NOM : levy. PRÉNOM : noam. SURNOM : no ÂGE : vingt-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : vingt-deux décembre mille neuf cent quatre-vingt treize à bradford. ORIGINES : anglaises du côté de son père, françaises du côté de sa mère. ORIENTATION SEXUELLE : homosexuel. STATUT CIVIL : coeur brisé et briseur de coeur, ravagé par la vie et l'amour. ÉTUDES/MÉTIER : double licence en musicologie et en littérature. PASSION(S) : il a toujours aimé mêlé ses passions, qui sont la musique et l'écriture, d'où son orientation scolaire. GROUPE : black opium de ysl. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : personnage inventé.

CARACTÈRE : noam est la représentation de la solitude et de l'expression "on n'est jamais mieux servi que par soi même"
il a appris à se débrouiller seul avec le temps, à se forger un caractère.
encore trois ans en arrière, on vous aurait parlé de lui comme d'un gamin joyeux, plein de vie et insouciant.
maintenant, c'est un jeune homme, brisé par la vie, obligé de grandir trop vite, d'effacer toute trace d'insouciance.
un brin je m'en foutisme, un soupçon d'agressivité et une bonne dose de solitude, une carapace en acier qui le protège de toutes blessures, tant physique que morale.
TICS ET TOCS : se ronge les ongles environ dix fois par seconde › effectue chaque vérification par tranche de dix : à savoir qu'il est prêt à vérifier dix fois, chaque matin quand il part et chaque soir quand il rentre, que la porte est bien fermée à clé ou que le gaz est bien éteint, même s'il n'a pas utilisé ce dernier › toujours accompagné d'un bandana, peu importe où il le porte, il doit en avoir un sur lui tout le temps › sa batterie est sa meilleure amie, son défouloir › il regarde automatiquement un épisode de série par soir, c'est un rituel stupide mais qui lui permet de bien trouver le sommeil. un, pas plus, pas moins.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? les bars, mais pas les bars où tu claques trois mois de salaire pour un foutu verre d'eau, qui n'est d'ailleurs pas potable. dans les bars où va noam, il n'y a pas de chichis, on s'en fiche que la bouteille soit bien conservée, que l'hygiène soit parfaite ou que vous soyez habillés comme des petits bourgeois. ce qui compte, c'est l'état dans lequel vous sortirez. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? il aurait pu trouver pleins de bonnes raisons de rester s'il était venu dans d'autres conditions, mais rien ne lui plait. parce qu'il est obligé de côtoyer cette ville de malheur à cause de ses tyrans. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? tout, il rêve de découvrir ses origines, il a un bon niveau d'anglais alors aller s'installer à bradford serait la meilleure chose à faire, mais il n'a pas les moyens pour. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : étouffante, sinistre, déprimante.

Des cris, des pleurs, du sang. C'est le seul souvenir que tu as gardé de cette nuit d'enfer. Tout est flou. Ton père, le sol, le sang, la neige. Tu ne sais pas ce qu'il s'est passé, mais ta mère hurle, t'emmène avec elle loin de cette horrible scène. Tout ce que tu sais, c'est que tes jambes n'ont plus la capacité de te porter. Tu ignores même qui est la personne qui hurle encore plus fort que ta mère, c'est surement toi.
« J'aurais besoin de votre version des faits, monsieur Levy. Nous ignorons encore si c'est votre père ou la voiture en face qui était en tort. » Le policier te regarde avec pitié, mais tu vois qu'il a surtout envie d'une réponse à sa question pour déguerpir. Toi, tu t'en fiches. T'as envie de lui hurler d'aller se faire foutre, de rester en boule sur ce canapé et de te perdre dans le néant qui se trouve en toi. Ta mère a choisi la solution inverse. Elle parle, enfin elle balbutie. Elle essaye de former des phrases mais ses larmes prennent le dessus. Le silence, tu as choisis le silence comme bouclier de défense. Et ça va te suivre pendant des mois.

6 mois plus tard. « Ta mère ne peut plus te garder, Noam, tu vas devoir aller chez ton oncle et chez ta tante. Au moins tant qu'elle se remette sur pieds. » Tant qu'elle se remette sur pieds, bien sur. Tu te contentes d'un hochement de tête, histoire de faire comprendre à ta grand-mère que t'as saisis le message. Tu vas devenir un boulet, que les autres membres de ta famille vont se trimbaler jusqu'à ce que tu ailles à la fac. Mais tu t'attendais pas au pire, tu t'attendais pas à te faire ravager ainsi. Tu pensais qu'ils allaient avoir un peu de pitié, mais non.

1 an plus tard. « Qu'est-ce que t'as foutu ? T'étais où? Tu devais être rentré il y a une heure ! » Tu évites de la regarder, tu sais ce qui t'attends. Mais tu dis rien. Tu te débarrasses de tes chaussures et de ta veste à l'entrée, te contentant d'embarquer ton sac avec toi à l'étage. Mais ça n'y manque pas. A peine as-tu refermé la porte que tu entends ses pas dans les escaliers. La porte se rouvre, à la volée et elle se précipite vers toi. Une, deux, trois claques. Tu ne réagis pas, tu as appris à ne plus le faire, à garder ta douleur interne. Aucune larme, aucun cri, aucune protestation. Tu es devenu ton défouloir et tu attends patiemment ton entrée à l'université pour échapper à cet enfer.

Deux semaines après. Tu l'observes, installée dans sa voiture à tes côtés. Elle pleure, parce qu'elle s'inquiète et tu sais pas comment la rassurer. Lui dire que tout va bien serait lui mentir, tu peux juste lui dire que tu as appris à surmonter tout ça, à repousser la douleur. Mais Dawn, c'est ton seul soutien depuis maintenant presque deux ans. Depuis après l'accident, en réalité. Et la voir se mettre dans un tel état pour toi, ça ne fait qu'accentuer la douleur que tu ressens et ça, c'est quelque chose que tu ne peux pas toujours garder enfoui. Tu lui dois bien ça, tu lui dois bien de prendre soin d'elle un peu.

Première semaine à la fac. Lui, tu l'as remarqué de suite. Elwyn. Tu t'es néanmoins interdit de t'approcher de lui, pour ne pas le mêler à ta vie. Tu ne veux pas qu'il rencontre ton oncle et ta tante. Et puis, t'es réellement trop instable mentalement pour ça. Tu n'arrives plus à faire confiance et tu n'arrives plus à te confier, t'es obligé de garder tout pour toi, inlassablement. Même Dawn, qui pourtant te connait pendant deux ans, ignore encore certaines choses pour toi. Tu n'as pas le droit de mêler elwyn à toute cette histoire. Mais c'est sans compter sur sa détermination, sur son envie de t'avoir pour lui. Et, plus tu le repousses, plus il insiste.

PSEUDO/PRÉNOM : spf, julie. ÂGE : vingt ans. SEXE : vous voulez le voir. VILLE : metz (et non on prononce pas le "t" parce que c'est moche   ). RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : j'veux tous vous bz (pardon, c'est vulgaire   ). COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : bazzart. FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les soirs pendant plusieurs heures en semaine et de manière un peu plus irrégulière le week-end. UN DERNIER MOT ?   .

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !