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Playboy's power (roman da russo)

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MessageSujet: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty3/12/2016, 18:20



Roman Da Russo featuring Jon Kortajarena

NOM : Da Russo. PRÉNOM : Roman. SURNOM : Il n'aime pas les surnoms, il préfère qu'on l'appelle Monsieur. ÂGE : A l'aube de la trentaine. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Rome, 21 Septembre 1988. ORIGINES : américaine. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. STATUT CIVIL : célibataire, dangereusement attiré par les femmes mais amoureux de sa carrière. ÉTUDES/MÉTIER : A étudié en commerce à l'univers Berkeley, là où tous les membres de sa famille sont entrés. Il a racheté les parts de Playboy qui appartenaient à Hefner et opère de grands changements au sommet de la tour de Vegas jusqu'à Paris, son but ultime. PASSION(S) : Le pouvoir, le travail, les femmes, un bon whisky. GROUPE : N°5 chanel. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : Personnage inventé, version 2 après 4 ans à l'avoir joué  Playboy's power (roman da russo) 2792054981 .

CARACTÈRE : Roman est un homme d'une grande arrogance. Promu dès jeune à un avenir lumineux, il n'a jamais eu de cesse de se prendre pour le roi du monde. Infatigable lorsqu'il s'agit du travail, il est séducteur, dangereusement calculateur et glacial lorsqu'il décide qu'une personne n'est pas digne de son intérêt. Avec son cercle fermé de proches, il se montre souvent détestable, sadique et joue de son humour noir pour tout de même, arriver à se rendre attachant. Roman lorsqu'on l'aime on ne le délaisse pas malgré son charme ténébreux et sa gueule déjà pleine d'orgueils. TICS ET TOCS : Il fume beaucoup, passe généralement son temps un verre de whisky à la main. Il est très attaché à sa famille c'est pourquoi il se réfère souvent à eux lors de ses propos. Il touche souvent sa barbe lorsqu'il réfléchit, il a souvent un sourire moqueur sur le visage ce qui le rend narquois mais irrésistiblement attirant.


j'envoie des bons baisers de paris

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? sur les toits du wanderlust, un verre à la main, dans un carré VIP. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Le changement. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Les personnages hautains qui n'ont aucune raison de l'être. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Inspirante, ecclésiastique, vibrante
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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty3/12/2016, 18:21



être parisien, ce n’est pas être né à Paris, c’est y renaître

Roman ⊹ La lune boisée éclatait ses rayons chauds aux quatre coins de l’horizon. Roman, conquis, observait, verre de whisky en main, le spectacle de la ville déserte qui s’étirait vers l'au-delà ensoleillé, au cœur d’un désert brûlant. Les couleurs se mélangeaient au coucher du soleil multicolore et dans l’aura divin qui s’élevait de cette vision, il sentait tout aussi bien la ville du vice s’éveiller progressivement, faire entendre les premières musiques envoûtantes, faire intervenir les pires créatures de la nuit afin de pervertir tous mâles accomplis. Ci et là, la ville s’enivrait de nouveau et comme chaque nuit, elle devenait vivante, s’emparait de tous, les ruinait, les changeait, les décevait du vide qu’ils pouvaient ressentir et tout ne tenait plus qu’à un fils jusqu’au lendemain. Déserte, presque innocente. Vegas était un mirage en plein milieu du désert, une oasis troublante qui ne changeait ses couleurs que lorsqu’elle était sûre d’avoir en sa possession les derniers idiots arrivés à l’heure pour le grand show, le spectacle nocturne. Roman avait succombé à cette ville déjà des années en arrière, il avait joué, il avait empoché, il avait fait la fête comme jamais, s’était saoulé de ce mal qui sévissait, de cette source de problèmes rafraichissante, addictive. Il s’y était plongé tout entier et, faisant partie des grands, il s’était approprié les sphères de cet empire et dorénavant, s’y voyait presque comme chez lui au contraire des sombres crétins qui avaient pensé dompter leurs nuits et n’en étaient ressortis que la corde autour du coup, une bonne gueule de bois en prime. Roman s’extasiait de cette immondice qui détruisait tout le monde mais pas ceux avec un compte en banque assez grand pour détourner ces lugubres mirages à leur avantage. Il finissait son verre, enfilait une chemise et envoyait un message à Alexander. Il avait une réunion importante le lendemain matin et voulait revoir quelques dossiers importants avant que tout ne soit dit. Roman allait bientôt conquérir Playboy, Alexander était enfin au courant et dorénavant, il était temps que ses projets fassent sujet de discussions beaucoup plus importantes et sérieuses. Ainsi, il avait décidé de réunir actionnaires et autres figures des finances incroyables que détenait The Mating Mind afin de discuter des différentes possibilités que cela pouvait offrir au magazine. Il voulait que son premier empire prospère même s’il devait pour ça assurer une fière et belle descendance. A la porte, des coups brusques résonnaient à ses oreilles. N’ayant pas pour habitude de se presser, l’homme observait les derniers rayons du soleil recouvrir l’horizon pour enfin marcher nonchalamment vers la porte d’entrée. Il détestait les imprévus, il détestait que quelqu’un vienne le déranger s’il n’avait pas accepté la présence de cette même personne. Roman était compliqué à avoir en rendez-vous et pire encore, il ne décrochait que rarement de son agenda professionnel pour se permettre une entrevue personnelle. Quoi que ce soit, il était déjà de mauvaise humeur et cela n’allait pas changer à l’ouverture de la porte. C’était chose faites et son visage restait de marbre malgré la surprise qui égalait sa condescendance. Oui ?... Non je ne crois pas que je vais vous suivre. Voilà. Roman avait demandé d’un ton arrogant l’objet de la venue de deux gorilles à sa porte et avait voulu refermer le battant après que l’un, d’une voix chahuteuse, l’ait intimé de le suivre. Et puis quoi encore. Sauf qu’apparemment, il n’avait pas tous les pouvoirs et que s’il avait voulu fermer la porte, il en était impossible présentement par la force de l’un des hommes qui retenait toute résistance. J’appelle ça un enlèvement, vous serez virez ! Roman aurait presque pu les faire sourire avec la panoplie de l’homme d’affaire qui se sentait avoir tous les droits et pourtant, cela semblait les énerver bien plus à présent. C’est pourquoi, ils le poussaient sans ménagement vers la sortie de ses appartements pour le faire s’enfouir dans une voiture noire, luxueuse, heureusement. Ce que vous faites est illégal, pour qui travaillez vous ?! Qu’il parle d’illégalité lorsqu’il était le pire escroc de l’histoire. Mais aucun des deux hommes ne semblaient avoir l’envie de lui répondre. Pour cela, il tentait de calmer ses menaces et s’enfonçait dans le cuir de la voiture quand il envisageait pourtant sérieusement d’appeler du renfort. Il aurait dû prendre son arme avec lui. Maintenant il était tenu presque à joug par deux gorilles sûrement trop stupides pour comprendre quoi que ce soit qu’un ordre.  Quelques minutes plus tard et il se retrouvait dans un ascenseur étroit, encadré par les deux brutes qui ne lui adressaient dorénavant plus un mot. Encore un peu et il se faisait presque jeter dans une vaste pièce qu’il reconnaissait presque. Eileen, charmante, sur des photos, elle qui parlait de son père, elle qui arrêtait pas de raconter ses exploits, sa vie, son élégance, son goût infaillible pour les œuvres d’art, le roi de Vegas… Roman n’avait aucun doute dorénavant. Encore moins lorsqu’il se retrouvait face au king, son regard froid et pénétrant tentant de lui infliger une baisse de confiance dont seul lui était capable. Roman restait pourtant imperturbable et dévisageait l’homme qui avait osé le traiter ainsi. Il s’y était attendu à cette rencontre. Un jour. C’en était certain, ce n’était qu’une question de temps et voilà que l’homme était devant lui. La même allure, la même nonchalance qu’il lui prêtait. Roman était sûr que Gregory jouissait de cette armure glaciale qu’il vissait chaque matin et qui faisait trembler chacun de ses employés et gens qui avait à faire avec lui. Etrangement, Roman se sentait plus froissé qu’autre chose. Déstabilisé légèrement au début mais dorénavant, la colère venait à s’accroître au fond de lui. Il détestait la famille Rosenbach, il les détestait tous. C’en était sûr maintenant. Je suis tout ouï. Qu’il crachait dans son incontrôlable envie de s’en aller en courant. Oui en courant. Parce que Roman n’était pas fou et imaginait déjà les faisceaux lumineux pointés sur lui pour le descendre au moindre geste menaçant. Il était piégé, qu’il le veuille ou non et s’il avait à faire à l’homme qui tenait d’une main ferme Vegas, il avait tout autant un profond dégoût pour les gens qui lui manquaient de respect et pensaient pouvoir lui marcher dessus avec une suffisance aussi grande que la sienne.  Votre fille m’a sûrement causé beaucoup plus d’ennuis qu’elle ne vous en a causés à vous. Qu’il disait comme un gosse qui se défendait dorénavant devant les informations que le king Rosenbach lui pointait devant les yeux sans jamais cesser de l’étudier minutieusement. Il le jaugeait, le jugeait, il l’écrasait de son imposante stature. Qu’il essaie, Roman ne détournerait pas un instant le regard même si le duel en était que plus brûlant pour sa rétine dorénavant. Votre fille m’a tiré dessus. Je suppose qu’au lieu de prendre des cours d’équitation elle aurait peut-être dû prendre des cours de tirs. Qu’il disait presque méprisant et cette fois-ci en tout ignorance de ce que ses propos sarcastiques pouvaient lui coûter. Cette manière de parler du Da Russo allait lui coûter beaucoup il en était sûr. Mais après tout, n’importe quel père aurait réagit de la même manière alors il se devait de se contenir. J’ai promis que ça ne se reproduirait plus jamais et un Da Russo tient toujours parole. Qu’il disait pour être plus concis et prouver qu’il avait inévitablement le même avis que l’homme. Tout n’avait été qu’une tragédie et il voulait y mettre fin, apprendre de ses erreurs lui avaient coûté beaucoup trop et avait détruit son mentale pendant un temps. Une amitié inégalée, une amour grisant, des fiertés corrompues et puis, ils s'étaient repoussés et aimer pour que finisse en éclat de sang leur histoire à peine entamée. Elle lui avait décoché une balle en pleine épaule après qu'il l'ait jeté si violemment et il avait riposté en la dénonçant à la police. Pour finir, elle avait tellement poussé loin le vice qu'il avait finit par la toucher. Il se rappelait encore de la peur qui avait brûlé ses rétines et de sa peur à lui. D'avoir osé la frapper et tuer ainsi, leur amour. S’il était de nouveau sur pied, le vide continuait à le maltraiter. Le vide d’elle. Mais son arrogance fut effacée par son silence. Un silence plombant. Ses yeux restaient perdus dans le dernier dossier pointé par Gregory. Une suite à Vegas, pas n’importe quelle suite d’ailleurs. Eileen avait payé cette suite pour lui, elle l’avait fait avec son argent, un vrai présent, quelque chose d’immensément gros, d’immensément cher. Le genre de cadeau que l’on offrait décidément pas à tout le monde et surtout pas à celui qui vous avait défiguré une partie du visage. Je ne comprends pas. Pourquoi me montrer ça si vous ne souhaitez pas nous voir ensemble ? Parce que Roman venait de se liquéfier sur lui-même en une seconde, il questionnait à son tour quand il n’avait aucun droit de le faire. Gregory semblait tout savoir et juste lui parler comme à un enfant, pour qu’il réalise peut-être. Peu importe, Roman n’avait qu’une envie, retrouver Eileen. Encore plus qu’avant. Encore plus qu'à l'époque où ils étaient encore insouciants, à l'université de Berkeley, soudés, à jamais intouchables. Surtout lorsqu’il entendait que l’homme savait exactement, l’endroit où la jeune femme se trouvait à présent et cela faisait des mois qu'il n'avait plus de nouvelle d'elle. Son regard illuminé désormais, se redressait vers l’homme, les questions noyaient ses prunelles vertes et cette muraille insensible qu’il avait jusqu’alors montrée, s’écroulait. Je suis amoureux de votre fille mais ça vous le savez déjà. C’était incompréhensible. Il avait cette réponse aux lèvres depuis des années et aujourd’hui qu’il l’assumait totalement, seul le père de la dîtes jeune femme pouvait l’entendre. Mais Roman, à ce moment précis était près à tout pour retrouver Eileen, son impulsivité reprenait le dessus, il frétillait d’impatience, il aurait pu supplier qu’on lui donne cette information, peu importe les clés. Ce qu’il voulait maintenant, c’était elle, et lui demander pourquoi… Dîtes moi où elle est. Un ordre presque suppliant devant un beau père qui avait sûrement l’envie de l’étriper sur le champ.


Roman écoulait ses sens au rythme effréné de la balle qui avait percé son épaule et corrompu toutes ses bonnes aptitudes d’homme aguerri et redouté. Il n’entendait plus, son ouïe fracturée par le sifflement régulier du coup d’envoi qui avait signé la giclée de sang de son épaule, celle qui avait violemment blessé son égo et son orgueil. Sa vue ne voyait plus. Ses épaules fines et douces sur lesquelles il avait tant de fois apposé ses mains comme une preuve de la protection qu’il avait pu lui offrir à l’époque. Ses mains ne caressaient plus ses longs cheveux brillants, ses joues rosies, ses lèvres carmin et sa jugulaire tendue en une offrande pour qu’il y dépose les plus envoûtant desseins. Roman n’était plus et ne serait plus jamais. Il avait succombé à l’agonie et détruit le pêché éternel qui lui avait permis de conquérir monts et disgrâces. L’homme à la carrure si imposante reposait sur des ruines néfastes dans lesquelles il avait enfoui toutes ses plus viles passions et attirances. Roman ne voulait plus vivre dans l’espoir mais voulait redevenir celui qu’il était auparavant. Cette belle époque où il se trouvait à l’université pensant qu’il créait son monde idyllique et avait à ses côtés, toutes les belles successions des plus hauts seigneurs de ce monde. Zadig, Alexander, Alejandro, Eileen… Oui, sa belle Eileen, celle qui avait détruit en un touché habile de la gâchette, toutes ses espérances et l’homme puissant qu’il était devenu au fur et à mesure des années à se murger dans une opinion si haute de lui même qu’il frôlait la skyline. Habile et dangereux, il avait été un démon pris au piège de sa propre assurance et certitude et aujourd’hui, il regrettait tout sans jamais en avoir émis un mot. Dans le monde confiné et solennel de l’empereur de Vegas, il couvait son regard sur cette puissance qu’il désirait atteindre tout en observant, impuissant, les icebergs de nacre couverts de vitres, qui s’entremêlaient à la voute céleste et le flou des vagues de sable du désert qui s’échappaient dans les plus belles hauteurs. Vegas toute princière, Vegas aux portes d’un enfer cuisant. Vegas avec elle mais sans sa présence. A qui la faute. Vous devriez me remercier de lui avoir apporter plus d’attention que vous ne le ferez jamais. Votre fille aurait dû être plus cadrée. Si ce n’avait pas été moi et si je n’avais pas été là, qui sais ce qui aurait pu lui arriver. Elle a une tendance fâcheuse à se fourrer dans des histoires qu’elle ne peut contrôler malgré ce qu’elle peut en penser. Où était-il à ce moment là ? Ce père arrogant, froid comme une statue de pierre, un masque percé sur sa peau laiteuse et siphonné par les cigarettes qu’il allumait une à une dans son bureau. Si dehors la canicule empêchait toute âme qui vivait de rester des heures à l’extérieur, Roman sentait le froid de la tension immiscée entre eux, désintégrer la chaleur de ses membres. Il le poignardait de ses rétines grises sans même qu’il ne daigne paraître plus clément. Roman se foutait bien de l’arrogance qu’il déployait dans ses paroles puisqu’elles n’en étaient pas moins, d’une franchise imparable. Gregory Rosenbach l’avait bien senti puisque lui-même s’armait de son plus grand sang-froid malgré un jeune imbécile suffisant, planté là à lui faire la morale. Il avait raison… En quelque sorte. Il est évident que ces leçons sont dispensés par un maître dans l’art de faire dans la dentelle. Impertinent, son ton froid et cadré dans le seul but de ne pas se laisser démonter témoignait de son empressement à mettre fin à cette discussion qu’il ne voulait avoir en aucun cas. Tout ce qu’il souhaitait, c’était retrouver Eileen dans un but inespéré. Il se redressait sur son fauteuil puis se levait, n’appréciant pas le ton que prenait la discussion et l’immense autorité que l’homme apposait sur lui comme pour lui montrer qu’il pouvait à tout moment le faire plier. Le roi de Vegas pouvait lui parler de leçon de rhétorique et du monde du pouvoir mais l’aristocrate ne pouvait se vanter de jouer en conséquence des lois et des bonnes manières. Rosenbach était connu et non pour sa manière de jouer avec délicatesse. Ecoutez, vous ne me connaissez pas. Mais moi je vous connais. Vous pensez que je suis quelqu’un d’arrogant, qui a toujours tout eu et qui agira toujours sans se soucier des conséquences de ses actes car en réalité, on en a rien à foutre. On peut dilapider notre argent et on sait qu’une liasse de billets vert résoudra toutes les merdes de ce bas monde. En réalité vous ne savez rien. J’ai dû m’occuper de votre fille quand je devais aussi gérer une sœur anorexique qui a passé plus de temps de sa vie dans un centre pour jeune fille à problème qu’à jouer la pompom girl comme toutes les filles de son âge. Mon frère a disparu pendant deux années entières et même si c’est moi qui ait retrouvé notre père mort sur le plancher de la cuisine, c’est encore moi qui ait dû soutenir notre mère depuis toutes ses années car elle ne s’est jamais remise de sa mort. Comprenez moi bien, vous avez un empire à gérer mais moi en plus de ça j’ai ma famille à m’occuper et ça je peux vous dire que vous ne savez clairement pas ce que c’est alors épargnez moi vos belles leçons d’humilité et vos belles paroles sur ce que c’est que d’être un homme. Roman avait hurlé, sa mâchoire se décrochant de son visage pendant que les nerfs obliquaient vers le haut, le regard tendu, les poings serrés, la tension au plus haut point. Si jusque là, il avait montré son sang-froid, il n’en était plus. Roman ne s’était jamais plaint de sa vie et avait toujours fait ce qu’il pouvait pour réguler ses affaires tout en aidant sa famille qui n’avait pas suivi ses ambitions. Mais aujourd’hui tout détonait et il voulait hurler. Roman n’était pas un homme bon mais il faisait ce qu’il pouvait depuis toujours avec la force d’une seule personne pour conquérir Playboy, continuer à faire prospérer un magazine aux milliards de dollars de recette et en aidant une famille chancelante. La vie ne lui avait pas apporté que de belles notes et ça il tenait à le souligner malgré son silence depuis toutes ses années. Votre fille ne sera jamais plus en sécurité qu’avec moi. Qu’il disait, la voix armée à toutes nouvelles répliques cinglantes. Mais au lieu de ça, Gregory lui offrait les clés de son sésame, sa libération. Ce pour quoi il était présent dans son bureau. C’était plus qu’une suite luxueuse que tous les plus grands désiraient obtenir. C’était la considération du shaman de la ville, sa bénédiction la plus sincère quand bien même leur relation en avait été affectée dès le début par la fierté qu’ils détenaient tous deux. Puis, pour énième surprise, l’homme lui intimait de se rendre au coffre et de taper la date de naissance d’Eileen facile, dérisoire. Mais Roman se questionnait, l’observait comme il l’incitait du regard à suivre ses directives. D’un semblable accord, l’apprenti suivait les conseils du maître et s’emparait finalement de la mallette cachée dans le cadre de bêton pour y déceler argent et arme. Depuis le début, Roman s’était juré de ne plus jamais la mêler au pire. Il n’était pourtant pas le mieux pour elle mais au moins, ils pouvaient tous les deux se soutenir dans leur envie d’arpenter de meilleurs destinées de fortune. Merci. Il n’y avait pas de poignée de main qui les accordaient ni de sourires immenses et d’encouragements exaltant. Pourtant, ils s’entendaient. Roman, après un léger signe de tête, le visage toujours calé dans ce marbre de volonté acharnée, disparaissait à travers la porte et accélérait le pas jusqu’à courir. Pour la rejoindre.[…] La table aux tapis vert résonnait sous les coups de poings enragés des adversaires d’une meilleure prédatrice. La partie s’était finie, les cartes étaient retournées et deux hommes se redressaient, montrant leur imposante stature sous les chemises amidonnés d’un faux luxe prétentieux. Dans l’espace prodigieusement éclairés de cristaux suspendus au plafond, elle était là, de dos, observant les deux énergumènes la pointer du doigt pour tenter de l’embarrasser et mépriser sa victoire en insultant sa beauté irrévérencieuse. Roman n’avait pas besoin de voir son visage pour savoir qu’elle répondait à leur manque de respect par un sourire prodigieusement méprisant et amusé. Une main se redressait et Roman l’interceptait à la base du poignée au moment où le pire allait se produire. Tu ferais mieux de me laisser la place avant que je te t’abattes toi et tes deux chiens. Qu’il disait en s’adressant à lui si près que personne ne pouvait réellement entendre ce que l’homme qui venait d’apparaitre dans son plus bel aparas venait de siffler entre ses lèvres. L’arme de Gregory Rosenbach était braquée contre son flanc dans le plus secret des pans de son costume. Il appuyait fermement le canon sur la hanche de l’homme pour le faire céder. Après une altercation où le silence pesant grisait l’univers emblématique des jeux rutilants, il décidait de s’en aller, aboyait quelques mots à ses acolytes pour leur ordonner de le suivre et crachait des titres de vengeance sans pour autant que le Da Russo ne l’écoute d’avantage. Lui prenait la nouvelle chaise disponible devant des joueurs qui attendaient depuis plus d’une heure de prendre une place qui se libérerait à la table des plus grosses fortunes. Là où les conséquences d’une perte pouvaient tout vous prendre. Roman observait les jetons qui s’amassaient devant lui et jetait deux liasses de billets pour suivre l’entrée de jeu et la première mise. Son regard brun se redressait enfin et percutait celui d’Eileen, fixé sur lui depuis son arrivée triomphale pour la délivrer des mauvaises mœurs de la plèbe qui se prenait pour des rois. Du champagne mademoiselle Rosenbach ? Qu’il disait avec un sourire confiant et charmeur pendant qu’il prenait deux coupes posées sur le plateau d’un serveur qui venait de se pencher près de lui. Il se levait, se foutant de faire perdre du temps à ses adversaires et lui offrait le millésime en se penchant à sa nuque. Je gagne et tu montes avec moi dans la suite. Impérieux, Roman imposait ses conditions et n’acceptait aucune réponse négative de la part de la jeune femme. Il voyait Eileen comme pour la première fois, domptée aux vices les plus chatoyants, droguées aux substances les plus électrisantes, éternellement libre et à jamais sienne. Roman déposait un léger baiser sur sa nuque en la plus belle des provocations et retournait à sa place tout en l’observant. Que la partie commence.


Il l'avait finalement retrouvé, dans le confin de son intimité, dans l'antre de son enfance, toujours attablée aux mêmes vices. Ils avaient finit cette nuit ensemble où il avait joué tout ce qu'il possédait pour la récupérer afin qu'elle ne finisse plus jamais, dans les draps d'un autre homme que lui malgré le mal qu'ils s'étaient infligé tous deux. Pourtant, les mois qui avaient suivi n'avait pas améliorer leur relation. Les deux amants maudits. Roman devait penser à son avenir et il se trouvait dorénavant à Paris, la ville lumière, l'aube d'une nouvelle ère pour son magazine. Elle le suivait ou tout était finit. Peut-être que s'éloigner de leurs points d'ancrage leur permettrait de tout recommencer. Elle avait hésité et ne l'avait pas suivit alors il avait rejoint son cousin Adam et avait posé ses valises chez lui. Des semaines s'étaient écoulées et elle n'était pas venue alors il tournait la page. Il enchaînait de nouveau ses mauvaises habitudes, reprenait ses nuits aux côtés de nouvelles sylphides, noyait le manque dans un nouveau millésime parisien. Il n'y aurait plus d'Eileen et Roman, il y aurait un nouvel homme, destiné uniquement aux biens de son entreprise et qui reprenait peu à peu, les rênes de sa vie, Roman Da Russo l'homme d'affaire le plus en vogue depuis des années, inscrit au sésame de Forbes, le célibataire le plus convoité. Après des années aux Etats-Unis il ouvrait son siège à Paris et tirait un trait sur ses souvenirs d'antan...


©️ Grey WIND.


de paris à chez moi, il n'y a qu'un pas

PSEUDO/PRÉNOM : Laura. ÂGE : 23 ans. SEXE : Féminin. VILLE : Paris. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Avec deux copines on avait besoin de se trouver un forum ^^. COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : via Bazzar. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 6/7 jours. UN DERNIER MOT ? Je veux plein de liens alors n'hésitez pas à m'envoyer des MP  Playboy's power (roman da russo) 519489317 .


Code:
[color=#D04040]● [/color][b]Jon Kortajarena[/b] aka [i]Roman Da Russo[/i].
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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty3/12/2016, 18:27

*Mort Cérébrale Déclarée* HIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! Tu as finalement choisi Jon Playboy's power (roman da russo) 546338362 Playboy's power (roman da russo) 3266830546 Playboy's power (roman da russo) 2499511796 Playboy's power (roman da russo) 3938161689
Hâte de voir ce que tu vas créer autour de ce perso :D Promis juré, je vais lire avec le plus grand intérêt ce qui va suivre afin de trouver une idée pour un lien (et j'ai déjà une touuuuute petite idée au vu de son job ^^).
Bon courage pour la partie "Biographie" de la fiche de Roman Playboy's power (roman da russo) 2928736218 Playboy's power (roman da russo) 105049818 Playboy's power (roman da russo) 3725005218
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Jaesun Chesnais
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PSEUDO : fantasy.


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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty3/12/2016, 19:57

bienvenue beauté. jon est vraiment super canon Playboy's power (roman da russo) 2792054981
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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty3/12/2016, 22:03

cet homme Playboy's power (roman da russo) 2956393769

et puis le caractère, j'adore sérieux Playboy's power (roman da russo) 2608297218

bienvenue dans ta maison parisienne Playboy's power (roman da russo) 904135870

si tu as besoin, le staff est toujours dans les parages Playboy's power (roman da russo) 2792054981
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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty4/12/2016, 11:58

"(...) mais amoureux de sa carrière. " et d'eileen surtout Playboy's power (roman da russo) 1108320420 tellement heureuse de retrouver romaleen Playboy's power (roman da russo) 2792054981 , il est toujours aussi beau -et imbuvable- seigneur da russo Playboy's power (roman da russo) 4199922774
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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty4/12/2016, 13:56

Ce qu'il est beau Playboy's power (roman da russo) 2823496254
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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty4/12/2016, 14:20


Damn, j'adore le boulot et le caractère de ce sieur. .w.
Hâte d'en lire un peu plus à ce sujet ! Bonne continuation pour ta fiche du coup, et bienviendue parmi nous \o/
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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty4/12/2016, 17:06

ça envoie par ici Playboy's power (roman da russo) 4140893755
bienvnue sur paname mon gars, bonne chance pour ta fiche Playboy's power (roman da russo) 3349836781
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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty5/12/2016, 10:18

jon omg omg omg Playboy's power (roman da russo) 4140893755 lien avec ma blanca, genre obligatoire Playboy's power (roman da russo) 577205912
bienvenue chez toi chaton et bonne chance pour ta fichette Playboy's power (roman da russo) 2823496254 n'hésite pas à harceler le staff en cas de besoin, on est là pour toi Playboy's power (roman da russo) 904135870 Playboy's power (roman da russo) 2792054981 Playboy's power (roman da russo) 2608297218
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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty5/12/2016, 11:40

Merci à tous et avec grand plaisir pour les liens Playboy's power (roman da russo) 1763687834 Playboy's power (roman da russo) 3266830546
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Théoxane Fournier
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JE RESSEMBLE À : esti ginzburg, la magnificence.

CRÉDITS : ecstatic ruby (avatar) + moi (signature).

PSEUDO : anaëlle.


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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty5/12/2016, 13:41

JON
JON
JOOOOOON
Playboy's power (roman da russo) 4140893755 Playboy's power (roman da russo) 4140893755 Playboy's power (roman da russo) 4140893755
quel choix parfait. Playboy's power (roman da russo) 2608297218
je te souhaite un immense bienvenue à paname, en espérant que tu te plaises parmi nous. Playboy's power (roman da russo) 2823496254
et en cas de besoin, le staff est à ton entière disposition alors n'hésite pas. Playboy's power (roman da russo) 519489317
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Billie Carpentier
Billie Carpentier
shalimar de guerlain

JE RESSEMBLE À : taylor marie hill.

CRÉDITS : moi (avatar), moi (signature).

PSEUDO : anaëlle (ou isamongus, cf. alana et cam - nan j'balance pas, salut). sinon les intimes m'appellent bilal - même si j'm'appelle pas bilal (svp cherchez pas).


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MessageSujet: Re: Playboy's power (roman da russo) Playboy's power (roman da russo) Empty7/12/2016, 21:40

d'abord, je suis TROP FAN de ton personnage (oui, j'adore les cons, c'est un problème je sais Playboy's power (roman da russo) 2705890437 Playboy's power (roman da russo) 1627341585). ensuite... dieu que tu écris bien. Playboy's power (roman da russo) 4140893755 c'est un réel plaisir de te lire. Playboy's power (roman da russo) 904135870 je suis ravie que tu aies choisi lbd pour nous faire profiter de ce perso haut en couleurs. Playboy's power (roman da russo) 577205912 j'ai hyper hâte de voir ce que ça va donner (et d'ailleurs je viendrai sûrement de quémander un lien avec l'un de mes personnages Playboy's power (roman da russo) 3349836781). bref, tout ce blabla pour dire que c'est avec plaisir que je te valide. Playboy's power (roman da russo) 3938161689


Tu es officiellement validé(e)

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. Playboy's power (roman da russo) 2216051792 maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. Playboy's power (roman da russo) 1566817690 tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. Playboy's power (roman da russo) 904135870 en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien Playboy's power (roman da russo) 1763687834 - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. Playboy's power (roman da russo) 1435006887 t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? Playboy's power (roman da russo) 599391642 alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. Playboy's power (roman da russo) 3349836781 ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. Playboy's power (roman da russo) 3452552957 et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous ! Playboy's power (roman da russo) 1111277246
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