|
|
| Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. | |
| Auteur | Message |
---|
Invité Invité | Sujet: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 30/10/2016, 00:53 | |
|
EMIL KAYSER featuring Amber Liu
NOM : Kayser PRÉNOM : Emil SURNOM : Pour l'instant, ol n'a pas de surnom à proprement parler. Il lui est arrivé d'être nommé•e d'un petit mot gentillet, mais rien n'a jamais été retenu ÂGE : 24 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 18 septembre 1992, Paris ORIGINES : Sa mère est coréenne, son père allemand, ce qui fait donc d'Emil un•e allemano-coréen•ne triplé de la nationalité française ORIENTATION SEXUELLE : pansexuel, tout simplement STATUT CIVIL : célibataire ÉTUDES/MÉTIER : photographe d'art et retoucheur•euse, il lui arrive très souvent de proposer ses services à droite ou à gauche afin d'arrondir les fins de mois, bien qu'ol n'en a pas réellement besoin puisqu'ol à la chance de pouvoir vivre de sa passion PASSION(S) : La musique et le théâtre, Emil ne pourrait pas s'en passer. Lorsqu'ellui n'est pas à la prestation d'un pianiste du coin où en train de se régaler la vue à travers son objectif, ol aime se promener dans des cabinets de découvertes.GROUPE : Black Opium de Y.S.L POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé !
CARACTÈRE : Espace privé, une notion qu'Emil n'a jamais dû apprendre pour ne pas dire qu'ol n'en a rien faire de fourrer son nez dans ce qu'ellui trouve un tant soit peu intéressant, quitte à piéter la vie des personnes tant qu'elles n'ont pas d'importance à ses yeux. Espace privé, une notion qu'Emil n'a jamais dû apprendre pour ne pas dire qu'ol n'en a rien à faire de fourrer son nez dans ce qu'ellui trouve un tant soit peu intéressant, quitte à piéter la vie des personnes tant qu'elles n'ont pas d'importance à ses yeux. Autant dire que des personnes qui l'intéressent, il y en a beaucoup et pourtant peu qui lui donnent l'envie de les immortaliser sur du papier glacé, chose qu'ellui aime par-dessus tout. A la recherche constante de la beauté, qu'ol trouve réellement bien caché dans cette maudite ville puante. Ol échappe au contact des autres par tous les moyens possibles. Pas qu'iel n'aime personne, mais moins Emil se doit de parler, mieux iel se porte. Regarder les gens dans les yeux lui est impossible plus d'une minute et être observé déclenche en ellui un élan de stress qu'ol n'est pas capable de gérer. Cette anxiété, présente à chaque nouvelle situation dont ol n'a pas l'habitude, à chaque imprévu de la vie, lo plonge dans un mutisme dont il lui est difficile de sortir. Evitant ainsi les zones trop peuplées et pleine des déchets laissés sans une once de respect sur le sol, rendant la capitale plus laide encore à ses yeux, ol se force cependant à être assez ouvert pour tenter de comprendre ce que ressentent ses interlocuteurs. Interlocuteurs que jamais iel ne laisse toucher sans une très bonne raison ou sans les connaître depuis un moment. L'idée d'une main moite inconnue sur son bras, d'une poignée de main échangée ou d'une embrassade lo répugne. Pourtant, c'est légèrement différent avec les enfants. Quelque part, ol aime leur innocence et ne peut que leur trouver quelque chose de beau et de réel qu'ellui ne trouve que peu chez les adultes. Ils sont rêveurs et pures. Ils sont également spontanés, mais contrairement à ce que l'on pourrait croire, cela fait plus peur à Emil qu'autre chose. En effet, l'idée que l'on lui balance ses quatre vérités en pleine face le terrifie. Iel n'imagine que trop bien ce qu'ellui peut bien renvoyé aux autres et ol sait pertinemment que cette image froide et parfois même repoussante ne cache qu'un•e lâche qui fuit dès que la situation est trop difficile à supporter. Ellui aime se sentir en sécurité, dans son monde, loin des soucis apportés par la vie en société, mais, ellui a beau se voiler la face, une main douce et connue à peine posée sur épaule ou un doux baiser sur le haut de son crâne ont bien autant d'effet sur lui qu'une douce mélodie tournant à fond sur son téléphone portable et pourtant, personne ne peut nier l'amour qu'ol porte à cette drogue.
TICS ET TOCS : Emil est genderfluid, il ne faut donc pas s'étonner si ellui se présente une première fois à vous en temps que femme, puis en temps qu'homme un autre jour • Ol n'utilise que très rarement le neutre, il choisi le masculin ou le féminin selon son humeur et ses envies du moment • Juste à titre d'information, dans son pantalon se trouve un pénis, et non un vagin, quoique, à la base, il y avait les deux • Emil est atteint•e d'anxiété généralisé. Ol a donc des difficultés à contrôler son inquiétude, une tension musculaire omniprésente, une hypervigilance, un manque de concentration certain, mais également une perturbation du sommeil qui lui cause une fatigue persistante • cette anxiété se traduit par une manie de se planter les ongles dans toute surface de peau découverte, ce qui lui permet de se détendre, un trouble répétitif centré sur le corps, pour y poser un nom un peu plus scientifique • iel a un peu de mal avec les enfants. Ils sont trop collants et bruyants pour ellui, mais surtout, ils sont trop directs et susceptibles, ol ne sait pas leur parler • les pianistes font battre son cœur, littéralement, ellui a un faible pour ces derniers qu'ol trouve magnifiques lorsqu'ils jouent • Emil fume, peu, mais tout de même.
j'envoie des bons baisers de paris
QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Les seuls lieux qu'Emil aime un tant soit peu dans Paris sont le cabinets de curiosité Deyrolle et la Cité Durmr, située dans la rue Oberkampf, là où ol habite QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? l'accessibilité aux différentes galeries est la seule chose qui lui plait dans cette fichue ville ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? le rythme de vie, le bruit, la surpopulation, les touristes, la polution et par dessus tout, le fait d'avoir des voisins irritants POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : éreintante, stressante, bruyante. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 30/10/2016, 00:57 | |
|
être parisien, ce n’est pas être né à Paris, c’est y renaître
Ce fut un matin froid, alors que le lourd brouillard de l'automne qui s'annonçait stagnait à la surface de la terre, qu'Emil naquit. Ellui n'était pas bien beau, comme tous les autres nourrissons, mais déjà il avait ce regard pétillant de curiosité qui tout au long de sa vie lo suivrait. Ses parents, qui avaient rejoint Paris en 1989 suite à la chute du mur de Berlin, étaient plus qu'heureux, ayant désiré l'enfant plus que tout au monde après avoir essuyé les échecs malgré l'intervention de la médecine. Cependant, une petite chose était venue chiffonner le couple. En effet, leur miracle, comme ils aimaient appeler le petit bout de chou qu'ils avaient créé, se trouvait ne pas avoir de sexe bien défini puisqu'ol se trouvait avoir un pénis ainsi qu'un utérus. Dans un soucis de genre et surtout pour éviter de compliquer la vie du fruit de leur amour, ils choisirent de le faire opérer et de ce fait retirer ce qui faisait génitalement d'Emil une femme, ne lo laissant pas le choix que d'être élevé•e comme un garçon dans cette société genrée. Loin de se soucier de ce qu'ol considérait comme un détail, ol grandit perdu dans son monde, comme tout enfant. C'est au début du collège que les choses commencèrent à se compliquer. Aucun cours ne semblait intéressant à ses yeux au point où il arrivait à Emil de sécher les cours. Ol préférait bien rêvasser en observant chaque détail des bâtiments, s'extasiant sur un oiseau dans un arbre plus vert que les autres, appréciant le vent parcourant sa chevelure, le soleil venant caresser sa peau d'une douce chaleur, la neige tombant sur son visage partiellement couvert de son écharpe. Si le monde qu'ol percevait dans le flottement des cheveux et le battement d'aile d'un oiseau était aussi magnifique que cette lueur douce qui flottait au fond de ses prunelles, il n'en était pas de même lorsqu'en cours, iel devait supporter les voix grasses des professeurs et les regards incessants de ses camarades. Il ne se passait pas un jour sans qu'une remarque ne soit faite sur son visage pourtant loin d'être laid à regarder, sur ses origines, sur sa taille, mais également sur son corps frêle et androgyne et s'ol faisait de son mieux pour passer au-dessus de ces moqueries, l'âge ingrat de l'adolescence fit en sorte que peu à peu, une angoisse prenne place dans les gestes, mais également le comportement du né hermaphrodite. Emil était aussi féminin que masculin, mais s'imposa également à iel la question de l'orientation sexuelle. Il n'aimait pas particulièrement qui que ce soit, mais il lui fallut bien se rendre compte que les filles n'étaient pas les seules à l'intéresser. Les garçons lui plaisaient tout autant, mais ce n'était pas tout. Chez chacune des personnes qu'ol croisait, ol voyait un charme qui rendait unique celui ou celle qu'ol regardait. Entre son anxiété, les regards et le modèle absent dont iel aurait eu besoin, Emil se renferma sur ol-même, créant un fossé entre les autres et ellui, se plongeant dans la contemplation silencieuse du monde qui l'entourait. Le temps passait lentement et inlassablement les années s'écoulèrent, plongeant Emil dans un mutisme dont s'inquiétait ses parents qui, impuissants face à son comportement, ne trouvèrent que la solution de lui faire intégrer un collège privé lorsqu'ellui entra en troisième. Le changement fut tout d'abord une grande source de stresse pour Emil qui, bien incapable de s'adresser aux autres sans avoir la peur de se faire juger pour un oui ou un non, se retrouva seul•e. Ellui eut cependant la chance de croiser la route d'un jeune homme en sortant de son établissement, un soir semblable aux autres. Il l'observait fixer quelque chose dans l'herbe, à travers l'objectif d'un appareil photo. Curieux•se, Emil s'approcha de la personne, restant tout de même à une distance respectable, n'osant point interrompre le jeune garçon aux cheveux d'un châtain presque roux grâce aux derniers rayons de soleil. Iel aimait cette éclat et alors qu'ol fixait le garçon d'au moins 18 ans, celui-ci l'interpella, souriant, d'une voix douce qui fit presque frissonner Emil :
« Je ne vais pas te manger, approche si tu veux venir voir. »
Tout d'abord sur ses gardes, ellui s'approcha timidement pour venir placer son visage par-dessus son épaule, s'apercevant de la beauté de la fleur qu'il tentait de prendre. Iel trouvait ça génial, tous ces détails, mais également cette finesse dans la manière de se servir de la lumière environnante pour donner des effets bien particuliers et une ambiance chaude à la photographie. Dire que ses yeux pétillaient devant tant de ce qu'il appelait 'beauté', le plus âgé ne put que se résoudre à le prendre sous son aile et lui apprendre ce qu'il savait. Emil ne comptait plus les fois ils étaient partis, ensembles, sur un coup de tête, à la recherche du lieu parfait pour une série de photographies. Cette période prit fin lorsqu'ol arriva au lycée et que l'inconnu qui n'en était plus réellement un parti étudier à Lille. Comme au revoir, il lui avait offert son appareil photo fétiche et Emil avait même accepté de lui faire un câlin, chose assez exceptionnelle puisqu'iel faisait de son mieux pour éviter les contacts physiques qui lo mettaient plus mal à l'aise qu'ils ne le•a dégoûtait réellement. Avec l'absence du désormais étudiant, son anxiété avait été retrouvée. Son cheminement habituel perturbé par cette séparation qu'ol percevait comme une perte et par son entrée au lycée, plus personne ne comptait les crises de panique qu'ellui avait fait le matin avant de partir, ratant ainsi de nombreuses journées de cours. Peu à peu, Emil trouva cependant un rythme de vie et même s'ol n'était pas du tout à l'aise en cours, ol faisait au moins l'effort d'y participer, pour ses parents, mais également pour réaliser un rêve qui peu à peu venait envahir son esprit. Il voulait devenir photographe. Ellui en était sûr•e et certain•e. Cette décision dont iel fit part à ses parents au milieu de son année de seconde rompit un équilibre qui avait toujours été plus bancal qu'il n'en avait l'air, faisait du monde doux et protecteur qu'était la maison familiale un monde de tension et d'incertitude. Ol ne se sentait plus soutenu•, plus écouté•e, et si ses parents avaient fini par accepter, avec plus de mal qu'ils en l'avaient montré, sa féminité toujours présente malgré sa soit-disante masculinité et son désir pour tous les types de personnes, ils n'étaient pas prêts à laisser leur enfant se lancer dans une carrière si incertaine. Ils souhaitaient un métier où ellui gagnerait bien sa vie, où ellui pourrait construire une famille, avoir un avenir certain et doux. Alors une tension était née et de nouveau, perturbé•e par l'effondrement de ce monde lumineux qui avait toujours régit les lois de son propre mode de pensées, ol commença à fuir le domicile, à la recherche d'une nouvelle accroche. Emil en fut peu à peu certain. Si le monde 'sombre', comme ellui aimait l'appeler, lui était des plus attirants, qu'ol ne pouvait s'empêcher d'observer le mal d'un œil curieux et passionné, ol avait le besoin de se raccrocher à quelque chose pour ne pas se perdre de vue. Et cette chose en question fit son apparition pendant l'hiver de son année de première. Elle était assise sur un banc, sur le trottoir faisant face au jardin qu'ellui avait pris l'habitude de côtoyer, emmitouflée dans son châle sombre qui donnait à sa peau claire une dimension irréelle. Elle ne portait qu'une jupe d'un bleu pâle et une chemise noire qui s'ouvrait sur des clavicules saillantes. Ses mouvements étaient fluides et gracieux, tout chez cette jeune femme aux cheveux d'un blond presque blanc donnait l'impression qu'elle n'appartenait plus à ce monde depuis bien longtemps. Ce qu'aimait le plus Emil chez cette jeune femme, c'était ses mains. Elles étaient presque livides et on y voyait de plus en plus clairement les os au fil des semaines qu'ol passait à l'observer. Elles portaient du rouge à chaque articulation, seule couleur chaude qui rappelait qu'elle était belle et bien vivante parmis les veines bleues qui sillonnaient ses poignets tellement fins qu'ils ressemblaient à ceux d'une poupée de porcelaine. Son corps entier semblait pouvoir se briser à la moindre brise et tous les jours, Emil s'attendait à ne plus la voir assise sur ce même banc, emportée par les lois de cette nature qui rendaient toute présence éphémère. Emil en était tombé amoureux, mais ce n'était pas l'amour que l'on pouvait porter à une amante, c'était celui, bien plus obscure et pure de l'obsession, d'une figure divinisée qui hante les rêves.Alors, jours après jours, ellui la prenait en photo, si bien qu'ol ne pouvait que remarquer la maigreur de ses mains pourtant si parfaites à ses yeux. La fin de son année fut cependant marquée par une soirée plus chaude que les autres. Comme toujours, ils se trouvaient tout deux à l'emplacement qu'ils côtoyaient depuis maintenant une année entière. Le soleil venait caresser les courbes du corps maintenant maladif et cadavérique de la jeune femme qui portait une robe blanche, lui donnant un air plus spectral que toutes les fois où Emil l'avait vue.Alors que, de nouveau, son regard épousait chaque détail de peau à découvert à travers son objectif, elle releva le visage pour lui sourire. C'était la première fois. La première fois qu'elle l'observait. La première fois qu'elle lui souriait, mais également la dernière fois qu'il la verrait, Emil le savait, à son regard illuminé d'une lumière qu'ellui n'avait jusque là jamais pût observer. C'était une lumière aussi belle que pénible à regarder. On pouvait y voir de l'amour pour le monde, un désir de vivre, mais par-dessus tout, on pouvait y voir de l'amertume, de la tristesse et un abandon qui brisa quelque chose en ellui. Ils se fixèrent ainsi jusqu'à ce que la lumière du jour décline, puis, dans un geste lent, elle se leva et sans jeter un regard de plus en arrière, s'aventura dans les rues maintenant illuminées de lampadaires autour desquels voletaient des dizaines de papillons de nuit. Ol était resté•e planté•e ici un long moment, perdu•e dans ses pensées, puis iel était rentré•e pour se coucher directement, sans un mot pour qui que ce soit. En ellui s'était réveillé un désir fou de vivre, une rage contre cette vie rendue aussi magnifique que terrifiant de par sa fragilité. Partagé•e entre la peur, l'angoisse, la souffrance d'un repère brisé et de cette beauté fugitive qui avait le goût affriolant du danger, Emil avait l'impression de devenir fou•folle. Comme un torrent, ce soir là, iel avait laissé ses larmes couler jusqu'à assécher ses prunelles qui se fermèrent sur de songes merveilleux peuplés de la jeune femme. Les événements s'enchaînèrent bien vite à partir de ce jour. Déjà ol avait passé son bac et s'était inscrit dans une école de photographie, bien décidé•e à suivre ses rêves et à vivre comme bon lui semblait. Quelques années plus tard, ol sortait, diplômé. Un travail dont ellui avait toujours rêvé en poche, Emil était de retour sur ce banc, son cher appareil photo posé sur ses genoux, à observer ce qui autrefois avait été la place de son désir. Du bout du pouce, ol vint caresser la machine dans un geste rêveur et doux. Beaucoup de choses avaient changées, mais pourtant, rien ne semblait définitivement différent de ces jours. Emil était toujours lo même. Rêveur•se et silencieux•se. Anxieux•se et tourmenté•e. Et le monde à ses yeux restait un chaos inchangé et inchangeable.
de paris à chez moi, il n'y a qu'un pas
PSEUDO/PRÉNOM : Allister ÂGE : 16 ans SEXE : masculin VILLE : les Ardennes, ça vous dit quelque chose ? :'D RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Le forum est beau, les gens ont l'air cools, ça m'a tout simplement donné l'envie... COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : Dante ! FRÉQUENCE DE CONNEXION : Hum... Sûrement tous les jours mais de façon rapide UN DERNIER MOT ? J'aime être frappé ♥ - Code:
-
[color=#D04040]● [/color][b]Amber Liu[/b] aka [i]Emil Kayser[/i]. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 30/10/2016, 09:40 | |
| Bienvenue, Amber est très jolie Bonne chance pour ta fiches, si tu as des questions n'hésites pas à venir nous voir |
| | | Jaesun Chesnais l'elixir de nina ricci JE RESSEMBLE À : jeon jeongguk CRÉDITS : sv. (avatar) jecn (gifs signature) anaelle (code signature) | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 30/10/2016, 09:42 | |
| OMG AMBER *.* quel choix. C'est cool que tu aies suivi Dante ! J'espère que tu te plairas ici ! Je viendrais sûrement te quémander un lien Bienvenue sur LBD et bon courage pour le reste de ta fiche |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 30/10/2016, 10:44 | |
| |
| | | Théoxane Fournier eau de toilette JE RESSEMBLE À : esti ginzburg, la magnificence. CRÉDITS : ecstatic ruby (avatar) + moi (signature). | | | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 30/10/2016, 20:44 | |
| bienvenue à toi parmi nous, bon courage pour ta fiche et comme dit, n'hésite pas à nous siffler si tu as la moindre question/le moindre problème. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 30/10/2016, 21:02 | |
| Je connaissais pas Amber mais elle est toute mignonne. Et j'aime tellement ton personnage ! Je vais probablement devenir une grande admiratrice. Bienvenue par ici ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 31/10/2016, 00:46 | |
| bienvenue ici, j'aime beaucoup ton pseudo, n'hésites pas à solliciter le staff si besoin :heart: |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 31/10/2016, 03:32 | |
| bienvenito par ici très chère ! n'hésite pas à venir sonner le staff si tu as une question ou simplement envie de discuter, nous sommes là pour ça ! bon courage pour la suite de ta fiche ! |
| | | Emma Lecomte eau de toilette JE RESSEMBLE À : magda zalejksa. CRÉDITS : hedgekey (ava), tumblr (gif), quiet riot (sign), alcaline (icon). PSEUDO : flingueur. (mais on m'appelle lily dans le stème-sy) | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 1/11/2016, 18:53 | |
| - Florian Juliard a écrit:
- Et j'aime tellement ton personnage ! Je vais probablement devenir une grande admiratrice.
tout pareil. bienvenue ici ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 2/11/2016, 16:19 | |
| Welcome !! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 3/11/2016, 19:44 | |
| bienvenue ici |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 5/11/2016, 22:06 | |
| bienvenue dans ce monde de fous ton personnage a l'air fort intéressant si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à contacter le staff |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 6/11/2016, 04:39 | |
| Merci beaucoup à vous tous, ça me touche d'avoir un si bon accueil... ;; Désolé de ne répondre que maintenant, mais j'ai mis du temps à pondre ma fichue histoire. :') Jaesun : Ce sera avec plaisir que j'accepterais le lien si tu viens en demander un~ Florian/Emma : Nyuh, ça me gêne, mais je suis flatté... Jade : Merci infiniment, j'espère que la suite te plait tout autant... |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. 6/11/2016, 21:17 | |
| han cette histoire est trop touchante et tu as une jolie plume Tu es officiellement validé(e)
bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous ! |
| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. | |
| |
| | | | Emil Kayser ► Rien ne coûte plus à l’homme que de suivre le chemin qui mène à lui-même. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|