NOM : Mercier, plutôt répandu dans le nord-ouest de la France paraît-il. T'as d'ailleurs eu l'occasion d'en croiser un ou deux au cours de ta vie. C'est plutôt bref, facile à retenir, et ça commence comme "merci" et comme "merde" aussi, c'est au choix. PRÉNOM : Raphaël, comme l'un des sept archanges. t'es pas vraiment croyant toi, mais c'est ce que ta mère te rabâchait sans cesse de son vivant pour justifier les surnoms aussi honteux qu'affectueux qu'elle te donnait devant tes copains, les "mon petit ange" et compagnie. SURNOM : Raph, de toute évidence. C'est ce qui vient naturellement et ce qui te convient le plus. T'es pas franchement fan des "Raphou" et autres surnoms niais alors ouais, tu te contentes de Raph. Sans doute que t'as droit à d'autres appellations de la part des gens que tu connais pas. Ça peut aller du "le capitaine de l'équipe de basket" au "le petit con de la fac", c'est plutôt une large et belle palette. ÂGE : T'as actuellement vingt-et-un ans et encore assez de dents pour les sourires ravageurs que tu aimes tant adresser aux jolies demoiselles. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Paris animée. Paris urbaine. Paris polluée. Paris urgente. Pas de doute, t'es né au coeur de la capitale française dont tu connais tous les aspects par coeur. C'est sous sa sempiternelle grisaille que t'as vu le jour, un certain 21 septembre 1995. Finalement, t'as été la chaleur qui manquait à ta mère ce jour-là, elle te l'a souvent répété. ORIGINES : Tu gardes au fond de toi les quelques restes hispaniques que ta mère t'a laissés. C'est certainement de là que viennent tes cheveux bruns, ton teint halé et les "culero" que tu balances à tout va dès que quelqu'un a l'audace de te contrarier un peu. ORIENTATION SEXUELLE : Aucun doute sur la question, t'es purement hétérosexuel. Les filles, tu les aimes. Peut-être beaucoup trop pour ce qu'elles renvoient et trop peu pour ce qu'elles sont, mais ça t'importe peu. Elles sont de ces trophées que l'on brandit fièrement, de plus jolies courbes en prime. STATUT CIVIL : Un jour en couple, le lendemain célibataire. Tu pourrais dire que ça va, ça vient. A vrai dire, t'es pas tellement partisan des situations trop régulières, tu te lasses rapidement. ÉTUDES/MÉTIER : Sans grande surprise, t'es désormais en seconde année de STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives). Quand on te demande, tu réponds que tu souhaites devenir éducateur sportif, mais y'a un autre chose qui t'anime. PASSION(S) : T'adores le sport, et plus particulièrement le basketball. Ton plus grand rêve serait d'intégrer la sélection nationale de basket français. C'est ambitieux mais t'es persuadé que tu peux y arriver. Tu t'entraînes jour et nuit pour ça et on t'a toujours dit que la détermination finit par payer un jour ou l'autre. GROUPE : T'as l'ambition et la persévérance des membres du groupe j'adore de dior. De toute évidence, ce groupe est fait pour toi. T'as les yeux plus gros que le monde et des objectifs plus hauts encore que le sommet de la Tour Eiffel. Après tout, on ne devient pas un champion en n'osant rien. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : Totalement inventé avec les pré-liens d'une personne qui s'est tirée après m'avoir demandé de créer un personne pour elle et de queen marjorie #lafemmedemavie.

CARACTÈRE : T'as une certaine confiance en toi qui te rend relativement serein. T'es plutôt confiant face à la vie et ses évènements notamment parce les efforts paient toujours et que toi, t'es infatigable. Pour arriver à tes fins, t'es prêt à tout. Tu pourrais t'entraîner jour et nuit jusqu'à en crever. D'ailleurs, c'est déjà un peu ce que tu fais. T'es un combattant dans l'âme, tout le monde le sait. Tu poursuis, tu t'acharnes, tu persévères. Pour cause, ta détermination n'a d'égal que ton ambition. De ce fait, t'as pas peur d'en faire trop si c'est pour atteindre ton but. Pour ça c'est clair, t'es un bon poulain. Un étalon de compet'. T'as conscience de ta valeur à ce sujet et c'est très certainement ce qui te rend un brin prétentieux. Après tout, t'es une graine de champion, on te le dit assez souvent pour que tu finisses par l'intégrer. T'as la mauvaise habitude de toujours te comparer aux autres depuis que t'es gamin et c'est de là que te vient cet éternel esprit de compétition. Tu veux toujours être le meilleur, tu supportes pas quand c'est pas le cas ; mauvais joueur et exécrable perdant. Tel un môme de cinq ans, t'es capable de piquer d'énormes colères quand ça file pas comme tu le souhaites. Il faut dire que t'es impulsif à l'excès, ce qui te vaut de te fourrer dans de sales situations bien souvent. Les problèmes, tu les règles à coups de poings ou à l'aide de jolies piques emplies de cynisme. Aussi loin que tu t'en souviennes, t'as toujours dissimulé tes malaises intérieurs, tes sentiments ou autres embarras grâce à une froideur déroutante et à deux ou trois sarcasmes bien envoyés. Une façon de réagir qui déplaît souvent à ceux qui voudraient que tu sois plus authentique. TICS ET TOCS : Hair flip et main dans les cheveux à gogo. Tu peux pas t'empêcher de faire attention à ta coiffure. Il n'y a que lorsque tu fais du sport que tu te contentes de les attacher ou de les dégager à l'aide d'un bandana. Un esprit sain dans un corps sain. En bon sportif que tu es, tu ne fumes pas et tu bois énormément d'eau. En revanche, t'as bien du mal à refuser un verre d'alcool en soirée et à éviter les Big-Mac quand t'as une grosse faim. Sourire colgate impératif. En plus de te laver les dents tous les soirs et tous les midis quand tu manges pas à la fac, tu le fais pas moins de deux fois le matin : une fois en te levant, une autre après avoir petit-déjeuner. Ça peut paraître étrange, mais c'est la première chose que tu fais au réveil après avoir été aux toilettes. Craquements de doigts insupportables. T'es conscient que pas mal de gens détestent le simple son des os qui craquent, et pourtant, toi, tu peux pas t'en empêcher. Empli de stress, happé par la concentration, pris d'impatience ; autant de situations dans lesquelles tu fais sans arrêt craquer les os de tes doigts quand tu ne leur ronges pas les ongles. La balle orange greffée à la main. Dès que t'as quelques minutes de battement, c'est le ballon et toi. Avec le temps, c'est devenu un véritable toc, tu peux pas te passer de basket une seule journée. La passion dans le sang.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Sans aucune hésitation, le Playground Bir-Hakeim, l'un des plus beaux terrains de basket de la capitale. Le fait qu'il se situe à proximité de la Tour Eiffel t'importe peu pourtant, t'y vas pas pour la vue. T'y vas pour le plaisir, l'entraînement ou la compétition. T'adores y travailler quelques dribbles en solitaire, disputer un match ou deux avec d'autres joueurs de la région ou encore pour observer le jeu des clubs sportifs qui s'y rendent. C'est comme ça que t'apprends. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? T'as pas eu le choix, t'es né ici. Et pourtant, t'apprécies Paris pour le tremplin qu'elle représente pour toi. Elle est celle qui t'offre mille et unes opportunités sur un plateau d'argent, et t'as bien l'intention de saisir chacune d'entre elles. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? T'as jamais supporté les parisiens qui, au contraire de toi, sont incapables de profiter de ce que leur octroie Paris. Les perdants, ceux qui attendent, qui restent perpétuellement en retrait, qui ont peur de voir trop grand, qui pensent à tort que tout est impossible. Alors certes, t'aimes pas grand monde hormis ta personne, mais quand même. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Paris opportune. Paris brillante. Paris extrême.

PART I.

Elle était belle Marjorie. Tu l'as tout de suite repérée avec ses longs cheveux blonds, son sourire ravageur et ses iris brunes animées en permanence par ce petit éclat joueur qui lui allait si bien. Elle les faisait tous craquer. Et merde, t'as craqué aussi. T'aurais voulu y échapper que t'aurais même pas pu. C'est qu'elle avait le charme sournois la jolie poupée, doux et dévastateur à la fois. Des filles, t'en avais connu deux ou trois avant cette blonde incendiaire, mais le jour où ton coeur s'est emballé pour elle, t'as compris que l'avant n'aurait plus jamais d'importance. Une rencontre sportive entre plusieurs classes du lycée, une équipe commune, des regards échangés, le début d'une toute nouvelle histoire.
T'es le dernier dans les vestiaires, et comme tes potes sont des abrutis finis, ça fait déjà bien longtemps qu'ils se sont tirés sans se soucier de ta personne. Néanmoins, t'es plutôt soulagé qu'ils n'aient pas eu la fausse bonne idée de partir avec tes vêtements, comme tu as adoré leur faire la semaine dernière. Alors finalement, tu t'en sors pas trop mal. Tu ris pour toi-même lorsqu'un raclement de gorge délicat te hisses hors de tes pensées. Tu ne connais que trop bien la jeune fille qui se trouve en face de toi quand tu te retournes enfin. Marjorie. « Sans vouloir t'offenser, je crois que tu t'es trompé de vestiaire. » Elle ne bouge pas d'un pouce, si bien que tu observes bêtement les alentours comme pour t'assurer que tu es au bon endroit. « Absolument pas », t'assure-t-elle d'un ton qui transpire la confiance. Surpris, tu restes silencieux quelques secondes, secondes que tu mets à profit pour l'observer. Sans doute que ta mémoire te joue des tours car elle semble encore plus belle que dans tes souvenirs. « Les vestiaires des filles sont juste en face », t'insistes finalement alors qu'elle reste plantée là, devant toi. Une légère moue grimacière déforme son visage poupin. « Qu'est-ce que j'irais faire dans les vestiaires féminins ? » qu'elle raille en secouant l'une de ses mains dans les airs. Pour si peu elle avait déjà des allures de grandes duchesses. A cette simple pensée, un sourire amusé étire tes lèvres. « D'accord », tu concèdes dans un premier temps. Elle a l'air bien plus déterminé que toi, et toi, t'as pas envie de la contrarier dans l'immédiat. « Alors qu'est-ce qui t'amène ici ? », tu l'interroges finalement avant d'enfiler ton t-shirt. « Une information de la plus haute importance ! » Sa voix part légèrement dans les aigus et tu te surprends à trouver ça craquant. Peut-être est-ce que parce qu'elle sourit, tu sais plus vraiment. Toujours est-il qu'elle s'avance vers toi d'un pas las et t'ignores ce que ça présage. « A te communiquer », ajoute-t-elle. Là, t'es étonnement plus très confiant. Pour autant, tu soutiens ses yeux noisettes qui semblent te défier à chaque nouveau pas qu'elle fait. Elle n'est plus qu'à deux petits centimètres, l'index plaqué sur ton torse. « Toi... » Ok, ça pue tellement que t'as l'intention de couper court à votre échange, mais Marjorie t'en empêche en plaquant ses lèvres contre les tiennes sans aucune once d'embarras. « T'es mon nouveau petit ami. »

Tu sais même pas comment t'as atterri là, sur ce terrain de basket désert, alors que ça fait des heures que tu erres comme un chien. Un bâtard sans doute vu que t'es pas grand chose. C'est ce qu'elle t'a balancé Marjorie ; qu't'étais plus assez bien pour elle. Pour sa trop jolie gueule. Bien sûr, elle est trop belle. Marjorie, elle est trop tout pendant que toi t'es rien - ou pas grand chose. Pas assez. T'as bien compris que tu faisais tâche dans son décor classieux de reine du lycée. Une tâche aussi contrastée que c'ballon orange qui traîne sur l'asphalte. D'une main si peu experte tu tentes de l'apprivoiser, ce que t'as jamais su faire avec ta douce, celle qui n'est plus la tienne. Tes doigts sont gelés, mais pas assez pour t'empêcher de sentir le cuir rugueux de la balle. Tu crois aimer son contact mais t'es plus vraiment sûr de rien en réalité. Tu sais plus quoi faire ni quoi penser. Tu sais pas si c'est une bonne idée de dribbler, de jouer alors que Marjorie l'a déjà fait pour deux. Pourtant tu te laisses aller à quelque chose que tu sais pas faire. Mais à défaut de maîtriser ça, tu maîtrises au moins ta haine un court instant. La haine de toi, la colère en prime et le mal d'elle. Tu marques un panier, coup de chance. Un second, coup du sort. Un troisième, coup de maître. C'est à ce moment-là que tu comprends que ça y est : t'as la rage. La rage de devenir quelqu'un.

PART II.

« Oui Rémi », tu soupires au bout du fil avant de passer la grille de la fac, ton ballon de basket fétiche sous l'un de tes bras. « Tu m'fais confiance ? Je te dis que si elle passe son temps à t'embêter, c'est qu'elle recherche ton attention. Et si elle recherche son attention, crois-moi, c'est que tu lui plais. » Les filles sont chiantes quand elle sont amoureuses. Un fait mystérieux mais qui n'en restait pas moins réel et d'une évidence qui te dépassait encore. En vingt-et-un ans, t'as eu ta dose personnelle, assez pour ne plus douter de cette affirmation. « Ça veut dire que j'ai une chance ? » Tu souris naturellement tandis que tu fais tourner la balle orange sur l'extrémité de ton index. « C'est pas seulement une chance que t'as p'tit mec, c'est un ticket », tu affirmes en riant, un brin songeur. A son âge, Rémi entrait déjà dans la cour des grands, celle des histoires d'amour et des coeurs brisés. Un véritable Mercier, toujours dans les starting blocs, prêt à être en tête de toutes les courses. « Bon, et si t'arrêtais de penser aux filles au moins pour ce soir ? Je passe te prendre à la maison et je t'emmène au terrain de basket avec moi, qu'est-ce que t'en dis ? » Malgré vos quelques années d'écart, tu aimes ton petit frère probablement autant qu'il t'aime. A défaut d'avoir pu prendre papa Mercier comme modèle, c'est toi qui a toujours joué ce rôle depuis quelques années déjà, tu le sais. C'est pas tant qu'il n'était pas un exemple à prendre car il avait toujours fait de son mieux quelque soient les circonstances. Pour autant, vous êtes inévitablement passés au second plan Rémi et toi depuis qu'il a rencontré sa nouvelle compagne. Tu comprends son attitude autant que tu l'exècres en vérité. Mais tu peux pas vraiment te permettre de jouer les gamins insatisfaits sans prendre le risque de compromettre le bon cadre d'éducation que ton petit frère mérite autant que n'importe quel autre enfant de son âge. Aussi, comme tu ne sais absolument pas jouer les papas, tu prends ton rôle de grand frère modèle très à coeur. « Tu vas m'apprendre à jouer ? » Même à l'autre bout du fil, tu sens son excitation aussi extrême qu'authentique. « J'vais faire mieux que ça, je vais faire de toi une graine de champion » tu lui confirmes, sourire aux lèvres. « Allez file te préparer, j'suis là dans une demi-heure. » Tu raccroches aussitôt, ranges ton portable dernier cri dans la poche arrière de ton jean et entreprends de te rendre jusqu'à ta voiture mais une voix masculine t'en empêche. « Monsieur Mercier ? » Sans même te questionner, tu te retournes. A l'exception