NOM : Mongagnant-Mazurier puisque j'ai choisi, en plus de mon nom d'épouse, de conserver mon nom de jeune fille pour la partie légale, même si dans la pratique je suis simplement madame Mazurier. PRÉNOM : Céleste Pacifique Aurore eh oui, ça en fait des noms ! Mais dans la vie courante, c'est simplement Céleste, et ce n'est déjà pas courant. SURNOM : Mes amis ont tendance à m'appeler Cél' tandis que mon homme passe son temps à m'appeler Crevette. ÂGE : J'ai fêté cette année mes 23 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je suis née le 28 avril 1993 dans la jolie ville qu'est Avignon. ORIGINES : Mes origines sont totalement françaises de ce que j'en sais. ORIENTATION SEXUELLE : Je suis définitivement hétérosexuelle. STATUT CIVIL : Depuis quelques temps, je suis mariée avec un enfant et très heureuse. ÉTUDES/MÉTIER : Par vocation, j'ai décidé de devenir assistante maternelle. PASSION(S) : Dans la vie, j'ai un tas de petites passions mignonnes, et la première est celle qui a trait à mon métier ; les enfants. L'équitation n'arrive pas très loin derrière et est suivie de près par la musique qui fait partie intégrante de ma vie depuis que je suis en couple avec mon homme. Je me suis plus récemment découvert une passion pour la photographie. Si j'ai un peu de temps libre, j'adore me poser dans un espace vert avec mon chien, mon fils, et profiter d'un peu de lecture. GROUPE : Le groupe qui me correspond le mieux est Shalimar de Guerlain. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : Je suis un personnage inventé.

CARACTÈRE : Du fait de mon tout petit gabarit, beaucoup me sous-estiment. Pourtant, ils ne devraient absolument pas. Même si je suis capable d'être la douceur et la patience incarnées, même si je connais parfaitement la compassion et n'aime pas faire souffrir les autres, je suis aussi et surtout capable de beaucoup de détermination et de caractère. Autrement dit, mieux vaut ne pas tenter de me marcher sur les pieds à moins de vouloir apprendre que gentil n'a qu'un œil. Bien que j'essaye d'être la plus facile possible à supporter, je sais pertinemment que je n'en reste pas moins têtue et que j'ai tendance à mettre tout en œuvre pour toujours arriver à mes fins, d'une manière ou d'une autre, et surtout lorsqu'il s'agit de faire quelque chose pour ma famille, auquel cas je n'ai pas vraiment de limite. Pour réussir à véritablement m'énerver, ne comptez ni sur ma jalousie ni sur une certaine forme de possessivité vis-à-vis de mon époux ... parce que je ne suis absolument pas jalouse, quoi que vous y fassiez. Une fois seulement j'ai ressenti ça, j'ai ressenti un doute, mais nous en sommes ressortis plus liés que jamais et j'ai une confiance aveugle en lui. Par contre maintenant j'ai tendance à être une vraie maman poule avec mon fils, et c'est aussi généralement une attitude que j'ai avec mon homme. C'est resté un grand gamin que j'adore materner et protéger, c'est totalement dans mon caractère. J'ai un véritable amour inconditionnel pour les deux hommes de ma vie, qui sont mon tout, mon centre de gravité, et inconsciemment je fais tourner ma vie entière autour d'eux. C'est un peu pareil avec mes proches de manière générale, je suis protectrice et je ferais tout pour leur éviter d'être blessés. Alors gare à qui pourrait leur vouloir du mal parce que je pourrais montrer les crocs et mordre vraiment très fort, malgré mes airs tous doux.  TICS ET TOCS : En réalité, j'ai très peu d'habitudes personnelles, ce sont plutôt des habitudes de famille, que j'ai prises depuis que je suis avec mon chéri. Par exemple, je mets un point d'honneur à cuisiner de bons petits plats pour mon homme, et ce pour plusieurs raisons. Déjà, parce que le petit homme en question est une catastrophe aux fourneaux. Ensuite, parce que je travaille à domicile et que, par conséquent, je refuse que lui, menant de front des études et un travail en ville, ait à le faire le soir. En fait, j'aime tout simplement m'occuper de ... Eh bien mes deux hommes, tout simplement. Je connais leurs petites habitudes, à tous les deux, et suis le rythme sans rechigner. Il faut le dire, ils ne m'obligent à rien de toute façon. C'est juste une seconde nature chez moi. Férue de shopping, je profite d'au moins une journée par mois pour moi. Cela ne rime pas forcément énormément d'achats, mais je laisse son petit bout de chou avec son papa et sors faire les boutiques, parfois avec des amies. C'est une agréable bouffée d'oxygène de temps en temps, même si je n'ai pas du tout l'impression d'en manquer d'habitude. C'est juste une routine super agréable.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? L'endroit qui fait chavirer mon cœur, à Paris, c'est tout simplement Montmartre. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Oh, c'est quelque chose de vraiment banal ; m'être rapproché de la famille de mon homme pour qu'il puisse en profiter pleinement. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Eh bien, c'est un souci qui devrait aller en s'améliorant ; me retrouver dans toute cette foule à laquelle je ne suis pas habituée. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : J'ai eu tellement d'aperçus différents de Paris au travers des yeux de mon grand amour que je pense pouvoir qualifier la capitale de romantique, intrigante et inquiétante.

Certains peuvent s'appesantir longuement sur leur enfance, leurs années d'école, de collège, de lycée. Pour moi, c'est tout à fait différent. Je n'ai pratiquement aucun souvenir de ma vie d'avant. Avant quoi ? Avant l'accident qui a tué mes parents et a prit ma mémoire. C'était très peu de temps après mon dix-huitième anniversaire, et c'était de ma faute. Voilà ce que je me ressassais. Parce que je me souvenais de peu de choses, mais je me souvenais d'assez pour savoir que c'était par ma faute qu'ils avaient pris la route ce jour-là. Par ma faute que mes souvenirs s'étriquaient au souvenir d'un rire, d'une voix lointaine. J'étais furieuse et je les avais appelé à la rescousse. Alors ils avaient choisi de plier bagage et de m'emmener … Ailleurs. Et sur la route, le drame a eu lieu. Depuis des années j'essayais de remettre les pièces du puzzle en place, et même le grand amour de ma vie ne savait pas tout ce dont je m'étais souvenue, petit à petit. Il ne savait pas non plus que le catalyseur de ce retour fugace de mémoire était celui qui m'avait mise hors de moi. Celui qui m'accompagnait sur les photos de mon enfance comme un frère ou un cousin.

Ce garçon-là m'est revenu sans que je le veuille. Il m'était apparu en pleine promenade, à Etretat, mon chez moi à cette époque, bien loin de mon Avignon natal. Je me promenais avec mon chéri, quand il a surgi de nulle part, pour me serrer dans ses bras. Je ne l'ai pas instantanément reconnu, mais il était clair qu'il me connaissait, et il faisait vaciller une sensation dans ma tête. Le souvenir de son sourire, malgré la panique que son geste avait déclenché chez moi, me ramenait à quelque chose de rassurant. Et ça l'avait sûrement été, à cette période. Il m'avait aidé à remettre beaucoup de pièces de mon puzzle en place. Nous étions voisins, enfants. Nos familles s'étaient liées d'amitié et, depuis la maternelle, nous étions inséparables. Nous avions passé nos vacances aux mêmes endroits, nos week-ends dans les mêmes maisons, et nous avions pratiqué les même sport. Nous avions passé un pas plus tard, au lycée, pour sortir ensemble, et puis, peu après mes dix-huit ans, le jour de ce fameux accident, nous nous étions battus et séparés. Voilà les bribes de mon passé qu'on m'avait raconté, mais je me souvenais de peu de choses. Non, ce dont je me souvenais vraiment, les premières choses, c'était beaucoup plus violent.

Mes premiers vrais souvenirs, c'est le son des secours autour de moi, les gens qui s'affairaient pour me sortir de la carcasse défoncée de la voiture, puisqu'il n'y avait déjà plus rien à faire pour mes parents. Ça restait flou, mais c'était gravé. Un très étrange paradoxe pour moi. Puis, après, c'est l'hôpital. Les longues périodes d'examens. Le moment où tout le monde s'est assuré que j'étais bien fonctionnelle. La recherche infructueuse d'une famille. Et mon choix de ne pas vouloir retourner vivre chez moi. J'ai plutôt pris la décision folle de partir à l'autre bout de la France pendant quelques temps. Alors, un peu au hasard, j'ai choisi Bordeaux. Avec l'argent de l'héritage, j'ai pu me payer un logement et suivre les formations nécessaires pour devenir assistante maternelle. C'était une vocation qui me venait de je ne savais pas où, mais ça m'allait bien, paraissait-il. Alors j'ai fini par commencer à travailler. Je ne suis pas retournée une seule fois dans la grande maison de mon enfance, mais j'avais fait le nécessaire pour qu'elle soit toujours comme lorsque nous étions partis. Quelqu'un s'occupait d'y faire un peu de ménage, et on m'avait envoyé des effets personnels. De même, j'avais fait suivre le courrier. Alors, près de deux ans après mon accident, un dossier pour une académie équestre était arrivé, avec la copie de la demande d'acceptation. C'était mon père qui avait fait ce dossier, il y avait un bon moment maintenant, puisque c'était avant qu'il ne meure. Et j'avais décidé d'y aller, pour suivre un peu les idées de mon père, me rapprocher de lui d'une certaine façon.

Voilà. C'est exactement comme ça que j'avais atterri à Etretat. Au final, c'est une décision que je ne suis même pas capable de regretter une seconde. Dès mon arrivée, j'ai fait la rencontre qui a chamboulé ma vie. Pas exceptionnellement grand, mes avec des cheveux bruns fous et des yeux sombres à mourir, ce mec avait autant d'humour qu'il était mignon. C'est lui qui m'a aidé à emménager parce que mes cartons me mettaient la misère. C'est lui qui m'a ensuite vraiment intéressé à la musique grâce à la guitare. Lui à qui j'ai fait assez confiance pour raconter mon triste sort. Lui qui m'a présenté à ses amis qui sont devenus mes amis. Lui. Florent a toujours été le mec parfait pour moi, et on a très vite collé. On est sortis ensemble, et ça a été comme une évidence chaque jour. Tous les deux, on a traversé pas mal de trucs, et fait face à d'autres, et ça nous a rapproché comme ça ne devrait même pas être permis. Alors, résultat, en moins d'un an de relation, on était mariés. J'ai tout accepté de lui, son passé, sa connerie naturelle, mais le plus dur ça a été d'accepter ses amis. Enfin, son meilleur ami, et j'ai fait les efforts juste pour Flo'. Même s'il faut avouer qu'aujourd'hui, je sais parfaitement qu'on peut compter sur ses amis pour tout. En fait, à Etretat, j'ai fait ma petite vie, j'ai trouvé une nouvelle famille. Et franchement, j'étais heureuse. C'était juste parfait comme vie.

Mais pas encore assez parfait. On a encore essuyé une galère, tous les deux. Genre grosse galère d'une ex qui s'immisce entre nous, grosse galère de la perte de confiance, enfin, vous voyez le topo. Mais on s'en est relevé, et on y a même gagné quelque chose. Ronan, notre fils, notre petit prince. Franchement, je n'aurais jamais cru être maman si jeune. Mariée non plus, vous me direz, mais c'était pourtant le cas. J'ai été comblée de bonheur ce 24 décembre 2014. Rien que la date nous a tous fait rire, car il était attendu un peu plus tard, le petit prince, mais son parrain, j'ai nommé le meilleur ami de mon cher et tendre, avait parié que le petit boy naîtrait à cette date, et il avait gagné. Ce qui était très fort, puisqu'ils avaient donc la même date de naissance. Outre cela, c'est le plus beau cadeau de noël que j'aurais de toute ma vie. Et depuis, cette vie est totalement parfaite. Parfois, je me bagarre encore un peu avec mon passé, les bribes qui parfois remontent, mais c'est franchement un détail. Je suis tellement heureuse que rien ne pourrait venir gâcher mon ciel bleu. Alors, lorsque l'éloignement de sa famille a commencé à peser sur les épaules de mon mouton noir de mari, j'ai accepté sans l'ombre d'un doute de le suivre pour m'installer à ses côtés à Paris. Sa famille, c'est la mienne, par bien des aspects, et je suis tout aussi ravie que lui d'avoir rejoint ses parents. Le départ d'Etretat a pourtant été assez difficile, j'y ai trouvé des amis en or, et ils vont me manquer à Paris, même si je leur ai dit à tous ; notre porte leur sera toujours ouverte s'ils veulent venir nous rendre visite, et nous viendrons sûrement passer nos vacances à la plage chez eux. On se l'est promis, et on s'est donné rendez-vous pour l'été prochain au plus tard. J'ai même réussi à faire jurer à Alexandre de venir passer noël avec nous, à Paris, tout en restant sage. Depuis cette promesse, j'ai emménagé avec les deux hommes de ma vie à Paris. Et, vraiment, ma vie ne pourrait pas être plus parfaite !

PSEUDO/PRÉNOM : Bloody / Camille. ÂGE : 20 ans et toutes mes dents. SEXE : j'suis une fille. VILLE : Entre Dunkerque et Bergues, avec un joli accent du nord. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : J'ai suivi ma p'tite dame déjà ici présente pour vous proposer un petit couple trop mignon. IMPRESSIONS : Je crois que je vais bien aimer. FRÉQUENCE DE CONNEXION : Normalement tous les jours, on verra comment ça roule quand j'aurais repris les cours, mais au moins tous les week-ends. UN DERNIER MOT ? Love love love.

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !