NOM : Helliot. PRÉNOM : Alyssia . SURNOM : Lily. ÂGE : vingt-cinq ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : sept décembre à Paris. ORIGINES : espagnole. ORIENTATION SEXUELLE : hétéro. STATUT CIVIL : célibataire. ÉTUDES/MÉTIER : serveuse + passe son bac par correspondance. PASSION(S) : la musique et le théâtre. GROUPE :black opium de ysl. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé.

CARACTÈRE : persévérante, beaucoup trop franche, vulgaire, flemmarde, immature (par moment) . TICS ET TOCS :  ne part pas de chez elle sans avoir bu deux cafés. (+) boit toujours une bière après être rentrée du boulot avec sa colocataire. (+) ne quitte jamais son portable. (+) fume parfois (tout le temps) des joints pendant ses services. (+) joue beaucoup trop aux jeux vidéos. (+) est vraiment jalouse du succès de sa colocataire auprès des hommes. (+) à longtemps voulu faire de la radio avant d'abandonner. (+) ne sait pas aligner trois mois en anglais. (+) n'a pas le permis mais est en train de le passer. (+) s'amuse à hurler en franglais dans la voiture des qu'une chanson qu'elle aime bien passe à la radio. (+) s'occupe de sa petite sœur depuis trois mois. (+) n'ose pas dire à son père qu'elle n'y arrive pas et qu'elle à besoin d'aide. (+) en veux terriblement à sa mère. (+)

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? ma maison. C'est bête comme réponse, je sais mais j'adore être chez moi bien au chaud devant la télé. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? On est à Paris! Tout est possible. Tout est permis. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? le métro. C'est une véritable torture pour moi de devoir me frotter aux gens. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : folle. joviale. surprenante. .

- Alors, elle te plaît ta vie ? T'es heureuse comme ça ? T'aime te lever chaque matin ? C'est ce dont tu rêvais ? Comment tu fais pour être aveugle comme ça , je te jure, je comprends pas.

- Je suis plus heureuse depuis un moment en fait. Je fais semblant. J'essaye de me persuader que je vais bien, peut-être que comme ça je finirais par y croire, parce que je veux vraiment croire en ça. C'est la seule raison qui fait que je tiens encore debout aujourd'hui et même si c'est dur, même si ça me fait un mal de chien, ne m'enlève pas ça, j'en ai besoin tu comprends ?

- Et comment c'est devenu comme ça ? A quel moment t'a arrêtée de te sentir bien ? Tu l'as déjà été au moins ?

- Putain, ouais. J'avais tout pour l'être. Une famille géniale avec une sœur adorable et un grand-frère tellement gentil que je ne les changerais pour rien au monde, des parents exemplaires qui ont toujours sût trouver les mots et les gestes et puis, je l'avais lui... Il était tellement gentil, drôle, intelligent et beau que j'avais une chance incroyable de l'avoir. Je me demande encore parfois comment et pourquoi il est tombé amoureux de moi. Mais la belle vie, c'est éphémère, tout fini par s'arrêter un jour. Au départ, c'est mon père qui est parti, avec la cousine de ma mère. Pas banale comme situation, je sais. J'avais neuf ou dix ans et je prenais pour la première fois des anti-dépresseurs, je commençais plutôt bien mon adolescence. Je n'en voulais pas spécialement à mon père bizarrement. J'étais blessée, j'avais l'impression qu'on m'arrachait le cœur, cette fille c'était comme une sœur pour moi et elle nous avait trahi, c'était à elle que j'en voulais. Mais la personne a avoir le plus mal réagi c'est bien entendu ma mère. Ma pauvre maman... Elle a tentée de mettre fin à ses jours après cette histoire et heureusement pour nous, elle à foiré. Mais cette plaie est restée ouverte en chacun de nous. Je me rappelle encore les cris, les appels des pompiers pour la réveiller, les longues heures d'attentes pendant qu'elle était dans le coma. Trente-quatre heures. Trente-quatre putain d'heure c'est terriblement long. J'ai vu mon père pleurer pour la première fois ce jour-là et puis il est revenu à la maison avec maman. Tout se passait pour le mieux entre eux, j'étais aux anges. C'était à mes yeux, l'exemple que je voulais suivre. Ils se sont rencontrés quand ma mère avait quatorze ans et mon père dix-sept ans personne ne leur donnais plus de trois mois et ils les avaient surpassés. J'étais fière d'eux... Quelques années plus tard, j'ai fait la rencontre qui a changé ma vie. Au sens propre du terme. J'ai rencontré l'homme de ma vie, celui dont je rêvais gamine, celui qui six ans après garde une place énorme dans mon cœur. Celui que j'attendrais contre vents et marées. On s'est rapidement mis ensemble tous les deux, on était destiné à être ensemble, on le sentait au plus profond de nos êtres, mais ma jalousie maladive est venue à bout de notre couple un peu avant nos un an. Le sept décembre deux-milles onze très précisément à trois heures quatorze du matin. Cette date te dis un truc, non ? Le jour de mon anniversaire. Mes dix-sept ans. J'ai cru mourir ce jour-là. J'ai cru que rien ne pourrais jamais effacer cette douleur et puis au final, j'avais raison tu vois. Rien ne l'a effacée. Cinq ans après notre séparation je suis encore là, à attendre. Personne n'a réussi à prendre sa place dans mon cœur. C'est pas ma faute, j'ai essayée je te promets, mais ça marche pas. Je crois que je passerais ma vie a être amoureuse de lui. Pour toujours et à jamais. Mais bien sûr l'histoire ne s'arrête pas là. Ce serait un peu trop simple et chez moi rien n'est jamais simple. Mes parents ont décidé d'un commun accord de se séparer il y a trois ans. J'ai mis du temps à l'accepter, mais je l'ai fait, ils sont fait pour être ensemble. Papa c'est papa. Il a pas mis longtemps à se retrouver quelqu'un et quand ça allait plus, partir pour en retrouver une autre aussi sec derrière. Mais pas maman. Elle, elle est pas comme ça. Elle attendait papa, comme moi je l'attends. Elle savait qu'ils finiraient par se retrouver. Je suis retournée vivre avec elle, pour m'occuper d'elle et de ma sœur. La première séparation m'avais servi de leçon et je préférais resté auprès d'elles... Au cas où. J'enchaînais alors mon boulot de serveuse, dans un restaurant que je ne supportais plus au bout de deux ans et ma petite vie à la maison. C'était nous trois contre le monde. Entre filles. Mon frère avait trouvée sa chérie et m'avais fais deux neveux adorables. Et puis au bout d'un an mon indépendance me manquais alors j'ai repris un appartement en colocation avec une collègue, tout se passerais bien. Elles s'en sortiraient et puis je n'habitais pas bien loin après tout. Un mois après mon départ, ma sœur m’annonçais que ma mère s'était barré depuis une semaine sans lui laisser de course ou d'argent. Je me débrouillais du mieux que je pouvais pour nourrir ma sœur et m'occuper d'elle. Ma mère est rentrée au bout de deux semaines et quand je lui ai demander si on lui avais manquer, elle à seulement marmonner un « mouais... Bon ok j'ai un copain. » Le choc. Le double choc. La claque dans la gueule. Elle qui me certifiais il y a même pas un mois qu'elle était mieux seule etc. La pilule à été un peu dur à avaler pour ma frangine et moi. On à un peu péter un plomb. Notre réaction n'était pas mesurée je le reconnais, mais quand même. Sauf que ma mère à préférée prendre la fuite et partir avec lui. Ça fais deux mois. Deux mois que j'ai plus aucune nouvelle de ma mère, qu'elle refuse de me parler, de m'expliquer les choses. Ma petite sœur est venue rejoindre ma coloc et moi en attendant que mon père puisse prendre un appartement. Je continue de bosser d'arrache pied pour qu'elle ne manque de rien, pour qu'elle ai absolument tout ce dont elle à besoin. Et même si oui, mon père nous aide c'est dur psychologiquement. Je me sens terriblement seule et j'ai peur de la suite. Ta compris, pourquoi je fais semblant ? Regardes moi, j'ai pas les épaules pour ça. J'y arrive pas. Je suis pas assez forte. Alors si la seule chose qui fais que je tiens debout aujourd'hui c'est de croire que je vais bien. Laisse moi. Pose pas de question.

PSEUDO/PRÉNOM : Gaelle/Galuche ÂGE : quasiment 22 ans. SEXE : 50 cm j'suis une fille. VILLE : Dijon. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : parce que... Je vous aimes? COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : j'étais ici il y a un moment mais pour pas mal de raison j'ai du partir et puis... me revoilà plus forte que jamais   . FRÉQUENCE DE CONNEXION : 4/7 voir plus tout dépends du boulot. UN DERNIER MOT ? j’espère que vous m'en voulez pas d'être partie   .

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !