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| you can't rush something you want to last forever, léandre. | |
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Léandre Rochebois l'elixir de nina ricci JE RESSEMBLE À : bb styles. PSEUDO : only angel (nanou) | Sujet: you can't rush something you want to last forever, léandre. 3/1/2018, 19:13 | |
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LéANDRE ROCHEBOIS
featuring harry styles
NOM : hérité par ton cher paternel, nom peu commun, pas hyper répandu. c'est pas un nom de star de cinéma, de chanteur, ou d'mannequin. c'est rien, c'est banal. c'est le genre qu'on oublie dans la seconde qui suit. rochebois, tu le dis, mais ils s'en souviendront pas. PRÉNOM : tu te demandes parfois où ils ont été le chercher, ton prénom. c'est vrai, ils auraient pu choisir un truc commun du genre alexis, leo, theo ou que sais-je. mais non, tu t'appelles léandre, mais contrairement à c'que tu laisses croire, ça te déplaît pas plus que ça. ÂGE : vingt-trois bougies, la douceur adolescente accrochée éternellement à ton visage laissant penser quelque peu à un nouveau genre de peter pan, un peter pan pas bien doué et bien moins intéressant qu'le réel. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : t'as poussé ton premier cri à toulouse, pas la porte d'à côté, c'est vrai. tu souffles une nouvelle bougie et constates avec tristesse et une mélancolie certaine le temps qui passe depuis le quinze mai mille neuf cent quatre-vingt seize. ORIGINES : un pur petit français, léandre, rien d'étranger qui coule dans tes veines. ORIENTATION SEXUELLE : les mâchoires carrées, les muscles saillants, les voix rauques, la barbe de deux jours. c'est ton vrai toi, ça, mais t'as pas le droit d'y penser, t'as pas le droit de t'attarder dessus. c'est mal, d'aimer les hommes. alors léandre, tu fais comme tout le monde et tu fais semblant de t'intéresser aux courbes voluptueuses et féminines de ces dames, tu te persuades qu'un jour, l'une d'entre elles traversera pour te rejoindre jusqu'à l'autel, qu'vous vous direz oui devant tes parents émerveillés. une femme, des enfants. mais léandre, combien de temps on peut vivre dans un mensonge pareil ? STATUT CIVIL : officiellement en couple avec albane, ta meilleure amie, officieusement le cœur amouraché du pire des connards sur terre. ÉTUDES/MÉTIER : tu travailles dans un café-librairie, c'est un endroit qui te plait énormément et où tu apprécies travailler volontiers. endroit chaleureux et empli de convivialité, tu n't'en lasses pas. PASSION(S) : si tu devais citer une passion, ça serait chanter. t'es trop timide néanmoins pour l'dévoiler au grand monde, alors, tu dis rien. tu t'adonnes à plein d'autres choses : l'écriture et également le dessin. dessiner, c'est une manie que tu as. tu dessines tout et n'importe quoi, tout ce qui te passe par la tête. t'as même un carnet de dessins en tout genre qui révèlent chacun quelque chose, un moment, une histoire. c'est un peu ton journal intime, en somme. ne me quitte pas. RANG : l'elixir de nina ricci. les sourires rêveurs, les regards enfantins vagabondant dans paris, s'émerveillant de chacune de ses richesses. paris, ma jolie, paris et les rêves d'enfants. PV, SCÉNARIO, PRÉ-LIEN OU PERSONNAGE INVENTÉ : scénario d'isaac le bg.
- ✻ - CARACTÈRE : le premier truc qu'on notera, qui doit probablement être inscrit en lettres capitales sur ta gueule d'ange, c'est à quel point t'es pas doué, t'es maladroit autant par les gestes que par la parole, ça saute aux yeux, encore plus lorsque t'es gêné ou fatigué. t'es tête en l'air, il t'arrive trop souvent d'oublier des choses. mais jamais, jamais, de choses importantes. parce que lorsque quelqu'un ou quelque chose te tient à cœur, tu fonces. tu t'mets dans des pétrins pas possibles parfois, probablement dû à une naïveté certaine d'un âge enfantin que tu sembles pas avoir quitté. c'est un critère qui joue sur bien des points chez toi, qui te pousse parfois dans des élans de sociabilité conséquents. t'aimes le contact des gens, t'aimes leur parler de paris et leur dire à quel point c'est joli, t'es sociable, léandre, ça fait pas de doute. t'aimes dévoiler ton amour pour la capitale, voir leurs yeux briller sous tes mots jolis mais maladroits. t'es pas un méchant, t'es même un trop gentil, un trop généreux, qui aime voir les autres heureux. léandre, parfois, t'aimerais parcourir le monde, répandre le bonheur, la bonne humeur. dire à tous ceux qui se sentent seuls, démunis, mal-aimés qu'ils ont tous quelqu'un sur terre qui pense à eux, qui les aime un minimum. pourtant, y'a les jours sombres. les jours où tu t'dis que tout sert à rien, qu'c'est inutile, tout ça. tout ce baratin pour être heureux, à quoi bon ? avec toi, c'est un jour blanc, un jour noir. un jour tout va bien, le lendemain, chaos total. lunatique, derrière tes airs de peter pan, y'a bien des fois où tout pète dans ta tête, où tu passes du rire aux larmes, des larmes à la colère. on relèvera une jalousie et une possessivité relativement excessive venant de toi, envahi par la peur d'une solitude, par la peur que chaque personne à tes côtés trouve quelqu'un de plus intéressant à fréquenter par la suite et te laisse de côté. notons que tu es croyant, de par tes parents, il s'agit là de la partie la plus complexe du puzzle, il s'agit là de bien des choses, des choses qui te privent d'un bonheur, qui te privent d'une réalité, qui te cachent dans un mensonge qui, dieu seul sait, durera suffisamment longtemps pour commencer à te bouffer.
j'envoie des bons baisers de paris
QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? la tour eiffel, au dessus des toits de notre monde, là où rien nous atteint. DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : magique, magnifique, brillante. DÉCRIS L'AMOUR EN TROIS MOTS : peur, crainte, sentiments.
AVEC DES SI, ON METTRAIT PARIS EN BOUTEILLE. ET TOI, QUEL EST LE DÉTAIL QUI AURAIT PU CHANGER TA VIE ? la religion, tes parents. parce que si tout avait été autrement, léandre, t'en serais pas là, à vivre dans une retenue certaine, à vivre en t'interdisant un bonheur qui te file entre les doigts à chaque instant. tu serais pas léandre l'mec coincé qui fait celui qui aime les courbes féminines, non, tu serais tout un quelqu'un d'autre. oui, si tout avait été autrement, tout aurait été différent et amoureux assumé tu serais. |
| | | Léandre Rochebois l'elixir de nina ricci JE RESSEMBLE À : bb styles. PSEUDO : only angel (nanou) | Sujet: Re: you can't rush something you want to last forever, léandre. 3/1/2018, 19:13 | |
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tout nous attend, tout est écrit
écris l'histoire, tout ce que tu voudras entre les lignes
les beaux yeux de maman. la fièvre rêveuse. quinze mai quatre-vingt quatorze, les premiers sourires, les premiers cris, les premiers souffles. la véritable grande première. ta venue au monde. léandre, c'est au sein de la ville rose que t'as vu l'jour, que t'es venu égayer la vie de tes parents, d'ta famille. que t'es venu compléter l'tableau de la famille parfaite, du pur cliché qui, plus tard, t'auras bien donné la gerbe parfois bien que t'apprécies les tiens du plus profond de ton être. mais on va pas s'mentir, bouclette, c'est pas facile tous les jours de grandir avec la pression d'papa, d'maman, qui espèrent que leur progéniture gravira les échelons, entretiendra sa foi, fera de grandes choses, des choses merveilleuses mais après tout, qu'est-c'qu'on ferait pas pour les beaux yeux de maman ? qu'est-ce qu'on ferait pas pour voir un sourire fier s'étirer sur ses lèvres tandis qu'elle t'murmure doucement qu'elle est extrêmement fière de toi, qu'elle est persuadée que t'iras loin ? léandre, dès ton plus jeune âge, t'es le genre de gosse qui s'émerveille de tout, de bien trop de choses. tu veux découvrir la vie, tu veux voir l'beau monde, tu veux fouler la terre entière d'tes petits pieds qui flottent encore dans la paire de nike taille trente-trois que maman s'est démenée pour t'offrir à temps pour ton septième anniversaire. tu veux faire l'tour du monde, léandre, tu rêves de grandes choses, le cœur léger, les regards rêveurs, l'sourire aux lèvres, les sourires innocents et enfantins, les éclats de rire qui flottent dans les airs comme flottent tes bouclettes avant de retomber sur ton visage. la douceur de l'enfance, celle qu'on n'voudrait jamais quitter. toulouse, c'est chez toi, c'est ton berceau. c'est la ville qui t'a vu naître en son sein. mais toulouse, léandre, t'as espéré qu't'y passerais pas ton existence entière. les grandes ambitions, les rêves naïfs auxquels on voue trop d'espoir, trop d'attention. on t'l'a trop souvent répété, durant ton enfance, que t'étais naïf, que ton esprit rêveur te jouerait bien des tours. mais n'est-c'pas antoine de saint-exupéry dans le petit prince qui a dit fais de ta vie un rêve et d'un rêve une réalité ? qu'est-ce qu'une vie sans rêve après tout ? à quoi bon mener une existence sans but, morne et terne ? le fruit du pêché. les sourires, les regards timides. les premiers échanges, les battements de cœur qui s'accélèrent, l'palpitant au bord des lèvres qui demande qu'à crier son bonheur au monde entier. les échanges interdits, tu sais même pas ce que c'est. dans ta tête, y'a mathias. mathias, ses mirettes bleues et son grand sourire qui t'font instantanément fondre. mathias, ses cheveux dorés, mathias qui t'a volé ton cœur tout entier, pour la première fois. les filles, léandre, autant se le dire, ça a jamais été ton grand truc. tu t'es jamais spécialement intéressé à elles, autrement qu'entant que simple ami. t'as jamais ressenti le besoin de plus. t'as même embrassé une fille, une fois, c'était quand t'avais treize ans, pour rire, et à choisir, t'aurais aimé jamais avoir à tester cette expérience, ni à la réitérer. les filles, c'est pas ton trip, elles sont gentilles, mais du haut de tes quinze ans, alors qu't'es dans les bras du blond, tu t'vois pas un jour te tourner vers elles. non, c'est pas pour toi. maman.. j'ai un truc à te dire. le silence plombe d'un coup la pièce, il est vingt heures trente, ta mère t'a envoyé te coucher demain, c'est la rentrée après les vacances de la toussaint, faut te régler, léandre. elle s'installe, sur ton lit, prenant soin de n'pas te faire mal, toute son attention se porte sur toi. tu t'sens un peu nerveux mais heureux de lui dévoiler enfin ton bonheur adolescent, ton bonheur amoureux. qu'est-ce qu'il y a ? tu te sens mal ? l'regard inquiet d'une maman, tension palpable dans la pièce. j'suis amoureux. boum. tu lâches ça comme ça, tu précises rien d'plus, les mots ont du mal à venir. pourtant avant même qu'elle reprenne la parole, tu rajoutes : j'suis en couple, c'est la première fois, tu sais. tu vois l'inquiétude se transformer en une réjouissance certaine, un grand sourire apparaître sur ses lèvres, elle s'approche de toi, tu la sens trépigner d'impatience d'en savoir plus. mon chéri, c'est formidable ! comment elle s'appelle ? on la connait ? est-ce que c'est une fille de l'église ? tu secoues la tête de gauche à droite. elle. une fille. à quoi tu t'attendais, léandre ? à c'qu'elle l'lise dans ta tête et se dise "oh super, mon fils sort avec un garçon, que c'est super !" ? faut pas rêver, j'veux bien que tu sois naïf mais pas à c'point quand même. tu l'connais pas. mathias, maman, il s'appelle mathias. et soudain, son visage se décompose, elle s'éloigne de toi, elle est à la limite de tomber du lit et heurter le sol. ses yeux sont ronds, comme si elle avait vu un fantôme. non.. seigneur, dites moi que c'est une blague... qu'elle s'plaint, sans retenue, tes prunelles retiennent tes larmes prêtes à dévaler tes joues d'adolescent. c'était trop beau pour être vrai. écoute.. léandre, j'imagine que tu es attaché à ce garçon mais.. c'est mal, d'accord ? t'as du mal à la suivre, ton regard se perd sur les murs gris de ta chambre, elle poursuit son monologue. c'est contre-nature, c'est mal, c'est interdit. les garçons, ça va avec des filles, pas avec des autres garçons. et en plus, dans la religion, c'est mal vu, imagine à l'église le dimanche ! alors, le lendemain, à la rentrée, t'es allé voir mathias et t'as tout plaqué. tu lui as dit qu'c'était mal, que c'était contre-nature, qu'les hommes ça va avec les femmes. tu t'en es convaincu. et t'as tourné les talons, comme ça, sans plus. t'as poursuivi tes études, seul, sans encombres, t'as passé ton bac, tu l'as eu sans mention mais... tu l'as eu, c'est l'principal. paris, la belle. dix-huit ans, la majorité, la liberté. dix-huit ans, t'es pas pressé. dix-huit ans, le choix d'après bac, le début des études supérieures. les choix pour les écoles, et surtout la chance d't'émanciper, de partir loin d'chez toi, prendre ton envol. léandre, c'est pas comme si y'avait pas des super facs à toulouse ou même aux alentours, à bordeaux, à lyon. mais toi, t'as choisi paris, t'as voulu partir loin, t'as voulu tout changer. et papa, maman, ils étaient fiers d'voir que tu voulais faire les choses en grand, alors ils t'ont encouragé, ils t'ont même payé le loyer de ton appartement les premiers temps, le temps où t'as été réellement à la fac du moins. fac de droit, c'est compliqué, trop compliqué pour toi. t'as décroché dès la première année, maman a pas été super contente, elle a même eu exigé que tu rentres à toulouse mais toi, paris la grande, paris la belle, elle t'a tapé dans l’œil, tu t'voyais pas rentrer. paris, la liberté. paris, les rêves de grandeur, un tout autre univers. t'es resté, t'as d'abord jonglé entre des petits boulots minables qui t'ont jamais plu, et finalement, t'es tombé sur la perle, ta perle, le café-librairie. probablement un de tes endroits préférés, ici. l'endroit où tu passes le plus clair de ton temps, c'est un travail qui te plait, t'aimes changer sur tout et rien, échanger sur les livres, sur bien des choses. la grande vie, à paris, léandre, c'est tout à fait pour toi. les rencontres. par où, par qui commencer ? c'est vrai, y'en a des choses à dire, depuis que t'es à paris. depuis que t'es à paris, ta vie elle a changé, ton âme d'enfant t'a pas quitté, elle te quitte pas. paris, t'y a construit une deuxième existence, en quelques sortes, loin de tes parents mais si proche à la fois. parc'que ta mère, la distance l'empêche pas de pointer des visites imprévues chez toi, de venir quand bon lui semble s'assurer que son bébé va bien. faut croire que ta mère, la notion de vie privée, elle connait pas. elle a toujours été un peu trop intrusive dans ta vie, sans doute le fait d'être fils unique. jamais simple, ces choses-là. mais à paris, t'as quand même fait des rencontres. y'a les bonnes, et les moins bonnes. y'a albane. on va commencer par albane, léandre, parce qu'elle est probablement la plus importante de ces rencontres. véritablement ? elle est littéralement l'incarnation de la femme de ta vie, babane, amicalement parlant bien entendu. c'est ton pilier. elle a l'don d'te rassurer avec des mots simples, des mots doux, des mots jolis. elle a l'don de te faire comprendre des choses que personne a su t'faire enregistrer avant, albane, elle doit avoir des super-pouvoirs ou bien c'est une magicienne, parc'qu'elle arrive à faire en sorte d'effacer la plupart d'tes peurs, elle a toujours des solutions en or. et ce, même face à maman. grâce à la brune, t'as fini par comprendre que malgré tous tes efforts, malgré tout c'que tu mets en oeuvre pour essayer d'être le parfait hétéro, pour t'intéresser aux filles, tu pourras jamais l'être, l'faire réellement. t'as compris que t'aimais les garçons, vraiment, que mathias, c'était pas qu'une passade d'adolescent dans un élan ou un délire mal foutu d'un syndrome de peter pan non diagnostiqué - et que de toute évidence, tu n'as pas. t'es juste pas doué et naïf, la voilà la différence. - mais les nombreuses visites de maman, qui doivent s'élever à une par mois voir tous les deux mois quand t'as la chance d'y échapper faute de finance de leur côté ou faute de temps, elles réussissent à t'rappeler que c'est mal, et toi au milieu, t'es perdu. t'es perdu dans une éternelle quête de toi-même, t'erres sans savoir qui t'es vraiment. c'est compliqué, à vingt-trois ans, d'pas savoir qui on est, d'être perdu comme un adolescent. errer sans but. mais elle t'a quand même sauvé la mise, ta meilleure amie, plus d'une fois. jusqu'au jour où pour rassurer ta génitrice et qu'elle te fiche un peu plus la paix, t'laisse vivre ta vie d'adulte (ou éternel enfant?), albane elle t'sort une idée qui t'parait au départ totalement impossible. personne y croira, à une mascarade pareille, personne croira que vous deux, vous êtes ensembles, que c'est réel. mais en soit, comme tu l'eus compris, plus de pression venant d'maman avec ses et quand est-c'que tu me présentes ta chérie, hein?, plus rien d'tout ça. la seule chose à faire dès lors et pas des moindres : assurer votre petit numéro, jusqu'au bout. alors, depuis quelques temps, officiellement, t'es en couple avec albane, avec ta meilleure amie. s'il fallait parler de quelqu'un d'autre, dont tu pourrais parler pendant des heures d'ailleurs, je dirais... isaac delatour. isaac, les prunelles océans dans lesquelles on s'noie. isaac, ses mots qui t'perdent autant qu'ils t'envoient loin. isaac qui envoie tous tes principes en l'air, qui débarque sans prévenir dans ton existence. il y a semé un beau bordel dans ta vie, le brun. un bordel sentimental, un bordel de plus dans ta quête de toi-même. tes battements de coeur qui s'accélèrent en sa présence quand il a pas les expressions qui t'donnent envie de lui cracher au visage qu'il est un connard - chose que tu feras jamais, probablement. - y'a des mots forts, qu'on pense mais qu'on ose pas dire. des mots tellement forts qu'on a du mal à leur trouver un sens, parfois. on se demande pourquoi, comment ça nous est arrivé, quel est le fragment du puzzle qui nous a échappé. mais léandre, tu l'auras vite compris, il y est des questions qui restent éternellement sans aucune réponse, c'est comme ça, on s'y fait après tout, non ? y'a des gestes aussi, des trucs pas communs. y'a des trucs qui font s'emballer un peu plus ton palpitant, ses lèvres sur les tiennes par exemple. ses lèvres sur les tiennes et sa connerie qui fout tout en l'air. c'est pas arrivé un paquet de fois, on va pas se mentir, c'est pas l'truc récurrent. y'a eu des moments gênants, humiliants où t'aurais volontiers apprécié disparaître tant la honte t'envahissait alors. mais pourtant, tu sais pas, tu trouves pas. il y a quelque chose, quelque chose en plus, qui t'intrigue. un attachement sans doute trop fort qui naît à son égard, un attachement ? l'mot est bien faible, on parle pas d'la même chose, on est pas entrain de discuter d'un truc banal, on est pas non plus entrain d'parler de l'attachement que mireille pourrait vouer à félix, son vieux chat dégueulasse. non, léandre, c'est plus fort que ça, il y a des sentiments, des choses qui t'dépassent, qui t'effraient. mais plus que tout, il y a des choses qui te disent que tu peux pas abandonner. tu sais pas où ça va te, vous, mener, mais qu'importe. plus la route est longue, plus la victoire est belle. (mais dans le cas d'isaac, vaut mieux se préparer à une chute, oui, on est bien d'accords alors léandre, oublie pas de commander un parachute à papa noël)
de paris à chez moi, il n'y a qu'un pas
PSEUDO/PRÉNOM : only angel, anaïs/nanou. ÂGE : dix-neuf déjà . SEXE : femelle m'sieur l'agent. VILLE : le teil, ville perdue d'ardèche que tu trouveras sur une carte. tu découvriras d'ailleurs qu'elle est bien laide. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : tellement trop. c'est une pépite ce forum, tout simplement. COMMENT AS-TU CONNU LVER ? : bazzart. FRÉQUENCE DE CONNEXION : le plus souvent possible, dans l'idéal tous les jours. UN DERNIER MOT ? spécial dédicace à isaac - Code:
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[color=#D04040]● [/color][b]harry styles[/b] aka [i]léandre rochebois[/i]. |
| | | Isaac Delatour eden de cacharel JE RESSEMBLE À : tommo, mon bb. CRÉDITS : scarlett glasses (avatar). PSEUDO : anaëlle, la fabulance-même. | | | | Iris Hoarau eden de cacharel CRÉDITS : (ava) balaclava. (sign) pray, bebe rexha. PSEUDO : freakshow (laurine). | | | | Léandre Rochebois l'elixir de nina ricci JE RESSEMBLE À : bb styles. PSEUDO : only angel (nanou) | Sujet: Re: you can't rush something you want to last forever, léandre. 3/1/2018, 19:53 | |
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| | | Florian Juliard n°5 de chanel JE RESSEMBLE À : Harvey Newton Haydon CRÉDITS : sweet disaster (vava) | Sujet: Re: you can't rush something you want to last forever, léandre. 3/1/2018, 23:36 | |
| Bon ancrage parmi nous (a) |
| | | Isaac Delatour eden de cacharel JE RESSEMBLE À : tommo, mon bb. CRÉDITS : scarlett glasses (avatar). PSEUDO : anaëlle, la fabulance-même. | Sujet: Re: you can't rush something you want to last forever, léandre. 4/1/2018, 16:03 | |
| ah d'accord, je vois que ça forme des groupes pour attaquer le pauvre petit agneau que je suis, je suis outré. et isaac si c'est un fragile c'est parce que léandre déteint sur lui, c'est tout. mais bon, j'te valide quand même parce que je suis un ange, tout le monde le sait.
Paris est à toi !
Tu es officiellement validé(e)
BIENVENUE - Bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris ! Maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité mais pas trop quand même. - ✻ -LES PETITS TRUCS A SAVOIR - Si tu débarques en solitaire mais que tu es pressé(e) de jouer parmi nous parce que tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller faire une demande de rp arrangé, le staff se chargera de te concocter une petite scène avec un autre membre. Mais n'hésite pas à aller te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur liste de liens et de rps ! T'as vu comme tout le monde est mignon ici ? Alors ne perds pas une seconde et vas sauter à pieds joints dans le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. Et ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlins, et on les aide à s'intégrer grâce aux mini-floods. Du coup, tu peux dès maintenant te rendre dans ton mini-flood de groupe et ton mini-flood de rang pour rencontrer quelques membres et jouer les commères papoter un peu. - ✻ -EN CE MOMENT SUR "LA VIE EN ROSE" - La partie "réalité alternative" a (enfin) été mise en place. Alors si tu es tenté(e) de découvrir ce que serait le présent/futur de ton personnage sous différentes hypothèses, c'est dans cette zone qu'il faut aller. - ✻ -LE PETIT MOT DE LA FIN - Si tu nous aimes aussi fort qu'on t'aime, tu peux voter pour nous et nous faire un peu de pub, on te fera des crêpes pour te remercier ! On est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi (en plus des crêpes, bien sûr). En attendant, amuse-toi bien parmi nous ! |
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