NOM : Benoit. La jeune femme porte le nom de sa mère. Son père, n’a pas souhaité la reconnaitre avant l’aube de ses dix ans pour des raisons qui échappent encore à Clémence.  PRÉNOM : Clémence, Marie. Elle remercie sa mère d’avoir placé Clémence en premier, Marie est trop classique et surtout lui collerait bien trop à la peau si on faisait un parallèle religieux. SURNOM : Clem et Mençou sont les sobriquets les plus courants mais on l’affuble que très rarement de son prénom. ÂGE : Elle a vingt-cinq ans, et elle a l’impression que la vie s’est écoulée bien trop vite.  DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Elle est née le deux février 1991, le jour de la chandeleur. Elle a vu le jour dans le douzième arrondissement de Marseille.  ORIGINES : Elle possède des origines italiennes du côté de son grand-père maternel et des origines yougoslaves du côté de son grand-père paternel. Le reste de la famille est bien français. ORIENTATION SEXUELLE : Clemence ne s’est jamais vraiment posé la question. Elle se croit pansexuelle. Si elle a souvent été attirée par des hommes, il lui est arrivé de s’imaginer avec une femme et étant encore vierge, elle ne sait pas encore où se situer. STATUT CIVIL : Célibataire depuis sa plus tendre enfance. Si la jeune femme a eu des prétendants, elle n’a d’abord pas semblé intéressée pour maintenant regretter sa timidité envers d’autres qui eux lui plaisaient. ÉTUDES/MÉTIER : Clémence est dans le flou le plus total. Indécise au possible, elle s’est d’abord lancée dans des études d’anglais pour faire de la traduction, puis a songé à faire des études d’infirmière à l’étranger, mais de nombreuses péripéties l’ont ramenée en France où elle s’est lancé dans des études de psychologie avant d’abandonner. A présent, elle se donne une chance en musicologie. PASSION(S) : Clémence est passionnée par le chant, la musique en général. Elle joue du piano et a toujours rêvé d’être une ballerine, fascinée par la grâce à l’état pur,  mais trop timide, elle a toujours honte et ne s’est jamais lancée. Depuis elle le regrette et raconte à tout le monde qu’elle danse comme un sac à patates. Elle aime beaucoup lire également. Et aussi surprenant que ça puisse paraitre, elle est passionnée de sport. GROUPE :Shalimar de Guerlain. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé.

CARACTÈRE : Clémence s’est toujours considérée comme une marginale. Elle n’a jamais vécu avec son temps. Elle n’a jamais trouvé sa place parmi les gens, elle n’a fait que se dissimuler derrière un sourire à toute épreuve. Elle ne comprend pas la société, Clémence, elle ne sait comment se comporter vis-à-vis de tous. On la dit parfois trop mature, trop maladroite, elle ne sait comment se situer.  Pourtant, Clémence est surdouée. Brillante élève, elle a toujours eu honte de ses capacités, elle qui a sauté une classe et qui a encaissé en silence les moqueries des uns et des autres. Ce surnom d’intello, elle l’a toujours détesté. Elle ne laisse rien au hasard la douce Clémence, elle aime que tout soit parfait, elle n’aime pas quand les choses ne se déroulent pas selon ce qu’elle a prévue avec une minutie particulière. C’est parce qu’elle se sent différente qu’elle jalouse un peu les autres, d’être normaux, d’arriver à s’intégrer, d’être appréciés pour ce qu’ils sont. Elle aurait tellement aimé qu’on l’admire elle aussi parce qu’on lui a toujours mis dans la tête qu’elle était brillante, mais tout ce qui en résulte est un échec. Pourtant, malgré les déceptions, les regrets, Clem est bienveillante avec tout le monde et d’un altruisme à toute épreuve. Même si elle a des tracas, elle se concentrera toujours sur les autres, préférant leur venir en aide plutôt que de se plaindre. Elle est difficilement fière d’elle, Clémence. Même quand elle accomplit quelque chose de bien, il lui faut bien plus. Sa mère dit qu’elle est une éternelle insatisfaite doublée d’un perfectionnisme dérangeant qui nuit à son bonheur. Elle a pourtant l’air bien heureuse la jeune femme, plutôt joviale qui se plait à faire des blagues sans relâche, ce qui lui permet de dissimuler son pessimisme. Pour elle, rien ne fonctionnera correctement, elle est malchanceuse. Enfin, si on devait la caractériser, on pourrait dire qu’elle est hypersensible, mais elle ne le montre pas forcément. Elle est toujours touchée par les histoires dramatiques, il lui arrive même d’être susceptible, mais c’est surtout que tout l’atteint.  TICS ET TOCS : ici.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Paris est une ville tellement agréable contrairement à Marseille. Ce serait mentir que de dire qu’elle regrette d’être partie. Certes, sa famille lui manque, les gens ici sont parfois trop pressés pour s’arrêter sur des détails mais il fait bon vivre à Paris. Quoi que ce soit un peu cher pour se loger, mais l’architecture de la ville des Lumières est à couper le souffle. Son endroit favori n’est autre que le Jardin des Tuileries. Elle s’y rend souvent pour s’y balader, pour faire son jogging ou même juste pour lire sur un banc. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? L’indépendance que l’on peut avoir. Tout est à disposition à Paris, on ne manque de rien. Le plus impressionnant c’est que chaque quartier a ses spécificités et fait office de petit village. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? En définitive, le rythme de vie parisien. Les gens sont toujours pressées, et la sudiste qu’elle est à du mal à vivre dans une telle ville, si vaste. Mais c’est peut-être aussi par manque de soleil. Elle qui connait le beau temps toute l’année a depuis quelques années le mal de la grisaille. Toutefois, elle sait qu’elle s’épanouira plus ici que dans sa région natale. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : ici.

« De toute façon, je ne vois pas pourquoi tu t’entêtes à jouer, tu es nulle. » Cette phrase, elle a été le fil conducteur de l’enfance de la petite Clémence. Elève brillante à l’école, surdouée même, elle avait très vite sauté une classe, intégrant le CP à 5 ans, bien qu’on souhaitait la placer dans une école spécialisée. Sa mère refusa. Elle ne voulait pas faire d’elle une bête de foire. Clémence a toujours été une petite fille chétive, qui ne mangeait pas grand-chose, une enfant léthargique. Pourtant, elle a souhaité entamer un sport, le même que son beau-père puisque dans son village, on ne pouvait pas pratiquer autre chose si ce n’est la danse, qui la fascinait, mais qu’elle craignait. Le tennis est vite devenu un challenge. Parfois, elle y allait volontiers, parfois moins. Mais comme à l’école, elle s’efforçait d’être la meilleure, sauf que ça ne fonctionnait pas. En match, elle s’écroulait. Elle ne savait plus jouer avec puissance, son service devenait brouillon, elle enchainait les doubles fautes et les fautes directes. Elle évacuait la frustration en criant sur le terrain, parfois même en lançant la raquette premier prix qu’on lui avait achetée, mais rien n’y faisait. Plutôt que de la consoler, sa mère l’accablait, l’enfonçait. C’était elle qui prononçait ces mots bien trop durs à l’égard d’un enfant. De sa seule fille. Souvent, elle continuait de pleurer dans sa chambre, se percevant comme le vilain petit canard au milieu de ses trois frères qui rendaient sa maman si fière alors qu’ils étaient loin d’avoir ses notes et loin de tout faire pour leur mère. Au fil du temps, si Clémence est rentrée en conflit avec sa mère, elle est également rentrée en conflit avec elle-même, se renfermant dans le silence ; Les mots de Louise étaient paroles d’évangile : elle était nulle quoi qu’elle fasse. Et c’est un ainsi qu’un événement mineur vient à condamner un enfant à n’être que l’ombre de lui-même.

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« Tu veux sortir avec moi ? » Elle regarde le collégien en face d’elle qui la regarde timidement. Il a mis beaucoup de temps avant de venir le lui dire, mais il ne veut pas être juste son ami. Il est amoureux d’elle, depuis la sixième. Ils jouent au badminton ensemble à l’UNSS, elle est la flèche, courant toujours dans tous les sens. En double, ils sont imbattables, alors il s’est dit pourquoi pas. Mais elle ne répond rien, elle ne fait que le regarder avec de grands yeux ronds, comme s’il venait de s’exprimer dans une langue inconnue. Elle se pince les lèvres, se dandine sur elle-même. « Mais on est amis… » Qu’elle dit doucement, gênée par la situation dans laquelle il l’a mise. Il a compris. Elle ne veut pas de lui. Il acquiesce, il hausse les épaules, la gorge nouée. « C’est pas grave, je suis pas assez bien. » La jeune fille habillée comme un garçon écarquille les yeux, confuse par la réaction provoquée. « Non, c’est pas ce que je veux dire Pierre, mais ça ne m’intéresse pas. Je veux pas me mettre en couple. » Il ne lui plait pas, mais personne ne lui plait en réalité. Elle ne comprend pas la petite fille, pourquoi tous ces jeunes veulent tomber amoureux. Elle n’en a pas besoin, elle a juste hâte de rentrer dans son lotissement pour retrouver son meilleur ami et faire des aventures dont ils sont les héros. Elle est rêveuse, elle n’aspire pas à tomber amoureuse, elle ce qu’elle veut, c’est réussir, toucher les étoiles. Devenir médecin pour soigner le cancer, devenir chanteuse pour finir meilleure que Céline Dion, voilà ce qu’elle veut. Consciente qu’elle parait encore plus étrange que d’habitude, la jeune fille s’assure que rien n’a changé. « Mais dis, on reste amis ? » Son partenaire de badminton acquiesce : « Je ne te laisserais pas tomber ! Tu vas devoir me supporter. » Si seulement les paroles des enfants gardaient du sens dans le futur. Pierre et Clémence ont été amis jusqu’au début du lycée, et puis ils ont pris des chemins trop différents, il l’a oubliée. Mais elle en a souffert. Pas parce qu’elle l’aimait, mais parce que son amitié avait compté et compterait toujours.

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PSEUDO/PRÉNOM : Elyon. ÂGE : 25. SEXE : pas en public, voyons. VILLE : Marseille. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Je cherchais un forum où pouvoir développer mon idée de personnage, et je crois que celui-ci est parfait. COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : Bazzart. FRÉQUENCE DE CONNEXION : Aussi souvent que possible. UN DERNIER MOT ? Si vous avez des liens à me proposer, ma boite MP est grande ouverte !.

eh ben alors... où es-tu passé(e) ? ça fait maintenant une semaine que tu as commencé ta fiche, mais nous n'avons plus de nouvelles de toi... comment ça se fait ? ne nous dis pas que tu t'es noyé(e) dans la seine ! ici, le staff est rempli de maîtres nageurs accomplis et encore plus sexy qu'adriana karembeu ! autrement dit, tu n'as aucune excuse, on te sauvera coûte que coûte ! à partir d'aujourd'hui, tu ne disposes donc plus que de quatre jours pour nous demander un délai, sans quoi ton compte se verra supprimé. nous, on n'a pas envie de te laisser partir ! alors reviens-nous, tu nous manques déjà.