NOM : degasne. la particule n'est pas détachée mais ça n'empêche pas certain de sa famille d'en jouer. lui se fiche complètement du caractère noble ou non de son nom. PRÉNOM : angel. petit il a souvent subi les moqueries de ses camarades. alors il s'est transformé en petit démon. bien vite maté par ses parents qui n'ont pas toléré ses écarts de conduite. SURNOM : angie. ses amis de lycée se sont amusés à chercher quelque chose d'original et depuis c'est resté. Le jour de son mariage, il a même eu le droit à une version remixée de la célèbre chanson des Rolling Stones par ses amis.  ÂGE : 32 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : le 14 octobre 1983 à Paris même. ORIGINES : soit disant ils descendraient d'une lignée de nobles français. Angel n'y a jamais cru. Il sait que ses grand parents aiment se faire mousser mais après tout, si ça peut leur faire plaisir. lui vit très bien comme il est. noble ou pas, il s'en contrefiche. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. jamais eu envie de tenter autre chose que les filles. STATUT CIVIL : divorcé. il ne pensait pas en arriver là, il pensait qu'eux deux ça serait pour la vie. foutaises. l'amour il n'y croyait pas étant jeune, il aurait dû rester sur ses positions. ÉTUDES/MÉTIER : vétérinaire. loin des choix de ses frangins, parents ou cousins qui se plaisent à vanter leurs beaux métiers en rapport avec la justice, lui a pris une toute autre voie. Avocat, juge, procureur... Il laisse ça aux autres Degasne. il préfère la compagnie des animaux. bien moins embêtants - pour rester poli. PASSION(S) : son fils. son fils et son fils. C'est plutôt clair. Il aime passer du temps avec lui dès qu'il ne travaille pas. Partager ses connaissances ou un moment à se rouler dans l'herbe. - les animaux. aussi. Il a promis à son fils qu'ils auraient un petit chat quand il aurait un peu grandi. - la nature. le calme. il aime les longues balades dans les espaces arborés. - la lecture. peu littéraire avant d'avoir son fils, depuis qu'il veille sur lui la nuit, il a lu un bon nombre de bouquins. Les meilleurs ? Les histoires pour enfants ! - les jeux videos . grand gamin parfois il aime passer son après midi dans le canapé à jouer. c'est plus rare depuis qu'il travaille à temps plein et qu'il a son fils mais il lui arrive de s'accorder ce petit plaisir parfois. - le football en bon parisien il supporte le PSG. il a déjà hâte d'emmener son fils au parc des princes pour aller voir un match. GROUPE : BLACK OPIUM. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé.

CARACTÈRE : froid. a quoi bon offrir des sourires aux gens ? Ils ne les rendent jamais. Angel réserve les siens pour son fils. la seule personne qui compte dans sa vie. dévoué à ce petit être qu'on lui a littéralement offert.  son fils est tout pour lui. il donnerait sa vie pour cet enfant. peu importe les liens de sang. il est à lui et ça ne changera jamais. sérieux dans son travail. il est peut-être déprimé par la situation dans laquelle il vit depuis de longs mois mais il garde la tête haute. son travail représente beaucoup et lui permet de ne plus penser à elle. à ses erreurs. à eux. rancunier il lui en veut. terriblement. qu'elle ait décidé de l'abandonner lui, son mari, il peut essayer de le comprendre. mais leur enfant. celui qu'ils ont eu après avoir tant souffert ? Il ne peut lui pardonner. elle était la seule en qui il avait confiance. aujourd'hui, il ne l'accorde plus à personne. TICS ET TOCS : les bisous de son fils sont sa drogue. Lorsqu'il sent le cafard l'emporter, il le serre contre lui ou regarde une de ses photos s'ils ne sont pas ensemble. - fronce souvent le nez, signe d'un trop grand mécontentement qu'il ne parvient plus à contenir. - n'aime pas le coiffeur. ses cheveux sont souvent en vrac, beaucoup trop longs, mais il s'en fiche. il se sent mieux ainsi. Il adore quand son fils s'amuse à jouer avec alors tant que le petit aime, il les gardera comme ça.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? J'aime les jardins, là où on peut échapper un peu à la vitesse de la ville. sentir le vent effleurer mon visage, écouter les oiseaux chanter. me balader avec mon fils, le voir s'émerveiller devant la simplicité d'une feuille qui vole ou d'un criquet qui s'échappe. le parc Monceau. square des Batignolles. jardin du Luxembourg. jardins des Tuilleries... QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? La beauté de l'architecture. pouvoir passer du calme à la vitesse d'une capitale au détour d'une rue. s'imprégner de cultures différentes. Il y a tant de choses à découvrir. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? le stress. les gens courent. se bousculent. se communiquent leur stress. le manque de sourire dans les rues, le métro... POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : culturelle la découverte, la diversité. la soif d'apprendre, de partage. surprenante, on a beau y vivre depuis des années, il y a toujours de nouvelles choses qui entrent dans nos vies lorsqu'on habite dans cette fourmilière. pas toujours positif, il faut savoir se relever. oppressante quand ça ne va pas, ça ne va pas. et pendant les heures de pointe, difficile de se sentir à l'aise dans le métro ou sur les trottoirs bondés.

Rencontre, amour, installation, mariage, bébé. C’était la suite logique d’événements par laquelle la plupart des couples passaient. Parfois l’ordre était chamboulé mais le but était d’arriver à une stabilité familiale. Angel n’était pas de ceux qui recherchaient absolument ce genre de bonheur par le passé. Mais avec elle, avec sa femme, ça avait été instinctif, normal. Il s’était transformé par amour, tout en gardant son caractère, bien sûr. Mais, pour elle, il aurait tout fait. Elle le rendait si heureux alors il se devait d’en faire de même. Les sentiments étaient arrivés plutôt rapidement à son grand étonnement et lorsqu’il avait annoncé à ses amis qu’il s’installait avec sa copine et qu’ils allaient se marier, ils n’avaient pu retenir un rire. Angel s’était évidemment joint à eux. Pour lui aussi c’était étrange de se voir aujourd’hui lui qui adorait découvrir de nouveaux plaisirs dans les bras d’une femme différente à chaque fois. Mais elle, il l’aimait. Elle, il voulait l’épouser et lui faire des enfants.

(novembre 2011) Oui, mais la vie qui les avait épargnés jusque là s’était finalement retournée contre eux. Malgré plusieurs tentatives, les tests de grossesse ne cessaient d’afficher « négatif ». Il avait beau garder espoir, Angel voyait bien que le moral de sa femme déclinait de jour en jour. « Il faut que tu gardes espoir, on va l’avoir ce bébé » ne cessait-il de lui répondre à chaque nouvelle déception. Les docteurs étaient formels, aucun d’eux n’avaient de problèmes. « Peut-être que c’est un signe, Angel, un signe qu’on n’est pas fait l’un pour l’autre ? » Cette phrase prononcée par sa femme l’avait achevé. Il n’avait pu retenir un éclat de colère. Comment pouvait-elle dire ça ? Comment pouvait-elle douter de leur amour ? Il en avait souffert mais il lui avait pardonné. La peine parlait à sa place et il devait être fort pour eux deux.

(février 2012) « Je suis enceinte ! » Angel n’en croyait pas ses oreilles. Le médecin venait de rappeler après les tests sanguins. Sa femme attendait vraiment un bébé. La serrant fort contre lui, il laissa échapper une larme solitaire. Depuis le temps qu’il espérait entendre cette phrase. « Tu vois, on avait raison d’y croire… » Bien sûr, rien n’était encore certain. Angel ne serait rassuré que lorsque leur enfant serait là, dans leurs bras aimants. Et il avait eu raison...

(mai 2012) « Angel, j’ai mal… vraiment trop mal… » Paniqué, Angel n’avait pas voulu attendre et, dès les premières douleurs, ils avaient sauté dans la voiture. La voir se tordre de douleur sur le siège passager le rendait malade. Il aurait presque pu ressentir sa peine.
L’hôpital n’était pas loin de leur domicile mais ils étaient arrivés trop tard. Le sang qu’avait perdu son épouse n’avait laissé aucun doute lorsqu’il l’avait sortie de la voiture. Il avait tout fait pour arriver assez vite mais ça n’avait pas été suffisant.
Marchant comme un fou dans l’espace d’attente du service obstétrique, Angel ne parvenait pas à calmer les palpitations de son cœur. C’était fini. Ils avaient perdu le bébé. Le médecin venait de lui annoncer. Sa femme, elle, subissait une intervention à l’instant même et ne pas pouvoir être à ses côtés détruisait Angel. Les larmes ne sortaient pas. Il devait rester fort pour elle. Il ne pouvait flancher.
« Pardon Angel… » dans la chambre d’hôpital, il prit doucement sa main et caressa ses doigts. « ne t’excuse pas… tu n’es pas fautive… on trouvera une solution. » Il ne savait pas ce que leur réservait l’avenir mais ça ne pouvait pas être pire.
« Je peux vous aider. » Lorsque leur médecin avait prononcé ces mots, Angel ne s’était pas douté de la proposition qu’il allait lui faire. D’abord réticent, il avait songé à refuser. Mais en voyant la lueur d’espoir dans les yeux de sa femme, il avait écouté le discours du gynécologue. Choqué. Oui il l’était. Qui était cet homme pour leur dire de camoufler cette fausse couche et leur proposer un bébé ? « Je vous suivrai, je noterai tout comme pour une grossesse normale, je ferai comme si je vous avais accouché chez vous et vous pourrez aller déclarer le bébé comme étant le votre. Avec de vrais papiers. » Angel réfléchissait à toute allure. Tout ça était dingue. Beaucoup trop risqué mais c’était finalement si simple, si tentant. « Et cette mère ? Elle est d’accord au moins ? » « oui, elle souhaite abandonner le bébé. Bien sûr, une contrepartie financière doit être fixée. » Ça il s’en était douté. Il espérait seulement que la somme ne serait pas trop élevée, il ne voulait pas alerter ses banquiers en retirant de trop gros montants. Son cerveau en ébullition, il s’imaginait déjà avec ce petit être. « Le bébé sera la dans à peine cinq mois. Si vous tentez une FIV, vous avez le risque de subir une déception de nouveau. Si vous décidez d’adopter, vous en avez pour des années de procédure. » Mâchoire crispée, il fixa sa femme. Ses yeux lui criaient d’accepter. Il se sentait ignoble. Hors la loi. Mais pour elle, il était prêt à tout. « Bien. Nous allons en discuter ma femme et moi. Mais considérez que nous sommes intéressés. »

(juin 2012) Il avait accepté. Pour elle. Parce qu’elle avait retrouvé espoir de pouvoir enfin serrer un bébé contre elle. « Il ne sera pas de nous mais nous allons l’aimer tout comme… S’il te plait Angel » avait-elle supplié. Et Angel avait fini par céder. Adopter un enfant n’était pas le problème, ce qu’ils s’apprêtaient à faire était totalement illégal et s’ils venaient à se faire prendre ils risquaient sûrement très gros. Le découragement était tel qu’il avait appelé leur médecin pour donner leur accord. Quelques milliers d’euros et ce bébé serait le leur. N’était-ce pas horrible ? Acheter un enfant ? Pour se soulager, Angel ne pensa qu’au positif. Ils allaient l’aimer, l’élever, faire de ce bébé le petit être le plus heureux du monde.

Régulièrement, leur médecin leur donnait des nouvelles de leur futur enfant. Un petit garçon. Ils allaient avoir un garçon. Et pendant tout ce temps, madame Degasne arborait un ventre rond pour sortir. Il fallait faire croire à sa grossesse jusqu’au bout. Angel n’aimait pas la voir porter ce faux ventre mais, là encore, il ne songeait qu’au positif de la situation pour ne pas flancher. Bientôt ils seraient trois.

(octobre 2012) Trois. Jusqu’au bout, il avait eu peur que ça ne se fasse pas. Mais finalement, le médecin leur avait apporté le bébé. Un petit ange de quelques jours à peine. Dès qu’il avait posé les yeux sur lui, Angel était tombé sous le charme. Une bouille parfaite. Depuis il ne cessait de remercier intérieurement cette mère qui venait de lui faire le plus beau cadeau du monde pour son anniversaire. Né le même mois que son nouveau papa, ce petit venait d’égailler sa vie. Leur vie.
Tout s’était bien passé. Il avait pu le déclarer à la mairie sans encombres grâce à la complicité du médecin et des papiers officiels qu’il leur avait fourni. Devant l’agent administratif, Angel était resté impassible malgré la peur dévorante qu’on puisse le découvrir. Le petit était rentré sans encombre dans son nouveau foyer portant enfin le nom des Degasne.

(avril 2013) Plus les mois passaient, moins Angel reconnaissait sa femme. Elle était devenue froide. Impossible de lui parler plus de cinq minutes sans l’énerver. Interdiction de la toucher mais, pire que tout, elle refusait de plus en plus de s’occuper de leur enfant.

(juillet 2013) « CE N’EST PAS MON ENFANT » avait-elle hurlé lorsqu’Angel lui avait demandé pourquoi elle le rejetait totalement. Comment avait-il fait pour ne pas envisager vraiment cette possibilité ? Le rejet. Ça ne lui était pas venu à l’esprit puisque lui aimait son petit bonhomme à en mourir. Sa femme, cependant, ne supportait plus le petit garçon. Le moindre gazouillis lui attirait une plainte. Angel était perdu et ne savait plus quoi faire. Impossible de nouer le dialogue, il faisait face à un mur.

(septembre 2013) Aucune interaction. Ni dialogue, pas même un regard depuis plusieurs semaines. Alors quand Angel, totalement dépité, lui avait demandé ce qu’ils allaient faire, elle avait simplement répondu : « Signer les papiers du divorce. » Et comme par magie, sa femme les déposa sous ses yeux. Perdu, il parcourut rapidement les papiers et secoua la tête. « Tu me laisses notre fils, la maison, tout ? Il te dégoute à ce point là ? » Il regretta amèrement ses mots à peine prononcés. Non, il ne voulait pas savoir ce qu’elle pensait de leur enfant. « Je ne le supporte pas, je ne l’aime pas. C’est plutôt clair non ? » Difficile de dire ce qui lui avait le plus fait de mal, les mots terribles de sa femme ou son ton froid, dédaigneux. Instinctivement, son nez se fronça. Jamais il n’avait ressenti une telle fureur. « Je vais les signer tes putains de papiers, aucun risque que je continue de vivre avec toi. » Tout ce qu’il avait fait c’était pour elle, pour la rendre heureuse, et aujourd’hui, elle l’abandonnait lui et cet enfant qu’elle avait tant désiré. « On a fait une erreur. Et cette erreur a tout détruit. » « Je t’avais bien parlé des conséquences possibles. Alors ne viens pas me faire de leçons. Fais tes valises, démerde toi, mais je veux que demain tu aies fichu le camp. Ton avocat aura les papiers sur son bureau très rapidement si les termes me conviennent. » Jamais il ne signerait sans avoir vraiment tout lu. Il aimait cette femme mais aujourd’hui il la voyait comme une étrangère, une étrangère qu’il haïssait du plus profond de son être. « Une dernière chose, ne parle jamais de ce qu’on a fait toi et moi pour notre… mon fils. Tu risquerais d’avoir de très gros problèmes. Et je ne parle pas de la justice. » Oui il la menaçait. Non il n’en avait pas honte. Il était terriblement déçu, la colère lui donnait envie d’hurler sur cette femme qu’il avait tant aimé.

(novembre 2013) un tout petit peu plus d’un an après la naissance de leur fils, ce petit être n’était plus que « son fils ». Divorce prononcé rapidement grâce à l’entente des deux conjoints. Elle n’avait rien demandé, partage équitable, pas de pension alimentaire. Rien. Angel ne voulait plus aucun contact avec elle. Jamais. Finalement, elle avait eu raison, la vie leur avait sûrement envoyé un signe par le passé. Ils n'étaient pas faits pour être ensemble.


Depuis, Angel ne vit que pour son fils et son travail. Quelques conquêtes partagent parfois son lit mais il ne veut plus d'attache. Il donne tout à ce petit être qui le comble de bonheur. Il n'a nullement besoin d'une femme qui finira par le détruire. Malgré les années, il n'est pas remis de son divorce. Il garde la tête haute mais cette expérience, il l'a vécue comme une trahison. Et lorsque son petit garçon lui demande où est sa maman, il ne peut empêcher son coeur de se serrer. « Elle est partie en voyage loin... » Il se sent minable de lui mentir. Mais comment expliquer à un petit garçon de trois ans et demi que ses deux mamans l'ont abandonné ?

PSEUDO/PRÉNOM : fantasy. ÂGE : vieille. SEXE : f. VILLE : rennes. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : parce que j'ai envie :mdr: IMPRESSIONS : le forum est magnifique, ça fait un moment que je le reluque et que j'ai envie de m'inscrire mais par faute de temps je n'ai jamais pu. mais je suis bien contente de pouvoir le faire aujourd'hui      FRÉQUENCE DE CONNEXION : le plus souvent possible. UN DERNIER MOT ? et bien, le forum est toujours aussi magnifique. j'espère me plaire parmi vous. par contre je suis un petit peu pénible niveau intégration, je suis souvent en galère. donc ne m'en voulez pas si parfois je suis à la traine      

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !