NOM : Rochebois, comme cela va de soit, il s'agit du patronyme de mon cher géniteur. PRÉNOM : Plus ou moins commun, avouons-le on n'l'entend pas souvent. Léandre.  SURNOM : Je n'ai pas de surnom particulier, c'est donc à vous d'en trouver. ÂGE : vingt-et-une bougies.  DATE ET LIEU DE NAISSANCE : J'ai poussé mon premier cri un treize juillet à Toulouse. ORIGINES : je suis français à 100%. ORIENTATION SEXUELLE : je ne le crierai jamais sous tous les toits quoiqu'il en soit, de toute évidence, je suis un homosexuel in-assumé. STATUT CIVIL : Officiellement en couple avec Albane bien que tout ceci ne soit qu'un pur coup monté puisque les courbes de ces dames n'ont jamais attiré mon regard en vingt-et-une années d'existence. ÉTUDES/MÉTIER : Je travaille dans un café-librairie, c'est un endroit que j'apprécie énormément. PASSION(S) : Je n'ai pas de grande passion. J'aime chanter, la littérature, la photographie mais rien d'extraordinaire qui puisse être qualifié de la sorte.  GROUPE : l'elixir de nina ricci. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : scénario d'isaac.

CARACTÈRE : Je suis extrêmement maladroit - faut croire que j'ai hérité de deux mains gauches mais aussi des deux pieds gauches, que voulez-vous, on ne peut pas tout avoir dans la vie. Possessif (un peu jaloux sur les bords aussi), personne ne s'appropriera mon petit... ma petite amie ! Certains ajouterons le terme candide. Trop innocent, trop naïf sur les bords. Je suis quelqu'un de très sociable malgré ma maladresse.
Tout comme mes parents, je suis croyant. Empathique, généreux, lunatique, trop gentil, tactile, puceau, plein d'optimisme, beaucoup de termes qui se contredisent et s'accordent à la fois.  TICS ET TOCS : Bredouiller tel un adolescent de quatorze ans en situation de stress ou face à une personne qui me plaît. Toujours finir dans les situations les plus embarrassantes, le pire étant que j'arrive à y entraîner les autres parfois.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? champs de mars, mais également la tour Eiffel du haut de laquelle on a l'impression de dominer tout Paris. Une vue sur la ville magnifique. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? J'aime beaucoup la diversité que présente cette ville, il y en a pour tous les goûts, tout est varié et c'est ce qui me plait ici. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Les personnes toujours pressées, toujours à oppresser les autres. Certains parisiens sont doués, pour ça. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : touristique, diverse, magnifique.

T'as poussé ton premier cri à Toulouse, il y a vingt-et-un ans de ça. Le moins qu'on puisse dire, c'est que t'étais attendu, Léandre. La concrétisation du schéma parfait de la petite famille croyante que tes parents se faisaient, sans doute. T'en a aucune idée mais au fond de toi, tu sais que tu n'as jamais été le parfait petit garçon qu'ils attendaient. Tu n'le seras jamais. Ils ne le sauront sûrement jamais, parce qu'ils s'attendent à ce que, toi aussi, tu te pointes avec ta femme et tes marmots, plus tard mais Léandre, soyons francs, depuis ton plus jeune âge t'as toujours senti qu'y avait un truc différent, le genre de truc que t'es même pas capable d'expliquer. Le seul mot que tu oserais placer là-dessus afin de qualifier la chose serait pêché. C'est à ça que se résume ton enfance et toute ton existence en somme. Non pas que tu aies souffert bien loin de là, mais la présence constante de la religion dans ta vie et dans celle de ta famille t'a toujours un peu oppressé au plus profond de toi-même, forgeant très certainement celui que tu es aujourd'hui. Toi, en y réfléchissant, Léandre, t'aurais aimé être le parfait monsieur tout le monde, faire honneur à tes parents mais, ça non plus, tu sais que tu n'le seras jamais. Mais quand bien même, malgré une différence certaine que tu t'efforces de cacher aux yeux du monde mais surtout à tes yeux, tu fais tout ce qui est en ton pouvoir pour essayer d'y ressembler, à ce fils parfait sauf que lorsqu'on arrive à un certain âge de notre adolescence, on en vient à comprendre des choses et toi, ce que tu as compris, c'est que les courbes féminines ne t'attiraient pas le moins du monde. Pourtant, t'as essayé de te forcer un peu. Puis t'es arrivé en quatrième, au collège. Et c'est là que tu as réellement cerné ta personne, ta différence. Parce qu'il y a eu Mathias. Mathias et ses cheveux blonds, Mathias et ses prunelles bleues qui ont eues le don de t'envoûter. Parce que c'est face à lui que tu as senti pour la première fois les papillons dans ton ventre, que t'as senti ton coeur s'emballer, que t'as voulu être plus qu'un ami. T'es tombé amoureux et les choses se sont enchainées très vite. Il est devenu ton premier petit-ami, le premier pour qui t'as ressenti réellement quelque chose. Dans un élan de naïveté sans doute, tu as vite déchanté lorsqu'en confiant cela à ta mère, elle te répond que tout ça, ce n'est pas normal. C'est contre-nature, et tu te dois de mettre un terme à tout ça. Aimer un homme. Ce n'est pas bien. Aimer un homme, c'est pêché. Il faut aimer les femmes, comme tout le monde. C'est comme ça, la religion. Alors, quand t'as revu Mathias, maladroitement, tu a tout stoppé. En brisant sans doute un coeur, tu t'es brisé le tien mais Léandre, aimer un garçon, ce n'est pas normal.
T'es resté à Toulouse jusqu'à tes dix-sept ans. Ensuite, tu voulais juste t'émanciper un peu malgré toute la culpabilité du monde qui a pu t'envahir. Qu'importe la culpabilité, t'avais envie de changer d'air alors, après en avoir longuement discuté avec tes parents, tu as pris ton envol. Tu es parti pour Paris sans penser à tout ce que cela pouvait impliquer. T'avais besoin de quitter Toulouse. T'as eu ton baccalauréat haut la main bien que trop dans la lune, t'as tenté une année de fac mais tu as rapidement abandonné. Pas courageux pour deux sous, le petit Rochebois. Mais il ne t'a pas fallu longtemps pour trouver un job qui te plait, dans un café-librairie de Paris. Aussi, tu as pu faire des rencontres que tu dis merveilleuses, dont celle qui te permet de pouvoir vivre sans entendre les perpétuelles morales de ta génitrice au téléphone à chaque fois qu'elle en a l'occasion, j'ai nommé : Albane. Elle est rapidement devenue quelqu'un de très important à tes yeux. Confidente, meilleure amie, pilier et j'en passe. Tu peux compter sur elle et elle sait que c'est réciproque. C'est d'elle qu'est venue l'idée du faux couple, faire semblant que ta petite-amie n'est autre que la jolie brune afin de pouvoir cacher ton homosexualité aux yeux du monde. Bon, c'est vrai que lorsqu'elle et Juliette t'ont proposé l'idée, tu as eu l'air ahuri, les prenant pour de véritables folles mais il ne t'a pas fallu longtemps avant d'accepter.
Et ensuite, il a eu lui. Il est entré dans ta vie comme un ouragan, y fichant un bordel pas possible. Lui et ses yeux bleus, lui et ses sourires, lui et sa manière d'agir comme un connard. Lui qui a le don de te faire flancher sans que tu ne comprennes comment. Isaac. Tu l'as connu, chez Albane, lorsqu'elle t'a présenté à lui comme son petit-ami. Il a douté, ça, tu l'as vu au premier instant. Tout s'est encore une fois enchainé trop vite. T'apprends qu'il est tatoueur, toi qui a une idée de tatouage en tête, il ne te faut pas longtemps pour te décider. Tu veux que ce soit lui qui te tatoue. Alors, tu t'es pointé comme une fleur au salon où il travaille, et c'est réellement parti de là. Une relation qui n'a ni queue ni tête, il peut t'énerver au plus haut point sans que tu sois capable de réagir, il te pousse dans tes retranchements mais te rassure par la suite, il se sert de chacune de tes galères comme source de blagues, pour t'enfoncer un peu plus ? C'est ce que tu penses mais tu n'en sais rien, il est difficile à cerner, Isaac. Il est difficile mais pourtant, plus le temps passe, moins t'es capable de t'en passer. Mais t'as pas le droit, Léandre. Aimer les hommes, c'est mal.
Mais tu sais pas, il y a un truc. Est-ce qu'il t'a jeté un sort ? Sans doute pas. Mais il a su flanquer un bordel monstre, dans ta vie et dans ton esprit. Il te déstabilise en tout point, mais tu n'as pas envie de le sortir de ta vie, tu tiens à lui malgré toi, malgré que ce soit interdit. C'est pêcher.

PSEUDO/PRÉNOM : .driveaway / Anaïs. ÂGE : dix-huit ans. SEXE : j'suis une demoiselle   . VILLE : montélimar, vive le nougat. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : parce que je tournais autour du forum depuis un moment et j'ai remarqué le scénario parfaitement parfait de monsieur Isaac donc j'ai sauté dessus !    COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : bazzart. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 6j/7 UN DERNIER MOT ? mot .

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris.    maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même.   tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire.   en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis.   t'as vu comme tout le monde est mignon ici ?   alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire.    ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage.   et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !