NOM : santorelli. cent pour cent italien.  PRÉNOM : tout comme le nom de famille, ses parents ont choisis un prénom aux origines cent pour cent italienne. un clin d’œil au payx natal du paternel. ils ont donc choisis Luca. SURNOM : c'est tout simplement Luca. c'est déjà un prénom court. pas besoin de le raccourcir d'avantage. ÂGE : vingt-huit belles années de vies déjà. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : premier avril quatre-vingt-sept. ORIGINES : italienne grâce à son père. et canadienne grâce à sa mère. ORIENTATION SEXUELLE : il aime les femmes. les courbes féminines lui font perdre la tête bien souvent. STATUT CIVIL : mariée depuis une demie année. ÉTUDES/MÉTIER : il bosse dans une bosse d'événementiel.  PASSION(S) : Les femmes. Le sexe. Il aime bien trop cela pour s'arrêter du jour au lendemain ou changer de bord. Enfant, il adorait les activités manuelles. La pâte à sel, la pâte à modeler. Mais aussi la peinture, le dessin. Il n'a jamais pris de cours. Il peint pour lui. Pour petit plaisir personnel. Il adore se poser dans un coin au calme et lire. De préférence un roman policier ou de science fiction. Mais surtout de roman à l'eau de rose à la « cinquante nuances de Grey ». Il aime bien se promener avec son réflex et prendre tout ce qui lui tombe sous la main. Mais ça aussi, c'est pour lui. Le sport aussi, il aime plutôt bien. La boxe, la natation, le jogging. Ça fait du bien de se défouler après une longue et épuisante journée de travail. Mais ce qu'il préfère par-dessus tout, c'est l'équitation. Il adorait ça. Son père lui a d'ailleurs offert son premier cheval à l'âge de huit ans. Il s'appelait Tornade. Un joli cheval au pelage noir et à la crinière blanche. Il était magnifique. Il allait le voir pratiquement tous les jours. Il s'en occupait très bien. Jusqu'au jour, où suite à une chute de cheval, Luca s'est fait une jolie entorse. Interdiction de remonter à cheval pendant les trois mois suivants. Trois mois ont passés et c'est le cheval qui est tombé malade. Pour ne pas le voir souffrir, Luca a ordonné qu'on l'abatte. Un dur moment pour le petit garçon. Il n'a plus jamais fait de cheval de sa vie.  GROUPE : l'Eden de cacharel. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ :scénario de la belle maxine.  

   CARACTÈRE : Impulsif. Il a du mal à contrôler ses nerfs. Avec l'âge, Luca se maitrise de mieux en mieux. Mais c'est loin d'être totalement gagné. Il est le second enfant de la famille. L'enfant du milieu. Celui qu'on ignore, qu'on délaisse. Il a toujours tout fait pour gagner les faveurs de son père, sans grand succès. Déterminé, il ne lâche pas si facilement. Quand il a une idée en tête, il va jusqu'au bout. Quitte à se brûler les doigts parfois. Il aime se mettre en danger. Repousser sans cesse ses limites. Luca a aussi un gros problème d'alcool. Plus jeune, il participait à beaucoup de soirées où l'alcool coulait à flot. Il a couché à pas mal de filles sous influences de l'alcool. Il n'a jamais rien ressenti avec elle. Jamais. Pas d'amour, pas d'attache. C'est la règle avec lui. Il ne fait pas l'amour. Il baise brutalement. Malgré tout ça, Luca a un cœur gros comme ça. Il est capable de décrocher la lune pour ses proches. Il est capable de mourir pour sauver la vie de ceux qu'il aime.  TICS ET TOCS : L'alcool. Le sexe. Les femmes. Principalement. Il est accro à la caféine. Il ne peut commencer sa journée sans sa tasse de café matinale. Quand il est nerveux ou stressé, il se ronge la peau autour des ongles. Avant de s'endormir, il vérifie que toutes les portes de chez lui est soigneusement fermée à clés.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Difficile à dire. Il y a tellement de beaux endroits à voir à Paris. Je suis certain de ne pas avoir tout vu encore d'ailleurs. Mais de tout ceux que j'ai pu voir, ça reste sans aucun doute la tour Eiffel mon lieu préféré. J'adore monter tout en haut de la tour et admirer les gens en bas. Ils sont minuscules. Tout est minuscule. Mais c'est tellement beau. Il y a aussi les parcs dans Paris. Un peu de verdure en ville, c'est cool non ?! T'aimes bien t'arrêter dans un parc et lire ton bouquin en paix. C'est tellement reposant après une journée de travail. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Sûrement pas les embouteillages. J'aime la vie parisienne. Même si c'est un mode de vie assez speed, j'aime bien la vie dans la capitale française. C'est pratiquement tout le temps animé. Faire les marchés le dimanche matin. Trainer dans différents bars chaque soir. Et puis, contrairement à ce que tout le monde dit, les parisiens ne font pas toujours la gueule. Il y a toujours quelque chose à faire à Paris. On ne s'ennuie jamais. Et puis c'est une ville magnifique. À découvrir encore et encore.. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Les embouteillages. Ça me prend la tête de devoir partir pratique une demie heure à l'avance pour me rendre au boulot alors que je ne suis qu'à cinq minutes de mon lieu de travail. Et le soir rebelotte. Même si je débauche assez tard le plus souvent, il y a toujours un trafic monstre. Et les transports en communs. J'ai horreur de ça. J'ai horreur d'être collés à des gens que je ne connais pas. Je préfère largement être assis dans ma petite voiture et passer mon temps à appuyer sur le klaxon.  POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS :vivante, bruyante, fascinante.

