NOM : thavaud. nom de famille qu'elle tient, bien évidemment, de son père. ce n'est ni une fierté, ni un fardeau. on ne choisit pas sa famille et ça, elle l'a bien compris et intégré. PRÉNOM : olivia. son seul et unique prénom. elle l'aime beaucoup et doit bien avouer que ses parents étaient drôlement bien inspirés ce jour là. SURNOM : son prénom étant flexible, on en dénombre un certain nombre. le plus utilisé reste olie, qu'elle affectionne tout particulièrement. cela dit, on peut aussi l'appeler liv, livie ou encore livia. ÂGE : la demoiselle est aujourd'hui âgée de vingt-deux années durant lesquelles elle a exploré quelques choix tous aussi fous les uns que les autres. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : la demoiselle a vu le jour un soir d'été. c'était un vingt-deux août, dans la ville de l'amour, la capital française, paris. ORIGINES : la famille thavaud est française pure souche. ORIENTATION SEXUELLE : l'attention de la jeune femme se porte uniquement sur la gente masculine. STATUT CIVIL : bien qu'encore trop naïve sur le sujet de l'amour, la demoiselle demeure encore célibataire. ÉTUDES/MÉTIER : titulaire d'un bac es, elle a tout abandonné pour partir une année à new-york, en tant qu'au pair. à son retour, elle a pris une seconde années sabbatique, suivant sans doute aucun, son amour du moment dans le sud de la france. peu de temps après, elle est retournée à paris, coeur brisé et des rêves à nouveau plein la tête. aujourd'hui, la demoiselle est assistante/stagiaire dans le milieu de la mode, emploie trouvé par son adorable frangin. cela dit, la tache ne vend pas du rêve puisqu'elle s'occupe principalement de ramener les cafés et de répondre à toutes les exigences des mannequins, photographes et autres stylistes. PASSION(S) : la demoiselle a soif de culture, de mode, d'art et de musique, tout ce qui est contraire aux idéaux de son paternel, bien évidemment. GROUPE : l'elixir de nina ricci POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : ce personnage est un scénario, celui de gaspard thavaud.

CARACTÈRE : cette nana là, elle a vraiment un caractère de merde. sous ses airs d'ange se cache un véritable démon. ne supportant pas l'hypocrisie ou même le mensonge, elle est d'une franchise implacable. elle ne mâche pas ses mots et si elle a un truc à dire, elle le fera sans une seule once d'hésitation. joueuse, elle prend le moindre défi très à coeur. c'est aussi pour cela qu'elle est l'instigatrice de bons nombres de conneries plus monumentales les unes que les autres. il faut aussi savoir qu'elle ne se prend absolument pas au sérieux. première à faire des conneries et à surtout ne pas en avoir honte. elle pourrait très bien se balader dans la rue avec un jean et un string par dessus, un simple soutien-gorge en guise de haut qu'elle afficherait son plus beau et sincère sourire. complètement folle, dans le bon sens du terme, elle est drôle et il est certain que l'on ne s'ennuie jamais à ses côtés. en revanche, on peut aussi découvrir un côté plus angélique de la jeune femme de par sa loyauté et son altruisme. elle a le tacle facile mais ce n'est pas une vilaine sorcière malgré tout. elle vit sa vie au jour le jour. d'un naturel très tactile, pour beaucoup, c'est choquant. c'est sa manière à elle de montrer qu'elle tient aux gens. et puis, c'est quelque chose qu'elle ne peut pas contrôler, ça vient tout seul, c'est comme ça. têtue et rancunière, elle n'accorde pas sa confiance aussi facilement que cela. d'accord, elle est très sociable et sympathique mais elle sait bien que les vrais amis ne se compte que sur les doigts d'une seule main. de ce fait, lui faire une crasse en reviendrait presque à signer son arrêt de mort. et puis, elle est bien capable d'attendre vingt ans avant de vous ressortir la crasse que vous lui aurez faite en petite section de maternelle. naïve mais dynamique, elle croit encore, par moment, que tout est beau, tout est rose. cela dit, elle se bouge le cul pour atteindre les objectifs qu'elle se fixe. bref, cette nana là, on l'aime ou on ne l'aime pas. elle s'en moque royalement.

TICS ET TOCS : elle se mord constamment le bout de la langue lorsqu'elle est concentrée sur ce qu'elle fait ϟ a tendance à se mordre souvent la lèvre inférieure ϟ elle joue avec ses cheveux quand elle est pensive ϟ n'aime pas le caramel, les fruits de mer -auxquels elle est allergique- et les endives ϟ elle n'aime pas non plus la solitude et le silence, bien qu'il lui arrive parfois de ressentir le besoin de s'isoler ϟ la seule chose qui pourrait vraiment lui faire peur, c'est l'échec ϟ le chocolat est son péché mignon, ainsi que les macarons à la pistache. ϟ elle a un excellent sens de la répartie et aime avoir le dernier mot ϟ elle est incapable de rester en place, elle a toujours besoin de bouger. bref, c'est une espèce de zébulon inépuisable ϟ c'est une très bonne cuisinière. ϟ casse-cou, elle n'est pas la dernière a essayer les nouveau trucs à la mode. elle a d'ailleurs voulu tenter cette discipline qu'est le parcours mais elle s'est vite rendue compte que de se déplacer en skate ou en transports, c'est quand même beaucoup moins risqué. ϟ elle fume. un peu trop d'ailleurs. elle a déjà essayé d'arrêter, sans succès. cela dit, il peut très bien se passer une journée sans qu'elle n'ait de nicotine dans le sang avant dix-sept heures. ϟ adepte d'instagram, elle poste au minimum une photo par jour sur son compte. d'ailleurs, elle dénombre déjà un bon nombre de followers qui n'hésitent pas une seule seconde à liket et commenter ses photos. ϟ elle lit beaucoup de mangas et joue à pas mal de jeux vidéos. son côté masculin ressort en permanence dans ces moments-là. ϟ elle a peur du noir et dors donc toujours avec les volets ouverts et son inséparable doudou, monsieur pringles, une peluche dont on ignore encore si c'est un chien ou un ours blanc.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? aussi bizarre que cela puisse paraitre, la première réponse qui me vient à l'esprit, c'est le marché aux puces. je vous l'accorde, il y a un monde fou là-bas, mais c'est l'endroit où l'on peut échanger avec les gens, et c'est ça qui me plait le plus. l'échange. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? certainement le fait d'avoir à peu près tout à proximité. c'est une grande ville, certes, mais les moyens de transports sont nombreux et il est facile de se rendre un peu partout dans la ville sans trop de gêne. et puis, il y a aussi le cadre, l'influence et la réputation de la ville qui jouent beaucoup sur mon jugement. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? paradoxalement, c'est aussi l'affluence et les touristes qui s'amassent et s'entassent dans la ville pendant les périodes de vacances. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : seulement trois ? ce n'est pas évident. cela dit, les trois premiers mots qui me viennent en tête sont culturelle, parce que ça, au moins, il faut l'admettre. accessible, comme je l'ai déjà expliqué. et enfin, vivante, parce que ce serait mentir que de dire le contraire.

jour un. la naissance, le commencement. il faut bien un début à tout. paris, la capitale française. premier cri, première lueur. les néons m'agressent, mes yeux me brûlent. je fais mon entrée sur cette grande scène qu'est la vie. j'ai un frère, de quatre ans mon aîné. il me regarde de ses grands yeux ronds. je décèle cette étincelle qui brille dans ses yeux. entre lui et moi, les choses seront difficiles. il parait que c'est comme ça entre un frère et une soeur, surtout quand l'homme est plus âgé. il se sent déjà investit d'une mission : celle de me protéger de tout et de n'importe quoi. plaquée dans les bras de ma mère, elle est froide. froide mais heureuse. elle ne laisse pas vraiment transparaitre ses émotions. elle est forte, beaucoup trop. ou alors n'est-ce qu'une carapace. je me lançais le défi de la percer à jour, de la mettre à nu, de découvrir son secret. coûte que coûte. mon père se tient debout, sa grosse tête au-dessus de la mienne. c'est un homme de poigne, il me fait peur. un peu. mais il est mon géniteur. il inspire le respect et semble avoir sué sang et eau pour arriver là où il en est aujourd'hui. je suis épuisée. mes petits yeux se ferment tous seuls bien que je n'ai pas trop forcé. ma mère a dû souffrir le martyr mais c'est moi qui en paie les frais on dirait bien. mes petits doigts s'accrochent à ceux de cet enfant intrigué par mon arrivée. malgré tout ce que l'on est censés traverser, il est mon frère à présent et je ne compte pas le lâcher. réciprocité.

quinze ans. putain tu fais chier olie ! qu'est-ce que j'avais dit déjà ? ah oui, c'est vrai, je m'en souviens à présent. les choses sont difficiles. il parait que c'est comme ça entre un frère et une soeur, surtout quand l'homme est plus âgé. moi aussi je t'aime gasp', moi aussi. je dépose un baiser sur sa joue et file dans ma chambre à pas de loups. l'adolescence. période de la vie d'une femme où tout semble permis. ce n'est pas la première fois que je fais le mur et ce ne sera certainement pas la dernière. mon seul problème s'appelle gaspard thavaud. oui, mon grand-frère est un problème. d'ailleurs, le voilà qui déboule dans mon antre en claquant la porte. 'tain, la discrétion tu connais pas on dirait. c'est l'meilleur moyen de réveiller les vieux, t'es con ou quoi ?! je le réprimande à voix basse, quoi que je doute qu'il en ait quelque chose à faire. j'te l'ai d'jà dit olivia, faut qu't'arrêtes ça, genre maintenant. réveiller les vieux, j'm'en tape, ça leur permettra p'tre de t'mettre des barreaux aux f'nêtres. j'arque un sourcil et croise les bras sur ma poitrine. ça y est, monsieur se la joue protecteur et tortionnaire. réveille toi, on est pas en russie, le goulag, ça n'existe pas ici. et puis l'époque des camps de concentration c'est terminé alors lâche moi les baskets tu veux. non, ceci n'était pas une véritable question. et pourtant, j'ai eu le droit à la réponse quand même. non j'veux pas. ça, je m'en doutais, merci bien. j'aime mon frère, à en crever, je vous le jure. mais là, c'est juste plus possible. il me sort par les yeux de la tête. si je pouvais, si j'en avais les couilles, je le planterai bien. problème d'éthique, et de conscience surtout. pour tout avouer, j'en ai marre qu'il me dise quoi faire et comment le faire en permanence. je sais bien qu'il ne pense pas à mal mais trop c'est trop. et moi, plus ça va, moins je supporte. je soupire un peu trop bruyamment. tu fais chier gasp'. tires-toi d'ma chambre, faut qu'je dorme, j'ai un examen en littérature demain matin. et je le pousse gentiment mais sûrement vers la sortie. grabuge.

dix-huit ans. j'te préviens olie, t'as intérêt à r'venir si tu veux pas que j'vienne te chercher par la peau du cul chez les ricains. elle fait la fille forte comme ça, olympe, mais en vrai, elle est aussi fragile que moi. on est scandaleuses. la laisser derrière moi, je ne pensais pas que cela ferait aussi mal. et pourtant. pour être honnête, je dirais qu'elle est mon pilier, mon roc, mon point d'encrage. elle a réussi là où gaspard a merdé. seule fille d'une fratrie de quatre enfants, ce n'est pas toujours évident. surtout avec le grand-frère que je me coltine. il y a bien longtemps que nous n'avons pas eu une discussion calme, posée, réfléchie. à chaque fois, ça part en vrille. et je me dis que si je pars maintenant que la situation est au plus bas, je n'aurais pas de regrets. tu s'rais bien la seule raison pour laquelle je reviendrais toujours oly. lui ai-je murmuré à l'oreille. oui, parce que, devant les parents et les frangins, ça aurait fait un peu tache comme discours quand même. et puis, de toute façon, je ne pars que pour une année. ce sont les termes de mon contrat. au pair à new-york. de quoi gagner en expérience, en maitrise de la langue et peut-être, pourquoi pas, avoir quelques contacts bien placés. parce qu'on ne va pas se mentir, les familles ayant besoin d'une au pair sont quasiment toutes blindées niveau thunes et donc, niveau relations. je pense avoir de quoi m'occuper là-bas. et puis, new-york quoi. que demander de mieux ? les vieux ne sont pas spécialement ravis mais ils n'ont pas le choix et ont finalement cédés à ma requête. en même temps, avec les bons arguments, c'est relativement simple. les petits frères vont me manquer mais internet, ça existe. alors tout va bien. quant à gaspard. et bien gaspard, il n'est pas là. monsieur n'a pas daigné pointer le bout de son nez à l'aéroport. sympa. l'heure est arrivée. dernière accolade avec ceux qui ont pris la peine de venir et me voilà partie, ordinateur portable et bagage à main plein à craquer, direction l'avenir. ou pas. donne, j'vais t'aider. surprise. ça va, j'suis une grande fille, j'peux m'débrouiller toute seule. en fait, ça aurait été carrément mieux s'il ne s'était pas pointé. mais non, monsieur a joué l'effet de surprise. crétin. steuplait olie. waw. ça faisait longtemps. je soupire de fini par lui laisser prendre mon ordinateur. faudrait pas trop le surcharger le pauvre, ça lui donnerait trop de raisons de montrer à quel point il est fort. terminus. il ne peut pas aller plus loin. bon ben salut ... merci pour l'coup d'main. sourire forcé, je récupère mon bien et m'apprête à partir. sa main retient mon bras, m'obligeant ainsi à lui faire face. fais gaffe à toi là-bas ... et appelle ... de temps en temps ... s'il te plait. l'effort considérable que ça a dû lui coûter. j'en reviens pas. serait-ce le signe que les armes doivent être déposées ? peut-être bien. mon sourire se fait plus sincère quoi que peu rayonnant quand même. il ne faudrait quand même pas trop en montrer, ce serait trop simple. promis. de nouveau libre de tout mouvement, je peux à présent quitter paris et rejoindre mon destin. envol.

vingt ans. si ça ne te plait pas, je t'en prie, casse-toi, la porte est grande ouverte. les mots raisonne dans ma tête, brouhaha incessant. j'en ai mal au crâne. t'es sûr de toi là ? en guise de réponse, il m'avait tourné le dos. très bien. j'avais récupéré mes affaires. prête à franchir la porte, tourner une page, rentrer à la maison. attends liv, c'est pas c'que j'voulais dire. j'veux pas qu'tu partes, j'te jure mais voilà c'est compliqué et j'veux pas qu'tu m'en veuilles d'être comme ça. je t'aime, c'est vrai, j'te l'promets et ça peut pas finir comme ça. tu peux pas m'laisser liv ... trois mots. sept lettres. ça fait peur. c'était la première fois qu'il les prononçait. ça m'a fait peur. et puis, sincèrement, comment pouvait-il dire une chose pareille après qu'il m'ait faite passer pour une idiote de la sorte ? non, je ne 'ai pas cru. et puis, c'était mieux ainsi. si c'était vraiment le cas, tu ne l'aurais pas choisi, elle, pour jouer le rôle qui m’appartenait. et j'ai franchi la porte sans le moindre regret. je n'étais visiblement pas assez bien pour être sa petite amie aux yeux de tous. j'avais fait la connerie de le suivre, je m'en mordais les doigts. olie, tu m'écoutes ? olympe fronce les sourcils. tu penses encore à l'autre connard ? silence. elle sait. elle sait absolument tout. c'est ça le problème avec une meilleure amie. t'sais que maintenant qu'on est de nouveau réunies, t'as plus rien à redouter. j'suis là. et gaspard aussi. tu devrais lui demander un coup de main, il ne va pas te bouffer. elle n'a probablement pas tord. cela dit, la situation est déjà assez humiliante comme ça. retourner chez mes parents, c'est déjà un grand sacrifice. il faudrait maintenant que je supplie mon frère pour qu'il me trouve un boulot ? c'est de la folie. et pourtant, c'est tout ce qu'il me reste. ouais, tu dois avoir raison oly ... je reste vague, analysant la situation. malheureusement, je n'ai aucune solution intermédiaire à mon problème. il va falloir que je lui en parle, je ne vais pas avoir le choix. capitulation.

vingt-deux ans. excuse-moi, on ne se serait pas déjà croisés par hasard ? d'accord. c'est quoi ce plan à deux balles ? je relève la tête vers mon interlocuteur. ah oui. pas mal, en effet. je scrute la pièce à la recherche d'olympe. je suis sûre que c'est un coup monté. elle en serait capable la morue. petit problème : aucune trace de la blondinette. merde. hum ... je peux m'asseoir cinq minutes ? c'est une première dans l'histoire : olivia thavaud a perdu sa langue. merde. je sors de ma bille un instant et acquiesce tout en décalant mon ordinateur afin qu'il ait un peu de place. il n'y a quasiment personne dans le starbuck. d'autres places sont disponibles. pourquoi moi ? je le scrute un instant, tentant de sonder son esprit. comme si j'étais capable d'y arriver. j'm'appelle théo et, en vrai, j'te croise tous les matins. grand sourire de sa part. d'accord, où est la caméra cachée ? est-ce que j'dois alerter la police parce que t'es un danger psychopathe ou ... ouais. j'aurais pu trouver mieux, j'en suis bien consciente. au moins, ça a le don de le faire rire. d'accord, je suis complètement dépassée par la situation. tout va bien se passer, pas de panique. non, ne t'en fais pas, j'te veux pas d'mal. je me laisse aller contre le dossier de ma chaise, croisant les bras sur ma poitrine. je me demandais ... elle n'est pas là ton acolyte ? tu sais, la jolie blonde ? je soupire et lève les yeux au ciel. d'accord, c'est bon, j'ai compris. elle devrait arriver. maintenant, si tu permets, j'ai du travail, j'te l'enverrai quand elle s'ra là. vexée ? carrément. c'est bien la première fois qu'on me fait ce coup là. d'accord, c'est un classique, mais ça fait vraiment bizarre de le vivre. non, non. c'est pas elle que j'veux. j'voulais juste savoir si j'avais encore un peu de temps. mais c'est quoi ce type ? j'arque un sourcil, maintenant bien trop intriguée par ce garçon qui ne sait visiblement pas ce qu'il veut. ok. qu'est-ce que tu m'veux au juste ? sur la défensive, je n'aime pas son attitude. ça me déconcentre, je perds pied. je n'aime pas ça du tout. pour commencer, ton prénom. et puis, ton numéro de téléphone aussi. pour le reste, ça ne tient qu'à toi de répondre à mes messages, ou pas. waw. non, décidément, on ne me l'avait jamais faite celle-là encore. je me retrouve à nouveau sans un mot. merde mais d'où il sort celui-là au juste ? elle s'appelle olivia et je t'ai noté son numéro, juste ici. olympe débarque de nulle part, lui tend un bout de carton marqué du tampon starbuck, mon numéro de téléphone écrit au rouge à lèvre dessus. un grand sourire sur ses lèvres, elle est fière de sa connerie la garce. oly ! oui, je l'ai mauvaise. elle te répondra. clin d'oeil et ce théo, tout sourire, se lève, nous salue poliment et nous quitte. olympe éclate de rire en s'asseyant. c'pas drôle putain. t'es malade ou quoi ?! j'sais même pas d'où il sort ce taré. elle secoue la tête, dépitée. on l'voit tous les matins meuf. et tous les matins, tu râles parce qu'il est servi avant toi. tu f'rais mieux d'ouvrir les yeux olie un peu. alors c'est lui ? je me demande bien ce qui l'a poussé à m'aborder comme ça. tous les matins, je lui pourrie la vie et lui, normal, il vient me demander mon numéro. c'est quoi ce guignol ? alors tu vas m'faire plaisir et répondre à ses messages. parce qu'il a un de ces culs, j'te jure, j'pourrais en devenir hétéro. ouais. là, elle me fait peur. du genre, vraiment peur. hésitation.

PSEUDO/PRÉNOM : b_bulle / mel. ÂGE : vingt-quatre ans. SEXE : pas en ce moment, à mon plus grand regret.    VILLE : londres. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : il y en a tellement que vous les exposer prendrait bien trop de temps. cela dit, le principal reste le craquage complet pour ce scénario. IMPRESSIONS :    FRÉQUENCE DE CONNEXION : quotidienne, du moment que les gamins ne me tuent pas entre temps    UN DERNIER MOT ? papuche.

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !