Interview
Journaliste : Ébène, pourquoi avoir accepté après autant de refus, cette interview vérité ?
Ébène : Pour mettre un terme aux rumeurs.
J : Pourquoi ce revirement, vous qui êtes si mystérieuse ?
E : Des fois, c’est bien aussi d’être honnête envers soi-même.
J : Cela fait quoi d’être la seule de la famille à avoir suivi les traces pré écrite de vôtre mère ?
E : Le plus important c’est de vivre ses rêves. De faire ce que l’ont aime, ce qui compte pour nous. Pour le reste, que ce soit les traces de ma mère, de mon père, ou ma propre voie peu importe vraiment.
J : Je suis curieux, je me demande comment fait-ont pour trouvé ça place dans une famille telle que la vôtre ?
E : Ma famille n’est pas différente des autres. Nous sommes nombreux, c’est vrai. Mais nous ne sommes pas les seules à avoir une famille nombreuse. Je pense, que l’ont ne trouve pas ça place, ont prends celle qui s’impose à nous. À la limite celle qui reste …
J : Et vous qu’elle est vôtre place alors ?
E : Certainement pas celle que l’ont pourrait imaginez.
J : Que voulez-vous dire ?
E : Ont va dire que quand ont vient au monde dans une famille déjà assez nombreuse et très soudée, être la petite dernière n'est pas toujours la plus belle des places. Je ne sais pas, si parce que j’ai toujours été la petite fille sage et tranquille, sans problème ou simplement parce que d'autres en avaient davantage besoin que moi. J’aime mes frères et sœurs, mais j’ai toujours été inexistante à leurs côté, transparente.
J : Et quand ont vous a découverte ?
E : Vous-savez, quand ont est connu et reconnu, une de plus ou de moins devant les projecteurs ça ne change pas grand-chose.
J : Comment vous as t’ont découverte alors ? Jusqu’à maintenant tout le monde pensais que c’était votre famille …
E : Vous savez, je n'avais jamais chantée devant personne avant que l'ont me découvre. Et surtout pas devant ma famille, parce que même si je l'aurais fait, ils n'auraient rien vu d'exceptionnel. Comme je vous l'aie dit ont prends la place qui s’impose, pour m’a part ça été la moins intéressante de la familles. Je ne fessais pas assez de conneries pour qu’ont doivent me protégée, j’avais une santé plutôt bonne, donc pas besoin de d’inquiété pour moi. Comme tout le monde, à 14 ans, je suis tombée amoureuse. Il était reconnu, il avait 16 ans … Et lui il fessait attention à moi. C’est la toute première personne qui m’a entendue chanter … Et il m’a ouvert les portes de la musique.
J : Votre grande histoire d’amour, celle qui a causé votre descente aux enfers ?
E : Dites-moi, y a-t-il une seule histoire d’amour qui ne cause nulle descente aux enfers ? Vous n’imaginez pas à quel point c’est difficile, d’être jeune, d’être fous amoureux et célèbre. Être pointé du doigt. Ce n’est pas simple d’avoir une vie privée quand ont vient jusqu’à devant chez vous pour avoir un scoop. La célébrité, prends beaucoup plus qu’elle ne donne vous-savez.
J : Comment avez-vous sombré dans la drogue ?
E : … Enchainée les concerts, les soirées de promotions, les galas, les cours, les interviews, les apparitions, les studios … Ça pompe absolument toute notre énergie, nos envies. Ont à plus le temps de rien. Au bout d’un moment, ont n’arrive plus à trouvé le bonheur dans ce que l’ont fait … Un soir en soirée, après quatre ans de couple, il a dérapé. Il voulait juste essayer, au début ont se dit, une raille ce n’est rien. Il a très vite décollé. Vous connaissez la suite …
J : Et vous, comment avez-vous juste essayé ?
E : … Moi j’ai commencé avec des médicaments, piqué dans la pharmacie familiale. J’avais 18 ans, au début c’était juste pour resté éveillée, pour travaillé tard. Parce que 24 heures dans une journée, ça devient très vite pas assez dans ce métier. Alors, ont devient accro au antidépresseur, et puis comme ont arrive plus a trouvé le sommeil, ben on consomme beaucoup de somnifère pour justement dormir un minimum … Tout comme lui, j’étais a une soirée, ont m’a proposée une raille et je ne sais pas pourquoi je n’ai pas refusé cette fois.
J : Ont devient vite accro ?
E : Ça va bien trop vite, ont ne s’en rends pas compte … Du jour au lendemain, ont est en manque …
J : C’est ce qui a causé votre accident de voiture ?
E : Peu de temps avant l’accident, j’ai fait une overdose … Mais je ne voulais pas voir à quel point j’étais malade. C'est pile à ce moment là que mes proches ont compris que j'existais, que j'étais humaine je crois. Ont voulais m’aidè, mais à ce moment là je ne voulais recevoir aucune aide de personne. Je n’en ressentais pas le besoin, ni même l'envie à vrai dire. C’est juste après mon overdose, que lui, à pris conscience qu’ont avaient besoin d’aide. Lorsqu’on a eu l’accident, il me ramenait chez mes parents. C’était le gentil garçon, celui qu’on présente à sa famille. Il avait juste perdu pieds, tout comme moi. Je n’ai rien vu venir …
J : Vous êtes resté combien de temps dans le coma ?
E : Un mois … Traumatisme crânien, commotion cérébrale, genou droit exploser, mâchoire casser, poumon perforé, foie et rein touché. Je pense que je n’ai rien oublié, fin je ne sais pas trop en fait.
J : Vous avez eu des nouvelles de Nélio depuis votre sortie ?
E : Non, aucune … Je ne sais pas vraiment, si c’est parce qu’il ne veut plus me voir, ou simplement si mes parents ont décidé de faire barrage. Ont verra avec le temps …
J : Vous êtes de genre à croire au grand amour ?
E : Il y a quelques mois je vous aurais dit oui, sans aucune hésitation. Aujourd'hui, je ne sais plus ...
J : Question importante, vous sentez vous assez forte pour ne pas rechuté ?
E : Je viens de sortir de cure, et ces trois dernier mois ont été un vrai parcourt du combattent. Je n’ai pas vraiment envie d’y retourné, donc … Pour l’instant ça va. Je ne ressens ni manque, ne besoin de replongé. Mais dans un mois, six mois, un an … Je ne sais pas. J’espère, je ferais tout pour en tout cas, mais je ne connais pas l’avenir …