(1) Je suis né dans une famille qui n'a pas besoin de craindres le manque d'argent. Mon père fait partis de la mafia. Il trempe dans des affaires pas très nettes. Grâce à lui, on a toujours eu ce qu'on désirait. Ma mère, elle est reste à la maison. Elle ne travaille pas et à passer notre enfance à s'occuper de nous. Je suis le second enfant de la famille. L'enfant du milieu comme on dit. J'ai un grand frère qui a deux ans de plus que moi et une sœur de trois ans de moins que moi. Avec mon frère, on est souvent en compétition. C'est à qui sera le meilleur dans tous les domaines possibles. Avec ma sœur, c'est une relation étrange. Une relation de « je t'aime, moi non plus. » On s'adore mais ça ne nous empêche pas de nous disputer souvent. (2) C'est sur un coup de tête que je suis venu m'installer à Paris. Cette ville m'a toujours fasciné. J'ai toujours dit qu'un jour je viendrais vivre ici. Que je visiterais la capitale parisienne. Et enfin, aujourd'hui, c'est chose faite. Je vis à Paris. Je suis marié et je gagne très bien ma vie. J'ai trouvé un job dans une boite d'événementiel. J'organise des mariages, des soirées d'anniversaire... Je m'éclate vraiment dans ce job.. (3) A l'école, je n'écoutais pas vraiment mes professeurs. J'étais le perturbateur de la classe. Je ne compte plus les heures de colle que j'ai pu récolter. En revanche, j'avais toujours d'excellentes. Les professeurs me fichaient la paix. Mes parents aussi. Ils me reprochaient juste de ne faire partis d'aucun club au lycée. Je ne voulais pas me mélanger aux autres. J'ai toujours eu beaucoup de mal à me faire des amis. Toutefois, j'avais une meilleure amie au lycée. Nous avons pratiquement grandis ensemble. Cette fille, elle représentait tout pour moi. Elle me connaissait mieux que personne. Mais depuis mon emménagement à Paris, je ne la vois plus. On ne s'échange qu'un ou deux mails par semaine. C'est tout. Vive la vie d'adulte ! (4) Ca fait un petit moment maintenant que je suis le genre de type qui fait attention à son apparence. Ça ne me dérange pas pour autant de sortir en jogging le dimanche pour aller chercher le pain. Il faut savoir s'assumer au naturel. Mais disons que quand je me prépare le matin, j'aime bien être élégant. Dans mon travail c'est très important l'apparence. Je ne peux pas me permettre d'arriver avec une mèche en l'air ou habiller tel un clown. (5) J'ai toujours eu beaucoup d'intérêt pour le sport. J'en ai d'ailleurs pratiquer pas mal quand j'étais gamin. Le tir à l'arc, l'escrime, le judo. Mais aussi la natation et l'équitation. J'avais un cheval que mon père m'avait acheté. Je l'adorais. Mais suite à une blessure à la cheville, je ne pouvais plus faire de cheval. Par la suite, il est tombé malade. C'est moi qui ai pris la décision de l'euthanasier. Je n'avais que douze ans à ce moment-là. Actuellement, je n'ai plus trop le temps de faire du sport régulièrement. Je me suis installé une petite salle dans ma maison. J'y ai mis un vélo elliptique et une machine de musculation. Parfois, je vais courir dans le parc à côté de la maison ou je vais nager dans ma piscine creusée. (6) Adolescent, je sortais pratiquement tous les soirs. Même en semaine. Je trainais avec mes potes. Je draguais les filles. Le weekend, j'allais presque tout le temps en boite. Ce n'est que vers quatre ou cinq heures du matin que je rentrais chez mes parents. Complètement bourré et incapable de tenir sur mes jambes, je regagnais ma chambre avec pas mal de difficultés et y dormais jusqu'au milieu de l'après-midi. Encore une fois, mes parents ne disaient rien puisque j'assurais mes cours dès le lundi matin. Il n'y a que mon frère qui l'a vu. J'ai eu un rapport un peu trop fusionnel avec l'alcool assez jeune. À seize ans, boire jusqu'à en être bourré était vital pour moi. C'est mon frère qui m'a balancé avec mes parents. Surtout que ça devenait dangereux. Pour moi, pour les autres aussi. J'ai déclenché pas mal de bagarre en était bourré. (7) Avec les femmes, j'ai toujours eu un rapport plutôt étrange avec elle. En ayant jamais fait partis des sportifs au lycée, la plupart des femmes me tournaient autour. Pas de relation sérieuse. Elles voulaient simplement que je les baise. C'est tout. D'un côté, je le voulais aussi. Mais j'aurais tellement voulu trouver une femme qui m'aimerait comme je l'aimerais. C'est à croire que je n'étais pas fait pour l'amour. Les garçons ne m'aimaient pas trop. Je trouvais toujours le moyen de leur piquer leurs copines. Si elles faiblissaient devant moi, c'est que leurs mecs ne les satisfaisaient pas. C'était ce que je me disais pour me remonter le moral. Avec mon problème d'alcool, j'avais tendance à être encore plus brutal dans l'acte sexuel. Mais jamais je n'ai violé une femme. Jamais. En revanche, j'ai déjà levé la main sur l'une d'elle. Une seule fois. Et je me suis juré de ne jamais recommencé. Un jour, je suis tombé amoureux. Elle était belle et courtisé par beaucoup d'hommes. C'était la plus belle femme que je n'ai jamais vu. Alors que beaucoup d'hommes ont échoués pour la charmer, j'ai réussis. Sûrement mon côté mauvais garçon qu'a fait toute la différence. On s'est aimé. Tellement fort qu'on aurait pu en crver tous les deux. Tellement d'amour entre nous. Nos familles ne s'aimaient pas. Pour cause, nos pères étaient rivaux dans la mafia. Alors on se voyait en cachette. Jusqu'au jour où ses parents l'ont envoyés dans un couvent. Loin. Très loin de l'Italie. Très loin de moi. Ça m'a anéanti, brisé. (8) Paris. Me voilà. Mon cœur a volé en milles éclats. J'étais anéanti d'avoir perdu la seule femme que je n'ai jamais aimé. Pour m'éloigner de tout ça. De mon père surtout, je suis parti. J'ai quitté l'Italie. Je me suis installé ici, à Paris. Cette ville qui me fascine tant depuis mon enfance. Loin de mes amis, de ma famille. Parfois, ils me manquent. Mais ça fait tellement du bien d’être enfin moi-même. De ne pas avoir peur du jugement de mon père pour qui tout ce que je ferais ne sera jamais assez. J'ai eu de la chance de trouver une place dans une grosse boite d'événementiel. Déterminé à garder cette place, je donne tout ce que j'ai jour après jour. Je ne lâche rien. Quitte à me faire des ennemis parfois. (9) Et puis, il y a eu cette femme. Celle avec qui je suis marié depuis six mois maintenant. Six mois, c'est court. Pas pour moi. Ça me paraît être une éternité. Ce n'est pas un mariage d'amour entre nous. Nos pères ont arrangés ce mariage. Pour faire court, on va dire que ça leur faisait plaisir de nous caser ensemble. Bon, elle est loin d'être laide c'est certain. Mais jamais, elle ne remplacera Lucy. Mon premier amour qui restera à jamais dans ma tête et dans mon cœur. (10) Maxine, ma femme, je n'ai pas grand chose à lui reprocher. Si ce n'est nos disputes incessantes. Ça en devient fatiguant. Pour oublier tout ça, je me suis remis à boire. Jusqu'à en être bourré encore. Jusqu'à ne plus tenir debout. Je couchais avec différentes femmes. Et puis, je rentrais chez moi. Je retrouvais ma femme. On se disputait. Encore et encore. Fatigué. Je suis fatigué de tout ça. Il faut que ça s'arrête. Mais au fond, je n'ai pas envie que ça s'arrête. Ce mariage, c'est un peu tout ce que j'ai réussis depuis que je suis né. C'est la première chose que j'ai faite dont mon père est fier. Donc non, je n'abandonnerais pas et je tiendrais bon. Combien de temps ? Je l'ignore..

PSEUDO/PRÉNOM : emily. ÂGE : vingt-huit ans. SEXE : fémininVILLE :à l'est de la france. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : on m'a menacé. je rigole, je suis tombé in love du scénario. IMPRESSIONS : so good !    FRÉQUENCE DE CONNEXION : cinq sur sept. UN DERNIER MOT ?     .

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !