NOM : Lannaud. Famille somme toute banale, comme tant d'autres, rien de spécial à dire ou à signaler. PRÉNOM : Quentin. C'est un prénom connu mais pas tellement répandu et tu aimes bien le fait qu'il n'y en est pas dix au mètre carré qui se prénomment comme toi. SURNOM : Kiki. Surtout par ta mère en fait, et ce depuis que tu es tout petit, à cause de la peluche Kiki que tu trainais partout et qui te servais de doudou. Tintin aussi, par le benjamin de tes frères, qui n'arrivait pas à prononcer ton prénom quand il était plus jeune et c'est resté. ÂGE : Vingt-huit ans. Bientôt la trentaine et ça ne te dérange pas, tu n'en fais pas toute une montagne comme la plupart de ceux qui y arrivent. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 30 novembre 1987 à Paris ORIGINES : A priori tes origines les plus proches ne sont que françaises. S'il y en a d'autres, elles sont plus lointaines et tu les ignore. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. Les courbes féminines te sont bien plus attrayantes. Tu n'as même jamais pensé essayer les hommes. STATUT CIVIL : C'est quelque peu compliqué. Une fois en couple, une fois célibataire. Tu l'aimes, mais tu n'arrives pas à gérer ce qu'implique être en couple, tu te sens piégé. mais actuellement, tu es en période célibataire. ÉTUDES/MÉTIER : Après avoir obtenu BAC et BTS professionnel, tu es aujourd'hui électricien, bien que tu désires changer de voie. PASSION(S) : C'est un peu cliché sans doute et très banal comme passion, mais la musique a fait, fait et fera toujours partie intégrante de ta vie. Tu fais même partie d'un petit groupe de rock, vous vous produisez dans les bars, mais juste pour le plaisir, pas de plan de carrière en vue. Tu es un grand sportif, qui apprécie tout particulièrement les sports de combat. Tu fais un peu de boxe de temps à autre plus pour te défouler quand tu sens que tu es sur le point d'exploser et sinon en club, tu fais encore du judo. Une autre de tes grandes passions, c'est la collection de timbres. Cela peut paraître un peu ringard, mais ça a commencé tout gamin avec ton grand-père et c'est resté. Tu as une fascination également pour les trains, d'ailleurs, tu envisages de passer le concours pour devenir conducteur de train. GROUPE : Eden de Cacharel. SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : scenario de Gauthier  
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  CARACTÈRE : Il n'est pas toujours vrai qu'un aîné est le plus mature dans une fratrie, mais dans le cas des Lannaud, cette vérité s'applique pourtant bel et bien. Tu es une personne censée, qui réfléchit le plus souvent avant d'agir. Tu apprécies de faire les choses dans l'ordre, que ce soit planifié, ordonné à l'avance. À vrai dire, tu es un peu un maniaque du contrôle, tu aimes être aux commandes. D'ailleurs, une fois que tu as une idée en tête,tu ne l'as pas ailleurs, plus entêté que toi, ce n'est presque pas possible, même si ton côté versatile te fait changer vingt fois d'avis avant de te décider. Tu es un grand indécis qui sans cesse hésite avant de devoir choisir. Tu as besoin d'étudier toutes les possibilités et leurs conséquences avant de te lancer. Sûr de toi, tu te montres souvent intransigeant avec les autres, mais surtout et avant tout avec toi-même. Tu détestes ne pas te montrer à la hauteur de ce que tu entreprends. D'ailleurs, tu es un jeune homme d'une grande franchise et qui en attend de même des autres. Ça, ajouter au fait que tu es très loyal envers ceux que tu apprécies, tes amis, cela te rend assez revanchard, si on trahit ta confiance. Et si on dit que la vengeance est un plat qui se mange froid, avec toi c'est rarement le cas, tu es un bagarreur, toi, tu as tendance à régler les choses avec tes poings quand tu ne vois pas d'autres solutions. Hormis ça, tu es un jeune homme plutôt entier, souriant qui se dévoue totalement à ta famille et à tes amis. TICS ET TOCS : Tu n'as pas vraiment de tocs,tu es bien dans ta tête et tes baskets, par contre des tics, ça oui, comme tout le monde certainement. Déjà, tu aimes te lever tôt, avoir le temps, tu détestes devoir te presser. En fait, comme tu aimes planifier les choses, tu manges à heure fixe, sainement pour la plupart du temps et ne déroge que rarement à cela. Quand tu te sens énervé, en colère et que tu n'as pas envie de blesser quelqu'un qui ne le mérite pas, tu fonces à la salle de boxe pour te défouler et évacuer le trop-plein de haine que tu ressens. Tous les jours, tu passes au minimum une heure à jouer de la musique, à écrire et composer, c'est un besoin vital, tu ne peux pas passer une bonne journée sans cette heure musicale. Le sport aussi c'est une drogue dont tu as besoin quotidiennement. En ancien fumeur que tu es, tu ne supportes plus la cigarette, au point d'en être devenu intolérant et tu as la sale manie de pestiférer régulièrement contre les fumeurs de ton entourage.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Sans hésitation aucune, il s'agit du Palais Omnisport de Paris Bercy. C'est là-bas que tu as gagné une médaille qui te tient à coeur et que tu as eu la chance de rencontrer David Douillet, ton modèle. En outre, c'est un endroit où se passe bon nombre de grands concerts et la musique, ça te connait. Tu rêverais de pouvoir t'y produire. Et puis, il y a son toit, si particulier. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Quand on y est né, qu'on y a grandit et qu'on a connu que cette ville, c'est un peu difficile d'expliquer pourquoi on l'aime, mais s'il y a une chose que tu y apprécie, c'est qu'il y a toujours quelque chose à faire, un concert à aller voir, une expo à visiter, bref, on ne peut pas s'y ennuyer. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Si tu aimes ta ville, et que tu ne te verrais pas vivre ailleurs, ce que tu n'apprécies pas, c'est la forte concentration  de pollution qu'une ville de cette taille implique, t'aimerais un plus d'air pur. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : vivante, romantique et culturelle.

Cela ne te plaît pas de te retrouver là, avec ces gens que tu ne connais pas. Ce n'est pas tant les gens qui te dérangent, toi t'es quelqu'un de relativement sociable. Non, si tu fais la gueule, c'est tout simplement parce qu'on ne t'a pas demandé ton avis. « Quentin, s'il te plaît, arrête de faire ta tête de mule. Tu verras, tu vas te plaire, j'en suis certaine. » Ta mère s'est agenouillée pour se mettre à ton niveau, tout en posant ses mains sur tes épaules en un geste tendre qui se veut réconfortant. Toi, plus têtu qu'une mule du haut de tes sept ans, tu détournes le visage et croises tes bras, lui montrant bien que tu n'es pas d'accord avec elle, ignorant encore que tu allais très rapidement changer d'avis. « Et pourquoi Gauthier il pourrait pas en faire avec moi ? » Encore un peu trop jeune, tu sais que ton petit frère est malade, mais tu n'as pas encore conscience de ce que cela implique pour lui et ta mère te l'explique avec toute la bienveillance possible et des mots que tu puisses comprendre. Tu hoches la tête, lui indiquant que tu comprends, et c'est vrai, tu as compris que ton frère ne pourra jamais faire du sport à cause de ce qu'il a, il n'a pas le droit. Tu le comprends, mais cela ne t'empêche pas d'être déçu, parce que ça aurait été plus sympa avec lui à tes côtés. Certes, vos trois années de différences ne vous auraient pas permis d'être au même niveau, mais le fait qu'il soit là t'aurait rassuré. « Je te promets maman, je serais gentil, je taperais plus les copains à l'école. » Vaine tentative de faire changer d'avis ta mère, qui n'abdique pas devant tes maigres suppliques. Si tu es là, c'est parce que tu as un comportement parfois un peu trop agressif et surtout bagarreur. Tes parents t'ont emmené voir un pédopsychiatre qui leur a conseillé de t'inscrire à un sport pour te canaliser et ils ont jugé que le judo, un sport de combat honorable selon eux, serait l'idéal. Toi t'aurais préféré le foot, mais ils ne t'ont pas laissé le choix et te voilà à ton premier cours. « STOP Quentin. Maintenant ça suffit. Essaye au moins. SI vraiment ça ne te plaît pas, on verra pour te trouver un autre sport, mais j'aimerais qu'avant de décréter que c'est nul, que tu essaies au moins une fois. » Tu es un garçon assez intelligent et mature pour savoir qu'il vaut mieux accepter et ne pas t'entêter pour le moment. Dans ton esprit, tu sais déjà que tu ne feras aucun effort et qu'à la fin du cours, tu diras à ta mère que tu n'as pas aimé, c'est tout vu. C'est sans compter sur ton professeur, et tes nouveaux camarades. « Alors, ce premier cours ? » Tu avances vers ta mère en sueur dans ton beau kimono, tu arbores un large sourire, contrastant totalement avec le visage que tu lui as laissé voir à son départ. T'es tout fier de lui raconter comment tu as réussi à mettre à terre un plus grand que toi. « Maman t'avais raison, le judo c'est trop bien. » Adjugé vendu, tu continueras le judo, tu l'aimeras au point de monter haut dans les compétitions nationales. En plus, cela à l'effet escompter, tu te montres un peu moins téméraire au niveau des bagarres, hors tatamis, même s'il arrive encore que tu règles tes comptes avec tes poings si l'on te cherche vraiment.

« Tu as une sale mine mec. Vous vous êtes encore séparés. » Ton meilleur pote te connait par coeur et surtout, il connait bien ta relation anarchique avec Flavie, alors tu hoches la tête pour acquiescer ses dires. Tu ne comptes plus le nombre de fois depuis votre rencontre, où vous vous êtes mis ensemble, puis séparés, puis remis ensemble. Votre histoire, c'est un éternel recommencement. « Non, mais cette fois, c'est pour de bon, j'en ai marre. » Tu le dis, tu veux lui faire croire, mais tu n'es pas honnête avec lui, pas plus que tu ne l'es avec toi. Tu le sais que c'est un mensonge, tu sais que tôt ou tard, une nouvelle fois vous allez vous recaser ensemble. Chaque cycle fonctionne de la même manière, tout en étant différent. La durée de chaque période entre autres n'est pas toujours identique, mais, peu importe le temps que ça vous prend pour vous insupporter comme pour vous rabibocher, c'est indéniable, immuable, cela se produit. « Je ne comprends pas comment tu fais, comment tu supportes ça Quentin ? » Tu éclates de rire. Si seulement tu le savais toi-même. Non, désolé, tu n'as pas la réponse à cette question. Enfin si, tu sais que Flavie tu l'aimes, tu n'en as jamais douté, même dans vos moments de séparation. La jolie brune est toujours dans ta tête, dans ton coeur, cette fille tu l'as dans la peau. Ce n’est pas que physique, c'est fort ce que vous partagez, c'est tellement fort que c'est destructeur. « Je ne sais pas comment t'expliquer. Je ne peux pas vivre avec elle, mais surtout, je ne peux pas vivre sans elle non plus. » Voilà, c'est ça ton problème. T'es un mec trop indépendant, t'aimes contrôler ta vie et t'apprécies que moyennement devoir rendre des comptes à qui que ce soit, et comme Flavie est comme toi, ça explose, non ça implose, bref, ça ne peut pas coller. Alors quand ça vous est trop insupportable, la décision de se séparer devient évidente. Sauf que la demoiselle, tu y es trop attaché, elle est celle qu'il te faut, elle est tout ce que tu aimes et tu ne conçois pas poursuivre ta vie, sans elle pour la partager. Inlassablement, quand son absence te pèse de trop, quand la voir avec d'autres te donner envie d'encastrer ces autres dans les murs, tu reviens vers elle. T'es attiré comme un aimant par cette femme, c'est plus fort que toi. « Je l'aime, c'est tout. » Plus clair, tu ne peux pas faire. Alors il ne te reste plus qu'à prendre ton mal en patience et attendre le moment idéal pour recoller une fois de plus les morceaux.  

Tu le sais qu'il le fait exprès pour t'énervé, il le sait que tu détestes ça. « Ah non, Timmy, tu ne vas pas t'y mettre aussi. » Bien sûr que si, qu'il se sent obligé de soutenir Gauthier dans son empoisonnement. S'ils ont envie de se tuer avec leur merde, c'est leur choix, mais toi, t'acceptes pas qu'ils le fassent en ta présence. C'est vrai que c'est un peu hypocrite de ta part, toi aussi tu as fumé à une période de ta vie, mais tu as arrêté et depuis, c'est bien simple, tu ne supportes plus rien de ce qui peut avoir rapport avec le tabac. D'ailleurs, les réactions de tes frangins te le font bien comprendre, t'es relou à tellement les materner. « Ne me regardez pas comme ça, c'est pour votre bien. » T'y peux rien, tu as toujours été très protecteur avec eux. Ça a commencé très tôt en réalité, avec Gauthier, dès que tu as compris l'importance qu'il fasse attention à tout ce qu'il fait au quotidien. « D'accord maman... » Les deux se mettent à rire, tu files une claque à l'arrière du crâne de Gauthier et au final, tu te joins avec eux, comme souvent, par ce que les discussions sérieuses, ça ne dure jamais bien longtemps avec vous trois. Le pire, c'est que tu as bien conscience que tu en fais trop, mais tu es comme ça et tu n'as absolument pas envie de changer. En réalité, tu te complais dans ce rôle, même si tu as tendance à trop les surprotéger. « Rassurez-vous, si je réussis mon concours, vous m'aurez moins sur le dos. » Les deux paires d'yeux de tes frangins te regardent, sourcils arqués, clairement intrigués par ce semblant d'info que tu viens de leur balancer sans crier gare. Le mot est bien utilisé, justement, toi les trains, ça te fascine depuis que t'es môme, et même si tu as suivi des études pour devenir électricien, aujourd'hui ton emploi t'ennuie, alors tu as décidé de faire ce que tu aurais dû faire directement à la sortie du lycée, passer le concours pour suivre la formation afin de devenir conducteur de train. Ouais, ça, clairement ça te botterait bien comme taf. T'es encore assez jeune pour songer à changer de voie, et comme tu n'as pas envie de t'enfermer dans une routine que tu ne supportes plus, t'as pris ton courage à deux mains et tu t'es inscrit. « Toi ? Sérieusement. Reprendre des études. » Tu fusilles Timothée du regard, tu vois qu'aucun des deux ne te prend au sérieux, et pourtant tu l'es vraiment. Tu n'as jamais été aussi sérieux qu'à cet instant. « Non, mais je ne déconne pas. Je veux vraiment changer de métier. » Leurs regards posés sur toi sont toujours aussi dubitatifs, et tu vois bien qu'ils se retiennent d'éclater de rire. « On lance les paris sur combien de temps tu tiens ? » Ça te vexe qu'ils ne t'en croient pas capable. C'est vrai que les études, ça ne t'a jamais passionné des masses, mais tu es quand même allé au bout de celles que tu avais entreprises et tu as obtenu, non sans quelques difficultés, ton BAC et ton BTS, ce n’est pas si mal, non ? « Crétins. OK. Moi je vous parie ce que vous voulez que je vais au bout. » Mauvaise idée que de dire ça, c'est la porte ouverte à toute connerie et tu regrettes déjà de ne pas avoir choisi toi-même l'enjeu du pari. D'ailleurs, rapidement, suite à ta phrase, tes deux cadets se lancent dans un combat des trucs les plus débiles à parier et une fois de plus, votre conversation qui se voulait être un sujet sérieux, part totalement en vrille, jusqu'à dérivé sur toi soutenant Gauthier pour charrier Timmy sur le fait que vous le pensez encore puceau. Tu te doutes bien que ce n'est plus le cas, mais c'est un sujet qui l'énerve tellement facilement, que tu ne peux pas t'empêcher de le taquiner là-dessus. Au fond, c'est ce que tu aimes dans ta relation avec tes frères, vous passez votre temps à vous chamailler pour des conneries, à vous chercher, à vous titiller, mais ça finit toujours en rigolade. C'est simple, c'est sans complexe, c'est sans prise de tête.

PSEUDO/PRÉNOM : Bittersweet/CeL ÂGE : toujours 20 ans, mais avec treize années d'expérience  SEXE : God is a girl !! ♀ VILLE : pas loin de Metz RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : ça fait un moment que j'avais envie de reprendre Quentin    IMPRESSIONS : n°4, si c'est pas de l'amour ça  FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7/7 normalement UN DERNIER MOT ? HAKUNA MATATA !!  
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bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris.    maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même.   tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire.   en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis.   t'as vu comme tout le monde est mignon ici ?   alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire.    ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage.   et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !