NOM : Antonelli. PRÉNOM : Fabian. SURNOM : Fab. ÂGE : 33 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 8 mars 1984 à Venise. ORIGINES : Italiennes. ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro. STATUT CIVIL : Veuf. ÉTUDES/MÉTIER : Producteur musical. PASSION(S) : La musique. GROUPE : Shalimar de Guerlain. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : Scénario de la sublime Meghan !

CARACTÈRE : On dit de moi que je suis quelqu’un de bien. Mais ça veut dire quoi quelqu’un de bien ? De dévoué, d’accompli, d’heureux ? Je crois que je suis simplement ce que la vie veut que je sois, en me donnant les moyens de l’être. Travailleur acharné, sans doute, à moins que je trouve un remède dans tout ça pour parer à mes pensées confuses et nostalgiques. Ça doit être le propre d’un musicien passionné que de se lancer à fond dans ce qu’il fait, non ? Dragueur ? Un peu, comme tout bon italien, je sais faire la cour et je sais ce qui plaît aux femmes, rien de plus, rien de moins. Solitaire ? Bien obligé, je n’ai plus envie de courir les filles comme les rock stars courent les morceaux légendaires. Altruiste, j’aime à le croire, j’aime aider mon prochain, me rendre utile, changer les choses à mon niveau. Incomplet, c’est bien là tout le problème, il me manque une partie de moi-même, une partie qui ne reviendra jamais. Plein d’espoir ? Ça reste à voir…

TICS ET TOCS : Chacun a ses petites habitudes, mais je dirais que garder une certaine routine a toujours été rassurant pour moi. Bizarre pour un musicos, pas vrai ? J’aime mon café d’une certaine façon et à toute heure de la journée. J’aime paradoxalement l’imprévu, les décisions intempestives qui font les plus belles aventures. J’aime jouer sur une guitare en particulier et ait pour habitude de triturer le haut de mon oreille quand je suis confus à propos de quelque-chose. Je me mordille la lèvre quand je suis en situation de stress. Ce bracelet en cuir que je porte chaque jour que Dieu fait, une petite croix aussi, qui me rappelle les origines pieuses de là d’où je viens. Ah, et j’allais oublier… cet appareil photo qu’il m’arrive de sortir quand je sens que c’est un moment à capturer, un bref souvenir qui finira, tôt ou tard, par disparaître, bien malgré moi. Je crois que j’ai peur d’oublier, mais c’est plus un toc qu’un tic, ça, non ?

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Il y a tellement de choses à voir à Paris, comment choisir ? Tout dépend de l’occasion, j’aime les nouvelles expériences et le dépaysement grâce à de nouveaux concepts. Mes endroits préférés sont sans doute les quais de Seine. J’aime y réfléchir, me balader, cet endroit est une réelle source d’inspiration. J’aime aussi Montmartre, pour son folklore et son respect des artistes et de leurs œuvres. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Sans doute l’idée de pouvoir vivres plusieurs vies dans une seule ville. Pouvoir se dépayser et changer d’espace, au moins un tant soit peu, d’un coup de métro, et l’accès à la culture. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Métro, boulot, dodo. Je reste un artiste, j’aime parfois l’idée de prendre mon temps et de ne pas avoir les mêmes contraintes que tout un chacun, mais c’est trop utopique pour devenir un mode de vie, en tout cas, si je peux y prétendre aujourd’hui, Paris reste pour moi la ville de toutes les opportunités, un peu comme un carrefour du monde. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Vivante, diversifiée, parfois hypnotique.

Si je ne devais écrire qu’une lettre, je te la dédierais, mon amour…

Tu me demandais bien souvent de te parler de mon enfance, ça t’intriguais, tu te souviens ? Ces fois où tu me tannais pour que je te raconte comment c’était en Italie, Venise sous la neige, Venise en plein été, dans les petits quartiers dans lesquels nous nous sentions privilégiés, dans lesquels nous avions l’impression que la ville n’appartenait pas aux touristes, jamais, mais seulement à nous. Nous qui naissions avec le pied marin et qui n’avions pour habitude de quitter notre île que sous la contrainte. J’en ai disputé des parties de foot sur la place de mon quartier, un peu trop, parfois, parce qu’il m’arrivait de louper l’école pour pouvoir jouer, encore et encore. Allons, le foot c’est de la culture pour nous. Une culture que mes parents ont gardée, tu adorais mes parents, tu adorais ma mère, et mon père t’adorait comme sa propre fille.

Et puis tu aimais aussi l’histoire du petit vénitien qui débarque à Paris. Cette ville peuplée de voitures, et de gens qui râlent pour tout et rien, et le dépaysement ressenti quand je me suis rendue compte que le soleil n’était pas aussi légion qu’il ne l’était chez moi. Je parlais à peine quelques mots de français quand j’ai débarqué, mais mes parents étaient confiants, je saurais m’adapter, j’étais un petit garçon exceptionnel. Exceptionnel tu parles, exceptionnellement doué pour les emmerdes oui ! Le nombre de fois où j’avais pu me retrouver dans les bagarres parce que mon tempérament d’italien ne me permettait pas de tout accepter docilement…

Je t’ai aussi raconté quel genre de mec j’étais avant de te rencontrer, quel genre de jeune homme j’étais et que je ne voulais finalement pas devenir. Dragueur, profiteur et rongé par la vie, par une fracture de je ne sais quoi je ne sais quand, mais une faille. Et puis un jour, je suis tombée sur toi, et là… Ça a été comme le coup de grâce. J’ai su, au moment où je t’ai vu, que ma seule mission sur terre serait d’être près de toi. Il n’y a eu que deux femmes qui m’ont été fidèle jusqu’à présent : ma mère et ma guitare. Ma guitare, je l’utilisais pour te parler, pour te toucher, et pour attirer ton attention. Ça a valu son pesant d’or, tu es tombée dans mes filets, et moi qui pensais être incapable de te rendre heureuse, tu m’as prouvé le contraire.

Et on en a eu de belles années, toi et moi, jeunes et cons, envers et contre tout. Tu as fait de moi cet homme docile, gentil, doux, protecteur, et confiant. A tes côtés, ma vie, c’était juste le bonheur.

J’ai fait de ma passion mon boulot, tu m’y as aidé, nous n’étions que des gosses quand nous nous sommes rencontrés, mais avec toi je suis devenu un homme qui rencarde plus les femmes à tour de bras, je les respecte, mais j’en respectais surtout une, et c’était toi. Paris à nos pieds, nous étions les plus heureux du monde. Ta carrière d’avocate, tes études ayant pris une partie de ta jeunesse, mais nous avions su composer, c’était évident pour nous. Nous avions prévu de faire un enfant, ou deux… voir même plus que ça. Une vraie tribu, ça t’aurais plu, je le sais. Mais cet accident t’as pris un matin du printemps de l’année passée, moins d’un an. Dieu t’as rappelé à lui… Dieu, s’il existe et ma mère me tuer pour en douter. Et j’y ai pensé, à le forcer à me rappeler à lui, à tes côtés, mais je me suis rappelé que ce n’est pas ce que tu aurais voulu. Tu aimais trop la vie pour ça.

Aujourd’hui ça fait plusieurs mois que je survis, que je tente de reprendre goût à la vie, peu à peu. Tu étais, outre l’être exceptionnel que tu fus pour moi, fille d’un riche homme d’affaires, et si ça a toujours fait jazzer, nous n’en n’écoutions rien. Il n’en n’est pas moins un fait que j’ai hérité de toute ta fortune, et que j’ai mis un moment à donner du sens à tout ça. Je n’en voulais pas de ton argent, de tes millions, moi je te voulais toi, et j’aurais volontiers tout échangé contre ta simple présence le temps de quelques jours de plus, une nuit avec toi, un weekend loin de tout tous les deux, mais ça ne marche pas comme ça. Alors il m’a fallu du temps mais j’ai fini par trouver un sens au temps qu’il me reste à passer sans toi et j’ai racheté ce label, qui me permettait enfin d’accéder à mon rêve. D’un même temps, j’ai aussi beaucoup investi dans la fondation qui te tenait tant à cœur, celle qui donnait aux femmes battues le droit d’être défendues, gratuitement, et d’obtenir un toit et une échappatoire, ton combat à toi. J’ai respecté au mieux les volontés que tu n’as pas eu le temps d’écrire. Et j’espère que tu seras fier de ça, mon amour… en attendant, je m’efforce de vivre chaque jour sans toi, un pas à la fois, l’avenir est devant, jamais derrière.

Ton optimisme me manque, tout me manque chez toi, tu es partie avec une partie de moi…

PSEUDO/PRÉNOM : Felicity. ÂGE : 24 ans. SEXE : Féminin. VILLE : Sud de la France. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Je cherchais un scénario du tonnerre. COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : Par pub sur Facebook. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5/7. UN DERNIER MOT ? Mot ?

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !