NOM : Munier. PRÉNOM : Marylou, l'éternelle rêveuse. ÂGE : Vingt-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 13 février 1993 à Paris, ville de l'amour. ORIGINES : Française, elle prétend être d'ici et d'ailleurs, native de son monde imaginaire. ORIENTATION SEXUELLE : Les étiquettes sur les boites de céréale ont le don de la rendre perplexe. Plutôt miel pops ou chocapic ? Difficile à dire. Peut-être spécial k au final. STATUT CIVIL : L'engagement lui fout la trouille. Une peur bleue. Pourtant elle aime comme une gamine de trois ans. C'est pur et innocent. Avec le goût de la barbe à papa. ÉTUDES/MÉTIER : Le passage à la vie adulte est un échec complet. L'inquiétude, la fuite, le déni. La nomade échappe au joug de sa famille, refusant de reprendre les rennes de l'entreprise. En cavale. Le matin, quand tout est calme aux alentours, elle effectue le ménage au musée d'Orsay. Puis, à la nuit tombée, Marylou fait le service à la Pétaudière, pour le plaisir d'y jouer du piano. PASSION(S) : ici. GROUPE : Salut les amoureux. RANG : L'élixir de Nina Ricci. PV, SCÉNARIO, PRÉ-LIEN OU PERSONNAGE INVENTÉ : Une invention nocturne.

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CARACTÈRE : Marylou, elle rit fort, très fort. Surtout dans les lieux publics. C'est nerveux. Comme un tic. Marylou, elle aime parler la nuit, avant de s'endormir. Quitte à tenir une conversation toute seule. Peu importe. Marylou, elle est très expressive, incapable de mentir. Les mots lui échappent, ça fait pouf hors de sa bouche. Marylou, elle est tendre, attachante. Enfant dans l'âme, le monde n'est pas à la hauteur de ses espérances. Il faut le réinventer avec des couleurs qui n'existent pas. Marylou, elle voyage dans sa tête, un peu trop parfois. Capable de s'égarer dans une galerie marchande. La panique. Marylou, elle tente de trouver sa place dans l'univers. Une étoile filante au milieu du ciel noir. Les autres l'inspirent, l'effraient. Et la plupart du temps, ne la comprennent pas. Parce que Marylou, elle est très instable. Il lui arrive de péter un plomb sans raison, devenir violente et colérique. Submergée par un trop plein d'émotion. Marylou, elle n'arrive pas à concevoir son avenir plus loin que demain. Le long terme est un concept qui la préoccupe. Marylou, elle fuit les problèmes, trop lâche pour les affronter. Les responsabilités, au secours. Plutôt récurer des chiottes que d'être en charge d'une multinationale. Marylou, elle ne se sent pas capable d'affronter le monde. Le besoin d'évasion fait battre son coeur. Pourtant, c'est une putain d'inspiration. Captivante, elle donne l'impression que tout est facile. C'est ça son don, l'illusion. Marylou, c'est un personnage fictif projeté dans une réalité sectaire.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Le jardin des Tuileries. DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Fascinante, vivante, terrifiante. DÉCRIS L'AMOUR EN TROIS MOTS : Un coup dans la poitrine.

Tu dois probablement te demander si ce n'est pas une farce. Après tout, qui jette vraiment une bouteille à la mer avec un message à l'intérieur ? Moi. La fille derrière ces mots. Je ne vais pas te dire qui je suis parce que j'ignore la réponse à cette question mais peut-être qu'à la fin de cette lecture, tu seras capable de me le dire. Toi. L'individu tenant cette lettre entre tes mains. Un parchemin de ma vie. Un morceau de moi. Un morceau de mon coeur. Je n'écris pas pour confesser quelque chose. J'écris pour laisser un message à quelqu'un, quelque part. Je ne sais pas où tu te trouves à cet instant précis mais lorsque tes yeux se posent sur mes phrases, tu es à mes côtés. Nous sommes ensemble.

en cours

PSEUDO/PRÉNOM : ici. ÂGE : ici. SEXE : ici. VILLE : ici. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : ici. COMMENT AS-TU CONNU LVER ? : ici. FRÉQUENCE DE CONNEXION : ici. UN DERNIER MOT ? ici.

eh ben alors... où es-tu passé(e) ? ça fait maintenant une semaine que tu as commencé ta fiche, mais nous n'avons plus de nouvelles de toi... comment ça se fait ? ne nous dis pas que tu t'es noyé(e) dans la seine ! ici, le staff est rempli de maîtres nageurs accomplis et encore plus sexy qu'adriana karembeu ! autrement dit, tu n'as aucune excuse, on te sauvera coûte que coûte ! à partir d'aujourd'hui, tu ne disposes donc plus que de quatre jours pour nous demander un délai, sans quoi ton compte se verra supprimé. nous, on n'a pas envie de te laisser partir ! alors reviens-nous, tu nous manques déjà.