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| (rp arrangé) javier ft. manon | |
| Auteur | Message |
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La Petite Robe Noire eau de toilette | Sujet: (rp arrangé) javier ft. manon 21/2/2016, 18:41 | |
| Une attirance étrange
Manon était en train de répondre à un message, posée sur un banc dans un parc, quand elle sentie une présence et un regard sur elle. Quand elle leva les yeux, javier l'observait. Il ne sait pas pourquoi mais manon l'attirait, pourtant elle devait avoir 20 ans à tout cassé. Il se décida à l'aborder alors sans même savoir ce qu'il allait lui dire. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (rp arrangé) javier ft. manon 26/2/2016, 00:41 | |
| .une étrange attirance. | manon & javier | |
Javier a toujours aimé les femmes plus jeunes que lui. Ana-Luisa avait deux ans de moins que lui et Valérie est aussi plus jeune. Il ne se souvient même plus de combien d’années. C’est pour dire à quel point elle compte pour lui. Ça peut le faire passer pour un connard, il le sait très bien et en a conscience, pourtant il apprécie sa femme. C’est juste qu’il ne peut pas l’aimer comme elle voudrait qu’il l’aime. Elle n’est pas Ana-Luisa et même si elle lui ressemble énormément, ça a été une erreur de vouloir qu’ils se rencontrent et commencent une relation. S’il y a bien une chose que Javier regrette dans sa façon d’avoir géré les choses après la mort de sa fiancée, c’est d’avoir forcé le destin et d’avoir en quelque sorte poussé Valérie à tomber amoureuse de lui. S’il n’avait pas cherché à la revoir parce qu’elle lui rappelait trop la mexicaine qui avait volé son cœur, il ne serait probablement pas marié à la brune. Javier n’aurait pas dû le faire et pourtant, il l’a fait. Sur le coup, ça lui a paru être une bonne idée. Mais au final, ce n’était rien de plus que lui offrir une prison dorée. Il part donc de chez lui, sans réveiller sa femme parce qu’il n’a pas envie d’écouter encore une fois ses sermons et autres questions qui lui donnent envie de s’écraser la tête contre un mur et s’exploser la cervelle. Pour ça, elle est pire que sa fiancée de l’époque. Ana aimait bien lui rabâcher les oreilles avec le fait que ce n’était pas parce qu’elle était une femme qu’elle ne savait pas se battre ou même se défendre. Combien de fois ils avaient eu des disputes parce qu’il ne voulait pas la laisser partir en ‘’mission’’ toute seule ? Combien de fois il avait céder parce qu’elle se montrait convaincante ? Trop de fois puisque la dernière fois lui avait été fatale. Javier s’en était voulu et avait souhaité la venger… Sauf qu’il n’avait pas réussi et après une bonne branlée, il avait dû quitter Juarez et le Mexique. C’est ce genre de pensée qui l’accompagnent alors qu’il parcoure les rues de Paris sans réel but. Il n’a pas cours aujourd’hui et veut en profiter un peu en se promenant dans la capitale française. Le quadragénaire est arrivé il y a quelques mois et certains recoins de la capitale lui sont totalement inconnus, comme le huitième arrondissement. Il n’est jamais venu là et maintenant, il sait pourquoi. Il n’a rien, à ses yeux du moins, qui puisse attirer l’attention. Javier s’emmerde parce qu’il ne trouve rien d’intéressant à faire. Il va pour faire demi-tour quand ses yeux tombent sur une magnifique brune scotchée à son téléphone. Elle ne doit pas avoir plus de vingt ans et pourtant, elle l’attire comme une merde attire une mouche… Ouais il n’avait pas mieux comme métaphore pour exprimer ce sentiment. Il n’est pas très doué avec ce genre de formulation vu que le français n’est pas sa langue maternelle. En tout cas, il se dirige vers la jolie jeune femme et se pose à ses côtés sur le banc avant de prendre la parole avec son fort accent mexicain. « Premièrement, laisse-moi te dire que tu es vraiment magnifique. Deuxièmement, je me demande quel joli prénom accompagne ton si beau visage. Et troisièmement, je m’appelle Javier. » Si avec tout ça, elle ne le prenait pas pour un pervers, ce serait une victoire pour le quadra. Il a perdu l’habitude de draguer des minettes… Lui ce qu’il fait c’est du rentre-dedans direct. Mais il ne sait pas, mais avec elle, il a le sentiment que ça ne fonctionnera pas. Que rien ne fonctionnera.
camo©015 |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (rp arrangé) javier ft. manon 28/3/2016, 17:39 | |
| .une étrange attirance. | manon & javier | |
Elle a besoin de prendre l'air, de s'évader. Elle sent que ça ne va pas, que sa maladie n'est pas loin. Pourtant, elle prend bien son traitement tous les jours, elle n'en rate jamais un, pour éviter justement de prendre le risque de faire une crise. Mais parfois, même avec ses médicaments, elle sent qu'elle peut lâcher prise, et quand ça lui arrive, elle s'échappe. Elle n'aime pas louper des cours, mais si elle restait là-bas, elle ne sait pas si elle aurait réussi à se contrôler. Quand elle est en crise, Manon n'a jusque-là jamais été dangereuse pour autrui, seulement envers elle-même, ce qui ne l'empêche pas de constamment avoir peur de devenir violente envers quelqu'un d'autre et c'est pourquoi elle préfère largement s'isoler, quitte à manquer une ou deux heures de cours, mais au moins, elle sera ainsi certaine de ne blesser personne et de pouvoir reprendre son calme. Elle se balade dans son arrondissement, l'un de ceux qu'elle connait le mieux, puisque c'est là qu'elle a grandi et se pose sur un banc. Les écouteurs vissés dans les oreilles, la jeune fille ferme les yeux un instant, ne se focalisant que sur la musique, sur le rythme sur lequel elle finit inconsciemment par caler son propre rythme cardiaque et sa respiration. Alors qu'elle se déconnecte ainsi de tout afin de mieux pouvoir se reconnecter à la réalité ensuite, des images du sourire communicatif de Malory apparaissent dans son esprit. Elle ne sait pas pourquoi la blonde a pris autant de place dans sa vie, alors qu'elles ne connaissent qu'à peine, mais clairement, c'est une personne qui aura un impact important pour elle. Manon ne sait pas l'expliquer, mais elle le sent, Malory aura une part importante dans sa vie. Ce sont les vibrations de son téléphone qui la sortent de ses rêveries et la font revenir à l'instant présent. Un message de sa petite soeur qui s'inquiète, parce qu'elle est passée la voir à son école et qu'on lui a dit qu'elle était partie précipitamment. Dans un premier temps elle songe à lui téléphoner, mais se ravise, elle n'a pas vraiment envie d'entendre de sermon de sa cadette, ni avoir à se justifier de quoi que ce soit. — Ne t'en fais pas Fanny, ça va, je vais retourner en cours là, on se voit ce soir à la maison ;) Bisouilles <3 Tout en rédigeant son message, elle sent qu'on l'observe, mais elle ne relève la tête qu'une fois après avoir appuyé sur envoyer. Manon aperçoit un homme qui semble avoir pas loin de dix ans de plus qu'elle s'avancer dans sa direction et ça la met mal à l'aise. Tétanisée, elle n'ose même pas bouger lorsqu'il prend place à ses côtés. Elle rougit en l'entendant lui dire qu'elle est jolie. Ce n'est pas qu'elle n'a pas confiance en elle, elle sait très bien qu'elle est loin d'être moche, mais bon, ça fait toujours bizarre de se l'entendre dire, encore plus quand ça vient d'un total inconnu de la sorte. « Euh... Merci. Je... euh... Je m'appelle Manon. » La demoiselle bafouille, et se décale même un peu, sans vraiment en avoir conscience, pour reprendre un peu d'espace vital. Elle n'est pas asociale, juste un peu méfiante. Elle pourrait pour s'esquiver, tout simplement lui sortir l'excuse de ses cours et faire exactement ce qu'elle vient d'écrire à sa soeur, mais étrangement, ça ne lui vient même pas à l'esprit. « Je peux vous aider ? » Non, au lieu de ça, c'est son côté altruiste qui ressort et qui lui fait poser cette question stupide. À quoi pense-t-elle sérieusement ? C'est flagrant qu'il cherche juste à la draguer, mais elle, ça ne lui vient pas à l'esprit, tout simplement parce qu'elle n'arrive pas à imaginer qu'un homme de la trentaine passé puisse vouloir draguer une gamine qui n'a pas encore vingt ans.
camo©015 |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (rp arrangé) javier ft. manon 3/4/2016, 12:24 | |
| .une étrange attirance. | manon & javier | |
Draguer des femmes, Javier en a l'habitude. Il s'approche de celles qu'il sent prête à vendre corps et âme pour une petite baise et se les met facilement dans la poche. Mais dans ce genre de situation, il n'a quasiment rien à faire. Elles sont toutes à attendre d'être fraîchement cueillie comme un fruit mûr près à tomber d'un arbre. Alors, il n'a qu'à faire l'effort de tendre le bras et de laisser la femme dégringoler dedans. Il a appris au fil des années lesquelles il pouvait aborder comme ça et lesquelles il devait éviter. Jusqu'à maintenant, ça lui a toujours plus ou moins réussi sauf en ce qui concerne sa femme Valérie. Alors, il ne sait pas vraiment pourquoi en face de cette brune, il perd tous ses moyens et utilise des phrases de dragues toutes faites et sans réelles significations. Javier essaie seulement de la draguer pour pouvoir peut être la ramener chez lui. Faut juste que d'abord, il s'assure qu'elle soit majeure. Parce que bon, il a beau être un draguer invétéré, il n'a pas envie de finir sa vie en prison parce qu'il a fait un détournement de mineur. Valérie n'en serait que plus heureuse si ça devait arriver. Il est donc assis à côté d'elle à essayer de ne pas paraître ringard, ce qui est totalement le contraire. On dirait un beauf qui tente en vain de faire monter une fille dans sa voiture tunée. Sauf que Javier ne ressemble pas vraiment à un beauf et c'est ce qui rend la scène encore plus comique. « Enchanté señora. » répond-il quand elle lui donne son prénom. Manon c'est joli ça tient. C'est l'un des prénom que Valérie veut donner à leur enfant quand elle tombera enceinte. Elle a fait une liste avec de nombreux prénoms masculins et féminins dans l'hypothèse où un petit être grandirait dans son ventre. Ouais parce qu'elle a toujours dans l'optique de tomber enceinte, de lui évidement. Javier, lui, même s'il fait son devoir conjugal, il n'a pas l'intention d'avoir un gosse et encore moins avec elle. Contrairement au mexicain, la française est totalement fidèle à son mari. Elle l'aime depuis le premier jour et n'a jamais pensé une seule seconde à le tromper comme lui le fait à longueur de temps. Ça en était risible du point de vue de Javier. Lui s'en moquait parfaitement si un autre homme entrait dans la vie de sa femme. Ce n'était pas comme s'il en était amoureux ou quelque chose dans le genre. Certes, il l'appréciait mais ça s'arrêtait là. Aucun sentiment amoureux n'était né pour elle depuis qu'il la connaissait. Valérie était au courant et c'était triste à dire, mais elle ne l'avait pas quitté alors qu'elle aurait pu être heureuse avec quelqu'un d'autre. Quinze ans qu'elle s'était enfermée dans cette relation, et quinze ans qu'elle souffrait. Javier, lui tant qu'il pouvait tremper son biscuit un peu partout s'en foutait royalement. La voix de la jeune femme à ses côtés le fait revenir sur terre et il arrête d'être plongé dans ses pensées. Elle lui demande ce si elle peut l'aider. Elle n'a absolument pas l'impression d'être la souris prise dans un piège, un morceau de fromage au coin du bec sans jamais pouvoir le manger. Il sourit sincèrement et pose son dos contre le dos du banc. « Et bien effectivement, tu peux m'aider. Mais avant ça, je voudrai savoir quelque chose. Tu es bien majeure ? » Bah oui, il faut bien qu'il lui demande, parce que bon, vu ce qu'il a prévu de lui faire, si elle n'est pas majeure, ça risque d'être compliqué. Pas une seule fois, il ne se dit qu'il a carrément l'âge d'être sa fille. Comme il ne veut pas d'enfant ça ne lui effleure pas l'esprit une seule seconde.
camo 015 - Spoiler:
un pigeon chie sur le visage de manon
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: (rp arrangé) javier ft. manon 26/4/2016, 16:42 | |
| .une étrange attirance. | manon & javier | |
Elle qui comptait rester tranquille histoire de reprendre ses esprits, de pouvoir reprendre pied pour ne pas perdre la tête, se sentant fébrile plus tôt en cours, le moins le qu'on puisse, c'est qu'elle est très rapidement rattrapée par la réalité, en se faisant aborder par un homme d'au moins dix ans de plus qu'elle. Elle aurait pu tout simplement s'excuser et prétexter de devoir retourner en cours, comme elle vient tout juste de l'annoncer par texto à sa petite soeur, mais non, au lieu de ça, elle reste-là à répondre à cet homme et même piquer un fard alors qu'il ne lui a dit qu’enchanté. « Gracias Señor. » Comme elle est bilingue espagnole grâce à ses origines, d'instinct elle lui répond dans cette langue, et ce sans aucun accent français, puisqu'il a utilisait le terme mademoiselle en espagnol. Bien sûr, elle ignore s'il sait réellement parler espagnol, où si c'est juste pour se rendre intéressant, mais elle, c'est un réflexe qu'elle ne contrôle pas, elle entend de l'espagnol, son cerveau passe aussitôt en mode espagnol. Manon depuis toute petite jongle avec habileté entre ces deux langues, et elle se débrouille pas mal aussi avec le Corse, même si c'est avec un peu moins d'aisance que le français ou l'espagnol. Du coup, intrigué et étant quelqu'un de relativement altruiste, elle lui demande innocemment si elle peut l'aider. Pas une seule seconde elle n'envisage qu'il s'est installé là dans le but de la draguer et de la mettre dans son lit. Il aurait eu quelques années de moins, elle se serait méfiée, mais elle ne s’imagine pas un homme de cet âge draguer une gamine de pas encore vingt ans. Forcément, elle réagit quand même en entendant la question qui lui pose, ça fait un peu tilt dans son esprit et son premier réflexe et de reculer un peu sur le banc s'éloignant de quelques centimètres de lui. « Euh, oui je suis majeure, j'aurais vingt ans bientôt, mais qu'est-ce que ça peut vous faire ? » Bon, elle n'est pas complètement stupide, mais elle préfère poser des questions, elle gagne ainsi du temps. Du temps sur quoi, elle sait pas trop ? Elle ne sait même pas pourquoi elle est toujours assise là au lieu d'être de retour en cours. Il s'avère qu'en reculant de ces quelques précieux centimètres pour mettre de la distance avec l'inconnu, Manon a fait le plus mauvais choix qui soit. Un pigeon passant au-dessus à la bonne idée de se lâcher juste à ce moment-là et la déjection atterrissent sur le visage de la demoiselle. Elle serait restée à sa place initiale, ce serait tombé derrière elle et elle n'aurait pas été touchée. « ET MERDE !!! » Se rendant compte de ce qu'elle vient de dire, elle éclate de rire. « En fait, je crois que c'est le cas de le dire... » Puis elle se met à fouiller dans son sac à la recherche de mouchoirs qu'elle finit par trouver après vingt bonnes secondes de fouille intensive. Heureusement, la sportive qu'elle est a également aussi toujours une bouteille d'eau sur elle, elle en imbibe le tissu et s'essuie avec essayant de tout faire partir sans étaler. « Désolée de vous demander ça, mais est-ce que j'ai réussi à tout enlever ? » Manon est probablement devenue plus rouge qu'une écrevisse et se sent terriblement gênée de devoir lui demander ça. Si elle pense à la bouteille d'eau pour s'hydrater, n'étant pas du genre de fille ultra coquette qui se balade avec un miroir dans son sac en toute circonstance, elle ne peut malheureusement compter sur l'homme assis près d'elle. En espérant qu'il sera gentleman sur ce point-là en lui disant la vérité.
camo©015 - Spoiler:
blague - cigarette - tonneau - trottoir - bateau
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: (rp arrangé) javier ft. manon 16/5/2016, 00:37 | |
| .une étrange attirance. | manon & javier | |
D’ordinaire, les filles comme elle, qui ont l’air un peu paumées et qui sont aussi jeunes ne l’intéressent pas. Cependant, il ressent quelque chose de différent avec elle. C’est quelque chose qui l’attire comme avec Hanae. Peut-être est-ce simplement un besoin de paternité qu’il transfert sur ses jeunes qui semblent avoir besoin d’aide ? Non sûrement pas. Aucun père ne se verrait en train de faire des choses indécentes à leurs filles. Et pourtant c’est son cas, dès l’instant où il la voit assise sur le banc. Il s’approche donc d’elle et entame la conversation. Il est surpris quand elle lui répond dans un espagnol parfait. Mais c’est encore mieux tout ça. Le mexicain n’aurait pas pu rêver mieux. Elle est mignonne, ressemble à un animal égaré et en plus elle sait parler espagnol. Il a vraiment l’impression d’être un vieux pervers dégueulasse, cigarette au bec à trainer sur les trottoirs, près à exhiber son sexe à tout moment. Heureusement, qu’il ne lui a pas sauté dessus, ça aurait encore plus renforcé cette image de gros dégueulasse. Pour le moment, il veut seulement parler. Pour le moment. Mais avant d’aller plus loin, de concrétiser ce qu’il a en tête, Javier préfère demander si elle est bien majeure. Il ne veut en aucun cas de problèmes avec la police. On ne sait jamais qu’elle se mette en tête après ça d’aller voir les flics et de faire de lui un pervers. Elle le rassure en lui donnant même son âge. Vingt ans, c’est raisonnable non… c’est ce qu’il essaie de se convaincre alors qu’il sait que ce n’est pas le cas. Elle a vraiment l’âge d’être sa fille. Ils ont vingt ans d’écart et donc, oui il pourrait être celui qui a donné le spermatozoïde pour faire l’enfant. Il soupire discrètement, se sentant tout à coup très con de draguer une gamine. Qu’est-ce qui lui passe par la tête ? Il n’a pas le temps de s’en faire plus que déjà ses pensées sont dérangées par le juron de la brune. Javier se tourne vers elle pour voir ce qui se passe et découvre avec stupéfaction qu’un pigeon lui a chié dessus. Le mexicain se retient de rire. C’est une blague non ? C’est pas possible autrement. Il n’y a que dans les films que ce genre de trucs bateaux arrivent. Cependant, il ne peut pas garder son sérieux plus longtemps quand la jeune femme se rend compte qu’elle vient bien malgré elle de faire un jeu de mots. Un rire s’échappe de ses lèvres et vient rejoindre celui de la brune à ses côtés. Heureusement qu’elle réagit de la sorte. Il ne serait retrouvé bien mal à l’aise s’il avait été le seul à rire de cette crotte de piaf bien tombée. Le professeur la regarde fouiller dans son sac à main sûrement à la recherche de mouchoirs pour s’essuyer et la voit également sortir de son sac une bouteille d’eau. Wahou mais elle a tout dedans c’est pas possible. « Tu m’as pas dit que tu étais Mary Poppins. » dit-il espérant tout de même qu’elle connaitra la référence et qu’il ne passera pas pour un vieux, même si c’est le cas. La voix de la jeune femme s’élève une nouvelle fois mais là, elle lui demande simplement si elle a réussi à tout essuyer de son visage. D’ailleurs, ce dernier est rouge comme une tomate. S’il n’avait pas vu la merde de pigeon s’étaler dessus, il aurait pu croire qu’elle avait bu un tonneau de bière ou de vin. « Il t’en reste un peu au coin de l’œil… là. » Il joint le geste à la parole en montrant sur lui-même où il y en a. Il inspecte un peu plus son visage à la recherche d’une autre trace sans en trouver. « A part à côté de ton œil, tu as tout enlever. » Javier sourit avant de reprendre. « Je dois dire que je suis plutôt impressionné. Là où une autre fille aurait gueuler parce qu’un pigeon lui a chié dessus, toi tu as simplement ri et nettoyé ça comme si de rien n’était… Chapeau vraiment. » Le mexicain est vraiment impressionné parce que c’est rare ce genre de comportement. D’ordinaire les femmes hurlent parce que quelque chose comme ça s’est passé. Elle non, elle a pris ça comme si de rien n’était. Il lui tend alors la main pour se présenter. « Me llamo Javier. ¿ Y tu ? »
camo©015 - Spoiler:
doigt - musique - rouge - énorme - artifice
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: (rp arrangé) javier ft. manon 12/6/2016, 10:57 | |
| .une étrange attirance. | manon & javier | |
Vraiment la poisse cette journée. Il fallait bien évidemment qu’un truc comme ça lui arrive à elle et devant cet inconnu. On ne pouvait pas faire plus humiliant. Mais Manon, ce n’est pas vraiment une fille comme les autres, et même si son visage devient rouge de honte, elle ne régit pas en hystérique comme une autre fille l’aurait fait. Genre ses sœurs. Rien que d’y penser, ça la fait encore plus rire. Non, elle, elle choisit d’en rire et de se nettoyer, après tout c’est plus important, elle ne va pas rester avec cette merde de pigeon sur la tronche éternellement. La remarque de l’homme sur son sac après qu’elle ait sorti ses mouchoirs et sa bouteille d’eau la fait sourire. « Le sac de Mary Poppins est bien plus énorme que le mien, et malheureusement, je n’ai pas tout dedans comme un miroir par exemple. » Ce qui aurait été plus pratique et elle n’aurait pas eu besoin de demander à cet homme, contant sur sa franchise pour lui dire s’il lui en reste ou non. Heureusement pour elle, il semble tout à fait honnête en lui indiquant du doigt l’endroit de son visage où il lui en reste un peu. La footballeuse se dépêche d’imbiber un autre côté de son mouchoir et de nettoyer avec le coin qu’il lui a indiqué. Elle rougit à nouveau au compliment de l’inconnu, qui lui fait justement remarquer le calme dont elle a fait preuve. « Merci. Disons que je ne suis pas mes sœurs. » Elle rit encore de bon cœur. « En fait je joue au football, alors je ne suis pas vraiment du genre à pleurnicher pour un ongle cassé, des cheveux pas lisses, un maquillage raté ou ce genre d’artifice qu’on colle souvent aux filles. C’est pas que je me fiche de mon apparence, mais c’est pas ma priorité non plus. » La jeune fille s’explique le plus simplement du monde à cet homme qu’elle ne connait même pas. Elle devrait probablement être un peu plus méfiante, mais sans trop savoir pourquoi, elle se sent à l’aise en sa compagnie. Elle a cette étrange impression qu’elle peut lui faire confiance, alors qu’il est là pour la draguer et la mettre dans son lit, mais ça, elle n’y pense pas. Parfois, Manon, elle est un peu trop naïve, c’est ce qui fait son charme. Puis, enfin, il se présente, en espagnol, un espagnol parfait, sans accent, elle en conclut assez facilement qu’il doit être de langue maternelle espagnole, sans pour autant émettre d’hypothèse sur son pays d’origine. « Javier encantada, me llamo Manon. » Elle a cette facilité de passer d’une langue à l’autre. Ainsi comme la première fois, elle lui répond d’instinct en espagnol. Faut bien avouer que ça lui plait, parce que hormis les vacances dans la famille, elle n’a pas réellement l’occasion de parler cette belle langue très souvent. « Que acaba de qué país ? » Elle est curieuse Manon, et elle a envie de savoir d’où il vient, voir si c’est d’Espagne ou d’ailleurs. Puis la musique de son téléphone résonne dans sa poche, interrompant la conversation. Fanny encore. Manon ne décroche pas, par politesse, même si elle se doute bien que sa sœur s’inquiète de ne pas la voir revenir. « lo siento, es sólo mi hermana que se preocupa »
camo©015 - Spoiler:
femme - soleil - chien - drapeau - foot
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: (rp arrangé) javier ft. manon 26/6/2016, 01:40 | |
| .une étrange attirance. | manon & javier | |
La femme à ses côtés n’a pas de chance du tout. Prendre une merde de pigeon en plein visage alors qu’on est face à un inconnu qui nous drague, ne doit sûrement pas faire partie du top de ses priorités. Cependant, alors qu’une fille « normale » aurait crié, hurlé et probablement pleuré parce que ça ruinait son maquillage, elle, elle en rit et se nettoie comme si de rien était. Ça impressionne Javier qui ne sait pas quoi dire. Elle sort même de son sac une bouteille d’eau ainsi qu’un mouchoir pour tout enlevé. Encore une fois, il se dit qu’il ne comprendra jamais une femme. Avoir autant de choses dans son sac c’est impossible pour lui. Déjà parce qu’il n’a pas de sac mais aussi parce que bon, il n’a jamais besoin de ce genre de chose. D’ailleurs il lui fait la remarque qu’elle ressemble à Mary Poppins comme ça. « Oui sûrement. Mais tu n’as pas besoin de miroir puisque je suis là. » Javier sourit en se montrant du doigt alors qu’il finit de dire à la jeune femme où elle a encore du caca d’oiseau sur le visage. il s’extasie sur le fait qu’elle n’est pas réagi comme une fille l’aurait fait dans ce genre de situation. La brune lui explique que c’est parce qu’elle fait du foot. Le mexicain aime bien ce jeu, mais n’en est pas fan au point de monopoliser la télé pour regarder un match. Non, il va apprécier un petit match devant sa télé, la fenêtre ouverte laissant passer le soleil, avec une bière à la main de temps en temps. Il ne comprend pas ceux qui se ramène avec leurs maillots, le maquillage sur les joues, les perruques au couleur du pays ou de l’équipe et même le drapeau. Ce genre de chose le dépasse totalement. « Oh d’accord, je vois. Ça explique que cette merde de pigeon n’est pas eue autant d’effet sur toi. Ça n’empêche que je suis quand même impressionné. C’est pas tous les jours qu’on voit une charmante demoiselle comme toi recevoir un caca d’oiseau sur le visage et qui n’a pas une réaction hystérique. » Javier se souvient parfaitement de ses sœurs, même si cela fait des années qu’il ne les a pas vue, vu qu’elles sont restées à Juarez, et il sait qu’elles n’auraient pas réagi comme la jeune fille près de lui. Elles auraient hurlé en essayant de l’enlever mais ça n’aurait eu que pour effet d’aggraver la situation en l’étalant un peu plus. Le mexicain ne s’attarde pas sur ça et préfère se présenter pour savoir comment la jeune femme s’appelle aussi. Il utilise l’espagnol parce que plus tôt il a entendu son accent parfait et il voudrait parler sa langue natale avec quelqu’un qui le parle aussi bien que lui et pas simplement en cours. Elle s’appelle donc Manon. Javier hoche simplement la tête et répond à la question posée par cette dernière. « Soy de México . Nací en Juárez y me mudé a los Estados Unidos antes de venir a Francia. ¿ Y tu ? » La conversation est coupée par le téléphone de Manon. Elle ne semble pas vouloir y répondre sûrement par politesse parce qu’elle discute avec lui. « Tu devrais répondre, c’est peut-être important. » Javier repasse au français sans réellement s’en rendre compte. Il a tellement l’habitude maintenant de parler français qu’il ne le remarque même pas. Il sent alors quelque chose contre sa jambe et sursaute avant de regarder et de voir un chien qui se frotte allègrement à son tibia comme s’il pensait qu’il allait pouvoir se reproduire avec lui. Le professeur entendu un sifflement et le clébard repart aussi vite qu’il est apparu. Le téléphone sonne encore une fois, laissant la sonnerie briser le silence. « Je ne me sentirai pas offensé si tu réponds. Si ça continue d’appeler c’est que c’est important ou grave, tu ne penses pas ? » Javier lui sourit affectueusement, pour lui montrer que ça ne le dérange pas du tout qu’elle décroche si elle en a envie.
camo 015 - Spoiler:
cette fois, c'est le père de manon qui appelle
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: (rp arrangé) javier ft. manon 9/7/2016, 16:16 | |
| .une étrange attirance. | manon & javier | |
La demoiselle se met à rougir et baisse un peu le regard face aux compliments de son interlocuteur. Son air gêné doit probablement plus la trahir que ses joues rouges, Manon ayant la chance d’avoir une peau hâlée, le rouge aux joues ne parait pas trop. « Merci. » Petite bafouille, parce qu’elle est une jeune femme polie. Elle n’a pas vraiment envie de s’éterniser sur le sujet, elle, elle ne trouve pas ça si exceptionnel, c’est juste sa façon d’être, un peu moins chochotte que la plupart des filles, mais elle n’est pas une exception non plus. Et puis après les présentations, elle ne peut empêcher sa curiosité de s’exprimer devant l’absence d’accent de Javier, et ça l’intrigue de savoir d’où il vient. Explication qu’il donne volontiers, pour le plus grand plaisir de la footballeuse. Le Mexique, un pays qui l’a souvent fait rêver. Elle n’y est malheureusement encore jamais allée, mais il fait partir des nombreux pays qu’elle aimerait pouvoir avoir un jour l’occasion de visiter. Peut-être qui sait, quand elle arrivera à entrer en équipe internationale ? Elle s’apprête à lui répondre, quand son téléphone sonne, alors elle s’excuse toujours en espagnol, expliquant que ce n’est que sa sœur qui doit s’inquiéter de ne pas la voir rentrer. Et pourtant, elle ne décroche pas, ne voulant pas offenser Javier. Manon, ce n’est pas une accro des technologies, et elle n’est pas non plus ce genre de filles scotchées à leur téléphone en permanence, comme Fanny peut l’être. Alors non, elle ne saute pas sur son GSM dès que ce dernier se met à sonner. « Non, c’est bon, ma petite sœur à un peu trop tendance à me coller et à s’inquiéter quand je ne suis pas à la maison, mais y’a pas de quoi. Elle verra bien que je vais bien quand je déciderai de rentrer. » Elle sait pourquoi Fanny s’inquiète, parce que sa cadette sait que quand elle s’isole comme ça, c’est que sa maladie n’est pas loin, prête à sortir et qu’elle essaie de se calmer. Alors forcément, ne pas la voir revenir comme elle le lui a dit plus tôt, ça la fait paniquer et Manon, ça la touche, même si parfois elle en fait un peu trop. Par contre, même si maintenant elle connait son prénom, Javier reste un inconnu et hors de question de lui expliquer la véritable raison de l’inquiétude de la benjamine Lesca, il n’a pas besoin de le savoir, ça ne le regarde absolument pas. « Donc moi je suis... » Elle ne peut finir sa phrase, que le téléphone se remet à sonner une nouvelle fois et l’homme la rassure sur le fait qu’il ne s’offusquera pas si elle répond. Alors Manon sort son téléphone de sa poche s’attendant à voir le prénom de sa cadette sur l’écran, mais contre toute attente, c’est celui de son père qui est affiché. « Humm, ça ne sent pas bon ça. » Elle redoute de devoir décrocher, mais sait aussi que plus elle attend, pire ce sera, alors elle s’excuse brièvement auprès de Javier et se retourne sur le banc, lui tournant légèrement le dos pour un peu plus de discrétion. « NON, MAIS ÇA NE VA PAS MANON ! FANNY M’A RACONTÉ TA CRISE ET TOI TU NE RENTRES PAS ET TU NE LUI RÉPONDS PAS. TU NOUS AS FAIT UNE FRAYEUR ! » Pour éviter de devenir sourde, elle a éloigné un peu l’appareil de son oreille. « Désolée papa, je t’assure ça va, y’a pas de quoi fouetter un chat. » Manon se mord un peu la lèvre, honteuse de se faire engueuler comme ça, et surtout d’avoir quelqu’un pour en être témoin, elle a presque vingt ans bordel, ça la fout mal. « Peu importe, tu aurais au moins pu lui répondre ou lui envoyer un message pour dire que ça allait. Je te préviens jeune fille, je ne sais pas où tu es, ni ce que tu fais, mais tu as trente minutes top chrono pour ramener tes fesses à la maison. Compris ? » La jeune fille hoche la tête, même si son père ne peut pas la voir, avant d’ajouter un oui très timide, à peine audible. Quand elle raccroche et se retourne vers Javier, elle se sent misérable qu’il ait dû assister à ça. « Je suis désolée, mon père... ma sœur a cafté. » Manon se lève, attrapant son sac et le passant sur son épaule. « Je m’excuse, mais je vais devoir y aller, déjà que ça va être ma fête, je ne veux pas empirer les choses. J’ai été ravie de vous rencontrer Javier. » Elle a bien failli ajouter peut-être à une autre fois, mais ça aurait paru probablement bizarre alors elle s’est abstenue. Elle regarde l’heure rapidement, heureusement qu’elle n’est pas trop loin de chez elle, même à pied, une demi-heure devrait être assez, enfin elle espère, elle vit tout de même à l’autre bout de l’arrondissement. camo©015 - Spoiler:
Javier chute ou manque de chuter
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