NOM : Une identité anglophone résonne au murmure de ces lettres, Williams, autant dire que mes professeurs ont détesté ce nom. PRÉNOM : Zéphyr. Je me demande toujours pourquoi mes fichus parents ont décidé de me refiler ce dieu grec. Dieu du vent, et puis quoi encore. À peut-être savaient-ils que j'allais devenir une véritable tornade. SURNOM : Aucun ? Mes amis n'ont jamais réussi à vraiment me trouver un surnom, en même temps, vu la gueule du prénom.  ÂGE : 20 ans, un nombre pair pour peu de temps. L'insouciance de la jeunesse ? Non, juste une envie de profiter de la vie. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Londres, la capitale, la cosmopolite. Un certain 27 janvier 1996, apparemment, il faisait froid, mais cela n'empêcha pas ma mère de me mettre au monde. ORIGINES : Anglais, enfin, un accent quelque peu perdu. ORIENTATION SEXUELLE : Je n'ai jamais su, et clairement, je n'ai pas envie de me torturer l'esprit, je prends ce qui vient, le sexe, rien que du sexe. STATUT CIVIL : Célibataire, pas le temps de me perdre dans des sentiments. ÉTUDES/MÉTIER : Deuxième année de BTS métiers de l'audiovisuel, métiers du son. Autant dire que les études et moi, nous ne sommes pas potes. Enfin, j'espère devenir ingénieur du son un jour. PASSION(S) : Écouter de la musique à longueur de temps ? Profiter de mes potes, sortir, boire, fumer. Un penchant plutôt nouveau pour le sexe sans attache, une sorte d'échappatoire sûrement. Et puis, il m'arrive de lire en cachette, je me le joue un peu écervelé, mais ce n'est que surface.  GROUPE : Eden, de Cacharel. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : Personnage inventé, pré-lien d'Emma, petit-frère d'Orphée, un beau mélange.

CARACTÈRE : Le souffle de l'audace, je joue des illusions, des mots crus, violents, piquants, pourtant, j'aime manier les mots de Shakespeare ou de Molière. Cacher les apparences, s'approcher de son ennemi, afin de mieux lui trancher la gorge. Enfin, c'est une expression. L'art de charmer pour mieux savourer.
Indomptable, une famille sans problème quelconque, de quoi payer une vie tranquille et presque dorée. Pourtant, j'ai toujours été du genre rebelle, ne jamais faire comme tout le monde. Un style particulier, des tatouages, un peu de tabac, de l'alcool.
Je ne suis pas quelqu'un de solitaire, j'aime la compagnie, des amantes, des amants, amis ou ennemis, je suis cependant indépendant. Je sais ce que je veux. Je n'ai besoin de personne pour me dicter des règles, sûrement un peu trop sauvage pour la société.
Instable voleur, voleur de coeur, voleur de corps. Le plaisir charnel avant tout. Les courbes, le sexe, l'envie et le désir. Des mots qui résonnent comme un écho dans mon crâne. Des gémissements incessants. Trop tôt pour l'amour, la noirceur de la fleur.

TICS ET TOCS : La fâcheuse habitude de parler mal. Des mots crus, des mots vulgaires. Il ne faut pas instruire les cons, selon certains.
La fâcheuse habitude de se promener torse nu, le boxer en évidence. Une sorte d'exhibitionnisme devenu caractéristique. L'envie de déranger, peut-être.
La fâcheuse habitude de terminer un repas avec une canette de cola, du sucre et encore du sucre.
La fâcheuse habitude de vivre comme je l'entends, sans attache, sans besoin, simplement respirer l'air de la liberté.
La fâcheuse habitude de tout laisser traîner, un peu bordélique, absolument pas maniaque, un vrai bordel à l'état pur.
La fâcheuse habitude de ne pas faire attention aux dépenses, des billets par ci, des billets par là, c'est ce qui fait mon charme, soit-disant.
La fâcheuse habitude de mettre la musique, à n'importe quelle heure de la journée et de la nuit, au plus grand désespoir des voisins. L'insouciance et l'ignorance d'une jeunesse argentée.
La fâcheuse habitude de se faire un tatouage dès que l'envie me prend, des marques indélébiles symbole de l'étrangeté sans pareille.
La fâcheuse habitude de s'énerver pour rien, un sang-chaud qui ne fait qu'un tour, un poing ravageur, de quoi en calmer plus d'un.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Cela peut vous paraître étrange, mais l'endroit où je suis le plus serein à Paris est la bibliothèque nationale de France. Vous vous attendiez sûrement à ces lieux un peu sauvages, où circulent la drogue, et l'alcool, où le sexe est libéré. J'aime ça. Mais ce que j'aime par dessus tout, c'est cette gigantesque bibliothèque, dans tous les sens du terme. Je me sens vivre, entouré de ces bouquins, de cette encre et de ces mots. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Le vent de la liberté. Je me sens libre de mes mouvements, de penser ce que je veux. Cosmopolite, Paris est un tourbillon de saveurs exquises, là où les limites ne sont plus. Je vis, et je revis. Paris. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Le côté étriqué de certains quartiers. Trop pompeux, trop conformistes, ne pas sortir du moule. Je profite de l'argent familial, certes, mais je n'aime pas que l'on me définisse autrement que je ne l'entends. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Cosmopolite, vibrante et ardente.

Jeunesse éternelle. L'aube de mes quatorze ans, ou peut-être un peu moins. Tout semblait absolument parfait dans ma vie, ou tout du moins, dans mon subconscient. De l'extérieur, cela ressemblait plus à un champ de mines. Une guerre incessante, conflit de génération sûrement. J'étais là, crayon en main, assis face à mon bureau, mes yeux transperçant le regard de mon professeur particulier, Icare. Un jeune homme, qui à l'époque, m'intriguait, pour sa patience légendaire. Il m'apprenait les mathématiques, ou tout du moins il essayait, tant bien que mal. « Tu sais, ça ne sert à rien de me répéter dix mille fois le théorème de je ne sais quoi, je m'en fous. Et puis, je préfère le français, pas tes vieux chiffres. » avais-je lancé d'un ton dédaigneux, envoyant valser tout espoir de me faire comprendre quoi que ce soit. Et il restait là, à répéter la leçon, espérant qu'un jour, ses paroles se gravent dans ma mémoire. En réalité, je l'aimais bien cet Icare, il m'inspirait confiance, et parfois, il arrivait même à me calmer. Durant ces heures de cours, le plus souvent, nous pouvions entendre la voix de mes parents, gueuler mon prénom à travers la maison. Le plus souvent, il s'agissait d'une mauvaise note, ou bien d'une remarque. Puis, vint l'alcool, la première bière descendue à la sortie des cours, puis la première cigarette. Ne pas faire comme tout le monde, ne pas être un Williams digne du nom, portant des chemises cintrées et des pantalons en coton. Les jeans déchirés et les longs t-shirts furent mes amis. Mes parents se plaignaient de moi, au reste de la famille, à leurs amis, à leurs collègues. J'étais le vilain petit canard selon moi. Après tout, j'étais heureux, mes écouteurs dans les oreilles, mon boxer dépassant largement de mon pantalon. Ce n'était pas mon coup d'essai. Le coup de grâce fut l'opération d'Orphée. Ce jour-là, je crus que la maison allait exploser. Il avait perdu sa voix. Sa voix si particulière que je pouvais entendre à longueur de temps, lorsqu'il chantait, sans s'arrêter, durant des heures. Trop rebelle pour vanter son talent, je m'asseyais simplement contre le mur, laissant la mélodie porter mes sens. Je n'étais pas très expressif, envers ma famille, ni envers mes amis. Je n'avais jamais dit à ma soeur que je l'aimais, même plus petit. Seul mon frère l'avait entendu, lorsque je lui avais soufflé à l'oreille, après son opération. Je n'étais que le dieu du vent, après tout.

 
Cela pouvait paraître presque sectaire. Nous habitions tous à quelques pas les uns des autres, le dixième arrondissement, un repère pour une bande de potes. Ce jour-là, j'étais habillé d'un jean noir troué aux genoux, une chemise blanche que j'avais laissé ouverte pour la chaleur de l'été, une casquette vissée sur la tête. Je descendais les escaliers deux à deux, un gain de temps, précieux, lorsqu'il s'agit de rejoindre sa bande. Quelques pas dans les rues quelques peu animées, le temps de savourer la folie de Paris. Nous étions tous là, Emma, Adrien, Ismaël, Lionel, Ousmane et Fabian. Des potes, face à la dure loi de la vie. C'était parfois le feu, parfois le glace. On était uni, c'était ce qui faisait notre force. Tout le monde ne s'entendait pas avec tout le monde, c'était évident. On faisait sûrement un peu semblant, pour ne pas éclater le cercle. J'avais un peu de mal à cerner Emma, la seule fille de groupe. Elle et ses manières délurées. Pourtant, elle ne m'avait rien fait de mal, mais c'était physique. Le courant ne passait pas toujours. Et puis, j'étais certain que les autres mecs ne pensaient qu'à se la faire. Elle était belle, je ne pouvais le nier, mais la tension entre nous empêchait un quelconque rapprochement. Alors je m'amusais à les taquiner là-dessus, à dire qu'ils étaient juste impatients d'apprendre à mieux la connaître, physiquement parlant. Cela partait vite, les conneries, on s'insultait parfois, mais cela relevait plus du jeu. Je les craignais aussi, je craignais qu'ils découvrent mon côté caché. La littérature, les belles phrases, romans et poésies. Ils allaient forcément se foutre de moi, moi qui étais un adepte des "putain" et autres familiarités. Ce jour-là, nous nous rendions à un bar. Un bar un peu miteux, où l'alcool n'était pas cher. Exactement ce qu'il nous fallait. Bizarrement ce ne fut pas un jour comme les autres. Je n'avais pas bu, préférant rester maître de mes sens. Un inconnu était entré, les lèvres d'Emma s'écartant. Elle nous présenta son frère. Icare. Mes yeux s'écarquillèrent. Je découvris face à moi, ce même jeune homme, que je connus des années auparavant. Il était maintenant devenu homme, ses muscles se dessinant sous ses vêtements. Il avait changé, physiquement. Mais il semblait toujours le même. Nos regards se croisèrent, une première fois. Un électrochoc. Il m'accorda un sourire, tandis que je lui répondis par un clin d'oeil. Une nouvelle fois, je l'avais trouvé attirant, socialement parlant, jusqu'à ce que des pensées perverses ne viennent traverser mon esprit. Une habitude. Au fil de la soirée, nous nous étions échangés quelques mots, des banalités, des "ça va ?" lancés ici et là. La nuit tombant, j'avais glissé dans sa poche, un papier, plié en quatre morceaux, sur lequel était inscrit un numéro de téléphone. Le mien. Je voulais apprendre à le connaître. Je voulais qu'il me connaisse, mes secrets et mes défauts.

PSEUDO/PRÉNOM : temporary fix., vous pouvez m'appeler Sam.   . ÂGE : 18 ans. SEXE : Monsieur Sam.      VILLE : Grenoble.    RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : LBD, et l'accueil des membres. IMPRESSIONS : Design très épuré, j'aime.    FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5/7j. UN DERNIER MOT ?   .

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !