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| Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. | |
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Invité Invité | Sujet: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. 1/4/2017, 19:18 | |
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Gabriel Gomes
featuring Dylan Minnette
NOM : Gomes, un nom aux sonorités d'ailleurs. PRÉNOM : Gabriel comme l'archange. Tes proches ont tendance à le raccourcir et pour ce que ça vaut, tu préfères. ÂGE : 19 ans, les premiers pas dans le monde des adultes et ce n'est pas très glorieux. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 11 Septembre 1997 à Courbevoie, non loin de la Défense. ORIGINES : Franco-Portugaise, entre ici et ailleurs. ORIENTATION SEXUELLE : Tu ne t'es jamais clairement posé la question. Tu es sorti avec quelques nanas et ton regard ne s'est jamais spécialement attardé sur un homme. Si l'étiquette est nécessaire, tu te rangerais sûrement dans la case 'hétérosexuel', mais on ne sait jamais de quoi demain sera fait... STATUT CIVIL : Célibataire. L'amour et toi, c'est un joli désastre. Tu finis toujours à ramasser à la petite cuillère. Ce n'est pas faute de t'impliquer dans tes relations, du moins, dans les rares histoires que tu as pu vivre. ÉTUDES/MÉTIER : Première année à l'université en sociologie. Tu ne sais pas ce que tu veux faire de ta vie. Tu n'as pas la moindre vocation, alors tu t'es inscrit à la fac parce qu'il fallait bien faire quelque chose. La sociologie, ça te plait, sans plus. PASSION(S) : Les jeux-vidéos, les voyages, entre autres. GROUPE : L'hymne à l'amour. RANG : Black Opium. PV, SCÉNARIO, PRÉ-LIEN OU PERSONNAGE INVENTÉ : Personnage inventé.
- ❇ - CARACTÈRE : ‣ Désordonné. Bordélique même. ‣ Discret, invisible. ‣ Économe. Radin oui ! ‣ Gaffeur. Ah, fallait pas dire ça ? ‣ Gourmand. Les pâtisseries et toi, une grande histoire d'amour. ‣ Impatient. Tout, tout de suite. ‣ Naïf, crédule. ‣ Négatif, carrément pessimiste. ‣ Rêveur. Fais de tes rêves une réalité. ‣ Sensible, un peu trop. ‣ Sérieux quand il le faut. ‣ Solitaire, mais tu n'es pas non plus une ermite. ‣ Vivant.
j'envoie des bons baisers de paris
QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Probablement l'appartement de tes parents, ta bulle, ton cocon, synonyme de confort et de sécurité. Tu apprécies la ville, à petite dose, mais chez toi, c'est l'endroit où tu te sens le mieux. DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Polluée, touristique et animée (beaucoup trop). DÉCRIS L'AMOUR EN TROIS MOTS : Pas pour maintenant. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. 1/4/2017, 19:18 | |
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tout nous attend, tout est écrit
écris l'histoire, tout ce que tu voudras entre les lignes
Une bande de jeunes sur les quais de la Seine un jeudi soir. Une bière à la main, tu tentes de faire comme si la situation était normale, banale, mais elle ne l'est pas. Tu n'es pas à ta place. Tu n'es pas de ces étudiants qui vivent dans l'excès, dans l'alcool, dans les soirées. Ce n'est pas toi. Tu n'aimes pas la bière. Tu n'aimes pas particulièrement ce genre de soirées non plus d'ailleurs. Tu sais déjà comment ça va finir, l'état d'ébriété dans lequel ils vont tous se retrouver dans quelques heures. Pour la millième fois, tu te demandes ce que tu fais là, mais tu le sais très bien. Elle. Elle t'a encore traîné à une de ces fichues soirées, à coup de Gab, tu verras ce sera cool !, mais c'est loin de l'être. Juste une fois, c'est ce qu'elle dit tout le temps, une fois, sauf qu'à force, ce n'est plus une fois, mais plutôt une énième fois. On se voit jamais, t'es toujours fourré chez toi, sauf que ce n'est pas à ce genre de soirées que tu la côtoies plus. Elle échange avec ses potes, elle est collée à son copain. Elle est proche et semble si lointaine pourtant. Elle t'adresse un sourire réconfortant, un sourire qui semble vouloir dire amuse toi et tu lui réponds par une légère grimace. Tu essaies. Tu essaies vraiment, mais ces gens, cet endroit, tout ça, ça ne te correspond pas. Alors tu avales une nouvelle gorgée de la bière bon marché qu'elle t'a refilé. Définitivement, tu n'aimes pas ça. Peut-être qu'après une certaine dose d'alcool ingurgité, tu passeras une meilleure soirée. Peut-être, sauf que tu n'aimes pas perdre le contrôle, ne plus être maître de tes actes et c'est ce qu'il risque de se produire si tu bois trop. Alors tu continues de faire ce que tu sais le mieux faire, être invisible. Tu écoutes plus que tu ne participes. Tu acquiesces quand il le faut. Tu réponds brièvement quand on t'interpelle. Tu subis plus que tu ne vis la soirée. Mais malgré tout, tu restes pour lui faire plaisir, pour lui montrer que tu fais des efforts, pour passer du temps avec elle sans être pourtant sur la même longueur d'ondes que tout le reste du groupe. Elle. Parlons d'elle un peu. Celle qui te traîne depuis quelques années maintenant dans tous ses plans foireux, celle que tu suis en râlant, celle qui te suit aussi quand tu as des idées, des envies stupides. Elle est ta plus proche amie, celle que l'on pourrait considérer comme ta meilleure amie si tu étais du genre à coller des étiquettes à tout va. Tu la connais depuis toujours, du moins, c'est l'impression que tu as. Elle te ressemble sur quelques rares points, mais dans l'ensemble, elle est plutôt ton opposé. Si différente et pourtant si complémentaire. Elle te comprend, enfin pas toujours, mais la plupart du temps et inversement. Une amie comme on en rencontre peu dans une vie. Une amie qui semble décidée à te sortir de ta zone de confort. Si seulement tu avais su, si seulement.
Les minutes s'écoulent lentement, trop lentement. Le temps semble ne plus vouloir passer. L'alcool continue de couler et tu en es toujours à ta première bière, alors que ce n'est définitivement pas le cas des étudiants qui t'entourent. Tu jettes un coup d’œil à ta montre. Encore une heure et tu trouveras une excuse pour te défiler, pour rentrer chez toi et te caler derrière ton écran, là où tu es bien plus à ta place. Une heure, juste une heure. Tu lui diras que tu as un écrit important sur lequel plancher. Elle ne te croira probablement pas, elle tentera sûrement de te faire rester, mais tu camperas sur tes positions. Elle finira par acquiescer en râlant comme toujours. Tu auras fait l'effort de venir, d'essayer et elle, elle fera l'effort de ne pas te retenir bien que ça la démangera probablement. Une heure. Tu dois tenir une heure. Sauf que ça ne durera pas qu'une heure, loin de là. La soirée ne fait que commencer. Le cauchemar est à peine entamé. Tu aurais dû partir au bout d'une heure. Tu aurais dû la forcer à te suivre, trouver un truc. Tu aurais dû, vraiment, mais ça ne s'est pas passé comme ça.
Les verres s'enchaînent, du moins, pour eux. Tu te retrouves avec un joint à la main et tu le fais passer à ton voisin en marmonnant que tu ne fumes pas. L'alcool, bien que tu n'aimes pas ça, tu veux bien t'y conformer, mais le reste, très peu pour toi. Le groupe se divise, certains décident d'aller remplir le stock et d'autres veulent partir vers un bar dont le nom ne t'évoque rien. Tu la suis parce qu'après tout, tu es là pour elle. Pendant le chemin, vous échangez enfin quelques mots. Elle te parle de choses et d'autres, tu évoques le voyage que tu projettes de faire une fois le semestre fini. Tu tentes de la convaincre de te suivre, elle râle parce qu'elle n'a pas l'argent pour, mais au fond, tu sais. Tu sais qu'elle finira par venir parce que c'est ce qu'elle fait toujours. Elle te traîne dans ce genre de soirées stupides et toi, tu l’emmènes dans tous tes délires d'aventure. Prochaine escale : le bar. Elle te paie un cocktail sucré et alcoolisé qui passe bien mieux que la bière.
Et à un moment, tu ne sais comment, même avec le recul, tu n'arrives toujours pas à t'expliquer à quel instant tout est parti en vrille comme ça, tout dégénère. Vous avez quitté le bar depuis bien longtemps, tout le monde subit les effets de l'alcool et de la drogue. Tu n'es pas complètement bourré, mais tu n'es plus tout à fait toi même. Tu as perdu le groupe des yeux, d'ailleurs le groupe s'est naturellement disloqué. Tu tentes de l'appeler pour la dixième fois au moins, mais tu tombes encore sur son répondeur. Tant pis. Tu tapes un rapide message pour la prévenir que tu rentres et c'est ce que tu commences à faire. Tu erres dans les rues parisiennes jusqu'à chez toi. Tu croises beaucoup de personnes alcoolisées, mais tu n'y prêtes pas attention. Tu es dans ta bulle. Bulle qui ne va pas tarder à exploser. Ton téléphone sonne, elle. Il... Il est inconscient, il réagit plus. Il... Tu comprends rien. Quoi ? L'ignorance, quel beau sentiment que celui-ci. Il... Il... Dis moi où t'es. J'arrive. Et après des tonnes de phrases sans le moindre sens, elle parvient par te dire où elle se trouve.
Lorsque l'on parle des soirées étudiantes, des soirées entre jeunes où l'alcool coule à flot et la drogue aussi, on n'évoque que trop peu tous ces drames que l'excès amène. Les accidents de la route causés par un chauffeur ivre. Les bagarres qui dégénèrent. Les bads trips. Les comas éthyliques. Ces jeunes qui trop bourrés finissent mal, très mal, au point de vomir leurs tripes dans une ruelle. Tout ceux que l'ambulance vient récupérer dans des états plus que pitoyables. Sauf que ce soir-là, c'était trop tard. Quand les secours sont arrivés, il était déjà mort, mort étouffé dans son propre vomi. Une soirée alcoolisée. Une amie dévastée par la perte de son copain. Un instant où on perd l'autre du regard, un instant où tout s'écroule. Les effets de l'alcool qui se dissipent. L'incompréhension. Le choc. Les remords. La douleur, une putain de douleur.
Et malgré tout, la vie continue de s'écouler. Le temps ne s'arrête pas, non, il file sans nous. Et il faut se reconstruire, se soutenir pour ne pas sombrer, pour continuer d'exister.
de paris à chez moi, il n'y a qu'un pas
PSEUDO/PRÉNOM : Un pseudo parmi une tonne d'autres, c'est sans importance. ÂGE : 22 ans. SEXE : F. VILLE : Lyon. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Ma boite mail commençait à se faire vide. Je me suis dit que si je m'inscrivais, j'en recevrais au moins un. COMMENT AS-TU CONNU LVER ? : Bazzart. FRÉQUENCE DE CONNEXION : Souvent. UN DERNIER MOT ? Si certains cherchent des liens, je suis ouverte à tout et n'importe quoi - Code:
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[color=#D04040]● [/color][b]dylan minnette[/b] aka [i]gabriel gomes[/i]. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. 1/4/2017, 21:31 | |
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| | | Billie Carpentier shalimar de guerlain JE RESSEMBLE À : taylor marie hill. CRÉDITS : moi (avatar), moi (signature). PSEUDO : anaëlle (ou isamongus, cf. alana et cam - nan j'balance pas, salut). sinon les intimes m'appellent bilal - même si j'm'appelle pas bilal (svp cherchez pas). | Sujet: Re: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. 1/4/2017, 22:18 | |
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| | | Marjorie Ducret j'adore de dior JE RESSEMBLE À : carlson young. CRÉDITS : (ava) anaëlle. (sign) uc. PSEUDO : FREAKSHOW (laurine). | | | | Invité Invité | Sujet: Re: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. 1/4/2017, 22:48 | |
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| | | Billie Carpentier shalimar de guerlain JE RESSEMBLE À : taylor marie hill. CRÉDITS : moi (avatar), moi (signature). PSEUDO : anaëlle (ou isamongus, cf. alana et cam - nan j'balance pas, salut). sinon les intimes m'appellent bilal - même si j'm'appelle pas bilal (svp cherchez pas). | Sujet: Re: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. 1/4/2017, 23:43 | |
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| | | Jaesun Chesnais l'elixir de nina ricci JE RESSEMBLE À : jeon jeongguk CRÉDITS : sv. (avatar) jecn (gifs signature) anaelle (code signature) | Sujet: Re: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. 2/4/2017, 10:53 | |
| J'adore le nom de famille de ta célébrité "Minnette" C'est chouuuu. (et c'est le surnom du chat d'une amie MDRR *raconte sa vie*) bienvenue sur LVER |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. 2/4/2017, 13:56 | |
| au risque de me répéter, très bon choix d'avatar. (réserve-moi un lien. ) ton écriture est fluide, claire, et concise, j'aime ce côté "rentre-dedans", aller à l'essentiel. j'ai hâte de voir ce gab se dévergonder un peu. Paris est à toi !
Tu es officiellement validé(e)
BIENVENUE - Bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris ! Maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité mais pas trop quand même. - -LES PETITS TRUCS A SAVOIR - Si tu débarques en solitaire mais que tu es pressé(e) de jouer parmi nous parce que tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller faire une demande de rp arrangé, le staff se chargera de te concocter une petite scène avec un autre membre. Mais n'hésite pas à aller te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur liste de liens et de rps ! T'as vu comme tout le monde est mignon ici ? Alors ne perds pas une seconde et vas sauter à pieds joints dans le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. Et ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlins, et on les aide à s'intégrer grâce aux mini-floods. Du coup, tu peux dès maintenant te rendre dans ton mini-flood de groupe et ton mini-flood de rang pour rencontrer quelques membres. - -EN CE MOMENT SUR "LA VIE EN ROSE" - Compte tenu du grand ménage de printemps que nous venons de faire, il n'y a aucune intrigue en cours pour le moment. - -LE PETIT MOT DE LA FIN - Si tu nous aimes aussi fort qu'on t'aime, tu peux voter pour nous et nous faire un peu de pub, on te fera des crêpes pour te remercier ! On est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi (en plus des crêpes, bien sûr). En attendant, amuse-toi bien parmi nous ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. 2/4/2017, 18:21 | |
| @Billie Carpentier - Je vois ça, c'est beau. *smiley avec les yeux qui brillent* (j'arrive pas à le trouver, alors je le décris ce sera plus simple ) C'est pas grave va. J'ai pas lu le livre (il faudrait, peut-être... ) Et oui, y en a qui l'ont déjà fini et d'autres qui ont une vie... @Jaesun Chesnais - J'ai bugué sur son nom de famille aussi. (Et vas y, raconte ta vie, y a pas de soucis ! ) Merci à toi. @Loup Beaubourg - Merci c'est gentil tout plein. (Je suis carrément open pour le lien) Et pas sûr qu'il finisse par se dévergonder. |
| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. | |
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| | | | Il y a un adage qui dit qu'on fait toujours du mal à ceux qu'on aime : mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal. | |
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