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Alix Beauregard black opium de ysl JE RESSEMBLE À : scodders, ma meuf. CRÉDITS : balaclava (ava), anaëlle (sign). | Sujet: (M) DYLAN O'BRIEN 12/1/2018, 14:13 | |
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AMAURY NOM AU CHOIX
featuring dylan o'brien
NOM : au choix du moment qu'il s'agit d'un nom français. PRÉNOM : dans ma fiche, je l'ai appelé amaury, tout simplement parce que j'avais besoin de le nommer et que j'aime beaucoup ce prénom. je trouve qu'il colle parfaitement bien à la bouille de dylan donc je préférerais le garder. mais si vraiment vous avez un problème avec ce prénom, vous pouvez bien évidemment en changer. ÂGE : vingt-quatre ans (voire vingt-cinq si vous préférez). ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel, mais en galère permanente avec les filles. STATUT CIVIL : célibataire aux plans de drague plus que discutables malgré toute la bonne volonté du monde. ÉTUDES/MÉTIER : je vous laisse totalement libre quant aux études, mais il doit en faire puisque alix et amaury se sont connus à l'université. en revanche, il doit être vendeur quelque part en parallèle (magasin de disque/de jeux vidéos/d'antiquité, épicerie, librairie ou autre) pour pouvoir maintenir le lien avec @inès mendoza. vous avez le choix du moment qu' il mène un cursus universitaire. je l'imaginais bien dans un parcours scientifique et être sacrément doué en comparaison à toutes les autres matières, mais ce n'est qu'une idée. GROUPE ET RANG : au choix, mais je vous conseillerais l'hymne à l'amour ou salut les amoureux en ce qui concerne les groupes et eden de cacharel ou l'elixir de nina ricci en ce qui concerne les rangs. AVATAR : ma préférence pour ce rôle va à dylan o'brien parce que c'est à lui que j'ai pensé en créant ce scénario. donc effectivement j'aimerais rester sur ce choix.
les choses à savoir
01. au niveau du caractère, j'imaginais amaury très maladroit (autant dans ses attitudes que dans ses propos), imaginatif, drôle (malgré lui parfois), curieux, intelligent (même s'il a cette curieuse manie de se faire passer lui-même pour un idiot, allez savoir pourquoi), timide mais avenant, agréable, amusant, défaitiste (le moindre petit problème est synonyme de fin du monde pour lui, et il a tendance à tout tourner à la tragédie, ce qui est toujours très drôle vu de l'extérieur), intrépide, bavard, aventureux... libre à vous d'ajouter des traits de caractère au personnage et de modeler sa personnalité à votre façon en partant de cette base.
02. concernant l'histoire, elle est presque totalement libre (vous allez voir que le lien amaury/alix n'impose pas énormément de contraintes au niveau du passé du personnage). le seul point important, c'est que le père d'amaury est désormais le compagnon de la mère d'alix. je n'impose rien cependant en ce qui concerne le passé des parents du jeune homme : séparation, mère inconnue ou mort de cette dernière... je n'ai aucune exigence à ce sujet. amaury suit des études (au choix) à l'université puisque c'est à la bibliothèque universitaire qu'il a rencontré alix (mais vous aurez de plus amples explications un peu plus bas). pour le reste, it's up to you ! je préfère laisser une certaine liberté à la personne qui prendra ce scénario, c'est toujours plus facile pour s'approprier le personnage ouais j'suis trop géniale je sais.
le(s) petit(s) lien(s)
ALEXANDRINE BEAUREGARD. ( @alix beauregard) résumé explicatif à venir. - premier extrait :
T'es un rat de bibliothèque, on te l'a souvent dit. C'est rarement un compliment pourtant ; tu passes le plus clair de ton temps à confondre la fiction et la réalité de manière totalement consciente et délibérée. Au fond, il ne s'agit ni plus ni moins qu'un moyen de te rassurer, de te persuader que la vie n'est pas si misérable. Par chance, la bibliothèque universitaire est ouvert 24h/24 afin de permettre aux étudiants les plus courageux - ou alors les plus insomniaques - de travailler jusque tard le soir. La dévoreuse de livres que tu es a très rapidement appris à apprécier ce dispositif, probablement le seul et unique qui te plaise ici. Et puis, tu fais un peu partie de ces fameux insomniaques, justement. Les jours les plus difficiles, quand toutes tes forces ont déjà été épuisées dans le tourbillon harassant qu'est ta vie sordide, tu te bourres de somnifères comme le feraient d'autres âmes en peine avec de la pâte à tartiner ou n'importe quelle autre cochonnerie de ce genre. Lors des jours meilleurs, tu te réfugie ici. En règle générale, l'endroit est presque désert. Tu aimes entendre les pages de ton bouquin fendre l'air pour briser le silence le temps d'une fraction de seconde sinon moins. Tu aimes humer le parfum âcre et peu flatteur de certains ouvrages dont la jeunesse et l'odeur nouvelle ont fuit avec le temps. T'aimerais pouvoir faire pareil, toi. Fuir avec le temps. Tu clos tes paupières un instant. « Salut. » Tu n'ouvres pas les yeux. Tu n'ouvres pas la bouche. Tu espères que cette voix va s'en aller si tu le souhaites assez fort. « T'aurais cinq minutes ? Pour... discuter. » Tu permets finalement à tes paupières de dévoiler tes yeux, te laissant prendre conscience dans le même temps que cette fameuse voix ne vient pas de ton esprit parfois trop malicieux. Sourcils arqués, tu observes le jeune homme qui te fait face de manière inquisitrice mais sans trop d'intérêt pourtant. Pour toute réponse à sa question, tu te contentes de désigner de l'index la pancarte accrochée au mur juste derrière toi. Le garçon émet un rire nerveux, et ce n'est pas vraiment la réaction à laquelle tu t'attendais en réalité. « Ouais... je sais. Mais j'avais deux ou trois questions sur un dossier que je dois rendre dans exactement... » Il marque une courte pause, le temps de jeter un bref coup d'oeil à sa montre. « 7 heures et 42 minutes. » Un rictus s'apparentant davantage à une grimace déforme ses lèvres. Tu place l'une de tes mains entre deux parties de ton livre afin de marquer l'endroit où tu as été contrainte de t'arrêter, et le referme par dessus en attendant qu'il daigne terminer ses explications. « Et... en fait, t'es la seule que j'ai trouvée. » « Et tes deux potes là-bas qui nous observent de manière on ne peut plus discrète derrière l'étagère des romans historiques, ils ne peuvent pas t'aider par hasard ? » De façon peu assurée, il se retourne vers l'étagère en question comme pour signifier aux deux autres guignols que leur plan - ou qu'importe ce que cela puisse être d'autre - a lamentablement échoué. Tu esquisses un bref sourire machinal tandis que tu te replonges immédiatement dans ta lecture. A cet instant, tu as sincèrement pensé - à tort pourtant - que ton geste servirait de conclusion à cette piètre tentative d'approche. Ce ne fut pas le cas. « Bon.... la vérité c'est qu'ils m'ont en quelque sorte mis au défi de venir te parler. » « En quelque sorte ? » tu le questionnes en portant finalement ton attention sur lui à nouveau. Le jeune homme se masse nerveusement la nuque comme si ton seul regard avait le pouvoir de commander son état. « Ouais... parce que t'as l'air plutôt... sympa. » Tu es surprise par l'adjectif qu'il décide d'employer, doutant quelque peu de sa véracité. « Sympa ? » tu répètes doucement, incrédule. « Sauf erreur de ma part, on ne se connaît absolument pas toi et moi, alors... » « D'accord, c'est aussi parce que tu... t'es très jolie. » Tu n'es pas beaucoup plus convaincue de ta beauté que de la sympathie qu'il semble t'accorder bien volontiers, mais tu juges toutefois cet argument un peu plus honnête. « Et alors quoi ? Tu rêves de moi quand tu es tout seul dans ton lit, les mains sous la couverture ? » En l'espace de quelques secondes, tu as eu le temps d'observer tous les stades de décomposition de sa précédente expression faciale, et c'est si drôle que cela t'arrache un sourire. Léger, mais un sourire quand même. « Détends-toi, ça va... » tu tentes de le rassurer. Avec ou sans succès, tu n'arrives plus réellement à le déterminer. Il tente de répondre à ton sourire mais son visage est un peu crispé. Il joue nerveusement avec ses doigts tandis que son regard fuit délibérément le tien. On aurait presque pu croire à un enfant pris en faute. « Je m'appelle Alix. » Tu balances cette information un peu au hasard, sans raison apparente, si ce n'est celle de paraître au moins aussi sympa qu'il te pensait il y a encore quelques minutes. Les yeux du jeune homme s’écarquillent au fur et à mesure qu'il lève de nouveau son visage vers toi. « Je sais ! Enfin, j'veux dire, je... on me l'a dit. J'en ai entendu parler quoi... enfin... moi c'est Amaury. » Tu l'entends marmonner une insulte ou deux à son égard, visiblement peu réjoui par cette fichue spontanéité qui semble le caractériser. « Fait chier. » Il secoue la tête après s'être mordu la lèvre. « J'crois que... vaudrait mieux que j'y aille, parce que c'était pas une b... » « Et tes potes ? Ils risquent de t'humilier au moins pour les dix prochaines années, tu crois pas ? » Pour toute réponse, le jeune homme se contente d'hausser les épaules, comme s'il s'agissait là d'une habitude à laquelle il s'était plié depuis bien longtemps déjà. Tu aurais pu le deviner à travers toute cette maladresse qui émane si nettement de lui. Et il tourne les talons, ou du moins il est sur le point de le faire lorsque tu te lèves brusquement de la chaise que tu n'as pas quittée depuis tout à l'heure. Du bout des doigts, tu tends un petit bout de papier à Amaury sans lui préciser toutefois de quoi il s'agissait. « C'est pour pas que tu te tapes trop la honte. » Tu te rapproches doucement de lui et dépose un bref baiser sur sa joue, geste que tu justifie presque immédiatement. « Et ça, c'est pour que ce soit plus crédible. » Un semblant de sourire étire ses lèvres le temps d'une seconde ou deux, et c'est sans un mot qu'il s'éloigne pour retrouver ses deux camarades quelques tables plus loin. Sur le chemin, tu l'observes ouvrir le papier que tu lui as donné et lire le message qu'il contient : tu n'as qu'à leur dire que je t'ai donné mon numéro. Aucun numéro de téléphone ne suit le message pourtant... mais il sourit.
- second extrait :
Le couloir est désert, il y fait presque froid. Ou peut-être que ce sont les quelques vestiges de la discussion qui vient tout juste d'avoir lieu qui te glacent de l'intérieur. Jouer à la jeune femme forte que rien n'atteint, t'as l'habitude. Le souci, c'est que t'oublie trop souvent que la réalité est tout autre. Les sourcils froncés et les yeux rivés vers le sol, tu balaies le linoléum si peu classieux du regard tandis que tu laisses tes jambes te guider. Vers où ? Tu t'en fiches. Tu n'as pas l'esprit libre. Le chemin non plus visiblement. Tu manques de trébucher lorsque tu butes dans quelqu'un... ou que quelqu'un te bute dedans... enfin peu importe. « Oh, euh... je... » Tu recules d'un pas ou deux de manière machinale afin d'avoir une vue d'ensemble, et c'est le jeune homme de la bibliothèque qui se présente finalement à toi, ses grands gestes nerveux mais habituels accaparant alors l’entièreté de ton cadre visuel. « C'est pas possible, je vais finir par croire que tu me suis. » Sans attendre une quelconque réponse de sa part, tu reprends ta marche. Tu ne cherches même pas à savoir ce qu'il fait là. Pourtant, il te fait le récit de ses mésaventures lui-même, comme si tu l'attendais avec une hâte non dissimulée. « En réalité, je me suis fait convoquer moi aussi. » Du coin de l'oeil, tu le vois faire une légère grimace, tant et si bien que l'on pourrait croire qu'il n'était même pas au courant avant qu'il ne te le dise. « Apparemment j'aurais balancé des boulettes de papier en cours... Bon, c'est vrai, il s'avère que je l'ai fait, mais il s'agissait d'une expérience scientifique ! Une question de gravité... enfin, j'te passe les détails. Mais ça... évidemment, personne ne veut l'entendre ! » Tu l'écoutes à peine, bien qu'il te suive à la trace. Ses histoires, elles t'importent peu. « La direction du bureau, c'est dans l'autre sens. » Ta phrase est nette. Le ton que tu emploies presque glacial. Tu n'as aucunement l'intention de t'embarrasser de fioritures polies, encore moins maintenant. « Le truc c'est que... en attendant mon tour dans le couloir, j'ai entendu des bribes de conversations et... » Tu te retournes furieusement vers le jeune homme, prête à lui balancer toutes les insultes qui te seraient passées par la tête. Qu'on se mêle de tes problèmes et même de ta vie en général, ça te fait grincer des dents - et encore, ça, c'est quand t'es de bonne humeur. Amaury semble le remarquer plutôt rapidement puisqu'il tente aussitôt de se justifier. « J'ai entendu, d'accord ? J'ai pas écouté, j'te jure ! Mais faut bien avouer que le silence du couloir a eu grand mal à couvrir vos paroles... c'est normal, non ? » « Quoi ? Non... non, ça n'a rien de normal... Amaury ! » Tu insistes lourdement sur son prénom sans trop savoir pourquoi. Tu es hors de toi, sûrement plus que de raison, c'est vrai, mais tu n'as jamais eu la réputation d'être une personne mesurée de toute façon. « T'as pas le droit de te renseigner sur ma vie comme ça ! » « Eh, calme-toi... » Sa voix est anormalement posée, créant un contraste presque gênant entre lui et toi. Tu fronces machinalement les sourcils alors que tu te demandes ce qu'il peut bien te vouloir. Te parler... t'approcher... te tempérer... Il ferait mieux de se tenir à distance, comme tous les autres. Pour sûr, il y gagnerait. Et toi aussi. Parce que tu te fiches éperdument de ce garçon trop gentil qui s'impose à toi, comme ça. La seule compagnie que tu tolères, c'est celle de la solitude. « J'ai pensé que je pouvais peut-être t'aider... tu sais, pour les cours. » « J'ai pas besoin d'aide. » T'en as jamais eu besoin... du moins, officiellement. Tu n'as jamais accepté une main tendue, aussi bienveillante fut-elle. Il était hors de question que cela commence avec un parfait inconnu qui aurait pour seul mérite d'être un peu trop compatissant. Parce que "t'es jolie", à ce qu'il dit. Une motivation bien superficielle à ton goût. Quoi qu'il en soit, t'es plutôt du genre à n'accepter que ton propre soutien, il s'agit là de ta plus grande force, mais bien certainement aussi de ta plus grande faiblesse. « Je comprends que tu sois réticente, mais comme on a un peu discuté la dernière fois, j'ai cru que peut-être... » Tu le coupes dans son élan. « Que quoi ? J'ai discuté avec pas mal de gens dans ma vie... Alors crois-moi, ça ne veut absolument rien dire pour moi. » Le pire, c'est certainement de savoir au fond de toi à quel point ces propos sont vrai. Des gens, tu en vois des tas. Tous les jours. Tu en regarde certains, tu souris à d'autres. Tu parles à quelques chanceux, et tu ignores le reste. Ce genre de banalités affligeantes qui arrivent parfois à te faire croire que t'es un peu comme tout le monde au fond. Et tout ça, ça ne signifie rien. Tu finis tous par les oublier comme des rêves éphémères, des cauchemars fugaces. « Fais-moi une faveur, et fais-t'en une par la même occasion : laisse-moi tranquille. »
- troisième extrait :
Comme chaque fois, tu retournes passer le week-end chez ta mère. A cela près que ce week-end n'en est pas un comme les autres. Tu en as entendu parler tellement de fois au téléphone de cet homme qui lui a redonné le goût de vivre et tout un tas d'autres niaiseries du même genre. Mais elle semble heureuse alors tu ne la blâmes pas. Si seulement on t'avait tenue au courant du visage qui allait te faire face durant tout le dîner, il y aurait eu de fortes chances que ta chère mère se heurte à un refus clair et définitif de ta part. Tu l'entends encore avec sa voix guillerette : « Ma chérie, je te présente Philippe, mon nouveau compagnon. Et voici Amaury, son fils. » C'est parti Alix, c'est un jeu dangereux qui est sur le point de commencer. Mais c'est pas grave, parce que t'aimes te brûler, toi, jolie poupée, laissant à l'incandescence interminable de la vie ta propre chair devenue cendre.
