NOM : Sachs, le nom de la vieille femme qui l'a accueilli lorsqu'il était tout petit. PRÉNOM : Lucien, un prénom d'un autre temps donné par une femme d'un autre temps. Mais eh ! C'est mieux que de ne pas avoir de nom, n'est-ce pas ? ÂGE : 24 ans et toutes ses dents. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : la date et le lieu précis sont inconnus vu qu'il a été abandonné très jeune. On suppose qu'il est né dans le Finistère et on s'est toujours servi de sa date d'arrivée chez Morane Sachs comme date de naissance, à savoir le 31 Décembre 1992. ORIGINES : inconnues. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. STATUT CIVIL : il n'a jamais eu de véritables sentiments pour qui que ce soit jusqu'ici. ÉTUDES/MÉTIER : officiellement écrivain, officieusement hacker. PASSION(S) : la littérature occupe une place immense dans sa vie. En dehors de ça, il adore naviguer. Enfin, il aime tout ce qui touche aux ordinateurs et aux nouvelles technologies. GROUPE : amour amer, pour lui l'amour est une œuvre de fiction, rien de plus. RANG : n°5 de Chanel. PV, SCÉNARIO, PRÉ-LIEN OU PERSONNAGE INVENTÉ : pré-lien.

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CARACTÈRE : Il n’est pas facile de percer ta carapace. La vie a été garce dès le début avec toi et t’as forgé comme le feu forge l’acier. Tu as toujours été un enfant tranquille, observateur, qui attend son heure pour porter le coup parfait à l’instant idéal. Oui, tu as toujours été très prévoyant, très calculateur. Tu voulais toujours avoir toutes les chances de ton côté pour ne plus jamais être déçu comme tu l’avais été. Tu as un cœur énorme, n’importe qui chez Mamy Morane pourrait le dire, surtout Katell. Tu ferais n’importe quoi pour la foule de gamin avec laquelle tu as grandi. Tu as un sens moral très élevé mais tu n’hésites pas à l’enfreindre quand les circonstances l’exigeaient. Tu ne te laisses pas facilement approché par les autres. Tu assumes toujours le pire de leur part.  Tu es perfectionniste dans tout ce que tu fais, tu n’aimes pas le travail bâclé, et tant pis si ça doit te prendre trois fois plus de temps. Tu ne prends jamais de risques inconsidérés. Tu as un sens de l’humeur qui pourrait crever des trous dans du kevlar. Ton sarcasme n’amuse pas toujours mais tu t’en moques pas mal. Tu as un charme naturel, une aisance à te faire aimer des autres et un charisme hors du commun. Mais c’est seulement une façade dont tu te sers pour séduire et obtenir ce que tu veux. Tu n’aimes pas voir les gens dans le besoin ou en difficulté alors, malgré tes grands airs de méchant, tu vas toujours tendre la main à ceux qui en ont besoin, même s’ils ne te demandent rien. Tu es un homme de parole, tu ne la donnes jamais à la légère. Tu as une culture impressionnante mais la majorité de tout ce que tu sais, tu l’as appris en autodidacte. La guitare, l’informatique… tu as tout appris sur le tas. Tu n’as pas été plus loin que le bac à l’école. Tu détestais l’école. Il a quelques problèmes pour gérer sa colère alors mieux vaut ne pas le provoquer, il ne sait pas s’arrêter.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? le square Louise Michel au pied du Sacré Cœur. DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : intrigante, passionnée, ancienne. DÉCRIS L'AMOUR EN TROIS MOTS : utopie, fiction, éphémère.

AVEC DES SI, ON METTRAIT PARIS EN BOUTEILLE. ET TOI, QUEL EST LE DETAIL QUI AURAIT PU CHANGER TA VIE ? Peut-être n'avoir pas grandi au sein de la même famille que Katell ?

Emmitouflé dans une couverture bleue brodée de lettres dorées. C’est comme ça que Morane Sachs t’a trouvé au petit matin du 31 Décembre. Elle ne sut jamais qui t’avait déposé. Elle était connue pour aider les gens dans le besoin mais de là à lui confier un bébé… Elle l’avait gardé pourtant, l’avait adopté et élevé comme le ciel. De nombreux enfants avaient suivi par la suite, quatre en tout. Morane n’avait jamais eu le cœur à s’en débarrasser, malgré ses faibles finances. Elle qui n’avait jamais eu d’enfants à elle, elles les voyaient tous comme des cadeaux du ciel. Les jours n’ont pas toujours été faciles. La Bretagne est aussi belle que redoutable, Lucien l’a vite compris sur les côtes du Finistère. Vous ne vous étiez pas toujours couchés le ventre plein, vous vous serriez comme une portée de chiots tous les uns aux autres pour vous tenir chaud quand le chauffage ne suffisait pas. Tu étais l’aîné aux yeux de tous et tu as toujours tout fait pour que les autres soient sains et saufs, qu’ils ne manquent de rien. Le petit garçon que tu étais avec une cause. La cause c’était de s’assurer que ta famille ne manque de rien. Plusieurs fois tu as fait le mur pour aller voler des trucs… bref faire ce qu’il fallait pour nourrir tout le monde. Tu étais le plus vieux, tu étais le grand frère. Quand Mamy Morane demandait d’où ça venait, tu répondais toujours que ça venait de la générosité des habitants du coin mais qu’ils voulaient rester anonymes. Elle n’était pas dupe mais elle ne disait jamais rien.
Dans la fratrie, c’était toujours des rires, des jeux, des histoires, du rêve, de l’enfance, quoiqu’il arrive. Le soir, vous vous retrouviez tous ensembles pour que Mamy Morane vous lise des histoires puis, quand sa vue avait vraiment trop baissé, c’est toi qui avait pris la relève, forgeant ainsi ta passion pour la littérature dans le marbre. La tribu était équilibrée en âge. Il y avait Gaspard, ton meilleur ami, ton frère qui avait juste un an de moins que toi. Vous étiez inséparables, différents mais tellement complémentaires dans tout ce que vous faisiez. Puis il y avait Maëlla, la plus jeune mais avec une âme tellement plus vieille qu’elle. C’était sans doute la gamine la plus brillante que tu n’aies jamais connu avec un cœur pur comme l’or. Elle n’avait pas une once de méchanceté en elle, toujours un mot gentil, toujours une parole rassurante. Puis il y avait Katell, ta petite Katell. Celle-là, c’était ton trésor, la prunelle de tes yeux. Ce n’était pas la plus jeune mais c’était la dernière arrivée, elle n’avait que 3 ans. Quand elle s’était accrochée à toi avec ses petits yeux larmoyants, ton cœur avait fondu. Son petit caractère bien trempé, ses colères très vite oubliées quand elle te suppliait de la laisser dormir avec toi. Tu n’as jamais rien su lui refuser. Elle a toujours su désarmer tes crises de rage. Elle était ton rayon de soleil, tu avais toujours fait en sorte que rien ne lui arrive.
Hormis le temps incalculable que tu passais à lire, tu ne faisais pas grand-chose. Tu étais bon à l’école mais ça ne t’avait aucun attrait pour elle. Non, tu préférais passer le plus clair de ton temps sur l’ordinateur que l’école vous prêtait pour l’année. C’était par hasard que tu avais découvert le monde du hacking mais tu t’étais très vite pris de passion pour ça. Tu as tout appris sur le tas. Pour toi le but était clair : offrir à toute ta famille la vie à laquelle elle avait le droit. Tu as appris, tu t’es perfectionné, tu as innové mais tu ne t’en es pas servi tout de suite. Non, tu ne pouvais rien faire du fin fond de la Bretagne. Il fallait d’abord que tu économises, que tu finisses le lycée. Quand ça été fait, tu as décidé de partir. Où ? Le Royaume-Uni. Ton plan était tout près : repérer des gens riches et sans scrupules et leur voler leur argent. Pas énormément, pas de manière flagrante mais assez pour que ta famille vivait bien plus confortablement, que Maëlla aille à la fac un jour, que Gaspard ouvre son propre resto et Katell… elle refusait tout bonnement de te quitter alors elle aurait tout le temps qu’elle voulait pour se faire une idée de comment dépenser cet argent.
C’est ainsi que vous aviez sillonné le Royaume-Uni pendant cinq ans. Toi usant de ton charme et de charisme pour t’attaquer à de riches veuves ou à de vieilles femmes aigries s’accrochant au temps passé, parfois même à des hommes dont les scrupules étaient encore moins clairs que leur penchant pour les hommes. Pendant ce temps-là, tu avais forcé Katell à finir le lycée. Dès que tu obtenais les informations dont tu avais besoin pour escroquer ces mondains sans cœur, tu mettais en place de petits virements réguliers, inoffensifs puis tu disparaissais comme si de rien n’était. Ils étaient tellement riches qu’ils ne se rendaient compte de rien. Le tout dormait sur un compte offshore pour finir dans tes poches. Tu profitais de ton temps pour tenter de venir à bout d’un manuscrit sur lequel tu bossais depuis des années. Tous vos rêves à tous étaient enfin à porter de main. Le système était bien rôdé. Tu as bien failli te faire prendre tout de même, à trop jouer avec le feu, alors tu avais décidé qu’il était temps pour toi de revenir en France. Mais retourner en Bretagne ne te disait pas, tu n’en avais pas fini encore avec cette vie, tu voulais plus, tu voulais vraiment commencer à vivre pour toi. Alors tu avais posé tes valises à Paris. Seul. Sans Katell. Vous aviez cette engueulade énorme, vos mots avaient dépassé votre pensée mais vous étiez tombé d’accord pour dire que c’était peut-être mieux qu’elle reste en Angleterre. Ca t’avait fendu le cœur mais elle se plaisait là-bas, elle était grande maintenant. Tu ne pouvais pas lui demander de tout laisser pour toi à nouveau. Alors tu étais parti, la mort dans l’âme.  
C’était comme un nouveau départ à nouveau. Tu pouvais à nouveau être toi-même, porter ta propre identité, vivre ta vraie vie. Bienvenue dans le quartier de Grenelle. Tu ne comptais pas spécialement avoir plus de relations avec tes voisins que cela, et pourtant il y avait eu Billie. IL y avait eu quelque chose chez elle qui avait fait un accroc à ton armure. Elle avait ce petit côté qui te rappelait Katell quand elle était plus petite et puis le fait qu’elle soit amnésique, c’était comme si c’était un bébé immaculé pour toi, loin de ce monde et de ses monstres. Alors tu lui avais ouvert les portes. Elle faisait souvent la navette entre chez toi et chez elle, comme si vous étiez en coloc en fait. Ca te faisait rire. Tu n’aimais pas être seul de toute manière, tu étais habitué à être entouré de gens alors ça te faisait du bien qu’elle soit là. Elle ignorait que tu avais arnaqué des gens, c’est pas le genre de trucs dont on se vante mais elle savait que tu étais un hacker « à tes heures perdues » et que tu bossais sur un livre. En ce qui la concernait, vous aviez été adoptés par un couple très charmant qui faisait l’essentiel de sa retraite dans le sud de la France, ce qui expliquait ton train de vie élevé. Tu n’aimais pas lui mentir mais tu ne voulais qu’elle sache, pas encore.

PSEUDO/PRÉNOM : Maytherfucker. ÂGE : 25 y.o. SEXE : féminin. VILLE : Paris. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : ça m'a l'air top. COMMENT AS-TU CONNU LVER ? : partenariat. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5/7. UN DERNIER MOT ? let's have fun.

BIENVENUE - Bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris ! Maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité mais pas trop quand même.

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LES PETITS TRUCS A SAVOIR - Si tu débarques en solitaire mais que tu es pressé(e) de jouer parmi nous parce que tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller faire une demande de rp arrangé, le staff se chargera de te concocter une petite scène avec un autre membre. Mais n'hésite pas à aller te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur liste de liens et de rps ! T'as vu comme tout le monde est mignon ici ? Alors ne perds pas une seconde et vas sauter à pieds joints dans le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. Et ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlins, et on les aide à s'intégrer grâce aux mini-floods. Du coup, tu peux dès maintenant te rendre dans ton mini-flood de groupe et ton mini-flood de rang pour rencontrer quelques membres et jouer les commères papoter un peu.

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EN CE MOMENT SUR "LA VIE EN ROSE" - La partie "réalité alternative" a (enfin) été mise en place. Alors si tu es tenté(e) de découvrir ce que serait le présent/futur de ton personnage sous différentes hypothèses, c'est dans cette zone qu'il faut aller.

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LE PETIT MOT DE LA FIN - Si tu nous aimes aussi fort qu'on t'aime, tu peux voter pour nous et nous faire un peu de pub, on te fera des crêpes pour te remercier ! On est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi (en plus des crêpes, bien sûr). En attendant, amuse-toi bien parmi nous !