de quelques camarades de classes et autres étudiants, tu ne repères que le doyen dont les signes francs te font penser que les appels venaient effectivement de lui. « Monsieur Mercier ! Pourriez-vous m'accorder quelques instants ? » D'abord septique puis trop peu rassuré, tu jettes un oeil autour de toi sans trop savoir pourquoi. Tu te rapproches néanmoins de quelques pas afin de lui répondre. « En fait je dois rent-... » « Permettez-moi de reformuler ma demande : je vous prie de me suivre immédiatement. » Le ton qu'il emploie est menaçant mais sa voix anormalement posée ; un paradoxe pour le moins déconcertant. De ce fait, tandis que tu le suis jusqu'à son bureau, tu ne sais plus à quel saint te vouer. Alors, dans le silence le plus complet, tu te contentes d'attendre qu'il entre de lui-même dans le vif du sujet. Comme pour faire durer le suspense qui, de ton point de vue était déjà assez insoutenable pourtant, il prend le temps de s'installer confortablement dans son fauteuil, de t'inviter à faire de même, puis de se racler la gorge deux ou trois fois pour la route. Pris d'un agacement certain, tu lèves les yeux au ciel, et c'est ce moment que choisis le doyen pour enfin prendre la parole. « Connaissez-vous une jeune fille prénommée Mathilde ? » Tu fronces les sourcils, faisant mine de réfléchir à la question. « Elle est à l'université elle aussi », précise-t-il presque aussitôt afin de t'aider à y voir un peu plus clair. Néanmoins, rien n'y fait. « Sauf votre respect monsieur, je ne connais pas tous les étudiants de la fac », tu lâches d'un air presque trop insolent. Aussi loin que tu t'en souviennes, tu n'as jamais eu affaire à aucune Mathilde ni dans ta promo, ni dans ton lit. Et quand bien même, qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire à lui ? Sans rien ajouter pour le moment, monsieur Tavernier te tend une photo que tu observes d'où tu es sans même prendre la peine de la saisir. En réalité, tu la connais cette jolie blonde au visage enfantin. Du moins, tu l'as déjà vue une fois ou deux, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle ne passait pas inaperçu, pas forcément pour de bonnes raisons toutefois. « Ah, la grosse tête de première année qui-... » T'es lancé pour en dire de belles lorsque le doyen fait pivoter vers toi un cadre photo contenant un cliché de lui et de la jeune fille en question. « Elle s'appelle Mathilde Tavernier. » Tu n'as pas besoin d'une seconde de plus pour faire le rapprochement entre son nom et celui de l'homme en face de toi. Du coup, pour ne pas risquer de t'attirer ses foudres, tu restes muet. « Raphaël », se permet-il sans que tu ne t'y opposes. « Si je ne m'abuse, vous avez de beaux et grands projets d'avenir en ce qui concerne le basket, n'est-ce pas ? » Afin de le laisser poursuivre au plus vite, tu te contentes simplement de hocher la tête positivement. « Sachez que j'ai deux ou trois relations qui pourraient vous aider dans cet objectif. Mais pour ça, j'aimerais que vous me rendiez un petit service. » Tu retiens ton souffle conscient que la suite ne va pas forcément te plaire, mais plus conscient encore que tu n'es pas en position de refuser quoi que ce soit. Du moins, plus maintenant. game on.

PSEUDO/PRÉNOM : anaëlle, vous m'connaissez les mioches. ÂGE : vingt-trois ans, ouloulou. SEXE : féminin me semble-t-il. VILLE : celle des rillettes. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : lbd je l'ai accouché quand même, oh. IMPRESSIONS : on est biiiiien. FRÉQUENCE DE CONNEXION : dès que je peux j'suis là, vous m'connaissez. UN DERNIER MOT ? jambon.