Matthieu Ledoux black opium de ysl JE RESSEMBLE À : Joe Collier | Sujet: (F) EMILY DIDONATO 8/1/2018, 23:59 | |
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ALINE LEDOUX
featuring Emily DiDonato
NOM : Ledoux. Non négociable puisque la jeune fille est la sœur cadette de Matthieu. PRÉNOM : Aline. Pour le reste du monde mais son frère l’appelle Line. Surnom qui lui prouve son affection depuis leur enfance. ÂGE : 22 ans. ORIENTATION SEXUELLE : C’est à vous de voir c’est totalement libre. STATUT CIVIL : Je ne l’imagine pas en couple. Du moins pas dans une relation sérieuse. L’amour c’est un sentiment un peu compliqué pour Aline. ÉTUDES/MÉTIER : Elle n’a jamais fait d’étude. Matthieu l’a obligé à terminer le lycée et à finir à avoir son bac mais elle n’a jamais fait d’étude supérieure. A voir si elle voulait en faire quand même mais qu’elle n’a pas osé pour aider son frère à payer les factures. Désormais ils travaillent dans l’illégalité totale. Vol. Deal de drogue. Bref on en parlera plus en détails par mp. GROUPE ET RANG : Totalement libre. AVATAR : Emily DiDonato.
les choses à savoir
- Aline est née à Paris, d’une mère aimante mais dépressive et d’un père qui ne voulait pas d’enfant. Et qui n’a jamais fait l’effort de s’en cacher. Ils n’ont jamais eu de problèmes d’argents durant toute leur enfance. - Lorsqu’elle avait 14 ans sa mère s’est suicidée dans leur appartement sous le poids du chagrin de ne pas être aimée par son mari. - Ça a brisé quelque chose dans le cœur de son frère mais il s’est toujours occupé d’elle du mieux qu’il a pu. - Quand Matthieu a eu 18 ans et Aline 16 ans le père Ledoux est parti et a laissé son fils seul avec sa cadette. Elle est partie dans un foyer durant quelques mois (à vous de voir ce qu'il s'est passé là bas) le temps que son frère se démène pour devenir son tuteur. - Ils vivent toujours ensemble dans un appartement, appartement pourri dans les rues pourries de Paris. Ils paient le loyer grâce à leurs boulots. Ils se sont fait arrêtés plusieurs fois par la police pour de petits délits mineurs heureusement pour eux les flics n'ont jamais creusés trop profondément sinon ils seraient en prison depuis bien longtemps. Caractère : J’imagine Aline avec un caractère très fort et très prononcé. Une grande gueule qui ne se laisse pas faire mais qui cache au fond une grosse fragilité à cause du décès de sa mère et du départ de son père. Capricieuse. Un brin égoïste. Et d'une jalousie maladive lorsque son frère se prend d'affection pour quelqu'un (Elle a peur qu'il l'abandonne). Le reste c'est à votre guise on peut toujours en parler par mp
le(s) petit(s) lien(s)
Matthieu Ledoux Grand frère Line c'est ta petite soeur. C'est ta fille adoptive. C'est ton petit bébé. Tu la protèges depuis son enfance. Tu étais là pour elle lorsqu'elle se blessait en faisant du vélo. Tu étais là quand votre mère est morte. Tu étais lorsque votre père a renoncé à vous. Tu étais là pour la sortir des foyers et prendre soin d'elle. Ta petite soeur elle compte plus que tous pour toi. Tu as abandonné tes envies, ton premier amour, tes études pour elle. Pour pouvoir l'élevée. Tu te sens néanmoins responsable de ce qu'elle est devenue désormais. Tu voulais son bonheur mais tu as l'impression d'avoir raté quelque chose dans son éducation. Peut-être que si tu lui avais offert ton amour Aline ne serait pas devenue celle qu'elle est aujourd'hui. Autrefois tu lui murmurais ton amour à l'oreille lorsqu'elle s'endormait. Désormais ce sont vos coups de gueule et vos prises de tête qui rythme vos vies. Tu aimerais que ça change mais tu es incapable de lui parler à coeur ouvert tu as enfoui tes sentiments il y a si longtemps que tu sais parfaitement que tu n'arriveras pas à lui offrir ton amour et pourtant, tu l'aimes ta soeur, elle gouverne ta vie et ton monde depuis son premier battement de coeur. C'est vous deux contre le reste du monde depuis toujours et ça ne risque pas de changer. - Extrait de ma fiche de présentation pour comprendre leur relation :
Tu admires la nuit se faufiler entre les volets entre ouvert de ta chambre, doucement, patiemment, elle avale les derniers rayons de lumières encore cachés au fond de la pièce. Tu sens l’angoisse monter au fond de ton cœur, tu détestais la nuit quand tu étais encore enfant. Parce que lorsque la nuit tombait tu l’entendais. Tu l’entendais hurler. Le monstre. Tu l’entendais s’en prendre à elle. À ton soleil dans la nuit. Et elle tu l’entendais pleurer de douleur. Pas de douleur physique, non, de douleur psychologique. Parce que lui, il était agile avec les mots, encore plus agiles que si il avait un couteau entre ses doigts fins. Tu l’entendais lui dire qu’il ne l’aimait pas. Tu l’entendais lui dire que sans le morveux il serait parti depuis bien longtemps. Tu savais que le morveux c’était toi. Tu savais que toi non plus il ne t’aimait pas. Que tu étais une épine dans son pied. Un caillou dans sa chaussure. Une lance coincée dans sa poitrine. Elle t’avait gardé après tout. Alors que lui, il voulait que tu partes, que tu n’existes pas, que tu ne sois jamais venu au monde. Et elle, cette beauté, elle ne voulait qu’une chose, voir ton sourire illuminer ton visage, alors tu le faisais même quand tu n’en avais pas envie. Même quand ton cœur semblait prêt à exploser de douleur, tu souriais, pour qu’elle ne soit jamais triste en ta présence. Alors elle te prenait dans ses bras, elle t’embrassait et te susurrait un je t’aime qui vibrait jusqu’au plus profond de ton âme. T’avais pas besoin de lui à l’époque parce que tu l’avais, elle. Ton rocher dans la tempête. Ton ancre. Ton pilier. Puis un soir elle s’est glissée dans ta chambre à la nuit tombée. Lui, il était on ne sait où, il avait mis les voiles sans avertir personne. Elle s’est allongée dans ton petit lit, a caressé tes cheveux bruns et elle a déposé ta main sur son ventre. « Tu vois Matthy, bientôt tu ne seras plus jamais seul. » Tu n’as pas compris toi. Parce que tu n’étais pas seul, tu l’avais, elle après tout. Mais elle, elle a continué à parler. « Dans quelques mois, tu auras une petite sœur ou un petit frère. » Un petit être grandissait à l’intérieur de son ventre, c’est ce qu’elle t’a expliqué, alors ce jour là tu auras la responsabilité de toujours veiller sur ce bébé. T’as aimé ça toi. T’as aimé entendre qu’elle te faisait confiance au point de t’offrir cette nouvelle responsabilité. Mais t’as pas compris à l’époque que cette responsabilité irait jusque-là. Elle ne le savait surement pas non plus. Mais tu étais heureux de savoir que bientôt tu aurais une petite sœur. Parce que tu voulais une sœur. Pour pouvoir être toujours là pour elle, pour la protéger de lui, la protéger du monde, des autres. Quelques mois plus tard elle est arrivée, cette petite princesse, cette petite puce, Aline. L’amour de ta vie. Et c’est dans l’obscurité de sa chambre que tu te trouves en ce moment. Tu es penché sur le landau de cet être qui a changé quelque chose au fond de toi, tu déposes en douceur tes doigts sur la naissance de ses cheveux bruns et un sourire éclaire doucement ton visage. Jamais tu n’avais souri à quelqu’un d’autre qu’à elle autrefois. « Je vais toujours m’occuper de toi Line. » Tu chuchotes cette promesse dans la noirceur de la nuit et tu ne l’as jamais rompu, même vingt ans plus tard. Parce que malgré vos vies, malgré ton cœur froid, tu l’aimes cette petite fille. Tu l’aimeras toujours.
Ton regard se fige sur la terre, tu regardes le cercueil fondre dans le trou, il plonge au fond de la terre, emportant ton cœur ainsi qu’un bout de ton âme. Le vent joue avec tes cheveux et tu n’as pas la force de lever la main pour stopper ce mouvement pourtant si agaçant. Tes yeux suivent le dernier trajet de ton pilier. Elle, elle est partie sans dire au revoir. Elle, elle est partie, elle t’a juste abandonné. Elle vous a abandonné. Comme si vous n’étiez que des petits grains de poussières installés depuis longtemps sous ses meubles. Envahissant l’air de temps en temps avant de repartir vous cacher. Elle ne savait pas elle que sans elle, la vie serait dure, serait rude, serait douloureuse. Elle ne savait pas elle, qu’elle emporterait à jamais une partie de toi. Elle ne savait pas elle, que son départ serait une plaie qui ne se refermera jamais au fond de ton cœur. Non, elle, elle était trop égoïste. Elle ne pensait qu’à son cœur à elle. Elle se foutait bien de te voir malheureux. De briser le cœur de ta sœur. Elle, elle ne voyait que les entailles saignantes de son propre cœur. T’as pas compris à l’époque pourquoi vous n’étiez pas suffisant pour elle. T’as toujours pas compris d’ailleurs et tu comprendras surement jamais. Tu attrapes la main de ta sœur dans la tienne et tu la serres. Ça ira pour vous deux, tu y crois, tu le sais. Ça serait la fratrie Ledoux contre lui désormais. Le cercueil se recouvre de terre et ton cœur s’emballe très légèrement, tu te retiens de toutes tes forces de ne pas plonger avec. De ne pas sauter dans le trou. Mais ton regard se plante dans celui de ta petite sœur et tu sais que tu n’es pas seul, tu ne peux pas lâcher, tu ne peux pas défaillir, tu ne peux surtout pas déconner. Pas maintenant. Jamais. Alors tu te penches doucement et tu déposes un baiser sur sa tempe. T’as pas la force de la réconforter. T’as pas la force de lui mentir en lui disant que ça ira pour vous. T’as juste la force de faire un geste vers elle. Tu seras toujours là pour elle et c’est ce que tu veux qu’elle sache, même si tu es incapable de prononcer ce genre de mot. Lorsqu’enfin vient l’heure de partir, tu abandonnes la partie innocente qui vivait encore au fond de toi et tu endosses ton rôle d’adulte avant l’heure. Une fois chez toi ? Tu tournes en rond comme un lion en cage, tu sens la colère s’infiltrer au fur et à mesure sous ta peau comme une fumée toxique qui se déplace dans l’air. Tu n’arrives pas à penser à autre chose. C’est de sa faute à lui tout ça. Si elle est partie pour toujours, c’est de sa faute à lui. Mais tu essaies de te contenir, tu essaies de ne surtout pas craquer, pas devant ta sœur alors tu la fermes mais ça prend de l’ampleur. Et tu sens que tu vas craquer, que tu vas exploser, que tu vas finir par lâcher ton fiel d’un seul coup. Alors quand Aline va dans sa chambre tu lèves un regard rempli d’éclairs sur son visage à lui. Ton père. Ton géniteur. L’homme qui est censé vous élever seul désormais. « Qu’est ce qu’il y a ? Maintenant qu’elle n’est plus là, pourquoi tu ne pars pas hein ? » Sourire mauvais qui se dessine sur tes lèvres, tu le sens, ton visage ne reprendra plus jamais la douceur qu’il avait autrefois. « Tu l’as tué ! Elle voulait juste que tu l’aimes, pourquoi t’as jamais été capable de faire ça. » T’as juste envie de lui mettre ton poing dans la gueule mais tu te retiens, tu admires son calme à lui, tu le vois vriller les yeux sur toi et tu te sens aussi insignifiant qu’une merde sous sa chaussure. Tu ne sais pas pourquoi il ne vous a jamais aimé. Mais là ? Tu le ressens encore plus violemment qu’avant qu’elle parte. Parce qu’aujourd’hui tu vois qu’il ne restera pas longtemps auprès de vous. Tu le ressens dans toutes les fibres de ton corps. « T’as toujours été qu’un putain de lâche ! Je te déteste ! » Il hausse les épaules et son manque de sentiment est bien pire que son agacement, tu aurais préféré qu’il hurle, qu’il te frappe ou qu’il dise quelque chose mais son silence est bien pire. Il te prouve que tu n’es rien du tout pour lui. Que tes paroles ne l’atteignent pas à lui. Il se fout de ta gueule en souriant légèrement et tu te lèves de la chaise en perdant patience. On dit que la haine et l’amour se ressemblent mais que rien n’est pire que l’indifférence. Et tu le ressens en ce moment même. Cette indifférence te glace le sang, les os et l’âme. Alors tu te lèves, tu te glisses dans la chambre de ta sœur et tu caresses doucement la naissance de ses cheveux, comme lorsqu’elle n’était encore qu’un bébé. « Je t’aime Line. » C’était la dernière fois où tu l’as murmuré, c’était la dernière fois que tu l’as dit à quelqu’un. Après ça ? Les sentiments se sont juste enfuis de ton cœur comme des guêpes quittant leur nid. Parce que l’amour ? Ça ne sert à rien.
Tu tournes la tête vers le salon, tu as toujours un œil sur elle. Même quand elle ne le voit pas. Même quand elle ne le sait pas. Vous avez été séparés après le départ de votre père. Tu ne te souviens plus combien de temps. Ce passage de ta vie tu le revois qu’en noir et blanc. Comme si tu étais en dehors de ton corps durant le temps que cela a pris. T’as dû prendre un boulot que tu n’aimais pas. T’as dû prendre un appartement plus petit. Parfois l’eau s’arrête de fonctionner. Parfois il n’y a pas d’eau chaude durant un mois. Tu entends les voisins se battre et se disputer. Le quartier est pourri et mal fréquenté. Mais elle est là. C’est ce que tu voulais. Tu as dû te battre pour la récupérer. Parce que personne ne voulait donner la garde d’une gamine à son frère de dix-huit ans. Mais l’avocate que tu as été voir ? Elle, elle a cru en toi Matthieu. Elle a vu que tu ne voulais pas lâcher. Elle a vu que tu refuserais d’abandonner la partie. Elle a vu qu’Aline sans toi n’était plus la même. Que toi sans elle tu n’étais plus le même. Peut-être à elle été touchée par votre histoire. Peut-être a elle été touchée par ton regard. Tu n’en sais rien. Tu sais juste qu’elle a réussi à te rendre ta sœur. Ta boussole. Ton pilier. Ton oasis dans le désert. Et les années se sont écoulées rapidement. De petite fille, tu l’as vu grandir. Tu as vu son caractère s’amplifier. Tu as vu sa douceur disparaître. Tu as vu sa carapace se former. Se bétonner. Et tu n’as rien fait pour arrêter ça. Parce que tu es comme elle, t’as bétonné ton cœur pour que les autres ne puissent plus y entrer. T’as bétonné ton cœur pour qu’elle, elle ne le voit plus. Vous êtes toujours là l’un pour l’autre, mais vous êtes incapable de vous dire je t’aime, de vous serrer dans les bras l’un de l’autre. Vous êtes des handicapés des sentiments. Mais là ? Caché dans l’ombre tu la regardes grandir, évoluée et tu ne sais pas vraiment si tu as fait du bon travail ou non avec ta petite sœur. Elle est assise en train de se goinfrer avec son amie, une blonde qui a vraisemblablement une mauvaise influence sur elle, tu ne l'aimes pas elle mais si elle soutient ta sœur ? Tu l’acceptes chez toi. T’as pas trop le choix de toute manière sous ses airs de petite fille, Aline Ledoux est un volcan et t’as aucune envie de la confronter pour ça. Vous vous disputez bien assez comme ça, pas la peine de mettre les pieds dans le plat pour une épave. Ton téléphone vibre dans ta poche et tu soupires en lisant le sms. Tu rentres dans le salon sans un bonjour pour la blonde défoncée qui ingurgite la bouffe de tes placards. « T’as une seconde faut qu’on discute Aline. » Elle se lève en soupirant comme si tu l’as dérangé à cet instant. Tu lui tends le téléphone avec un sourire au coin des lèvres. Une nouvelle affaire. Une nouvelle emmerde. Un nouveau problème. Mais surtout un paquet de fric à se faire. T’as merdé avec Line tu le sais en voyant son visage se détendre en un rictus. Vous semblez si doux, si gentil, vos visages sont pourtant traite, ils ne reflètent pas la pourriture qu’il y a au fond de vous. Ce que vous êtes capables de faire pour survivre. Pour rester l’un avec l’autre. Ils ne savent pas les flics ce que vous faites de vos vies. Parfois vous finissez au commissariat. Pour de petits délits sans conséquence mais si un jour quelqu’un découvre ce que vous faites ? Vous irez tous les deux en prison. Mais toi Matthieu tu t’en fiches, t’as besoin de ce fric, t’as besoin de l’adrénaline aussi, t’as besoin de vivre tout simplement, parce qu’il n’y a que dans ses moments-là que ton regard s’illumine enfin. Que dans ses moments-là que tu te sens vivant de nouveau. Alors tu en uses et abuses sans le moindre remord. Mais au fond s'il fallait retenir une chose de ton histoire, ça serait qu’Aline et toi ? Vous êtes seuls face au reste du monde. Et vous êtes heureux ainsi. Les Ledoux seront toujours ensemble quoi qu’il arrive. Ellie Thomas Ex belle soeur Lorsque Matthieu sortait avec Ellie, tu avais quinze ans. Gamine immature et capricieuse t'as pas compris l'importance qu'elle avait pris dans sa vie, l'importance qu'elle avait pour lui. Il l'aimait. Vraiment. Mais lorsque votre père est parti il a abandonné Ellie pour toi, il a eu le coeur brisé pour toi et tu ne l'as jamais compris, tu ne l'as jamais vu. Désormais tu l'as oubliée comme si elle n'était qu'un simple caillou sur la route des Ledoux mais pour ton frère c'était totalement différent. Aujourd'hui elle revient dans la vie de Matthieu après des années d’absences et ça perturbe totalement ton frère. Lien à voir en détail avec la joueuse d'Ellie Un lien est aussi à prévoir avec Maribelle Verdier & Maxine Barnes ça sera à voir avec la joueuse des deux personnages |
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Matthieu Ledoux black opium de ysl JE RESSEMBLE À : Joe Collier | Sujet: Re: (F) EMILY DIDONATO 8/1/2018, 23:59 | |
| petit message du créateur
Hello Hello petit chaton, merci d'être passé par ici et d'avoir lu le scénario jusqu'au bout, je serais encore plus contente si tu venais te joindre à nous Pseudo ⊹ Pour le pseudo il est difficilement négociable je suis désolée Pour dire la vérité j'ai utilisé le prénom d'Aline dans ma fiche et surtout des mes rp's du coup ça serait un peu compliqué de changer Néanmoins si vraiment, vraiment il vous répugne on peut en parler Avatar ⊹ Emily DiDonato est totalement négociable. J'imagine la soeur de Matthieu totalement brune comme son frère mais à part ça vous êtes libre Je me donne le droit de véto bien sûr mais je ne suis pas très difficile. Activité et Présence ⊹ Je ne suis pas quelqu'un de très difficile en ce qui concerne l'activité. Je réponds assez rapidement à mes partenaires RP mais une réponse toutes les semaines ça sera déjà très bien Histoire que le lien avance quand même. La longueur des rp's ? J'écris pas mal mais je ne l'impose pas à mes partenaires. Entre 300 et 400 mots ça me parait convenable pour avancer. Je ? Tu ? Il ? Peu importe j'écris à la troisième personne et à la seconde personne mais ça ne me gêne pas de lire aux autres personnes. Quoi qu'il en soit ma boite mp est grande ouverte j'adore les mp's et j'aime harceler les gens - si si je vous jure - prends donc ma petite Aline les Ledoux peuvent être mignons je t'assure. Et elle est attendue en plus
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