NOM : Rochebois, un nom typiquement français descendant de je-ne-sais-combien de générations. PRÉNOM : Léandre, le prénom de mon grand-père, décédé peu avant ma naissance. SURNOM : à toi de décider. ÂGE : vingt-et-un ans et toutes mes dents. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je suis né le 17 juin 1994 dans la « Ville rose » autrement appelée Toulouse. ORIGINES : Je suis un pur français. La différence, les mélanges, ça n'existe pas dans ma famille. ORIENTATION SEXUELLE : Pas envie d'en parler. j'suis gay STATUT CIVIL : Officieusement célibataire, officiellement en couple avec Albane, ma meilleure amie. ÉTUDES/MÉTIER : Je travaille dans un café/librairie, mon rêve quoi. J'adore cet endroit, c'est mon deuxième chez-moi et parfois je me demande si je n'y passe pas même plus de temps que dans mon propre appartement, mais ça me convient ainsi. PASSION(S) : Comme le témoigne mon métier, la lecture est une de mes grandes passions. Une grande bibliothèque orne mon salon mais elle est déjà pleine à craquer, des piles de livres se rajoutent sur les côtés. Sans compter les livres restés chez mes parents. Mais ce n'est pas ma seule passion, heureusement. Pour rattacher à la lecture, j'aime écrire, que ce soit des petites nouvelles ou des choses plus longues mais ça, j'évite de le crier trop fort. Je crois même que personne n'est au courant, même pas Albane ce qui est je dois le dire quelque chose d'étrange puisqu'elle sait tout. Et une dernière chose qui me passionne, c'est la peinture. Je ne suis pas très doué en dessin, ça non. Mais je m'amuse avec la peinture, je trempe mes doigts dedans et étale les couleurs sur les toiles, c'est mon côté enfantin qui ressort, sans aucun doute.  GROUPE : L'élixir de Nina Ricci. SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : Scénario

CARACTÈRE : Il m'a fallu un certain temps pour réunir toutes ces choses et surtout, accepter que ceci reflète réellement mon caractère. Je suis maladroit, et c'est peu de le dire. Chaque jour, il se passe une mini-catastrophe au café et toujours lancée par moi-même, que ce soit un verre qui se casse, ou quelqu'un qui tombe -généralement moi- ou un café renversé, toujours le bon vieux Léandre. Je suis candide et naïf, et je n'en suis pas fier, mais j'essaie de travailler dessus, j'essaie réellement. Ça marche parfois mais comme on dit, « chassez le naturel, il revient au galop ». Sinon, je suis aussi lunatique. Un jour je vais voir le verre à moitié plein, mais le lendemain, je le verrai à moitié vide, c'est ainsi, il y a des jours avec et des jours sans. Je suis casanier aussi. Alors, certes, je passe énormément de temps au travail parce que j'adore ça. Mais il n'empêche qu'il m'arrive d'y être hors-service et de me cacher dans la réserve avec un livre pour être tranquille parce que c'est chez moi cet endroit, et il en va de même pour mon appartement. J'aime être dedans. J'aime être dans mon petit confort. Ensuite.. Je suis puceau. Bon, ce n'est pas un trait de caractère mais il n'empêche que c'est, je suppose important. Donc voilà, je suis puceau et je suis d'ailleurs très peu sorti avec quelqu'un, et toujours de courte durée. Mais j'ai déjà été proche ou en couple suffisamment longtemps au point de tomber amoureux (voyez le côté naïf de ma personne qui ressort), et je peux affirmer, non pas sans honte, que je peux être très jaloux et possessif, tout comme je suis tactile. J'ai besoin de sentir la chaleur humaine je crois, enfin c'est même certain. Sinon, parce que je me rends compte que je viens plus d'énumérer mes défauts que mes qualités, je suis sociable, quoique timide parfois. Croyant, et oui, je considère cela comme une qualité. Empathique et généreux, gentil, cela va de soi, à quoi bon être méchant et égoïste ? C'est contre la volonté de Dieu. Et enfin je tombe très, trop même, vite amoureux, en un rien de temps. Parce que le romantisme me perdra certainement un jour mais que pour l'instant, je ne peux pas le contrôler. TICS ET TOCS : Mes tics et tocs ? Ça c'est une bonne question. J'ai de mauvaises habitudes comme celle de fumer, et je n'en suis pas fier. J'ai commencé dans l'unique but d'embêter mes parents, je pensais que je pourrai arrêter une fois qu'ils seraient suffisamment énervés. C'est mal, je sais, mais j'avais comme un besoin de les défier, de leur montrer que je n'étais pas qu'un enfant de Dieu, mais que j'étais une personne à part entière, que j'avais mon propre caractère et toutes ces choses qu'on veut à l'adolescence. Mais voilà, je suis devenu complètement accro. J'avais seize ans, j'en ai maintenant vingt-et-un alors c'est bien trop tard désormais. Sinon, une de mes mauvaises habitudes aussi, c'est de m'enfermer dans ma bulle. Quand quelque chose ne va pas, je n'en parle pas tout de suite, ça non, je préfère m'enfermer chez moi pendant des heures, parfois des jours et rester devant une toile à peindre n'importe quoi, mais parler n'est pas quelque chose que je fais automatiquement. Un tic un peu ridicule concerne mes cheveux. Je passe ma journée à les triturer, pire encore quand je suis gêné parce qu'ils me semblent être le seul moyen d'échapper à quelque chose alors que finalement non, me recoiffer ne me fait pas disparaître mais c'est un tic que j'ai et qui, je crois, ne partira pas tant que je ne les aurai pas définitivement coupés. Et je n'en ai pas l'intention, donc tant pis. Et je suppose que c'est à peu près tout. Pour l'instant.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ?Mon petit café-librairie et si ça ne compte pas, je dirais les galeries et musées en tous genres. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? C'est loin de chez moi, loin de ma famille et je n'ai plus à supporter leur présence omniprésente chez moi, pour vérifier ceci et cela. Ici, je suis tranquille. Puis la capitale quoi, c'est la classe. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Trop de monde dans certains endroits. J'ai du mal avec le trop plein de personnes, je préfère nettement être tout seul qu'entouré de centaines de personnes qui se bousculent dans le métro. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Majestueuse, chantante, lumineuse.

« Au nom du père, du fils et du saint esprit, amen. » J'avais huit ans seulement et à cette époque, je ne comprenais pas encore ce qu'il y avait de bien ou de mal dans le fait de prononcer ces mots avant chaque repas que nous faisions, je ne savais rien de cela, ni de la religion en soi puisque je ne faisais que ce que je devais faire, et rien d'autre. Un enfant modèle, oui, voilà ce que j'étais. Un enfant unique mais qui faisait la fierté de ses parents, et j'en étais moi-même fier. Quand je ramenais à la maison une nouvelle bonne note et que je voyais leurs sourires s'allonger, j'étais fier et heureux. J'étais tout aussi fier d'être croyant, catholique, d'enfiler mon costume tous les dimanches pour aller à la messe et de porter une croix autour de mon cou pour aller dans mon école privée religieuse. Je n'avais pas encore compris que la religion était tellement ancrée dans ma famille que je n'aurai jamais le droit d'être moi-même, que je n'aurai jamais l'occasion d'accepter la personne que je suis. Parce que c'est contre-nature.

J'étais déjà en quatrième mais je n'avais encore jamais embrassé quiconque. Bien sûr, ça, je ne le disais pas à mes copains parce que c'était un peu la honte. Eux qui avaient tous des petites-copines, eux qui savaient déjà tout des relations amoureuses, eux qui savaient comment embrasser, dans quel sens et comment se pencher, si ça accroche pas aux bagues et si c'est pas sale. Moi je ne savais rien de ces choses-là parce que je ne l'avais encore jamais expérimenté. Pourtant, les occasions ne manquaient pas, les filles m'appréciaient visiblement assez, apparemment j'étais « trop craquant » mais Sarah était trop pénible, Julie rigolait trop fort, Marie était trop collante, Cécile était trop grande. Elles étaient toujours trop quelque chose ou pas assez une autre, jamais à ma convenance et j'apparaissais aux yeux de mon groupe d'amis comme le compliqué, celui qui ne sait pas où donner de la tête et qui préfère alors les relations cachées. Mais je n'avais pas de relation cachée, elles ne m'intéressaient juste pas, et j'ai mis longtemps à comprendre pourquoi. Je l'ai finalement compris en quatrième, justement, au moment où je me posais de sérieuses questions quant au pourquoi du comment. Je l'ai compris le jour de la rentrée de quatrième pour être plus précis. Ce jour-là, je suis arrivé en classe, ai salué mes copains pour finalement aller m'asseoir à côté de l'un d'eux. Et c'est là qu'il est entré. Le nouveau. J'ai eu du mal à décrocher mon regard de lui pendant la présentation et de même pendant toute la journée de cours de cette rentrée. Je me débrouillais toujours pour me retrouver derrière lui, histoire de mieux le voir. Il n'attirait pas le regard des filles mais que le mien. Il n'avait rien de réellement merveilleux en soi, n'était pas musclé ni très grand, mais quelque chose en lui m'attirait fatalement. Et c'est ce jour-là que j'ai compris. Ce jour-là que j'ai passé à le regarder et à me répéter que plus je le regardais, plus je le trouvais séduisant. J'ai compris que j'avais un problème, et que si je n'avais jamais voulu sortir avec une fille, c'était pour la simple et bonne raison que j'étais ce qu'on appelle une tapette, les garçons qui aiment d'autres garçons, une chose qui n'est pas accepté par Dieu, parce que ce n'est pas naturel et que deux hommes ne peuvent pas se reproduire, deux femmes non plus d'ailleurs, la nature n'est pas faite ainsi. Ce jour-là, je me suis répugné moi-même. Je me suis senti malade, habité par quelque chose qui allait devoir cesser, parce que ce que je ressentais, ce n'était pas humain et qu'il fallait que ça change.

« Je suis en couple. » C'est sorti comme ça, d'un coup, sans même que je ne le décide ou le calcule. Je n'ai pas eu le temps d'y réfléchir plus longtemps que je l'ai annoncé, et c'était déjà bien trop tard pour faire marche arrière, je venais d'annoncer à toute ma famille que j'étais en couple et toute ma famille allait vouloir savoir son nom, son âge, sa nationalité, sa couleur de cheveux, l'histoire de sa famille puis ils allaient vouloir la rencontrer. Oui, la. Parce que je ne devrais pas sortir avec un garçon, c'est contre-nature je le sais. Et pourtant, je n'ai pas pu m'empêcher de tomber amoureux. « Enfin ! Comment est-ce qu'elle s'appelle ? » « Elle » évidemment. Parce qu'une autre solution n'était aucunement envisageable. Même si je n'ai jamais parlé de filles à la maison, même si je n'ai jamais porté une quelconque attention envers la gente féminine, même si j'aime les cheveux dites féminines, et que j'aimerais me laisser pousser les cheveux. « Mathias. » Et d'un coup, sans que j'ai eu le temps de rajouter quoique ce soit, de m'excuser, d'implorer leur pardon, leurs visages se sont fermés et ma mère s'est emportée la première. « Dieu tout puissant. » Elle s'est exclamée en mettant ses mains sur sa bouche, pour exagérer, comme toujours. Parce que ma mère aime toujours exagérer les choses, c'est son côté théâtral qui ressort. Puis elle s'est levée et m'a fait signe de la suivre à la cuisine où elle a fermé la porte. S'est installé un silence monstre dans l'autre pièce, je n'entendais pas un bruit mais je pouvais entendre mes propres battements de cœur qui s'intensifiaient à mesure que les secondes passaient. « Quel est le problème avec toi Léandre ? Qu'est-ce que nous avons raté dans ton éducation pour que tu décides aujourd'hui, pour l'anniversaire de ton père, de nous faire une scène ? » Je n'ai pas su quoi répondre, parce que j'ai d'un coup compris qu'elle n'y croyait pas. Que pour elle comme pour tout le monde, mon petit-ami n'était que fictif et n'était donc inventé que dans le but de les embêter, de les provoquer, chose que je n'avais jamais faite et que je n'ai pas comprise. Puis finalement, j'ai décidé de répondre la vérité, la meilleure solution en soit pour éviter le trop-plein de questions de la part des différents membres de ma famille, à savoir ma tante, mon oncle, mes cousins, mes parents. « C'est pas un mensonge maman, je suis en couple avec un garçon, je l'aime maman. Je sais que c'est contre-nature mais je l'aime vraiment. Dieu n'a rien contre les gens qui s'aiment. » Elle a crié, encore, et j'ai décidé de ne rien ajouter pour le moment, de ne pas reparler de Mathias, puis elle est revenue elle-même à la charge. Quelques jours plus tard, quand sa colère s'est tassée, quand elle a eu le temps de prier pour changer ce que je ressens, prier pour que je me sois trompé. Pendant ce temps, j'ai pensé. À ce que je lui dirai, à ce que j'allai lui dire pour la convaincre de me laisser vivre cette histoire. Mais quand je me suis retrouvé face à elle, quand je me suis assis face à ma mère, tout s'est envolé, toute ma confiance est entièrement partie et je l'ai simplement laissée parler. « Léandre, mon chéri, écoute. Tu ne peux pas sortir avec un garçon, ce n'est pas normal, ce n'est pas quelque chose de normal, tu ne peux pas être amoureux d'un garçon. Un garçon est amoureux d'une fille et une fille est amoureuse d'un garçon. C'est comme ça que Dieu nous a fait, c'est comme ça que tu dois être, d'accord ? Alors tu vas dire à ce Mathias que tu ne l'aimes pas, parce que tu ne l'aimes pas. Tu penses l'aimer, mais ce n'est pas le cas parce que ça n'existe pas. Et tu ne vas plus lui parler même. Parce que tu n'aimais pas les garçons avant ? Alors c'est lui, il t'a contaminé. Mon pauvre trésor, mais, ne t'inquiètes pas, dès que tu seras loin de lui, ça te passera. » Et je l'ai crue, bien sûr que je l'ai crue, qu'est-ce que je pouvais faire d'autre après tout ? Alors j'ai quitté Mathias, comme demandé et je l'ai oublié, petit à petit mais très difficilement. Nous nous sommes éloignés et il a finalement déménagé à nouveau alors je ne l'ai plus vu, jamais. Mais mon attirance n'est jamais partie, au contraire. Mais j'étais bien décidé à me guérir de cette maladie malsaine.

« T'es gay ? Hey, mec, t'es gay non ? Ça se voit sur ta face de petite tarlouze. » Chaque jour la même rengaine, chaque jour les mêmes remarques désagréables, les mêmes moqueries pour la simple et bonne raison que j'aimais les chemises de couleur ou à motifs et que j'aimais laisser pousser mes cheveux. Le collège en venait à me manquer, lors de mes deux premières années de lycée, quand je n'ai pas revu mes amis mais que j'ai trouvé des bourreaux. Je n'ai dit à personne que j'étais sorti avec un garçon, parce que j'avais honte. Ma mère avait raison, c'est dégoûtant et immoral, une mauvaise passade de ma vie, probablement une influence de sa part. Influence qui n'est pourtant jamais partie. Mon année de terminale me permettait de me dire qu'il ne restait plus longtemps et que chaque jour me rapprochait de ma majorité et surtout, de ma liberté totale. J'ai passé une année à essuyer des insultes de plus en plus fréquentes et des moments de doutes, d'incompréhension, de difficultés. Puis est arrivé le bac, que j'ai eu sans mention, puis l'envol. Je me suis envolé. Loin loin loin. De Toulouse, j'ai fini à Paris, la grande et belle capitale de notre pays, le paradis sur Terre, l'endroit rêvé. Je n'ai pas continué mes études, à quoi bon ? Alors j'ai simplement trouvé ce travail, que j'affectionne plus que tout et qui chaque jour me plaît un petit peu plus. Parler livres autour d'un café avec des clients réellement intéressés, pour la plupart du moins. Mon rêve sur Terre. Je pourrais reprendre des études à côté, mais je n'en ai aucune envie, j'ai trouvé ma vocation et je gagne relativement bien ma vie.  

Et j'ai rencontré les bonnes personnes, je suppose. Vivre à Paris m'a permis de rencontrer celle que je considère comme l'unique femme de ma vie. La seule et l'unique, la grande Albane, ma meilleure amie, ma confidente. Celle que j'appelle dès que ça ne va pas. Et surtout, surtout, elle est celle qui m'a permis d'apprendre qu'aimer les hommes n'était pas une malédiction et que j'en avais le droit et surtout, que c'était totalement le cas. J'aime les hommes et je le sais grâce à elle, à son aide et à son soutien. J'aime les hommes, je le sais. Je ne le crie pas sur tous les toits mais elle comme moi nous le savons et finalement c'est le plus important non ? Elle et moi le savons. Mais lui aussi le sait, je ne sais toujours pas comment mais il le sait, c'est indéniable. Celui que je prenais pour un hétéro pur et dur, dessinateur talentueux et tatoueur sexy, a tout de suite su que j'étais gay, d'après lui. Son radar à gays peut-être, parce qu'il l'est. Oui, il l'est. Et je suis avec Albane, normalement, je le suis pour le faire croire à mes parents, pour qu'ils arrêtent de me voir comme le malade de la famille. Je le suis pour tout le monde normalement, parce que c'est plus simple pour tout le monde. Mais pas pour lui, lui, il l'a deviné. Isaac. Isaac et sa voix. Isaac et ses doigts. Isaac et son caractère. Isaac et ses lèvres.  

Et voilà. Ça, c'était ma vie dans les grandes lignes, pour plus d'informations, faudra apprendre à me connaître, faudra m'étudier, me parler, m'apprécier peut-être ? À vous de voir, mais je reste là, je vous attends, qui sait ? Peut-être que vous serez mon futur prince charmant, on verra bien ce que l'avenir nous réserve.

PSEUDO/PRÉNOM : Lucie. ÂGE : dix-sept ans, la jeunesse. SEXE : je crois que je suis une fille mais parfois, on peut confondre. VILLE : Un petit village perdu entre Béziers et Narbonne, loin de toute civilisation. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Je suis tombée amoureuse du forum, par le contexte, la ville de Paris et le graphisme magnifique. IMPRESSIONS : Pour l'instant, je suis ravie de la gentillesse des admins et fondatrices, je n'ai pas encore eu le temps de rencontrer trop de monde mais vous avez l'air tous gentils. (Mode bisounours activé). FRÉQUENCE DE CONNEXION : Plusieurs fois par semaine, le maximum possible. UN DERNIER MOT ? Je vous nem déjà.

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris.    maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même.   tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire.   en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis.   t'as vu comme tout le monde est mignon ici ?   alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire.    ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage.   et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !