NOM : Hardy. L'échec, la haine, le dégoût, les regrets... Tous ça est synonyme de ce nom qui lui donne envie de vomir, un nom qui l'a complètement brisé et qui lui colle à la peau depuis sa procréation. Dont elle ne rêve que d'éradiquer de son existence à tout jamais, comme un mirage qui s'envolerait dans une seconde de lucidité. PRÉNOM : Cloé. La douceur et la pureté d'un prénom, représentant à la perfection la sensibilité de cette jeune âme égarée. L'unique chose lui apportant un peu de fierté dans son identité, l'unique chose qu'elle porte avec un minimum de fierté, l'unique chose lui correspondant totalement. SURNOM : Bien trop complexe est-elle pour posséder un surnom, possédant un prénom déjà bien trop court ou est-ce qu'elle n'a jamais connu quelqu'un qui s'est déjà donné la peine de chercher un petit nom affectif à son égard. ÂGE : Seize ans et dans peu de temps dix-sept ans, l'âge de la crise d'adolescence, de la découverte de soit. Ou le monde semble est contre nous et où on enchaîne les conneries sans réfléchir une seule seconde aux conséquences de nos actes. Sauf pour Cloé, cela signifie seulement que bientôt elle pourra être libre. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : C'est le neuf décembre mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf que la brune a expiré son premier soupir dans ce vaste monde qu'est la terre, cela dans la jolie capitale de la France nommée Paris. Mais qui s'y intéresse sérieusement ? ORIGINES : D'après les dires de ses géniteurs, elle serait d'origine française avec une touche de serbe et d'italien. Cependant quand on voit son jolie minois, on ne remarque que le sang français coulant dans ses veines. ORIENTATION SEXUELLE : Peut-être hétérosexuelle, homosexuelle ou bisexuelle, elle ne saurait pas vous répondre si vous lui demandez. Elle n'y a jamais fait attention et n'en n'avait pas vraiment l'envie. STATUT CIVIL : Célibataire. L'amour ? Ça blesse, ça vous faire pleurer et vous rend complètement dingue. Cloé, elle n'est jamais tombée dans ce mystérieux phénomène qu'est l'amour, c'est trop imprévisible et rempli d'amertume pour elle, elle n'en veut pas. ÉTUDES/MÉTIER : Tout ce qu'il y a de plus banale au monde, lycéenne dans un petit lycée de banlieue où elle étudie en filière économique et social. Puis il n'est pas rare qu'elle fasse un peu de baby-sitting ou qu'elle se trouve des petits boulots par ci et par là. PASSION(S) : Elle mange, elle respire, elle vit pour la danse du style classique. Cette passion rythmant sa vie d'une douce mélodie mélancolique, lui permettant de trouver un refuge à tous ses problèmes. GROUPE : l'élixir de nina ricci. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : Lien pré-défini de Florian !

