NOM : Laclos. PRÉNOM : Cassandre Nicci. SURNOM : Cass', au plus classique. ÂGE : 25 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 15 mai 1990, à Paris. ORIGINES : Française du père, italienne de la mère. ORIENTATION SEXUELLE : Farouchement libre, Cassandre ne répond pas à ce dogme. STATUT CIVIL : Appelez la seulement mademoiselle, si cela vous chante. MÉTIER : Mannequin. PASSION(S) : Tout ce à quoi quelqu'un peut un jour s'intéresser. GROUPE : Black Opium. SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : Personnage inventé.




« [...] on se la disputait bien qu'elle vous fuît dans les mains comme l'eau parce que le peu que vous reteniez d'elle valait la peine de l'effort. »




Cassandre, elle vit en noir et blanc, y laissant parfois filtrer quelques nuances de gris. Les demi-mesures, toutes ces couleurs au milieu desquelles on se perd jusqu'à s'y noyer, elle ne s'y intéresse pas – A Cassandre, il faut l'extravagance des nuits folles et les révolutions grandes et intellectuelles portées sous le drapeau des premières utopies. Cassandre a besoin de ses passions, de ses décadences, de ses grandes ambitions et de leurs grandes chutes.

Cassandre veut la vie, sinon rien.

Et c'est simple à dire et si chaotique à la fois ; à naviguer entre le luxe des plus grands cafés parisiens et la déchéance de ses amours au goût de souffre. A chasser le dragon en loboutins, à utiliser un porte cigarette fait-main pour fumer son joint. Toujours abordable, on ne sait pourtant bien comment lui parler ; dans son grand studio situé Paris plein-centre, elle vous travaille de sa carte gold un énorme caillou de cocaïne entre deux petites tasses de porcelaine parisienne greffée. C'est à peine si on comprend comment l'approcher, et il est à peine concevable d'imaginer la garder, ne serait-ce qu'une seconde de plus à l'issue de l'illumination plus ou moins factice qu'elle aura eu pour vous. Elle vous file encore plus rapidement qu'une poignée de sable fin entre les doigts – elle papillonne avec plus de rapidité encore que le plus volage des hommes. Dans ses plus belles robes de soirées et vêtue de son plus beau sourire et de ses plus belles pensées, vous pourrez y voir la femme rêvée ; mais une fois ses belles étoffes déchirées et son joli regard parti en fumée, happé, dilaté par quelques relents d'acides, vous n'y verrez peut-être plus qu'une ombre – au mieux, une ombre laide, mais toujours élégante. Et cette ombre pourra vous entraîner aussi loin que vous jeter sans concessions pour fuir se perdre dans d'autres vallées. Car on ne choisit pas Cassandre, c'est elle qui vous choisit – on ne reste pas à ses côtés, c'est elle qui reste aux vôtres. Et cela peut-être vécu comme la plus grande de vos aventures, ou la pire de vos malédictions. Cassandre peut vous faire rire comme vous faire pleurer, peut vous faire connaître du grand monde comme vous relayer dans les quartiers les plus sordides de Paris ; et si elle vous balade au gré de ses humeurs et de ses idées changeantes, elle vous fera toujours vivre.

Elle vous fera toujours vivre, oh oui ! Vivre avec l'intensité d'un damné, du démon, d'un fou, d'un roi, d'un artiste, d'un philosophe, d'un apôtre ou d'un prophète, du plus sain au pire des hommes – elle vous fera voir le plus pur des blancs ou le plus sordide des noirs, et si jamais il vous vient l'envie de voir quelque couleur que ce soit, elle vous en montrera des nouvelles, de l'ordre du jamais vu.

Mais tout cela n'aura qu'un temps, n'aura toujours qu'une durée déterminée par ses seuls et uniques soins ; car Cassandre se plaît à croire qu'elle a le contrôle sur son apocalypse personnelle. Elle en hurlera peut-être, elle s'en rendra peut-être triste à vouloir s'en trancher les veines – elle s'attachera peut-être à vous d'une façon qu'elle n'aura jamais connu, ou bien vous congédiera d'un geste de la main. Et finalement, qu'importe la préface, qu'importe le déroulement de l'histoire, qu'importe son dénouement, qu'importe la situation finale, qu'importe ces détails variables en temps et en lieu - cela n'aura été qu'un chapitre, une pièce, un vers de plus. Car, du moment où elle sait mettre le point à sa phrase ou tourner la page de son livre, cela prouvera qu'elle s'en sera, de toute façon, rendue maîtresse.  

TICS ET TOCS :  
Ne quitte jamais son porte-cigarette ; aime parer sa chevelure d'accessoires et bandeaux ; souvent en talons, escarpins ; a tendance à tout exagérer ; se tient toujours droite ; commence sa matinée par un café et un rail de coke ; ne boit jamais son vin autrement que dans un verre en cristal ; insomniaque ; parfois un peu paranoïaque, en particulier en descente ; sujette à des sautes d'humeur ; quand elle ne fume pas, a tendance à souvent se mordiller les lèvres ; s'habille uniquement en noir et blanc ; prend ses photos avec un polaroid ; a un téléphone portable dernier cri, mais l'utilise très peu ;

QUEL EST L'ENDROIT QU'ELLE PRÉFÈRE A PARIS ? Pigalle. Pigalle la nuit, de préférence. QU'EST-CE QU'IL LUI PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Peut-être est-ce le fait d'avoir le monde à portée de main ; peut-être est-ce également le fait d'aussi retrouver, parfois, les vestiges d'une élégance et d'un temps aujourd'hui oublié. Ou alors celui de pouvoir se procurer n'importe quoi, n'importe quand, pour peu que l'on sache où aller. ET CE QU'IL LUI PLAÎT LE MOINS ? Le fourmillement incessant des touristes. L'impolitesse flagrante de certains, contrastant avec cette image d'élégance et de bienséance.

POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Décadente. Volage. Imprévisible.

U.C

PSEUDO/PRÉNOM : Wicked Indian/Lo'. ÂGE : Inconnu. SEXE : Indéterminé. VILLE : Inconnue. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Je cherchai un forum sympa pour pouvoir me remettre un peu au rp sans trop me prendre la tête. ^^ IMPRESSIONS : Joli design, bon accueil, contexte bien écrit, bref, ça m'a l'air pas mal. ô/  FRÉQUENCE DE CONNEXION : Indéterminée. Mais suffisante pour pouvoir gérer quelques rp, sans pouvoir promettre d'être super-active non plus.  UN DERNIER MOT ? Comme je ne trouve rien de spécial à dire, je vais me contenter d'afficher cette suite de smiley sans raison précise.          

eh ben alors... où es-tu passé(e) ? ça fait maintenant une semaine que tu as commencé ta fiche, mais nous n'avons plus de nouvelles de toi... comment ça se fait ? ne nous dis pas que tu t'es noyé(e) dans la seine ! ici, le staff est rempli de maîtres nageurs accomplis et encore plus sexy qu'adriana karembeu ! autrement dit, tu n'as aucune excuse, on te sauvera coûte que coûte ! à partir d'aujourd'hui, tu ne disposes donc plus que de quatre jours pour nous demander un délai, sans quoi ton compte se verra supprimé. nous, on n'a pas envie de te laisser partir ! alors reviens-nous, tu nous manques déjà.