NOM : Humbert. PRÉNOM : Anaïs. SURNOM : Ana. ÂGE : vingt-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : dix juin mille neuf cent quatre vingt dix à Lyon. ORIGINES : françaises. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle. STATUT CIVIL : célibataire. ÉTUDES/MÉTIER : Esthéticienne et maquilleuse dans la grande enseigne Sephora. PASSION(S) : la mode, la beauté. GROUPE : N°05 de Chanel. SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : personnage inventé.

CARACTÈRE : Anaïs est une fille, et comme la plupart des filles, car il faut bien l’avouer, les filles le sont toutes. Elle est bavarde, elle peut parler pendant des heures et des heures sans s’arrêter. Il ne faut pas croire qu’elle parle pour ne rien dire, bon des fois ça lui arrive, mais sinon, elle dit souvent des choses intéressantes, et plutôt intelligente. Elle est têtue, quand elle à une idée en tête il y a une chance sur cent qu’elle ne change pas d’avis, ce qui fait d’elle une fille déterminée qui sait ce qu’elle veut.  Personne forte, elle sait cacher ses émotions. Défaut pour certain, qualité pour elle. Sa carapace, elle y tient.  La demoiselle à un sacré carafon, à première vue, celle d’un ange, mais si l’on se frotte un peu trop à elle, on obtient une bouilloire, et si cela ne te suffit pas et que tu gratte encore un peu, elle montrera ses crocs et attention à toi, et sors toi du passage. Conseil d’ami. On dit d’elle qu’elle à le cœur sur la main et cela est vrai, elle est attentive, que tu soit proche d’elle ou non.
Ambitieuse, curieuse, énergique –gare à toi si tu es tout mou, ou alors dégage de la voie mon bichon- enthousiaste, féminine –après tout c’est une fille, et elle n’a pas peur de se cacher sous des amples vêtements et un masque de sorcière- imaginative, impliquée, jalouse –t’approche pas trop de son mec, ou : sa main, ta tête le mur, tu vois le rapprochement ?!- logique, maniaque, persévérante, protectrice, romantique, rancunière –ne t’avise pas à lui faire une crasse ou tu le regretteras toute ta vie- solidaire. Enfin bref, une fille parfaite avec plein de joli et mignon petits défauts. TICS ET TOCS : » Elle est accro au Starbucks. » Elle peut passé des heures assises sur un banc à regarder les touristes. » Elle adore son boulot. » Elle a la manie de se mettre régulièrement du gloss. » Elle est très attaché à l’apparence, c'est un critère primordiale dans son travail et il déteint régulièrement dans sa vie privé. » Elle ne fume pas, ne bois pas et ne se drogue pas, mais adore sortir faire la fête. » Elle fait très souvent du shopping et c'est un accro au shopping Online. » Elle a eu une aventure avec un de ses profs de fac. » Elle a un abonnement à une salle de fitness et prend des cours de danse deux a trois fois par semaine. » Elle pourrais se goinfrer de junkfood quand elle mange à l'extérieur de chez elle. » Elle est souvent inviter à des grandes soirées mondaines et à des avant-premières. » Elle adorerait maquillé les mannequins avant un défilé.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Le jardin des Tuileries, elle adore s'y installé dès que le printemps pointe le bout de son nez pour y déjeuner ou y lire un bon bouquin. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? L'ambiance parisienne en elle même, la grande diversité des gens qu'elle peux croiser à tout les coins de rue. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Les transports en commun en particulier le RER et son sentiment d'insécurité la nuit. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Diversité, Touristique, Magnifique.

Cela faisait un bon bout de temps que mes parents essayaient d’avoir un enfant lorsque leur médecin leur annonça que j’étais en route. C’est donc tout naturellement que neuf mois plus tard dans l’hôpital de Lyon en France que je pointe le bout de mon nez. Mais surprise, ce n’est pas toute seule que j’arrive. Ce que les médecins prenais pour un problème que j’avais au cœur, n’était autre que mon frère qui ce pointais tout naturellement. Oui, les médecins n’avaient pas remarqué un deuxième bébé, le premier cachant le deuxième. On était déjà taquin et nés pour faire chier à l’époque. Mes parents décident de m’appeler Anaïs Humbert. Pour mon frère, il fut nommé Quentin. Mon frère et moi n’aurions pas pu être accueilli aussi bien nous l’avons été. Mes parents et tout le reste de notre famille étaient tellement heureux d’avoir un petit bout en plus, et encore plus une fille. Il faut savoir que je suis la seule petite fille que mes grands-parents auront eue. Oui, tu as bien compris, lors des repas de famille je suis la seule fille à la table « enfant » et je dois supporter l’humour complètement niais de mes cousins, ainsi que mon frère jumeaux. Un enfer complet. Mais ce n’est pas pour autant que j’aurais manqué de quoi que ce soit. Ma famille fait partie d’une vieille famille bourgeoise française et si on ajoute au fait que ma mère soit médecin et mon père avocat, je peux vous affirmer que je ne me suis jamais plaint parce que je manquais de quelque chose. J’avais le droit à des cours particuliers de soutien dès mon entrée au collège, non que je sois une mauvaise élève bien au contraire, mais mes parents ne voulaient pas que je me sente exclu et voulais que je trouve un moyen à m’adapter au niveau de ma classe. J’avais aussi le droit de faire toutes les activités extrascolaires de mon choix, et la seule que j’ai gardées et dont je ne me séparerais jamais est la danse. Quand je vous ai dit que je ne manquais de rien, j’ai peut-être manqué de quelque chose, la présence de mes parents. Je parle à la première personne du singulier, mais j’aurais très bien pu parler à la première personne du pluriel, car pour mon frère, c’était la même chose. Enfants choyés d’une famille bourgeoise, manquant de l’amour de leurs parents, tableau cliché, mais vrai.
« Les enfants, venez avec nous dans le salon, nous devons parler ! » J’avais toujours la hantise de cette phrase. C’est donc légèrement stressé que je passai la voute pour entrer dans le salon. « Votre père à eu une promotion que nous ne pouvons pas refuser. Nous déménageons dans moins d’un mois, et vous aller être transféré dans un autre établissement. » Quand ma mère employait le « nous » cela signifiait que mon père avait pris la décision et qu’elle n’avait pas le choix. Nous étions actuellement au mois d’aout, et dans une semaine je faisais mon entré en cinquième, j’allais donc entrer dans une nouvelle classe presque un mois après la rentrée, géniale ! J’allais entrer dans une classe où tous les clans allaient déjà être formés. « On va où ?! » « Paris ! » On aura appris plus tard avec Quentin, que la raison de la « promotion » n’était autre que la maîtresse que notre père avait pour habitude de voir lors de ses soit disant meeting. En faite, quand notre mère nous as annoncé que nous déménagions, elle a employé le « nous » mais elle ne se comptait pas. Notre père étant avocat, il devait avoir un dossier sur notre mère si elle projetait d’avoir notre garde complète. A présent, nous allions devoir vivre avec notre père, sa copine, et le morveux qu’elle attendait. Super, je suis ravi. Sentez, cette joie ironique qui pointe dans ma voix. « Bienvenue, bienvenue ! » nous lança-t-elle de cette voix complètement irritante que possède Effy Trinket dans Hunger Games. « Où est ma chambre ?! » Ni de bonjour, rien. Je voulais juste m’appropriés cet endroit, et ma chambre allait être mon repère à présent. « En parlant de chambre, vous allez devoir vous partager la même chambre ! » « Tu blagues là ?! » On avait eu la même réaction avec Quentin, il n’est pas sérieux, il ne peut pas demander à deux adolescents de sexe différent de cohabiter dans la même chambre. C’est juste une déclaration de guerre. On s’adore, ce n’est pas le problème, mais on est diamétralement opposé niveau goût. Je veux du violet dans ma chambre, lui en a horreur, j’écoute de la musique qui gère, lui écoute du boom boom assourdissant. Je travail, lui geek sur sa console. On ne peut juste pas s’entendre dans la même chambre, on va s’entre tuer. Mais, en découvrant la chambre, on remarqua qu’il ne blaguait pas. Juste un petit muret séparait nos deux mondes.
J'avais l'impression que c'était devenu une habitude, dès que je rentrais dans ce bar, je finissais sur le rebord de l'évier « On ne peut pas ! » Tentais-je de dire convaincue, sans pour autant arrêter de me laisser faire, je n'avais pas de volonté sur ce coup-là, je le savais bien. A chaque fois que l'on avait terminé, on se disait que c'était la dernière fois, même chaque fois qu'on avait ce contact en cours, on ne finissait pas se retrouver dans ce bar. Mais ce soir-là, j'étais plus décidée que jamais, j'avais discuté avec une amie de ma situation sans pour autant donner plus de précision, et les mots de mon amie avaient été clairs « Arrête de t'imaginer que vous pourriez être plus que des amis, votre relation ne mènerait à rien, vous vous baisez dans des chiottes et vous savez rien l'un de l'autre » Oui, les choses étaient claires avec elle, et elle avait raison en même temps. Je ne savais de lui que son nom et son prénom ainsi que son métier, et avec le passée que je me trimballais, rien de plus ne pourrait arriver. « Valentin, arrête, arrête ! » J'avais soupiré. Cependant, j'avais été plus sèche que prévu. D'habitude, mes 'arrête' voulaient dire 'continue', mais pas ce soir « Ça peut plus continuer, on peut plus s'baiser ici dès qu'on en a envie, t'es mon prof putain, et je n’arrive pas à me concentrer, ce n’est pas possible ça ne mènera à rien tous les deux. T'es mon prof ! » Je n'avais même pas voulu entendre sa réponse, j'étais parti le laissant en plan dans ce lieu que nous connaissions par cœur tous les deux, où nos corps s'étaient entremêlés plus d'une fois. Les jours qui suivirent, j'ignorais toute remarque, tout contact avec lui. A chaque fois que j'entendais qu'il voulait me parler à la fin des cours, je me débrouillais pour ne jamais être seule, être toujours accompagné d'un(e) ami(e). Je fuyais son regard, j'évitais le bar où il travaillait le soir, je me désintoxiquais de l'attraction qu'il me faisait. C'était plus facile à dire qu'à faire, je crois que c'est à ce moment-là que ma meilleure amie a compris qui était le gars dont je lui parlais. Mais telle une vraie amie sur qui je pouvais compter, elle ne fit aucun commentaire, me répétant sans cesse que c'était mieux ainsi. Cela fait un an à présent, et je n'ai pas craqué, et il y a une raison particulière, j’ai déménager, j’habite seule dans mon appartement, j’ai changer de quartier, mais je sais maintenant que j’ai fini les cours, plus rien ne pourrais m’empêcher de le rejoindre, j’ai toujours cette envie folle de me retrouver dans ce bar, dans ses toilettes, sur cet évier, mais je ne peu pas.. Lui a tourné la page, il a une fiancée, et je suis complètement jalouse d’elle… Mais je dois tourner la page, à présent j’ai des responsabilités d’adultes et je ne peux plus me laisser à des enfantillages comme celui-ci, je suis jeune, et je dois profiter de la vie.

PSEUDO/PRÉNOM : Aurore. ÂGE : 22 ans. SEXE : féminin. VILLE : Perdue dans un village ou les habitants on pour voisin des champs et des vaches. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Le design, le contexte et puis parce que y'as mes chéries dans le staff et que je les aimes <3. IMPRESSIONS : && ça j'achèèèèèète. FRÉQUENCE DE CONNEXION : On va dire tout les jours mais avec une fréquence de rp plutôt 1 à deux fois par semaine. UN DERNIER MOT ?   .