signe d'approbation avant de t'avancer au bord du canapé de manière à avoir une meilleure vue sur les photos. Dès la première, tu ne peux réprimer un franc sourire qui s'étire davantage à l'entente de l'ancdote dont te fait part ta meilleure amie. « C’était le premier jour des vacances d’été. On avait prévu de se voir tous les jours et de ne rien faire d’autre que de se prélasser au soleil, enfin soleil, on est à Paris quand même, en se racontant les derniers potins du quartier. » Au bout de quelques secondes, tu plisses les yeux puis désignes du doigt le foulard que la brunette avait autour du coup. « On avait le droit de porter ça à l'époque ? », tu te moques gentiment non sans en rire. Néanmoins, lorsque tu croises le regard d'Elsa, tu comprends que tu n'aurais peut-être pas dû le faire. En pleine réfléxion, tu poses à nouveau ton regard sur la photo. « Oh mon Dieu, c'est moi qui te l'avais offert, c'est ça ? » Au fond, tu n'attends pas réellement de réponse de sa part puisque le sourire qu'elle t'adresse le fait pour elle. Tu éclates de rire. « Elsa, la prochaine fois que je te fais cadeau d'un truc aussi hideux, promets-moi de le refuser ! » Tu plaisantes, et en fait, t'es surtout heureuse de te rendre compte que des bribes de souvenir refont surface si aisément. Certes, il ne s'agit pas d'un souvenir à proprement parler, tu as en parti deviné quelque chose grâce à la réaction d'Elsa, mais tu ne peux t'empêcher de penser que c'est une bonne chose. Si ce n'est peut-être pas un pas en avant, ce n'est pas non plus un pas en arrière. Une grimace déforme tes lèvres alors que tes yeux se posent sur la photo d'à côté. « Wow, celle-ci vaut le détour ! », que tu t'exclames, amusée. « A l'époque on avait sûrement moins de problèmes avec les mecs mais on avait de sérieuses difficultés à bien cadrer les selfies ! » A chaque époque son problème. Après tout, il y en a toujours, qu'on soit gamins, adolescents, adultes ou même proches de la retraite. Heureusement, ce visible souci de cadrage ne faisait pas partie des plus difficiles à vivre. C'était même plutôt drôle. « Tu sais quoi ? On devrait en reprendre une, là, maintenant, tout de suite. Avec la caméra frontale, on devrait s'en sortir, pas vrai ? On l'imprimera et on aura plus qu'à la mettre juste à côté avec une jolie légende du style... » Tu prends quelques secondes pour réfléchir. « Cinq ans après, nous avons pris notre revanche sur les cadrages râtés », tu t'exclames en écrivant dans les airs comme s'il s'agissait d'une affiche de cinéma. Vous pourriez même remplir un tout nouvel album photos si le coeur vous en disait. Après tout, le moment était tout à fait opportun.
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