CARACTÈRE : Cloé, elle est douce. Douce dans ses paroles, dans ses gestes, dans sa façon d'être. Une douceur constante semblant éternel. Elle est cette petite douceur qui apaise les maux du monde entier, qui donne envie de la protéger de chaque petite bricole pouvant effacer cette infime délicatesse. Dotée d'une gentillesse débordante, elle semble incapable de s'énerver ou d'en vouloir à quelqu'un. Dit-on pas que le pardon est chose difficile à obtenir ? Cela ne fonctionne pas avec la brunette, tous est pardonnable à ses yeux. Mais rien n'est oubliable, elle possède une très bonne mémoire et n'oublie jamais les propos et gestes que les gens ont à son égard. La rancune n'est pas un de ses défauts mais la naïveté sûrement son plus gros, elle a toujours au fond de son être que tout peu changer, qu'il suffit seulement d'une petite chose pour que tout deviennent comme par miracle différent. Un esprit un peu trop rêveur mais, pouvons-nous lui en vouloir de rêver lorsque son enfance n'a été rythmé que par ses cauchemars ? Brisée, complètement. Cloé sait que le monde n'est pas tout noir ou tout blanc, qu'il possède sa nuance de gris qui le rend tellement terne et triste, pourtant elle sourit, rit, vit chaque jour plus intensément que le précédent. Elle a cette joie de vivre qui égaie la journée des personnes l'entourant, sette petite phrase humoristique qui fait rire tout le monde et des valeurs qui font d'elle une amie fidèle. Cloé, elle est adorable, honnête, drôle mais silencieuse. Se plaindre, elle ne l'a jamais fait, gardant tout au fin fond de son cœur et regardant impuissante son monde s’effondrer sous ses prunelles brunes. TICS ET TOCS : Comme tout le monde, elle possède ses manies, ses tics et ses tocs. Elle est quelqu'un avec des passions et des rêves, des coups de coeur et des coups de gueule, des envies et des peurs. Tandis que certains rêvent de devenir milliardaires, de se balader dans des robes coûtant le prix d'une maison ou de devenir célèbre. Cloé, elle, elle rêve de danser autant qu'elle le souhaiterait, matin, midi et soir. Jusqu'à l'épuisement, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus déposer pied à terre. Et divers tocs, divers tics, apparaissent et disparaissent et définissent très spécifiquement la jeune femme. Elle a cette agaçante habitude de bouger sa jambe nerveusement lorsqu'elle est assise et que le stress s’empare légèrement de sa personne. Puis elle aime balancer ses cheveux en arrière, à droite ou à gauche, même si cela lui donne parfois un air légèrement superficiel aux yeux des autres. Il lui arrive de rester des heures à fixer les étoiles qui illuminent le ciel de l'obscurité de la nuit, et dans ces moments là, elle se perd complètement dans ses pensées jusqu'à s'endormir avec la froideur de la nuit. Mais ce qui agace certainement le plus les gens, c'est qu'au fond, Cloé aurait aimé rester cette enfant insouciante qu'elle était gamine, et comme-ci cela l'aidait à retourner à cette époque, elle regarde divers films Disney ou des dessins animés, il n'est pas rare de l'entendre fredonner un air d'une chanson disney. Au fond, telle une enfant de cinq ans, elle a peur de choses complètement stupides comme de l'orage grondant dans la nuit ou de ses petits insectes qui s'approcherait un peu trop près d'elle, même si celle-ci semble aussi inoffensive que des mouches. Mais on ne contrôle pas ce genre de choses qui définissent notre personne.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Le studio de danse où je peux danser à ma guise. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Le tourisme, Paris est une des villes les plus visités dans le monde et je trouve ça fantastiques qu'un simple endroit engendre autant d'admiration des touristes. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Le métro, j'ai vraiment horreur de ça. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Attractive. Surprenante. Magique.

THREE YEARS ▬ Un rire d'enfant éclairait d'une douceur infinie la pièce, créant le sourire d'un père et d'une mère et engendrant le rire d'un deuxième enfant. La petite brunette riait aux éclats à cause des chatouilles que lui faisait son frère aîné. Et ce simple rire était la cause de la joie émanant de ce petit salon. Sa mère se leva du canapé où elle était confortablement installée et sortit de la pièce, sous le regard interrogatif du gamin âgé de six ans. Un moment d'inattention qui suffit à Cloé pour s'échapper des griffes de son grand frère et courir jusque vers son père, lui sautant littéralement au cou. Un petit rire s'échappa des lèvres du père qui serra sa fille, sa petite princesse, dans ses bras. Quant au petit garçon, il lâcha un hoquet de surprise et courra à son tour vers son père pour tenter de torturer à nouveau sa cadette. « Une photo ? » Lâcha soudainement la mère de la maison revenue avec un appareil entre les mains, ccoupant court aux rires des deux enfants et au sourire taquin du géniteur. La fillette fut la première à réagir en se posant rapidement sur les genoux de son père, tirant la langue au garçon qui commençait à bouder. Puis il s'installa sur les genoux de sa mère qui s'était installée de nouveau sur le canapé. Et la photo fut prise, non sans difficulté. Les enfants souriaient de toutes leurs dents et les parents semblaient fiers de leurs progénitures. Mais comment Cloé aurait-elle pu se douter que plus jamais cela ne se reproduirait ? Que c'était la dernière photo de cette famille semblant si unie ?

FOUR YEARS ▬ Dos à la porte de sa chambre, ses frêles mains étaient plaquées contre ses oreilles, et elle fermait fermement les yeux et n'espérait qu'une seule chose, ne plus entendre les hurlements de ses parents. Elle ne voulait pas les entendre une énième fois. Pas encore. Et qu'est-ce qu'elle aimerait pouvoir disparaître le temps d'une seconde et s'éloigner des cris stridents de sa mère et des rugissements ardents de son père. Quelques morceaux de la dispute parvenaient à ses oreilles mais, elle était bien trop petite pour comprendre le sens des paroles qu'ils se lançaient. Des pas se firent entendre, s'approchant dangereusement de sa chambre. Sans perdre une seconde, la petite fille courrait jusqu'à son lit et se cacha sous la couette. Complètement terrifiée à l'idée de ce qui pourrait se produire si son père découvrait qu'elle n'avait pas encore rejoint l'innocence du pays des rêves. Elle ferma fermement les yeux et tenta de faire semblant de dormir lorsqu'un grincement de porte résonna dans sa chambre. Les pas lourds s'approchaient lentement d'elle et sa couette se souleva laissant apparaître la brunette qui avait ses mains contre ses oreilles et les yeux clos. « Je sais que tu ne dors pas... » Le son de cette voix lui était familier et elle savait que c'était son paternel qui était dans la pièce à ses côtés. Il posa doucement sa main dans ses cheveux bruns, chose qui eut l'effet de lui faire ouvrir doucement les yeux. Chose qu'elle regretta en voyant le regard de son père remplie de colère, et une touche de haine ? Son père lui attrapa violemment le bras et la fit sortir de son lit avec une violence sans pareil. « Aie ! » Lâcha-t-elle pour prouver à son père qui lui avait fait mal, de petites larmes se formant sous ses prunelles brunes. « Maman n'a pas été très sage, tu sais ? Toi, tu vas être sage, hein ? » Le ton de sa voix donna un long frisson à Cloé qui se contenta de hocher la tête, en affirmation. « Je n'ai pas entendu ! » Et le premier coup partit. Elle s'effondra sur le sol comme une simple poupée de chiffon. « Tu vas être sage, Cloé ? » Demanda-t-il à nouveau, s'approchant d'elle avec un regard mauvais. La petite fille tenta de s'enfuir, complètement terroriser par la violence soudaine de son père. Très vite, il la rattrapa et la plaqua au sol avec agressivité. Et le deuxième coup venu. Puis le troisième. S'en suivit d'une ribambelle d'autres coups. Sa mère était dans l'encadrement de la porte, fixant la scène avec horreur mais n'osant l'interrompre, peur d'être à la place de celle qu'elle était censée protéger contre le monde entier. Parce que c'était ce qu'était censée faire une mère, sauf celle-ci. Et tout commença par cette simple soirée où Cloé ne s'était pas endormie à temps.

THIRTEEN YEARS ▬ La musique emplissait la pièce, rythmant chacun de ses mouvements. Ses yeux clos, elle se laissa emporter par cette douce mélodie qui la transportait dans un autre monde. Un monde où tout était plus beau, où sa vie était différente. Une vie où elle n'était pas le souffre-douleur de son père dès qu'un excès de colère le prenait, où sa mère ne regardait pas chaque jour la scène sans oser bouger un seul orteil, où son frère n'était pas un égoïste fêtard et la protégait de son géniteur. Une vie où elle n'était pas juste un jouet, où elle n'était pas considéré comme un poids, une bouche à nourrir en trop dans cette soudaine pauvreté, où elle osait combattre son père, où elle n'était pas manipulée par un simple "je t'aime" qui n'était qu'un tissu de mensonges. Mais cela était impossible, sans espoir. Alors, elle danse. Elle danse jusqu'à oublier cette vie qu'on lui a offert, jusqu'à l'évanouissement. Et cela lui fait du bien, enchaînant pas sur pas sans arrêt, sans attraper le tournis et se concentrant seulement sur la musique. C'est tout ce qu'elle souhaite, oublier de rentrer le soir et danser jusqu'à ce que la mort l'emmène dans ce monde que les gens pensent meilleur. Parce que son cœur est cassé et son âme brisée, comme une poupée qu'on aurait trop manipulée. Une simple poupée, voilà ce qu'est Cloé, un vulgaire jouet qu'on remplace une fois qu'il est bon à jeter.

SIXTENN YEARS ▬ « Vous avez un frère. » Madame Hardy avait lâcher cette nouvelle soudainement. Comme-ci elle parlait de la pluie et du beau temps. Comme-ci cela n'avait aucune importance. La brunette leva la tête de son bouquin et fixa sa génitrice, croyant à une blague. Oui, elle avait un frère, qui se trouvait actuellement à ses côtés. « Qu'est-ce que tu racontes ? » Lâcha justement celui-ci, avec son éternel inintéressement. « C'est plutôt un demi-frère, en vérité. Avant votre père, j'étais mariée et j'ai aussi eu un fils. » Cloé fixait celle qui lui avait donné naissance, nageant dans l'incompréhension pure, ne comprenant pas cette soudaine révélation. Puis celle-ci leur passa un magasine people parlant des footballeurs du PSG. En couverture, il y avait un jeune homme qui devait avoir la vingtaine minimum. « Il s'appelle Florian Juliard. Et c'est votre demi-frère, il joue au PSG. » L'aîné de la famille se leva soudainement répugné par cette révélation. « Et tu as continué de l'élever en secret ? » Demanda-t-il avec du dégoût dans la voix. Quant à la jeune fille, elle se taisait. Aucun mot ne pouvant décrire ce qu'elle ressentait en ce moment même. « Je l'ai abandonné. » Ce fut la phrase qui la fit réagir. Dire qu'elle était surprise était un euphémisme, elle était ahurir d'apprendre cela. À croire que sa mère était douée pour abandonner ses enfants, chacun leur tour mais de différente manière. « J'aimerai le revoir, voir l'homme qui est devenu. » De la fierté se reflétait dans la voix de la mère de famille. Et cela répugna, pour la première fois la douce Cloé cassant complètement cette douceur habituelle. Elle ferma son bouquin, attirant deux paires d'yeux sur sa présence, ils l'avaient presque oublié. « Pourquoi ? Tu sembles être doué pour abandonné tes enfants, tu veux lui affligé à nouveau le fardeau d'être ton fils ? Juste parce que maintenant, il est devenu célèbre et que "papa" n'a plus les moyens de te payer tout ce que tu souhaites ? Tu cours juste après son titre de footballeur et non parce que t'a le regret d'avoir abandonné ce gosse, tu crois que tu peux reprendre une relation qui n'a jamais existé pour avoir la fierté d'être la mère d'un joueur du PSG ? C'est... » Un claquement se fit entendre dans la pièce, jetant un froid. Madame Hardy venait de mettre une claque à sa petite fille, un regard haineux sur elle, encore et toujours ce même regard... « Tu verras quand ton père rentrera ! » Le sang de Cloé se glaça à cette simple phrase, et jamais, ô grand jamais, elle n'avait haï d'être une "Hardy" plus que ce jour-là.

PSEUDO/PRÉNOM : anaïs. ÂGE : quinze ans (la petite jeune que je suis... ) SEXE : devinez.  VILLE : un trou paumée en bourgogne. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : le contexte qui est juste génial et l'envie, tout simplement ! COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : grâce au top-site ! FRÉQUENCE DE CONNEXION : régulière mais surtout le week-end. UN DERNIER MOT ?    

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !