NOM : bianchi, nom de son père bien qu'elle ne le voit que pendant les vacances depuis qu'elle a quitté l'italie. PRÉNOM : reva, assez commun de là où elle vient, ici en france elle porte juste un verbe conjugé comme prénom. SURNOM : aucun, son prénom est suffisamment étrange comme ça. ÂGE : vingt-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : née un vingt-et-un aout dix-neuf-cents quatre-vingt-treize à rome en italie. ORIGINES : sans surprise, reva est une italienne, avec tout ce que celà implique, même si elle ne va plus en italie que pour y passer des vacances et raviver son italien qui se rouille parfois. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. STATUT CIVIL : célibataire, les jours impairs, option amour d'été. ÉTUDES/MÉTIER : elle a fait des études de journalisme, depuis le mois d'octobre elle travaille dans un journal et s'occupe de combler les vides des pages avec des petites chroniques diverses. PASSION(S) : l'actualité, la peinture, les sacs de marques, les chaussures de marques, la patisserie, les toits de paris, les vitrines de noël, les vacances en italie... GROUPE : eden de cacharel. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : pré-lien copine de candice decelle.

CARACTÈRE : italienne dans l'âme - têtue - colérique - attachante - franche - capricieuse - indépendante - fière - débrouillarde - intrépide - séduisante - dépensière - tête en l'air - positive - maligne - affectueuse TICS ET TOCS : joue avec ses cheveux quand elle est stressée - insulte uniquement en italien, pour que ça paraissent moins agressif - se lave les mains douze fois par jour - passe toutes ses vacances dans la maison de son père en italie, avec sa nouvelle femme (qui a deux ans de plus que reva) - a validé un bac littéraire - aucun don en cuisine - déteste les mecs qui se la joue - ne va jamais en boite de nuit - ne s'endort jamais avant deux heures du matin à cause d'un problème d'insomnie - a passé un mois à ste anne pour soigner une dépression - deux frères qu'elle voit les 36 du mois - n'a jamais quitté l'europe - a une idée bien personnelle "d'être à l'heure" c'est à dire avec minimum un quart d'heure de retard - peu rendre la vie des gens un enfer si elle ne vous aime pas - déteste son prénom en france dont on se moque - elle fait de la peinture mais n'a jamais montré les tableaux à qui que ce soit, ils sont caché dans une pièce fermée de son appartement - on la voit souvent avec de la peinture sur le visage ou sur les mains - elle s'est prise d'affection pour le luxe, seulement pour emmerder son père et dépenser tout son argent - elle est assez ouverte d'esprit pour ne pas juger au premier regard, mais sa première impression est souvent la bonne - elle rêve d'avoir une chronique à son nom plutôt que combler les vides quand le journal en a besoin

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? son appartement à montmartre, en bas de chez elle il y a un petit café et elle voit la vie qui défile depuis son salon. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? la vie à mille a l'heure, paris l'été quand ça se vide, se dire que tout est possible. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? les centaines de gens qu'on croise chaque jour sans les connaitre et sans jamais les revoir, la tristesse du matin parisien. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : lumineuse, cosmopolite, débordante.

