NOM : sevestre. ça t'écorche la gueule quand tu dois le prononcer. vous êtes maudits, ton frère et toi. tout ça, c'est de sa faute. ton père. t'es pas née dans la bonne famille mais t'as quand même fait avec. t'façon, tu ne pouvais pas faire grand chose d'autre. et puis, y avait ton grand-frère alors rien que pour ça, t'as pas pu te résoudre à changer d'vie. PRÉNOM : olyana. ta mère, elle a toujours débordé d'imagination. alors ton prénom, il n'est pas si étonnant que ça quand tu y réfléchis bien. c'est rare, comme celui de ton frangin. elle ne faisait pas les choses à moitié ta génitrice. depuis l'adolescence, cependant, tu préfères que l'on utilise ce surnom que tu traînes depuis à peu près toujours. lya. c'est frais, c'est doux, c'est court, c'est simple. c'est toi. ÂGE : vingt ans. tout ce temps passé à traîner ta carcasse sur cette terre. tu ne sais plus trop si ça importe vraiment de respirer encore mais t'es pas prête à sauter le pas. t'es pas encore assez désespérée pour ça même si l'idée te traverse souvent l'esprit. DATE ET LIEU DE NAISSANCE :dix-huit octobre, paris. la ville lumière, tu l'as parcourue en long, en large et en travers. petit bijou dans une famille dépravée, tu rayonnais au milieu de cette crasse, de cette poussière si caractéristique des bas fonds de paname. la belle paris, c'était pas loin, mais c'était pas chez toi. ORIGINES : française. aucune nuance, aucune originalité. un point blanc sur le fond blanc d'un tableau au cadre blanc. ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle. les courbes féminines. le caractère de merde des hommes. il t'est bien difficile de faire un choix. tu sais pas, tu t'en fous. quoi que, quand on prend en compte tes exploits, tu sembles plus attirée par la gente masculine. toi, tu t'en as rien à secouer. sur le moment, ça passe ou ça casse. STATUT CIVIL : célibataire. tu dois bien l'admettre, tu es tout bonnement incapable de te poser. t'aimes pas quand c'est trop parfait. t'aimes pas quand tout se passe bien. t'aimes bien quand ça se passe et le reste, tu t'en cognes royalement. les amourettes, l'adrénaline de la nouveauté, le plaisir charnel de l'inconnu. ça, ça te fait vibrer. tu te dis que tu ne dois pas être très nette à penser de la sorte, à ressentir de la sorte ou même à vivre de la sorte. et pourtant, tu te conformes à une génération dépravée alors tu te contentes de hausser les épaules et de prendre les choses comme elles viennent. ÉTUDES/MÉTIER : volage, paumée, instable. ta vie professionnelle ressemble étrangement à ta vie sentimentale. t'as arrêté l'école à seize ans. t'aimes pas l'école, t'as jamais aimé ça. tu te réinventes tous les jours, tu ne gardes jamais un emploi, t'en es pas capable. tes envies d'évasion sont bien trop fortes pour toi. c'est mieux comme ça. une semaine, tu te produiras dans les bars, ta belle voix et ta guitare. l'autre, tu t'installeras dans une rue et tu dessineras les gens, leur donnant leur portrait pour un billet. la suivante, tu photographieras tout ce qui te passe sous la main, vendant tes clichés à la presse en tout genre, à des galeries ou alors à ceux qui veulent bien de tes prises de vue. et puis, on pourrait même te croiser avec ton instrument au détour d'une rue à faire la manche. rien ne t'arrête vraiment, si ce n'est ton désir de liberté. tu fais tout ce que tu veux, quand tu le veux et surtout, tu restes au contact des gens et du brin d'humanité qu'ils peuvent t'apporter. PASSIONS : t'es une passionnée de la vie, t'es une passionnée des gens, t'es une passionnée tout court. la musique. il t'a toujours fallut une issue de secours dans cette vie de chien que tu mènes depuis ton plus jeune âge. le karma ne t'a certainement pas épargné mais il t'a mis sur le chemin de ces douces mélodies que tu écoutais étant enfant, pour calmer tes larmes. t'as appris à jouer de la guitare en autodidacte et ta voix n'a jamais vraiment été travaillée. tu enivres les cœurs, tu adoucis les mœurs et ton timbre reste dans la tête comme une ritournelle incessante, entraînante, vivante. le dessin. il ne te faut pas grand chose pour t'extérioriser. du papier, un crayon, un stylo, un feutre, peu t'importe du moment que tu as du papier pour y poser des couleurs. le trait sûr et fin, tu t'es vite démarqué dans les cours d'arts plastiques que l'on te donnait au collège. t'avais la meilleure des moyennes, t'étais l'élève prodige. toi, tu te contentais juste de suivre les consignes en y ajoutant ta petite touche, t'as jamais vraiment rien calculé de tout ça. la photographie. c'est pas toujours parfait, t'es pas souvent satisfaite de ce que tu fais mais t'arrives à vendre tes clichés alors c'est que ça ne doit pas être si mal que ça. t'es encore en phase d'apprentissage. tu te renseignes dans les magasines spécialisés, sur les sites internet que tu visites, en regardant le travail des plus grands. tu te perfectionnes, à ta manière.
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CARACTÈRE : t'es un mélange de tout et de rien. tu vis ta vie à cent à l'heure. t'es ce concentré d'énergie canalisé en un si petit être. fragile. t'es brisée de l'intérieur mais tellement sereine à l'extérieur. la vie t'en a fait bavé et ça s'entend quand tu ouvres la bouche. t'as cette innocence sur le visage qui s'efface quand tu vas citer quelques mots de freud, de kant ou de platon. t'as pas fait de grandes études mais t'es pas non plus idiote pour autant. t'as le coeur en miette parce que tu ne l'autorises pas à se recoller. t'autorises personne à s'approcher avec de la colle non plus. t'as vu à quel point ça peut faire mal d'aimer, à quel point ça peut faire faire des conneries d'aimer, à quel point ça peut faire peur d'aimer. t'es d'un calme religieux. rarement un mot plus haut que l'autre. diplomate, altruiste, douce, attachante. tu prends la vie comme elle vient, vivant au jour le jour, au gré de tes envies, de ton humeur, de l'odeur du café le matin ou du goût de ta première cigarette. t'es un électron libre, pas capable de poser. ni même ton cerveau, ni même tes valises, ni même ton cul sur une chaise. presque hyperactive sans vraiment l'être, t'as toujours besoin de faire quelque chose, comme pour te rappeler que la vie est si courte qu'elle vaut vraiment la peine d'être vécue. et puis, t'es un brin dépressive aussi, dans le fond. parce que t'es encore qu'une enfant qui a grandit bien trop vite. tu te poses un tas de questions, toujours, tout le temps. ce bourdonnement dans ta tête, présence d'une activité cérébrale incessante. t'observes, tu écoutes, tu comprends, tu compatis, tu conseilles et même que tu souris. quand les matins sont gris, t'as envie de danser pour apporter un peu de joie dans le coeur des Hommes. avec une grand h, pour englober la totalité des êtres humains de la terre. si tu le pouvais, tu sauverai tout le monde avant de te sauver toi-même. parce que tu coules, lentement, mais surement. et t'as personne pour te sauver, toi. personne pour maintenir ta tête hors de l'eau. enfin, si, tu as ton frère, tu l'as toujours eu et tu l'auras toujours. parce que c'est lui et toi, envers et contre tous. mais si ça ne te suffisait plus ? t'es juste un âme errant dans les rues de paname à la recherche de la nouveauté, de l'inconnu, du frisson, de l'aventure. en fait, tu n'es juste qu'une enfant encore paumée qui cherche simplement à grandir.
Sujet: Re: (lya) balais des ombres. 15/1/2018, 12:53
LES JOLIES DEMOISELLES
billie carpentier
souvenir des jours perdus - la futur belle-soeur : elle a été la petite amie de ton frère. toi, tu l'adorais. tu ne jures d'ailleurs que par elle. billie, elle rendait ton frère meilleur. t'avais confiance en elle, tu l'adorais. t'avais même dessiné une robe de mariée que tu l'imaginais porter quand ton frère se serait décidé à changer son avenir. mais il n'en n'aura pas eu le temps. fauchée par une voiture, billie a perdu ses souvenirs, emportant lionel dans les méandres du néant. elle ne se souvient pas de lui. mais elle se souvient de toi. phénomène incompréhensible puisque tu penses ne pas être grand chose aux yeux du monde, et encore moins aux siens. et pourtant, elle se souvient de toi. et toi, tout ce que tu peux faire, c'est t'accrocher aux souvenirs qu'elle possède pour essayer de raviver ceux qu'elle a oublié. t'as besoin que billie se souvienne de ton frère. parce que toute seule, tu sais bien que tu n'arriveras pas à lui maintenir la tête hors de l'eau bien longtemps. t'as besoin que billie se souvienne pour la simple et bonne raison qu'elle te manque. elle a beau se rappeler de ton prénom, elle ne se rappelle pas de tout. et elle te manque, terriblement.
magalie voisin
improbable alliance - l'ange gardien : l'avocate au cœur de glace et la gamine instable. on aura vraiment tout vu. magalie, elle veille sur toi, elle couvre tes arrières. comme maxine, à un autre niveau. à chaque fois que le crew a des ennuis, c'est la flic qui s'occupe d'eux. et si jamais ça devient trop tendu, elle fait appel à la brune incendiaire. tu l'as vu plus d'une fois à l'oeuvre et autant dire qu'elle ne plaisante jamais. c'est peut-être bien ça que t'attire autant chez elle. ce que tu ne sais pas, en revanche, c'est que la brune, elle t'a prise sous son aile. tu ne vois rien toi et pourtant, c'est bien ce qu'il en est. bientôt, ton géniteur sera libre, elle le sait l'avocate. et ce jour-là, t'auras probablement besoin d'elle. et elle, elle sera là. quoi qu'il arrive.
maxine barnes
claustrophobie - la méfiance : elle s'occupe du crew, et donc de ton frère. t'as déjà eu à la croiser, quand il a fallu que tu viennes le chercher quelques fois. et t'as du mal à la cerner toi. tu te méfies toi. parce qu'elle est bien trop adorable pour que ce soit vrai. elle fait les choses beaucoup trop bien pour que ce soit vraiment honnête. si tu savais pourtant que les gens comme elle sont bien réels. mais t'as du mal à y croire toi alors tu restes sur la défensive. tu analyses. tu te fonds dans le décors. et plus tu creuses, moins tu trouves vraiment ce que tu cherches. tout ce que tu peux affirmer, c'est que tu n'as pas confiance et que tu persisteras à trouver les raisons valables d'une telle méfiance.
julie perrin
fumée noire - la toxique : tu te fies à ta première impression concernant la blonde. et autant dire qu'elle n'est pas bonne du tout. t'as débarqué chez ton frère sans prévenir, une fois de plus. et le trouver complètement défoncé en compagnie de celle qui tu nommes affectueusement la siliconée, t'as clairement refroidie. elle est nocive pour ton frangin et tu n'as clairement pas l'intention de changer d'avis. tu ne l'aimes pas, tu n'as aucunement l'intention de faire un effort quel qu'il soit. cette femme ne t'inspire aucune confiance et tu comptes bien la faire dégager du décors. reste à savoir de quelle façon.
Sujet: Re: (lya) balais des ombres. 15/1/2018, 12:54
LES JOLIS GARÇONS
lionel sevestre
destins liés - le grand-frère : lui et toi. toi et lui. l'histoire de deux gamins écorchés par la vie. l'histoire d'un frère et d'une sœur qui ne peuvent plus compter que sur l'un et sur l'autre. un père violent qui a finit en taule et une mère détruite et absente. y a mieux comme univers familiale. alors pour toi, il ne te reste plus que lui. ton point d'encrage, ton seul repère. celui qui te maintient en vie, jour après jour. parce que t'as déjà pensé à mettre un terme à ta misérable existence. mais tu survis, pour lui. parce qu'il n'y a plus que vous deux et que tu t'en voudrais que tout s'arrête si tu le laisses derrière toi. tu lui dis pas souvent que tu l'aimes, tu lui dis pas souvent combien tu as besoin de lui. tu t'effaces, tu t'éclipses pour ne pas prendre trop de place. et tu ne te rends même pas compte de tout le mal que ça lui fait. toi, t'as juste peur qu'il t'en veuille si tu restes trop souvent dans ses pattes. et pourtant, il n'attend que ça. mais toi, t'en sais rien. alors tu continues à disparaître, en un claquement de doigts. parce que c'est ce que tu sais faire de mieux. pour te protéger toi, mais surtout pour le protéger lui. parce que t'es pas stable toi, ça non. mais lui non plus finalement. alors que, tout simplement, ensemble, vous êtes l'équilibre parfait de cette balance qu'est votre vie.
axel (scénario)
confusion de sentiments - l'imprévu : tu t'attendais pas à ce que ça se passe comme ça. c'était pas censé se passer comme ça à vrai dire. tu l'a rencontré dans un bar, y a un an de ça. tu jouais, il t'observait. vous avez discuté, t'as fini dans son lit. c'était pas censé se reproduire, t'étais pas censé garder le chemin vers son appartement en mémoire. et pourtant, tu l'as fait. t'es revenue. plus d'une fois. il est devenu cette relation en pointillée que tu refuses de transformer en ligne continue. parce que t'as peur de te laisser aller, peur de voir ce que ça pourrait donner. tu sais pourtant qu'il n'attend que ça. tu le vois bien dans le fond de ses yeux bleus. tu le vois bien à sa façon de te parler, de te toucher. si d'ordinaire, tu fuis après avoir couché, tu t'autorises à dormir chez lui, à même prendre un café en te levant le matin. tu succombes doucement à cet être que serait probablement en mesure de garder tes pieds sur terre. tu glisses doucement dans le piège qu'il te tend et tu ne t'en rends même pas compte. parce que t'es persuadée d'agir avec lui comme avec les autres. mais ce que tu n'as pas encore compris, toi, c'est que lui, il n'est pas comme les autres.
léandre rochebois
délicate connexion - la douceur partagée : description à venir .
Billie Carpentier
shalimar de guerlain
JE RESSEMBLE À : taylor marie hill.
CRÉDITS : moi (avatar), moi (signature).
PSEUDO : anaëlle (ou isamongus, cf. alana et cam - nan j'balance pas, salut). sinon les intimes m'appellent bilal - même si j'm'appelle pas bilal (svp cherchez pas).
Sujet: Re: (lya) balais des ombres. 15/1/2018, 16:59
Magalie Voisin
n°5 de chanel
JE RESSEMBLE À : Lily Aldridge
CRÉDITS : class whore & bat'phanie pour la signature
PSEUDO : Stéphanie
Sujet: Re: (lya) balais des ombres. 15/1/2018, 22:14
De l'amour sur bébé Lya Je vais polluer tes trois fiches je te préviens