NOM : Meszaros, le nom maternel. PRÉNOM : Jovan. ÂGE : Vingt-deux ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Budapest en Hongrie, le 12 décembre 1995. ORIGINES : Hongroises, elle a débarqué à Paris à l'âge de seize ans, suivant sa maman. ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle, elle aime tout court, elle ne fait pas de distinction Jovan. STATUT CIVIL : Célibataire. ÉTUDES/MÉTIER : Hôtesse du téléphone rose, elle met des sous de côté pour pouvoir partir à la recherche de son père. PASSION(S) : La vie, la ville, l'amour, la Beauté, Jovan elle se contente de peu et un rien la fascine. Elle est passionnée du monde et tout ce qu'il a à lui offrir. GROUPE : Ne me quitte pas. RANG : L'élixir de nina ricci. PV, SCÉNARIO, PRÉ-LIEN OU PERSONNAGE INVENTÉ : Inventé.

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CARACTÈRE : Jovan, on se dit que c'est une pauvre fille qui ira pas bien loin dans la vie, heureusement qu'elle est jolie. Non mais franchement, regardez-là, on dirait une caricature, toujours à rechercher l'attention, à s'habiller trop court et à rire trop fort. Enfin ça, c'est ce que les jalouses et les vieilles disent. Il paraît. Parce que la réalité, c’est que Jovan, elle cherche l'affection des autres et ne veut que leur bien, ce que les autres lui rendent mal. Elle cherche l'affection des hommes, des garçons, on ne sait pas vraiment pourquoi et on ne cherche pas à savoir, on dit que c'est un fait de société, que c'est juste une pimbêche - c'est plus simple de dire ça, on ne se fatigue pas à essayer de la connaître, on risquerait de l'apprécier et de se sentir bête, après tout ce qu'on dit de mal sur elle.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Toutes les ruelles, les avenues, les boulevards, des endroits les plus déserts à ceux où la foule est suffocante. Elle aime tout dans cette ville, c'est la capitale où elle se sent le plus en vie. DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Amour. Espoir. Nouvelle vie. DÉCRIS L'AMOUR EN TROIS MOTS : Beau. Abandon. Enivrant.

AVEC DES SI, ON METTRAIT PARIS EN BOUTEILLE. ET TOI, QUEL EST LE DETAIL QUI AURAIT PU CHANGER TA VIE ? Si son père n'était pas parti.

Jovan, c’est un rayon de soleil au milieu d’une averse quand tu passes une mauvaise journée. C’est une bouffée d’oxygène, un joint bien dosé, un cachet d’aspirine après une soirée. Une petite boule d’amour qui a trop à donner et qui ne reçoit presque jamais.
C’est la jolie fille que tu croises dans ton immeuble tous les soirs et dont tu entends la voix, tard, sans le savoir. C’est celle qui rit trop fort en soirée, qui boit trop, embrasse trop, parle trop, existe trop. Le genre de fille qui repart avec un inconnu chaque soir et même des filles parfois. Le genre de fille que tu critiques avec tes amis quand tu la vois.

Mais Jovan elle ne le fait pas exprès, elle ne demande qu’à être aimée. Elle aime se faire remarquer, aime les regards quand sa jupe est trop remontée. Elle aime les baisers dans le cou, les baisers volés, les histoires passionnelles, risquées, tarées. Elle aime les mecs qu’elle ne saura jamais garder, les hommes qui ne l’aime pas, qui ne l’aimeront jamais. Elle aime être une poupée, elle a un Œdipe mal résolu, un père jamais connu qui n’a jamais voulu d’elle et ça la travaille, la belle. Alors elle sort, elle s’habille, elle met son rouge à lèvres et elle oublie. Elle oublie qu’elle n’arrive pas à avoir d’amis, qu’elle déteste être jolie. Que personne n’a jamais vraiment voulu d’elle, et qu’elle n’aurait même pas du exister. Elle boit pour oublier, se dire que ce n’est pas sa faute et qu’elle l’a pas mérité.

C’est la jolie fille à qui tu n’oseras jamais parler, bah oui c’est trop risqué. Parce qu’au fond, on l’aime vite la petite, avec ses grands yeux qui sourient quand elle rit aux éclats. Avec son accent qui chante et quand elle se trompe avec les mots. Alors on la garde à distance, ou bien on s’engage pour une nuit. Mais pas plus, surtout pas. Parce que faut pas s’attacher, on se sentirait bien cons après. Quand on écoute vraiment ce qu’elle dit et qu’elle nous prend dans ses bras. Quand on la laisse sécher nos larmes et qu’elle se confie à mots bas. On se sentirait presque coupable de tout ce qu’on a pu penser tout bas et dire bien haut ; alors faut pas. On la laisse boire au bar, et on ne s’en mêle pas.


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« Allô, jovan ?
jovan, j’ai beau t’appeler jours et nuits, j’tombe toujours sur ta messagerie,
est-ce que t’es encore en train de parler à tous ces garçons ?
à leur raconter comment tes lèvres parcourent leur corps,
à leur dire ô combien ta peau elle sent bon ?
tu sais moi aussi je la connais, on l’a presque tous déjà croquée
mais dis-moi,
est-ce qu’eux aussi ils te retirent ta petite culotte avec leurs dents ?
jovan, s’il te plait répond.
ce soir, demain, dans une autre vie.
jovan, t’es belle, tu le sais ?
et j’voulais te dire,
c’est pas en parlant à tous les garçons d’la terre que ça ira mieux
c’est pas bien tu sais de tous les laisser rentrer dans ton lit.
moi je sais qu’t’es l’étoile la plus triste de cette galaxie
moi je vois à travers les grands sourires que t’étales comme le rouge sur tes lèvres
qu’est-ce que t’es belle jovan,
pourquoi tu pleures la nuit ?

jovan, tu sais, c’est pas ta faute s’il est parti.
c’est pas ta faute si c’est qu’un lâche qu’a pas assumé quand bébé jovan s’est pointée,
ça se trouve il serait parti le lendemain, ou la semaine d’après.
t’as pas besoin de traverser les frontières tu sais,
il veut peut-être même pas être retrouvé
des lâches comme ça, y en a tous les jours,
et puis y en a plein de bébés qu’ont pas de papa.
c’est pas d’ta faute, c’est pas toi.
même si ta mère te dit le contraire
elle est plus vraiment elle, tu sais, depuis qu’il s’est barré.
Et puis j’suis sûr que s’il te connaissait il t’aimerait,
presqu’autant que moi je t’aime jo, mais je sais même pas si c’est possible.

jovan, si je t’appelle demain, est-ce que tu me réponds ?
ou est-ce que tu seras au bout du fil avec un autre, à faire semblant?
lâche prise, jo
j’sais qu’tu rêves d’une autre vie
j’sais qu’tu recherches l’attention, et j’pourrais te donner toute la mienne si tu m’laissais faire.
mais est-ce que tu veux que j’te sauve jovan ?
est-ce que tu veux être sauvée ?
est-ce que t’as un cœur jo ?
dis-moi, est-ce que tu sais aimer ?

...Allô? Allô? ...»

PSEUDO/PRÉNOM : Mathilde. ÂGE : 21. SEXE : Féminin. VILLE : Reims. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Ça me manquait beaucoup trop, et comme j'ai du temps maintenant, j'ai pas pu m'empêcher de pointer le bout de mon nez. COMMENT AS-TU CONNU LVER ? : Ici Astrid (numéro-je-ne-sais-pas-combien). FRÉQUENCE DE CONNEXION : 4/7. UN DERNIER MOT ?     .

BIENVENUE - Bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris !    Maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité mais pas trop quand même.      

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LES PETITS TRUCS A SAVOIR - Si tu débarques en solitaire mais que tu es pressé(e) de jouer parmi nous parce que tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien    - tu peux aller faire une demande de rp arrangé, le staff se chargera de te concocter une petite scène avec un autre membre. Mais n'hésite pas à aller te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur liste de liens et de rps !   T'as vu comme tout le monde est mignon ici ?   Alors ne perds pas une seconde et vas sauter à pieds joints dans le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. Et ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlins, et on les aide à s'intégrer grâce aux mini-floods.   Du coup, tu peux dès maintenant te rendre dans ton mini-flood de groupe et ton mini-flood de rang pour rencontrer quelques membres et jouer les commères papoter un peu.    

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EN CE MOMENT SUR "LA VIE EN ROSE" - La partie "réalité alternative" a (enfin) été mise en place.   Alors si tu es tenté(e) de découvrir ce que serait le présent/futur de ton personnage sous différentes hypothèses, c'est dans cette zone qu'il faut aller.  

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LE PETIT MOT DE LA FIN - Si tu nous aimes aussi fort qu'on t'aime, tu peux voter pour nous et nous faire un peu de pub, on te fera des crêpes pour te remercier !    On est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi (en plus des crêpes, bien sûr). En attendant, amuse-toi bien parmi nous !