« tu avais dit que tu reviendrais cet hiver… » une ombre se dressait devant elle, dans un français approximatif et un accent italien à tomber. elle fit glisser ses lunettes de soleil sur le bout de son nez. nino. derrière lui, quelques arbres et surtout, majestueux : le colisée. elle était arrivée à rome quelques heures plus tôt. elle avait quitté ses fringues parisiennes pour se glisser dans une petite robe en mousseline bleue claire. après quelques minutes de politesse avec son père, elle avait rejoins son café préféré, avec vue sur le monument, qu’elle pouvait regarder pendant plusieurs heures sans se lasser. ces deux mois estivaux en italie pouvaient être un calvaire, à supporter son père, mais reva pouvait faire un effort si ça lui permettait de profiter l’air romain. « reva ? » elle sortit de ses pensées et plongea son regard dans celui de nino qui s’installait à sa table. elle tenta au mieux de masquer son agacement. il n’avait pas demandé l’autorisation. « pourquoi tu n’es pas revenue ? » elle était touchée de voir qu’il continuait d’apprendre le français. en toute modestie, elle savait que c’était pour elle. elle lui avait appris ses premiers mots dans la langue de molière l’été précédent, alors qu’ils étaient emmêlés dans des draps blancs, enlacés et encore transpirants de leurs ébats. « j’ai beaucoup travaillé, c’était compliqué pour moi de revenir. » elle tenta, sachant que ça ne fonctionnerait pas. nino hocha la tête. « et c’était compliqué aussi de téléphoner. » il constata. reva baissa la tête. « pardon. » elle se contenta de dire. pouvait-elle lui dire qu’elle n’avait pas pensé à lui ? qu’elle l’avait oublié dans d’autres bras ? non, nino n’aurait pu le supporter. « comment tu savais que je serais là ? » elle demanda, intriguée. nino sourit, gêné. « j’ai demandé à ton père quand tu arrivais. je savais que tu finirais ici. je suis là depuis que tu t'es installée, je t'ai laissé commander avant de te rejoindre. » il expliqua. reva ricana doucement, elle était si prévisible. elle était aussi honteuse, elle avait oublié nino et lui la connaissait par cœur. c’était cruel. « nino, écoute… il s’est passé toute une année… je… je suis désolée… » il l’interrompit. « je me doute que ne m’a pas attendu. » elle se vexa, alors qu’il disait la vérité. « je te pardonne. si tu me laisse cet été pour te convaincre. » reva plissa les yeux. « me convaincre de quoi ? » nino se leva et tendit le bras pour qu’elle le suive. « que je t’ai pas demandé en mariage quand on avait douze ans, par hasard. » il rit. reva sourit à son tour. elle lui pris la main. c’était monstrueux, son cœur était ailleurs, à paris, mais elle ne pouvait s’empêcher de vouloir profiter de cet été romain avec nino.

septembre et l’automne semblait s’installer sur paris, elle le voyait depuis le hublot de l’avion. elle frissonnait déjà. elle adorait sa vie à paris. pourtant, l’idée de retrouver sa vie quotidienne après tout un été au chaud dans la peau de d’une romantique italienne, lui semblait bien fade. elle remit son petit gilet chair sur ses épaules descendit de l’avion. elle traversa le terminal et remarqua une main qui lui faisait signe. un sourire se dessina sur ses lèvres. elle percha ses lunettes de soleil sur son crâne et s’avança. « je savais pas que tu viendrais me chercher ! » il la serra dans ses bras et embrassa son front, descendant doucement sur sa joue, le loing de sa mâchoire, avant de s’installer contre ses lèvres. reva passa ses bras autour de lui et profita de ce baiser. pendant une seconde, nino et sa déclaration enflammée à l’aéroport lui revint en mémoire. mais alors que julien glissait ses mains sous son tee-shirt, nino disparu. elle s’en voulait. mais elle ne mentait qu’à nino, finalement. julien et elle n’étaient pas ensemble. et elle ne reverrait pas nino avant l’été prochain. elle avait toute une année pour trouver une solution. et candice. candice pourrait l’aider. « tu veux qu’on se fasse un truc ce soir ? » demanda julien en quittant ses lèvres ? « il faut que je range mes affaires et je commence mon job au journal dans moins d’un mois… il faut que je commence à m’organiser… mais, demain, si tu veux ? » julien hocha la tête. il n’insistait jamais. il savait quand reva n’avait pas envie de parler. c’était l’avantage avec lui. nino, lui, cherchait toujours le pourquoi du comment. elle le revoyait lui demander de l’épouser avant qu’elle monte dans l’avion. techniquement c’était sa deuxième demande en mariage. techniquement, c’était la deuxième fois que reva l’esquivait. un jour, elle devrait lui dire… lui dire qu’elle n’était pas amoureuse de lui. lui dire que l’italie n’était que des vacances pour elle. que sa vie était ici, à paris. nino ne quitterait jamais rome, elle le savait. ils n’étaient pas faits pour s’aimer. nino mettait juste un peu de temps à le comprendre. reva était sur le sol français depuis moins d’une heure et elle était déjà dans les bras d’un autre…

PSEUDO/PRÉNOM : breakfast club. / romane. ÂGE : vingt-quatre ans. SEXE : jsais pas. VILLE : france. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : vous êtes beaux ! COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : publicité bazzart entre autres. FRÉQUENCE DE CONNEXION : c'est la première fois que je me réinscris sur un forum depuis 3 mois, alors je sais pas trop encore... UN DERNIER MOT ?    

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !