NOM : suite à ton adoption, tout ce qu'il te reste de tes parents biologiques, c'est un patronyme ; park. la seule chose qui te relie à eux. des informations sur eux en dehors de ça, t'en as aucune. t'as jamais vraiment essayé de les chercher. tu préfères rester dans l'ignorance que d'apprendre quelque chose que tu regretterais. PRÉNOM : l'eden, ce lieu qu'on recherche tous, ce lieu rêvé. tu trouves ça tellement ironique que ce soit ton nom. on peut pas dire que t'aies la belle vie dernièrement. ÂGE : t'as vingt-et-un ans. t'es encore jeune, t'as toute la vie devant toi, mais tu ne peux pas t'empêcher de penser au passé plutôt qu'à ton avenir. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : t'es né une nuit d'hiver, alors qu'il neigeait et donc que les routes étaient difficilement accessibles. ce n'est pas rare à séoul que l'air soit aussi glacé pendant le mois de février et l'année 1996 n'a pas été une exception. t'as tout de même vu le jour à l'hôpital, l'endroit où tes parents t'ont abandonné dès ta naissance. ORIGINES : de ce que tu sais, tes origines sont purement coréennes, bien que tu sois désormais de nationalité française. ORIENTATION SEXUELLE :  quand on te pose la question, tu réponds juste que c'est pas important. suite à la réaction de tes parents adoptifs face à ton coming out il y a quelques mois, t'as maintenant du mal à avouer que t'es bisexuel. seulement ceux qui sont les plus proches de toi sont au courant. STATUT CIVIL : même si t'as du mal à l'accepter, t'es techniquement célibataire. une part de toi espère que celle que t'aime se réveillera un jour et que tout redeviendra comme avant. mais il faut savoir être réaliste ; tu vas peut-être finir seul. ÉTUDES/MÉTIER : suite à l'accident, tout a dérivé, y compris tes études. la socio, c'était ton truc, t'étais prêt à passer des semaines complètes devant tes bouquins pour réussir. puis il n'a fallut qu'un moment d'instabilité pour que tous tes efforts deviennent vains. t'as abandonné pour au final devenir employé dans une animalerie. c'est loin de ce dont tu rêvais de base, mais ça pourrait être pire. PASSION(S) : t'as tendance à cacher quelque talent que ce soit, mais ton passe-temps, c'est le dessin. t'es pas mauvais, t'es pas non plus un artiste. il y a la photographie aussi qui t'intéresse bien. pendant un moment, on ne te voyait jamais sans ton appareil photo à la main. désormais, tu le gardes dans ton sac au cas où, mais tu ne le sors jamais. GROUPE : amour amer. RANG : black opium de ysl. PV, SCÉNARIO, PRÉ-LIEN OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé.

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CARACTÈRE :  observateur. un petit détail, quelqu'il soit, passe rarement inaperçu à tes yeux. certains ont même tendance à dire qu'on ne peut pas te cacher grand chose. discret. te faire remarquer, ça n'a jamais été ton truc. t'as toujours été plus du genre spectateur qu'acteur. distant. avant, t'étais bien souriant et sociable, mais les temps ont changé. désormais, tu préfères observer de loin, être méfiant de ceux que tu ne connais pas ou peu et à éviter de t'attacher. qui sait ce qu'il peut arriver. discipliné. ayant été éduqué par des parents stricts, t'as appris à connaître ta place et à ne pas dépasser les limites en public. attentif. tu fais toujours attention à ce qu'il se passe, à ce qu'on te dit. t'es le genre de gars qui est capable de répéter ce qu'une personne a dit dans une conversation banale il y a un moment, ce qui en étonne parfois plus d'un. t'as seulement appris à écouter, tout simplement. rêveur. ce n'est pas rare que l'on te voit immobile, le regard dans le vide. ça veut seulement dire que t'as la tête dans les nuages, que tu t'imagines autre part, avec d'autres gens, dans une autre situation. lunatique. quelques uns ont du mal à te comprendre ; un moment, tu vas leur parler normalement, comme si de rien n'était, et l'instant d'après t'as une tête d'enterrement.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? tu n'as pas d'endroit particulier en tête. à vrai dire, tout dépend de ton humeur, mais souvent, t'as une préférence pour les endroits calmes, peu fréquentés, où personne ne vient t'ennuyer pendant que t'es dans tes pensées. DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : animée, impressionnante, culturelle. DÉCRIS L'AMOUR EN TROIS MOTS : imprévisible, désespéré, crevant.

AVEC DES SI, ON METTRAIT PARIS EN BOUTEILLE. ET TOI, QUEL EST LE DETAIL QUI AURAIT PU CHANGER TA VIE ? il y a tellement de choses qui auraient pu être ou ne pas être, qui auraient pu tout changer, comme par exemple tes parents. et s'ils étaient encore en vie ? est-ce que tu serais encore en corée ? est-ce que tu aurais des frères, des sœurs ? puis il y a aussi alice. si t'étais resté, si t'avais gardé ton calme, elle ne serait pas dans le coma. peut-être que vous auriez réglé le problème, peut-être vous seriez heureux – ensemble ou séparément, qui sait.

Tu te tiens droit face au bâtiment comme si tu redoutais ce qui se trouve à l'intérieur. Tes yeux fatigués se lèvent vers le ciel dans l'espoir que quelque chose – n'importe quoi – t'empêche d'y aller. T'attends une seconde, deux secondes. Au bout de la dizième, ça te semble inévitable d'entrer et te décide à le faire. À l'intérieur, c'est un silence de mort qui t'accueille. De suite, t'as envie de te retourner et de ne jamais revenir. Toi, tu sais parfaitement où tu dois aller. Regardant droit devant toi, tu luttes comme tu peux pour ne pas te laisser noyer dans le blanc omniscient du long couloir. Les hôpitaux, ça n'a jamais été ton fort, ce qui n'est pas étonnant. À chaque fois que tu te retrouves là-bas, ce n'est jamais pour les bonnes raisons. Tu montes un étage, puis deux, vas à gauche et ensuite à droite. Quand tu te retrouves planté devant la porte, tu t'immobilises comme si une force inconnue t'empêchait de faire quoi que ce soit. Tu prends une grande inspiration avant de guider lentement ta main vers la poignée de la porte. T'expires longuement. Enfin, tu entres. Un sentiment de regret t'envahit rapidement. La voilà, inanimée sur le lit. Alice. T'avançant vers le lit, tu ravales un sanglot. Tu te rappelles encore de votre dernière discussion, ou plutôt, de votre dernière dispute, comme si c'était hier. Pourtant, ça remonte à il y a déjà plusieurs mois.


Tes yeux te piquent, l'inspiration que tu viens de prendre a été difficile. « T'es en train de rompre avec moi ? » Tu espères, tu pries mentalement pour que ce qu'elle vient de te dire soit une blague. T'as tellement de mal à y croire. Après tout ce temps, elle te lâcherait, comme ça, sans raison apparente ? « Non, je veux juste qu'on fasse un break. » Son ton est ferme, mais son regard dit autrement. Ça lui fait mal aussi, tu le vois très bien. Pas autant qu'à toi, mais tout de même. Ton emprise sur le volant se resserre, ta mâchoire se crispe. T'annoncer une telle nouvelle pendant que t'es en train de conduire, ce n'est pas la meilleure des idées. « Pourquoi ? » C'est le seul mot qui parvient à franchir tes lèvres tremblantes. C'est l'une des milles et unes questions que t'as en tête, l'une des plus importantes. T'as besoin de savoir ce que t'as fait de mal, ce que tu dois améliorer, arranger, réparer. « Je ne suis plus amoureuse de toi. » Un silence s'ensuit. Tu ne dis rien, mais tu te doutes qu'elle doit entendre ta respiration s'accélérer. Que s'est-il passé ? Qu'est-ce que t'as bien pu faire pour qu'elle change d'avis sur toi ? Brusquement, tu te ranges sur le côté et arrêtes la voiture avant de sortir, suivi rapidement par Alice. « Hé, qu'est-ce que tu fous ? » crie-t-elle tandis que tu passes tes deux mains dans tes cheveux en tentant de te calmer. Tu la regardes, les yeux remplis de larmes, comme si elle était folle. « Ce que je fous ? » tu cries aussi maintenant, bien que ça ne soit pas dans tes habitudes. C'est fou comme un cœur brisé peut vous changer. « Qu'est-ce que toi tu fous ? » Elle te regarde droit dans les yeux d'un air ahuri, puis croise les bras, une habitude qu'elle a pour se donner un air autoritaire. « Ramène-moi au moins chez moi. » Son ton est ferme, tout comme l'est ton regard désormais alors que tu te redresses, ta fierté prenant le dessus. « Non. » tu commences, puis quand tu la vois ouvrir la bouche pour rétorquer quelque chose, tu la coupes directement. « Non, je te ramènerai pas chez toi. Tu te démerdes. Prends même la voiture si tu veux. » Après ça, tu lui tournes le droit et pars de ton côté. Derrière toi, tu l'entends claquer la portière et démarrer la voiture avant de partir. Si seulement t'avais su...


L'accident d'Alice, c'est en partie de ta faute. C'est ce que tu penses, c'est ce que sa sœur t'a dit. La majorité de sa famille, qui t'adorait tellement avant, ne veut même plus entendre parler de toi. Même les médecins ignorent totalement si elle sortira du coma un jour. C'est toi qui l'a abandonnée ce jour-là, sous le coup de la colère, sans penser aux conséquences que cet acte pourrait avoir. Tu ne savais pas. Si c'était le cas, jamais tu ne l'aurais laissée partir.

PSEUDO/PRÉNOM : crystal snow/laurine. ÂGE : 18. SEXE : jeune demoiselle recherche un mec mortel. VILLE : amiens. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : le forum est magnifique et il me manquait. COMMENT AS-TU CONNU LVER ? : ça fait tellement longtemps, je m'en rappelle même plus ça devait être bazzart. FRÉQUENCE DE CONNEXION : presque tous les jours, mais je réponds essentiellement le week-end. UN DERNIER MOT ?

BIENVENUE - Bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris ! Maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité mais pas trop quand même.

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LES PETITS TRUCS A SAVOIR - Si tu débarques en solitaire mais que tu es pressé(e) de jouer parmi nous parce que tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller faire une demande de rp arrangé, le staff se chargera de te concocter une petite scène avec un autre membre. Mais n'hésite pas à aller te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur liste de liens et de rps ! T'as vu comme tout le monde est mignon ici ? Alors ne perds pas une seconde et vas sauter à pieds joints dans le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. Et ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlins, et on les aide à s'intégrer grâce aux mini-floods. Du coup, tu peux dès maintenant te rendre dans ton mini-flood de groupe et ton mini-flood de rang pour rencontrer quelques membres et jouer les commères papoter un peu.

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EN CE MOMENT SUR "LA VIE EN ROSE" - La partie "réalité alternative" a (enfin) été mise en place. Alors si tu es tenté(e) de découvrir ce que serait le présent/futur de ton personnage sous différentes hypothèses, c'est dans cette zone qu'il faut aller.

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LE PETIT MOT DE LA FIN - Si tu nous aimes aussi fort qu'on t'aime, tu peux voter pour nous et nous faire un peu de pub, on te fera des crêpes pour te remercier ! On est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi (en plus des crêpes, bien sûr). En attendant, amuse-toi bien parmi nous !