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| et les vents s'enguelent ; alana | |
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Alana Dumont eden de cacharel JE RESSEMBLE À : Josephine Pettersen CRÉDITS : strangelove. (av) + exordium (sign) + bonnie (icon) | Sujet: et les vents s'enguelent ; alana 10/2/2017, 01:15 | |
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Alana Kervarrec featuring Josefine Pettersen
NOM : Kervarrec, on fait difficilement plus breton. PRÉNOM : Alana et Judicaëlle, toujours un souvenir des racines maternelle, et y en a qui y arrivent quand même à écorcher son prénom alors que sur cinq lettres, y en a quand même trois qui sont des A. SURNOM : Lana, Ali, Nana, Kervarrec, Kerker… et si les syllabes ne suffisent pas, faut faire jouer l’imagination. ÂGE : 17 ans, elle n’est pas trop pressée de grandir pour autant parce que, de ce qu’elle a vu, quand on grandit, on devient con. DATE ET LIEU DE NAISSANCE :le 10 septembre 99 dans le 14e, la maternité a été déplacée depuis et à son emplacement se trouve maintenant un resto méditerranéen, très bon soi dit en passant. ORIGINES : elle peut difficilement cacher ses racines bretonnes mais ses origines espagnoles passent totalement inaperçues, ce qui tombe bien car ce n'est pas le patrimoine génétique dont elle est le plus fière. ORIENTATION SEXUELLE : hétéro, mais ça importe qui en vrai? STATUT CIVIL : elle n’a pas connu grand monde, si ce n’est pour dire personne, elle donne difficilement sa confiance aux gens et remballe ceux qui lui plaisent sans trop le vouloir, mais elle essaie de s’améliorer, promis juré. ÉTUDES/MÉTIER : Terminale ES spé maths. Elle ne sait pas trop ce qu’elle fou là, mais bon, maintenant que c’est fait. PASSION(S) : tout, rien, elle n’a pas encore trouvé ce qui pourrait la faire vibrer du coup elle essaie tout ce qu'elle peut, sans grands résultats, mais elle continue à chercher persuadée qu’elle trouvera, un jour, peut-être. GROUPE : j'hésite... black opium, ysl ça lui conviendrait? POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : lien pré défini de Bastien Kervarrec CARACTÈRE : émotive, rancunière, sensible, déterminée, réaliste, pragmatique. TICS ET TOCS : Quand on l’impressionne, ou qu'on essaie de lui faire peur, elle devient cassante. + elle a encore le réflexe de remettre ses cheveux en place autour de son cou comme lorsqu'ils étaient long. + elle rajoute des commentaires sarcastique dans la marge de tous ses cours mais les dit rarement à haute voix, les sociologues sont de vrais prix nobels + elle met des chaussettes-chaussons dans chaussures en hiver + elle préfère s’asseoir par terre, ou sur des marches que sur un banc ou une chaise, elle travaille au sol aussi, adossée à son lit. + elle a essayé d’apprendre le breton sur internet une fois, c’était pas glorieux, et pourtant sa mère est fluent, faut croire qu'elle n'a retenu que les insultes. + elle n’a pas de bibliothèque mais des piles de livres contre les murs dans sa chambre, ça rend sa mère dingue. + elle a essayé d’économiser de l’argent pour un voyage pendant les vacances, elle a tout dilapidé en concert. + elle demande rarement la permission avant de piquer des affaires de ses frères et sœur, s’ils ont perdu quelque chose, le premier endroit où chercher serait bien sa chambre. + elle a arrêté de fumer l’année dernière, trop de fric jeté par les fenêtres. elle se promène toujours avec des briquets par contre, l’instrument de la création de la vie sociale. + elle a une technique secrète pour faire sauter les crêpes. + elle fait tous les test de personnalités possibles et imaginables + elle n’a jamais défié l’autorité ouvertement, c’est plus le genre de chose qu’elle fait en secret + elle n’a pas la langue dans sa poche mais n’essaie jamais de raisonner ceux qui sont pour elle des causes perdues, elle les snob juste. + elle est empathique, que ce soit les émotions des autres, d’un livre, d’un film ou d’une chanson, elle fait l’éponge et les aspire en elle. + elle n’est pas du genre à faire des plans sur la comète. + elle se donne une image de fille intouchable, mais il suffit d'être attentif un moment pour comprendre que ce n'est qu'une façade
j'envoie des bons baisers de paris
QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? les quais en été, les cafés et les kebab cachés dans des rues moins passantes qu'elle découvre par hasard, les graf du 20e et le musée d’Orsay. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? la liberté de mouvement, le fait de toujours pouvoir se perdre même après y avoir vécu toute sa vie, connaître des coins un peu secrets où traîner avec ses potes, situaliser des lieux en fonction de leurs stations de métro. C’est pas une ville où il faut chercher très loin pour trouver quelque chose à admirer, pour se sentir un peu spécial, un peu du coin, et puis c’est la maison, quand t’es bloqué à 6 dans un appart, tu apprends rapidement que parfois il vaut mieux sortir pour prendre l’air.ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? le prix du café, l’heure de pointe dans le métro, les gens qui se plaignent que c’est une ville de gens mécontents… parce que t’es heureux quand tu dis ça toi ? Paris ça reste gris, tu croises sur le même trottoir un sdf et un milliardaire. Paris c’est un peu snob, c’est l’apparence, les rêves, les illusions, mais au moins, on ne peut pas dire qu’on était pas prévenu. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : rêveur, cosmopolite, bruyante. |
| | | Alana Dumont eden de cacharel JE RESSEMBLE À : Josephine Pettersen CRÉDITS : strangelove. (av) + exordium (sign) + bonnie (icon) | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 10/2/2017, 01:16 | |
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do i dare disturb the universe ?
« Encore une Kervarrec ? Il en reste beaucoup après vous ? » Rire gras. Silence. Merci pour la remarque monsieur le professeur.
Cinquième quatrième enfant sur six, sur cinq. Y a toujours ce regard impressionné des gens quand ils viennent de l’apprendre. Y a ceux qui pensent que c’est génial, qu’on se sert tous les coudes, et ils ont presque raison, y a ceux qui pensent que c’est étouffant et qu’on manque d’amour, et ils ont plutôt tort. Et puis y a ceux qui pensent à l’état du ventre de notre mère. Vu toutes les heures de sommeils, tous les repas qu’elle a du sacrifier pour nous, ne vous inquiétez pas, il est tout plat. Elle n’aurait pas non plus toutes ces rides autours des yeux, de la bouche, sur le front s’il était resté. Ni cette tristesse dans le regard quand le frigo était vide avant le mercredi. Je l’ai pas connu moi. Je m’en plains pas. Il me manque pas, du moins pas à moi, pas personnellement. Il manquait toujours, dans la case « signature du responsable légal n°2 » et quand il fallait payer les factures, nous chercher à l’école, regarder le spectacle de fin d’année… mais à moi ? Nan, ça va il me manque pas, me demande juste pas de l'appeler Papa.
Je ne me souviens pas qu’il m’ait manqué quand j’étais jeune non plus. Il y avait trop de monde dans le trois pièces pour qu’on remarque son absence. On a du être infernaux à l’époque, quand Bastien n’avait pas encore reçu sa première paie. Ça criait, ça riait, ça se chamaillait, ça courait, ça pleurait, ça chantait, ça se bousculait, ça vivait. Heureusement maman avait de l’aide. Il avait quoi à son départ ? Huit, dix ans ? C'était l'aîné. C’est vraiment un âge pour s’occuper de cinq gamins. Bravo Papa.
Je me plains pas, j’en ai des super souvenirs, c’est juste que maintenant, je les plains eux. Il est parti avec ses économies, son costard mité et leur enfance. Quel exemple. Mais je parle de choses qu’on m’a raconté, moi à cette époque tout ce qui comptait c’était d’avoir les cheveux les plus longs, les plus brillants et du rab de madeleine. Il en réservait toujours une parmi les siennes pour me la donner avant de me demander de compter les points pour leur match de foot, une subtile méthode pour que je n’aille pas jouer avec eux, j’étais trop jeune, mais j’étais contente. J’apprenais à compter à l’école et j’étais doué alors de mes doigts boudinés j’annonçais les scores et s’il gagnait contre Bastien, notre légende à nous, sur le chemin du retour il me portait sur ses épaules comme son trophée de la victoire. On aurait vraiment pu croire que j’étais sa sœur favorite.
Et on a grandi comme ça, famille pas riche mais soudée, aimante malgré les insultes en breton qui fusaient dès qu’on se chamaillait. Moi, je voulais devenir grande comme eux. Quand le plus vieux est parti je venais d’entrer en sixième. Il était bon à l’école lui, c’était ce que maman répétait sans cesse. Elle était fière maman, et moi aussi, on l’était tous je crois. C'est pas souvent qu’un mec de la cité décroche de telles notes au bac. Quand il a reçu ses résultats il m’a pris une dernière fois sur les épaules, comme quand il gagnait au foot, comme le signe de sa victoire. Quelques jours après il était parti.
Au début il appelait. Un peu. Mais il n’avait pas trop le temps parce qu’il avait du travail et qu’il voulait réussir. Je l’ai cru et quelque part je pense que c’était vrai. Les appels se sont ensuite espacés et puis plus rien. Silence radio. Mais il allait rappeler. Il n’allait pas nous abandonner. J’ai répété ces mots comme une sorte de mantra magique qui allait le faire revenir. Absent à noël ? Il devait avoir partiel. Pour la fête des mères ? Il avait du oublier, au milieu de tous ses dossiers à rendre aussi… Pour un, deux, trois, quatre, cinq anniversaires ? Pour mon anniversaire ? Pourtant je faisais de mon mieux. Je devenais la meilleure, comme lui et il serait fier quand il rentrerait. Je ne sais pas trop ce qui m’a fait réaliser. Le regard de ma mère qui se floutait de la même tristesse qu'elle avait lorsqu'on parlait de notre père? Le fait que son nom avait peu à peu disparu de notre vocabulaire ? Que son numéro n’était plus attribué ? Alors j’ai pris un sac, le plus gros sac qu’on avait et je l’ai rempli des quelques affaires qu’il avait laissé. Il y avait tout dedans, sauf les photos. Elles avaient déjà été retirées, comme celles de notre père. Il n’avait rien laissé de précieux de toute façon, rien qui ne vaille le coût de revenir. J’ai récupéré une bouteille de chouchen qui était là depuis bien avant ma naissance. Un cadeau de grand-père certainement, y avait que lui pour boire ça. J’ai claqué la porte, je suis descendue. Il ne faisait pas encore nuit, les lampadaires n’étaient pas encore allumés. J’ai couru, dans le coin valait mieux pas rentrer trop tard seule. Dans une impasse pas trop loin, j’ai vidé la bouteille dans le sac puis, les mains tremblantes, et après plusieurs essais infructueux, j’ai jeté les allumettes en feu sur le sac. Je ne suis pas restée pour regarder, j’ai rebroussé chemin en pleurant. Au bout l’impasse, il y avait Bastien. Il se tenait là, à peine essoufflé. La surprise se lisait sur son visage. Il m’a pris dans ses bras et on est rentrés à la maison. « S’il tenait à ses fringues, il serait venu les chercher de toute façon. »
J’ai arrêté d’essayer d’après. « Mais tu étais si douée en classe, comme ton frère. » Je veux pas ressembler à mon frère. Pas à celui-là.
Quand Bastien est parti dans un club dans le sud, on était tous très fiers. On avait un futur champion dans la famille. Pas une star, un athlète. Il avait toujours été doué avec le ballon et maman rajoutait qu’elle n’était pas surprise et pourtant c’était ses yeux qui s’étaient les plus écarquillés quand on a appris la nouvelle. Il y a eut beaucoup de larmes. Plus de joie que de tristesse mais certainement un peu de peur. Il était prévenu de toute façon, s’il ne rentrait pas, j’allais pas hésiter à brûler ses affaires à lui aussi. Et on avait trop besoin de lui. Un jour, il est rentré avec sa première paie et on a déménagé, dans le 14e, toujours, pour faire plaisir à maman. Ensuite ils ont tous eu leur bac, ou leur diplôme. Sport, politique, arts, ils ont tous leur truc. Et puis il reste nous, les deux derniers. Et c’est amusant pour nos profs qu’on ne soit pas aussi doué en cours, en sport, à l’oral ou en art que les autres. On arrive pas à suivre le prestige de la famille, mais on joue très bien à ceux qui s'en foutent, on serait presque crédible. A vrai dire, je ne sais pas trop ce que c’est mon truc. Certainement pas de faire confiance aux gens. Rire jaune. Alors en attendant, je me suis coupée les cheveux. Un carré plongeant. Je sais pas ce que ça vaut, mais avec on dirait que je sais ce que je fais. Ils étaient surpris quand je suis rentrée, mais ils ont sourit en disant : « C'est très joli.»
de paris à chez moi, il n'y a qu'un pas
PSEUDO/PRÉNOM : oxane. ÂGE : 19 ans. SEXE : celui qui saigne tous les mois. VILLE : banlieusarde d’île de france, à l'ouest. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : hum, je sais pas trop, il faut que je taf en ce moment mais je suis souvent plus productive quand je fais ce que je ne veux pas faire « rapidement » pour aller faire ce que je veux faire aka le rp après, dooonc je me suis dis que recommencer du rp ça pourrait m’aider, sinon je procrastine et dingue et à la fin, j’ai rien fait. Et puis ça me manquait. Et un forum sur Paris, je sais pas, ça m’a attiré COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : je sais plus trop, en voguant d’un forum à un autre ou en traînant sur bazzart je suppose. FRÉQUENCE DE CONNEXION : je dirais une fois par jour, mais je posterais des rps surtout le week end, ou le mercredi. UN DERNIER MOT ? carambolage. Je trouve que ça sonne bien. - Code:
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[color=#D04040]● [/color][b]josefine pettersen[/b] aka [i]alana kervarrec[/i]. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 10/2/2017, 01:25 | |
| Yihaaaaa La tribu Kervarrec is inda place Une chose est sûre, tu vas faire un heureux Bon courage pour la seconde partie de ta fiche. D'ici là, je vais trèèèèèèèèès attentivement lire la première demain (enfin un plus tard dans la journée vu l'heure ^^) |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 10/2/2017, 01:57 | |
| Ooooh, bienvenue parmi nous jeune demoiselle ! Bon courage pour la suite de ta fiche \o/
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| | | Lana Verdier j'adore de dior CRÉDITS : (ava) balaclava. (sign) anaëlle. PSEUDO : FREAKSHOW (laurine). | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 10/2/2017, 10:28 | |
| excellent choix de pré-lien ma jolie et puis, on se connaîtra forcément toi et moi un grand bienvenue à la maison et bonne chance pour ta fichette en cas de besoin, n'hésite pas à harceler le staff, on est là pour toi |
| | | Alix Beauregard black opium de ysl JE RESSEMBLE À : scodders, ma meuf. CRÉDITS : balaclava (ava), anaëlle (sign). | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 10/2/2017, 13:19 | |
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 10/2/2017, 14:08 | |
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 10/2/2017, 16:32 | |
| Bienvenue le petit bébé |
| | | Alana Dumont eden de cacharel JE RESSEMBLE À : Josephine Pettersen CRÉDITS : strangelove. (av) + exordium (sign) + bonnie (icon) | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 10/2/2017, 19:08 | |
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| | | Jaesun Chesnais l'elixir de nina ricci JE RESSEMBLE À : jeon jeongguk CRÉDITS : sv. (avatar) jecn (gifs signature) anaelle (code signature) | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 11/2/2017, 12:15 | |
| la bretagne c'est la vie bienvenue ici beauté |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 12/2/2017, 18:25 | |
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| | | Gauthier Lannaud black opium de ysl JE RESSEMBLE À : evan peters mon amr. CRÉDITS : oim (avatar) + oim (signature). PSEUDO : anaëlle da queen. | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 13/2/2017, 13:34 | |
| la petite alana est vraiment trop mignonne, franchement. j'espère que le reste de la famille va rapidement débarquer ! en attendant, je suis sûre que bastien va prendre bien soin de sa petite soeur. quoi qu'il en soit, je te validoche avec plaisir ma jolie. Tu es officiellement validé(e)
bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana 14/2/2017, 12:29 | |
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| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: et les vents s'enguelent ; alana | |
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