NOM : Renard. En dépit des blagues de cour de récréation, il n'a jamais détesté son patronyme. C'est celui du paternel, pourtant, alors il devrait vouloir s'en détacher un peu mais c'est plus fort que lui, Renard ça lui plait bien, ça lui va bien. C'est un nom qui ouvre des portes, il le sait, bon pas autant que s'il s'était appelé Barclay mais quand même... Il devrait haïr l'idée d'être un fils de mais pour le moment, il en profite encore un peu. PRÉNOM : Louison. Le prénom est mixte, un peu rare aussi, pourtant contrairement à sa soeur Garance, lui avait un bol attitré lors des séjours dans la maison de vacances en Bretagne. ÂGE : 25 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 21 Juin 1992, comme un signe, comme le plus évident des augures. Dixième anniversaire de la fête de la musique et voilà qu'il pointe le bout de son nez. ORIGINES : L'arbre généalogique est solidement enraciné en France, à moitié à Paris, à moitié en province. Il n'en tire pas plus de fierté que de raison, ceci dit et ce sang Français n'est en aucun cas l'eau de vie d'un quelconque patriotisme véhément et intolérant. ORIENTATION SEXUELLE : bi, il l'assume en société, un peu moins en famille. STATUT CIVIL : coeur déchaîné, pas enchaîné. ÉTUDES/MÉTIER : Musicien, il chante et joue de la guitare dans un petit groupe qui fait un peu parler de lui. Officiellement, il fait encore des études, après avoir tergiversé, lâché la fac de droit puis une école de business, il est supposé terminer son diplôme d'architecture mais voilà, il peine à bosser, trop dissipé. PASSION(S) : La musique, la photographie, l'histoire, les gens, uc. GROUPE : un poison violent. RANG : black opium. PV, SCÉNARIO, PRÉ-LIEN OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé.

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CARACTÈRE : Il n'est pas difficile de l'imaginer arrogant. Avec son insouciance en bandoulière et ce s'en-foutisme apparent en guise de bouclier, Louison ressemble à un petit con immature. Des gars comme lui, il y en a des dizaines, adolescents insolents et irrévérencieux devenus jeunes hommes plein d'une assurance exaspérante. Il y a plus que ça, cependant, derrière son attitude. Louison, il est plein de doutes, il est perfectionniste et exigeant. C'est un type loyal et rancunier, il est jaloux, il est possessif. Louison, il aime avoir raison mais il aime aussi apprendre, il se braque vite, s'emporte facilement, ne sait pas s'exprimer autrement qu'avec de grands gestes, des coups dans les murs. Louison, il a parfois l'impression de ne pas avoir su grandir, d'être perdu, alors il affiche un sourire narquois et improvise, parce qu'il refuse qu'on le pense vulnérable. Louison, il est souvent anxieux, il en perd le sommeil, il a un problème avec l'alcool mais ne veut pas en parler. Louison, de toute façon, il ne sait pas parler, pas vraiment. Il refait le monde jusqu'au petit matin mais ce qu'il ressent, il ne sait l'exprimer que lorsqu'il le cache dans sa musique. Il est casse-cou, parce qu'il veut avoir l'impression de vivre, parce qu'il ne veut pas perdre son temps à être prudent... Il semble irresponsable mais il est souvent celui qui aident les autres, qui protège sa soeur. Louison, il est perdu entre une envie de rendre ses parents fiers et un besoin fou de s'émanciper. Il déteste les facilités et les privilèges qu'il a pu avoir, très conscient de tout ça, mais il se vexe quand on mentionne le fait qu'il n'est qu'un fils à papa aisé qui n'a jamais connu la moindre difficulté. Louison, il est de la génération 90, génération nouvelles technologies, des gamins nostalgiques d'une époque qu'ils n'ont pas vraiment pu connaître, des gosses perdus entre deux eaux, à la dérive mais toujours à flot.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Difficile de ne choisir qu'un seul endroit, ça dépend de son humeur, de son état d'ébriété... souvent, pourtant, il se retrouve à déambuler dans les passages près des Grands Boulevards. DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Insolente, fière et lunatique, c'est ainsi qu'il connaît la ville. 'Paris montre toujours les dents ; quand il ne gronde pas, il rit'. DÉCRIS L'AMOUR EN TROIS MOTS : Tumultueux, incandescent, fugace.

AVEC DES SI, ON METTRAIT PARIS EN BOUTEILLE. ET TOI, QUEL EST LE DETAIL QUI AURAIT PU CHANGER TA VIE ? S'il n'avait pas lâché ses études ou s'il avait trouvé le courage de dire au paternel qu'en fait, il n'était peut-être pas fait pour ça... S'il n'avait pas bu ce soir là, si ce chien n'avait pas traversé la route, si la voiture n'avait pas sauté la glissière de sécurité, si Enguerrand avait été attaché.

T'as 16 ans, tu penses tout comprendre, tout savoir. Tu réponds aux profs, tu te fais sortir de cours, tu te pointes défoncé au bahut mais c'est pas grave parce que t'as tes potes et c'est le seul truc important. Tu enchaînes les conquêtes, ça te donne des airs de dandy. Garance lève les yeux au ciel dès que tu fais une connerie mais tu l'aimes quand même, il faut dire que vous partagez tout depuis la naissance, de la famille au groupe de copains, vous seriez collés à la hanche que ça ne changerait rien. C'est ta petite soeur pourtant, quoi qu'elle en dise, peu importe à quel point elle insiste sur le fait que vous n'avez que quelques minutes d'écart, ça reste ton bébé et t'es prêt à casser la gueule au premier qui la traite comme toi tu traites les filles. Ironie, hypocrisie, un truc du genre, t'écoutes pas vraiment en cours de Français donc t'es pas foutu de mettre le doigt sur la bonne terminologie.

Viennent tes 18 ans et la fête du siècle, l'appart est blindé, la musique fait trembler les fenêtres. Le bac est passé, il ne reste que quelques oraux, vous attendez les résultats alors partout, ça se lâche, parce que d'ici quelques jours, certains n'auront plus le coeur à célébrer. Les plans sur la comète, les projets, l'avenir, ça semble terriblement loin, pour le moment il n'y a qu'une impression d'éternité avec cette bande de merdeux que tu connais depuis le collège. Gosses aisés, tous tirés d'établissements privés, camarades de classe ou rejetons d'amis de la famille. C'est comme un clan, une petite armée de chieur se pensant au dessus du monde, au dessus des lois.

19 années célébrées quelques mois plus tôt. T'as froid, t'as une couverture de survie sur les épaules mais t'as froid quand même. T'étais ivre il y a encore une heure mais l'impact t'as fait dessaouler très vite. T'as du sang sur toi mais ce n'est pas le tien. Un peu plus loin, Garance pleure, elle est au téléphone, elle n'arrête pas de s'excuser. T'as pas besoin d'entendre un nom pour savoir qu'elle parle aux parents d'Enguerrand. Vous êtes perdus au milieu de la campagne bretonne, c'était la bonne idée, jouer aux grands et passer un weekend dans la maison de vacances familiale... Vous n'auriez pas du sortir, vous auriez pu boire dans le salon... T'aurais pas du boire, t'aurais pas du conduire, tu pensais gérer, sauf que non. Non, tu gères pas, tu fais juste semblant et quand ce foutu clébard à traversé la route, t'as juste foutu un coup de volant sans réfléchir, envoyant la bagnole dans le décor. Enguerrand, ton meilleur pote, il est mort sur le coup, c'est ce que les pompiers ont dit, avant de s'affairer à l'extraire du pare-brise qu'il a traversé après le premier tonneau. Tu trembles, t'as envie de gerber, t'as envie d'être à sa place. Tu ravales tout ça, juste à temps pour attraper Garance, qui s'écroule en sanglotant, articulant tant bien que mal qu'elle doit appeler Héloïse, la soeur du défunt, sa meilleure amie à elle.

Les partiels approchent, les répétitions s'enchaînent. Les révisions, elles, passent à la trappe, t'es trop souvent dans le brouillard pour y penser. Tu tombes de ton lit alors que le soleil est déjà au zénith, tu tournes au café, au redbull, à la bière, tu fumes clope sur clope. On t'accuse de cultiver un côté destroy, pour l'aesthetic, on te traite de poseur. La vérité, c'est que t'as pas la tête à prendre le monde réel sérieusement. Tu te réfugies dans la musique et la musique t'accepte. T'as ton groupe, tes potes, vos fans, les concerts dans les bars, les vidéos postés sur YouTube, les teasers balancés sur Soundcloud. T'es pas sûr que ça puisse t'amener quelque part mais t'as envie d'y croire, plus que t'as pu croire aux études que t'as planté. Le fait est que tu vas mal et que tu fais de ton mieux pour avancer, pour faire un truc qui te motive, te plait, tant pis si tu te fais juger, pas vrai ?

Dans la foule, tu vois Garance, parce qu'elle est toujours là et puis à côté d'elle,
les bras croisés, le regard noir, il y a Héloïse. Tu lui as volé son frère et elle te regarde comme si t'étais en train de foutre ta vie en l'air au lieu d'en faire quelque chose pour honorer Enguerrand. Héloïse, tu lui as pas vraiment parlé depuis l'accident, faut dire qu'elle a changé et toi aussi et qu'à chaque fois que vous vous croisez, vous arrivez juste à vous engueuler. Tu peux pas lui en vouloir, mais au fond t'es quand même amer, elle est pas la seule à subir le deuil,
l'absence, tout ça. Elle peut te mitrailler du regard, c'est rien en comparaison aux nuits que tu passes éveillé, au mal que tu peux te faire... Sauf que ça, elle ne le sait pas, parce que tout ce qu'elle voit, c'est un merdeux qui gueule dans un micro et fait monter des groupies sur scène. Tout ce qu'elle voit, c'est à quel point elle a raison de te haïr et de ne voir en toi qu'un sale con égoïste et irresponsable.

PSEUDO/PRÉNOM : jus d'orage, marie. ÂGE : la vingtaine. SEXE : f. VILLE : haha, campagne profonde. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : besoin maladif d'écrire, coup de foudre pour le forum. COMMENT AS-TU CONNU LVER ? : bazzart. FRÉQUENCE DE CONNEXION : aussi souvent que possible. UN DERNIER MOT ? endive.

BIENVENUE - Bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris !    Maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité mais pas trop quand même.      

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LES PETITS TRUCS A SAVOIR - Si tu débarques en solitaire mais que tu es pressé(e) de jouer parmi nous parce que tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien    - tu peux aller faire une demande de rp arrangé, le staff se chargera de te concocter une petite scène avec un autre membre. Mais n'hésite pas à aller te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur liste de liens et de rps !   T'as vu comme tout le monde est mignon ici ?   Alors ne perds pas une seconde et vas sauter à pieds joints dans le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. Et ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlins, et on les aide à s'intégrer grâce aux mini-floods.   Du coup, tu peux dès maintenant te rendre dans ton mini-flood de groupe et ton mini-flood de rang pour rencontrer quelques membres et jouer les commères papoter un peu.    

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EN CE MOMENT SUR "LA VIE EN ROSE" - La partie "réalité alternative" a (enfin) été mise en place.   Alors si tu es tenté(e) de découvrir ce que serait le présent/futur de ton personnage sous différentes hypothèses, c'est dans cette zone qu'il faut aller.  

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LE PETIT MOT DE LA FIN - Si tu nous aimes aussi fort qu'on t'aime, tu peux voter pour nous et nous faire un peu de pub, on te fera des crêpes pour te remercier !    On est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi (en plus des crêpes, bien sûr). En attendant, amuse-toi bien parmi nous !