(je vous invite à lire la totalité de la présentation d'alix ici si vous en avez la motivation. elle est un peu longue, j'en conviens, mais je pense qu'il n'y a rien de mieux pour cerner davantage le personnage d'alix) + pour ce qui est du reste, ce serait génial si vous pouviez lire la scène qui a été jouée avec le précédent amaury afin que vous puissiez situer la relation amaurix au mieux (le rp fait suite aux dernier extrait posté ci-dessus en spoiler) : c'est juste ici. INES MENDOZA. ( @inès mendoza) résumé explicatif à venir. |
| | | Alix Beauregard black opium de ysl JE RESSEMBLE À : scodders, ma meuf. CRÉDITS : balaclava (ava), anaëlle (sign). | Sujet: Re: (M) DYLAN O'BRIEN 12/1/2018, 14:27 | |
| petit message du créateur
/ bon déjà j'te tutoie maintenant parce que si t'es arrivé(e) jusque là, c'est qu'il se passe un truc entre nous tu vois. en plus ici c'est la famille donc on joue pas les bourgeois. du coup, j'te remercie d'ores et déjà d'avoir pris le temps de tout lire. mais en même temps, avoue que ça vaut le coup. il ne te reste plus qu'à t'inscrire. / l'avatar est difficilement négociable (voire pas du tout négociable si j'veux faire ma chieuse ). comme je l'ai précisé au dessus, j'ai créé ce scénario avec dylan en tête, il reste donc mon premier choix. néanmoins, ça reste plus ou moins discutable si vous ne pouvez pas voir la bouille de Dylan en peinture. je tiens quand même à préciser que je préfère que quelqu'un choisisse mon scénario pour le lien plutôt que pour l'avatar. / le lien n'est bien évidemment pas négociable en ce qui concerne ce qui est inscrit dans le scénario. par contre, pour ce qui est de l'avenir, j'suis prête à en discuter avec toi. j'adore quand les gens ramènent leurs fesses avec plein d'idées et de l'inspiration à revendre. personnellement, j'adore le drama et j'suis la reine du feeling. donc clairement, si ça passe, y'a d'l'avenir entre toi et moi tu vois. je précise quand même que si tu t'attends à c'que les deux se mettent ensemble en une seule scène, et à ce qu'il n'y ait pas de toxicité ni de chaotisme, c'pas un scénario pour toi. ce que j'aime, ce sont les liens plutôt compliqués (parce que c'est meilleur, tu l'sais au fond de toi ). moi ce que j'imagine, c'est autant d'attachement que de souffrance. ce s'ra un beau mélange, tqt. / concernant les rps en eux-mêmes, je ne demande rien d'autre que d'avoir assez de matière pour pouvoir répondre. je préfère la qualité à la quantité. certes, j'ai tendance à écrire beaucoup quand je suis lancée mais faut pas que ça t'effraie. je m'adapte sans problème donc change pas tes habitudes. du moment que le rp avance, qu'il est bien écrit et que je ne joue pas toute seule, le nombre de lignes m'importe peu. / au niveau de la présence, il va sans dire que j'veux surtout pas de membre fantôme. si le scénario t'intéresse, assure-toi d'avoir assez d'envie et de temps pour le jouer. j'suis capable de te poursuivre jusque dans les flammes de l'enfer tu sais. donc genre, ne t'inscris pas si c'est pour déserter quelques semaines plus tard stp. par contre, si t'es prêt(e) à t'investir autant dans le perso que sur le fo, viens direct, j'vais t'aimer. donc n'hésite pas à aller demander des liens aux autres membres, à flooder, à aller sur la cb et tout. c'est toujours plus agréable quand même (que ce soit pour toi, pour moi ou pour les autres membres). si vous le souhaitez, vous pouvez même créer les potes d'amaury en pré-liens, je me ferai un plaisir de les martyriser de jouer avec eux aussi ! quant aux rps, ne t'inquiète pas, tant qu'tu ne me fais pas attendre des mois et des mois, j'suis pas chiante. pas de pression sur ta p'tite tête d'amour. / j'crois avoir fait le tour mais de toute façon, je reste à ton entière disposition (qu'il vente, qu'il pleuve, qu'il neige ou que sais-je encore). tout c'que j'ai à dire c'est que t'as plus qu'à craquer. j'serai comblée et je vais te chouchouter.
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