Aygaëlle Courrèges Pff les gars, vous êtes cons. Aby c'est une meuf sympa, mais voilà, il pourra jamais rien se passer entre nous. Elle se la joue un peu comme un bohomme avec ses looks de soigneurs au zoo. Et puis on va pas se mentir, elle a une aussi bonne descente de bière que moi. C'est pas possible ! Comment ça vous y croyez pas ? Je m'en fiche moi de ce que vous pensez. On s'est rencontrés dès mon arrivée au Zoo, le courant est rapidement passé (et normal, quand on voit un peu le caractère trempé, pas sa langue dans sa poche tout ça). Les longues soirées passées à regarder le sort à la télé, ou des films d'auteurs y sont pour beaucoup. Nous sommes devenus amis. Des vrais, à se battre dans le salon pour avoir la télécommande, ou jouer au catch dans les couloirs du travail -devant les chefs, oui oui. Pourtant, elle a su qui j'étais il y a très peu de temps... Et tout a changé. Mais ça, c'était surtout après que nous nous soyions un peu... trop rapprochés. C'est pas mon style de fille. Vraiment pas. Elle n'a rien à voir avec toutes les autres. En plus, j'ai découvert qu'elle n'était pas n'importe qui (même si, clairement, je m'en fiche aussi). En fait, elle n'a aucune importance pour moi, ma vie serait la même si elle me faisait le gueule.
Alors pourquoi ça me fait chier qu'elle me tourne le dos pour un truc que nous avons fait tous les deux, en étant conscients et d'accord ? Pourquoi est-ce que j'ai envie de l'avoir près de moi ? Pourquoi est-ce que Gabrielle continue à me sourire quand Aby apparaît ?

JAMIE CAMPBELL BOWER, MON AMOUR a une table sur ma gauche y avait un groupe de filles dont une qui m'a tout de suite plu elle était un peu mate de peau mais avec des cheveux châtains clairs ou blonds foncés je sais jamais mais surtout elle avait l'air douce bienveillante et sereine comme si elle avait pas renoncé à rien comme si elle avait jamais douté de la beauté du monde ni de celles des hommes je me suis fait quelques films osés mais jolis restait tout de même à établir le contact ce qui est impossible à faire en réalité on nous le fait croire dans les films mais c'est une vaste arnaque ca m'est retombé dessus d'un coup je me suis senti seul triste et fatigué j'y arrive pas sans toi j'arrive plus à encaisser comment est-ce que ça va se finir ? comment est-ce que je vais faire ? j'ai besoin de toi comme d'une infirmière que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien que tu refasses mes stocks de sérotonine que tu me dises que c'est rien j'ai compris que tu voulais pas de moi pour l'instant mais je me force à croire qu'avec du temps tu changes d'avis et dans mes nuits je rêve encore que tu m'emmènes danser jusqu'au matin sur la musique on va on vient on s'éloigne et on revient puis tu t'élances et je te tiens je te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi[/i]

JAMIE CAMPBELL BOWER, MON AMOUR a une table sur ma gauche y avait un groupe de filles dont une qui m'a tout de suite plu elle était un peu mate de peau mais avec des cheveux châtains clairs ou blonds foncés je sais jamais mais surtout elle avait l'air douce bienveillante et sereine comme si elle avait pas renoncé à rien comme si elle avait jamais douté de la beauté du monde ni de celles des hommes je me suis fait quelques films osés mais jolis restait tout de même à établir le contact ce qui est impossible à faire en réalité on nous le fait croire dans les films mais c'est une vaste arnaque ca m'est retombé dessus d'un coup je me suis senti seul triste et fatigué j'y arrive pas sans toi j'arrive plus à encaisser comment est-ce que ça va se finir ? comment est-ce que je vais faire ? j'ai besoin de toi comme d'une infirmière que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien que tu refasses mes stocks de sérotonine que tu me dises que c'est rien j'ai compris que tu voulais pas de moi pour l'instant mais je me force à croire qu'avec du temps tu changes d'avis et dans mes nuits je rêve encore que tu m'emmènes danser jusqu'au matin sur la musique on va on vient on s'éloigne et on revient puis tu t'élances et je te tiens je te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi ◊ © icon: ici

JAMIE CAMPBELL BOWER, MON AMOUR a une table sur ma gauche y avait un groupe de filles dont une qui m'a tout de suite plu elle était un peu mate de peau mais avec des cheveux châtains clairs ou blonds foncés je sais jamais mais surtout elle avait l'air douce bienveillante et sereine comme si elle avait pas renoncé à rien comme si elle avait jamais douté de la beauté du monde ni de celles des hommes je me suis fait quelques films osés mais jolis restait tout de même à établir le contact ce qui est impossible à faire en réalité on nous le fait croire dans les films mais c'est une vaste arnaque ca m'est retombé dessus d'un coup je me suis senti seul triste et fatigué j'y arrive pas sans toi j'arrive plus à encaisser comment est-ce que ça va se finir ? comment est-ce que je vais faire ? j'ai besoin de toi comme d'une infirmière que tu répares ma tête et mes sentiments qui fonctionnent plus bien que tu refasses mes stocks de sérotonine que tu me dises que c'est rien j'ai compris que tu voulais pas de moi pour l'instant mais je me force à croire qu'avec du temps tu changes d'avis et dans mes nuits je rêve encore que tu m'emmènes danser jusqu'au matin sur la musique on va on vient on s'éloigne et on revient puis tu t'élances et je te tiens je te retiens du bout des doigts pour te ramener contre moi ◊ © icon: ici