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| every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). | |
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Invité Invité | Sujet: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 10:38 | |
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Eileen Rosenbach featuring Cara Delevingne
NOM : rosenbach; un patronyme des plus prestigieux, des lettres recouvertes d'or et de diamants qui évoquent le rêve américain. une famille aux origines germaniques qui est à l'origine d'un vaste empire hôtelier naît au coeur de la cité du vice et du jeu : las vegas. palaces grandioses, excès insolents, fortune outrancière, rosenbach est le nom de tous les superlatifs. depuis le clan rosenbach ne cesse d'étendre son pouvoir aux quatre coins de la planète, de macao à berlin, ils font de leur nom une marque de fabrique rimant avec prestige, démesure et luxe abondant. aujourd'hui, sa famille est à la tête d'une fortune estimée à trente-cinq millards de dollars, un chiffre délirant qui repose sur l'ambition exacerbé d'un seul homme : gregory maxwell rosenbach. son père, homme puissant et influent qui transforme tout ce qu'il touche en or massif et impose avec une autorité naturelle sa vision des choses et du monde. PRÉNOM : ici. SURNOM : ici. ÂGE : ici. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : le quinze juillet 1993 à las vegas. ORIGINES : ici. ORIENTATION SEXUELLE : ici. STATUT CIVIL : ici. ÉTUDES/MÉTIER : ici. PASSION(S) : ici. GROUPE : j'adore, dior. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : personnage inventé, adoré, attitré et sacralisé. cinq ans d'amour.
CARACTÈRE : ici. TICS ET TOCS : ici.
j'envoie des bons baisers de paris
QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? ici. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? ici. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? ici. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : ici. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 10:38 | |
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être parisien, ce n’est pas être né à Paris, c’est y renaître
L’essence de Las Vegas coulait dans ses veines, elle était la représentation personnifiée d’une ville gouvernée par le vice. Dotée d’un pouvoir démiurgique, elle se vantait d’être l’architecte du chaos à l’origine de la malédiction qui s’était abattue sur la métropole du jeu. Ici, en plein coeur du Nevada, l’amour n’existait pas, tout n’était qu’une partie. Une partie de blackjack, une partie de poker ou une partie de jambes en l’air. Toute son existence reposait sur l’art et la manière de jouer, de tricher et surtout de gagner. Faire chuter les potentiels adversaires pour s’octroyer une place au sommet était l’une des bases de son éducation douteuse. Éclairée par des néons tapageurs, l’artère principale de Vegas était son terrain de jeux privatif où elle exhibait sa grandeur, glorifiait son nom, se perdait dans les limbes d’un Enfer qui lui était destiné. Dans son sillage il avait de la musique, des airs entrainants et extatiques, des perles de champagne, quelques flocons de poudre blanche. Eileen, non contente de s’amuser du malheur des gens, entendait défier la vie, parfaire ses idéaux jusqu’au paroxysme du délire, faire de la folie un état d’esprit, une ligne de conduite. Elle était l’archétype d’une société à la dérive, noyée par l’argent, inondée de privilèges illégitimes et perdue dans les méandres du matérialisme. La princesse qui ne serait jamais déchue de son trône d’ivoire consumait la vie par les deux bouts, imperméable aux malheurs, vaccinée contre la pauvreté, immunisée contre les ravages du temps. Alors, elle évoluait dans son temple clinquant en enchainant les plaisirs sans jamais y trouver une complète satisfaction, parce qu’elle avait tout, sauf l’essentiel. L’invisible, l’immatériel, l’aérien, le condamné, l’interdit, l’épanchement du coeur. On lui avait appris à aimer pour quelques heures et à oublier pour toujours, c’était paradoxal mais ça lui apparaissait normal parce qu’elle était née dans la double capitale mondiale du mariage et du divorce. Réfractaire à toutes formes de stabilité dans ses relations avec le sexe opposé, elle passait auprès de tous pour une nymphomane pathologique atteinte de névroses sérieuses. Un statut qu’elle assumait parfaitement et qui lui conférait une liberté presque infinie. La fidélité n’était qu’une vague notion qui virevoltait dans son esprit embrumé de plaisirs éphémères et libidinaux, l’union qu’une vaste utopie. Par deux fois, elle s’était autorisée à croire aux promesses d’Hollywood. Par deux fois, elle avait récolté du néant, du vide, du rien, c’était comme chercher à attraper de l’air avec ses mains, inutile. Croire que c’est le bon, le retenir, s’épuiser, s’acharner pour au final, s’écorcher vive. Eileen refusait de souffrir, de maltraiter son organe vital pour une passion vouée à l’échec. C’était l’avantage avec les amants d’une nuit, ils n’avaient pas le temps de poignarder son coeur et de s’enfuir avec, parce qu’au matin, elle était déjà loin. Sauf qu’elle était armée contre la trahison, mais pas armée contre lui. Roman était le vestige d’une relation avortée, jamais débutée, condamnée à la platitude éternelle d’une amitié. Pendant quatre ans, ils avaient dansé sur la même rengaine avec lassitude, insatisfaits mais trop fiers pour l’admettre. Leurs lèvres séparées par un pacte invisible, qui désormais n’existait plus. Dans un flou artistique complètement improvisé, où il n’y avait pas la moindre petite règle, ils oscillaient entre haine réciproque et passion dévorante, entre confidences et invectives tranchantes. C’était tout ou rien. Surtout rien. Parce qu’elle se raccrochait naïvement aux souvenirs de cette amitié qui n’était plus et ne serait plus, l’espoir avait foutu le camp au milieu de la mer des Caraïbes. Les morceaux ne recolleraient plus pour former un tout, ni dans cette vie, ni dans la suivante. Elle en avait conscience maintenant, mais pas lui. Roman ne renonçait jamais, il était incapable de faire preuve d’abnégation et pourtant, elle voulait le confronter à la réalité. Il devait visualiser l’étendue des dégâts pour comprendre qu’ils étaient toxiques l’un pour l’autre, que tout était déjà mort et enterré. Terminé. « J’ai seulement appris à tourner la page. » répliquait t-elle sèchement en refusant d’admettre clairement qu’elle avait tout fait pour rendre son absence supportable dans les bras d’autres hommes. Eileen avait fait le deuil de cette amitié à sa manière, aux quatre coins du pays, persuadée que lui s’en fichait. Pourtant, ses reproches ressemblaient davantage à de la jalousie maladive qu’à du véritable dégout. Si elle n’avait pas perdu de temps, lui à l’inverse l’avait laissé filer pendant quatre années. Eileen et Roman manquaient cruellement de synchronisation, quant elle l’aimait, il ne l’aimait pas. Quant il était jaloux, elle exultait. « J’ignorais qu’il y avait des sujets tabous entre nous. Tu as décidé d’instaurer de nouvelles règles pour sauver ce qu’on avait ? » Poursuivait t-elle en sentant les flammes de la colère monter en elle, bouillonnante, prête à imploser, elle déversait son venin dans l’objectif cruel de lui faire mal. De lui rendre, quatre ans après, la véritable monnaie de sa pièce. « On ne doit plus parler de sexe, mais tu as le droit de posséder une vidéothèque de ma personne. On est supposés être amis, mais autant s’ignorer royalement pendant des semaines, ça prend moins de temps. Du temps que je pourrais utiliser comme bon me semble, pour me remplir par exemple. Pendant que toi, tu iras te vider auprès de ton fan-club de demi-mondaines écervelées. »Ses yeux comme deux lances-flammes pointés vers les siens, elle s’allongeait sur le lit vide. Regard lubrique tendu vers le plafond immaculé, elle applaudissait le comportement égotique de Roman en caressant sa peau nue. « Je ne pensais pas qu’on trouverait un terrain d’entente aussi facilement. »murmurait t-elle dans un ricanement aux sonorités irréelles. Eileen paraissait possédée, comme si elle était devenue folle, incapable d’affronter la situation autrement qu’en enchainant les provocations les plus concupiscentes qui soient. Elle lui offrait une ultime fois, le spectacle de son corps, de ses mèches dorés qui dansaient sur ses épaules dénudées, de sa lingerie affriolante en dentelle noire, de ses soupirements d’extase prêts à s’écraser contre les murs. Non, elle n’en avait pas terminé avec ses conneries. Elle voulait le pousser dans ses retranchements les plus lointains, parce qu’ils méritaient une fin au moins aussi grandiose que le début. Elle espérait le rendre fou, qu’il l’a déteste pour toujours et à jamais, à partir de cette nuit. « Ta présence me manque. » soufflait t-elle imperceptiblement, en s’apercevant des dommages irréparables qu’elle était en train de causer. Roman lui était indispensable, essentiel et primordial mais quelque chose, elle ne parvenait pas à savoir quoi, s’était brisé. Ou était apparu. Et ça changeait toute l’équation, toute la donne, tous les enjeux. Roman n’était plus son Roman. Jamais, il ne se serait permis de lui balancer toutes ces vulgarités au visage, par respect au moins. Jamais, il ne l’aurait volontairement blessé pour prouver sa suprématie. D’amis, ils étaient devenus ennemis et luttaient à présent pour déterminer qui était le plus fort. « Parlons-en de ce qui te plaisait chez moi. Tu fais bien te conjuguer au passé. » proposait t-elle meurtrie dans son égo, elle avait mal. Elle savait qu’elle était en train de le perdre mais, elle ne pouvait se résoudre à mettre ses principes de coté pour le retenir. La vérité c’était qu’il n’y avait plus rien à sauver et que, pourtant, elle se savait intimement lié à lui, pour toujours. C’était un gâchis monumental, colossal, et elle le regretterait éternellement. Les paroles de Roman n’étaient plus qu’un simple fond sonore qu’elle n’écoutait plus, dans une ultime minute de conscience, elle s’apprêtait à rebrousser chemin, s’excuser, consumer sa fierté plutôt que leur duo. Croire en la possibilité d’un nouveau départ et stopper définitivement ce jeu sordide qui ne conduisait qu’à une destruction réciproque. Alors, elle se redressait, s’approchait de lui avec un lueur de désespoir au fond du regard, elle l’implorait de ne pas l’abandonner là. Pas maintenant, pas comme ça. Il lui avait fait la promesse, de ne jamais agir comme ces types qui lui avaient fait du mal, il avait juré d’être présent pour toujours à ses cotés. Sauf qu’il dévoilait son véritable visage, celui d’un homme impulsif, définitivement incapable de gérer le flot de ses sentiments. Il refusait d’aimer par peur de devenir faible, elle refusait de croire en la possibilité d’une histoire de peur de ne pas s’en remettre cette fois-ci. « Roman. » murmurait t-elle comme un appel à l’aide alors qu’il s’installait à ses cotés, refusant de lui offrir l’ultime baiser qui signerait leur fin, refermerait le livre de leur histoire. Elle cherchait les mots, en vain, sans parvenir à les trouver. Rien ne semblait suffisamment poignant, fort, puissant, et sincère pour rattraper la situation. « Tu avais promis de ne pas me laisser. » articulait t-elle en se redressant d’un bond, et en ouvrant le tiroir de la table de chevet. A l’intérieur, parfaitement rangé dans son écrin doré, un revolver flambant neuf gravé des initiales de Roman. La crosse rutilante rayonnait sous la lumière du lustre, et littéralement fascinée par sa trouvaille, elle décrocha un rire méphistophélique. Il en avait marre de ses agissements, marre de supporter cette gamine qui faisait l’apologie de la folie en permanence. La vie du grand Roman Da Russo serait tellement plus belle, limpide et simple sans la présence dérangeante d’Eileen dedans. Il pourrait voguer de conquêtes en conquêtes, faire fructifier son précieux magazine avec l’aide indispensable de son acolyte débile, dépenser ses milliards en chaussures italiennes sans se préoccuper des dérives permanentes de l’héritière Rosenbach. Sauf qu’il avait dit la phrase de trop, celle qui compromettait tout, qui n’offrait pas de retour en arrière. Qui signait le début de la guerre. « C’est tellement facile de faire le procès des autres, de m’attaquer exactement là où ça fait mal. Mais tu sais quoi Roman, sur le banc des accusés tu as tout autant ta place que moi. Depuis qu’on se connait tu te voiles la face, tout le temps, constamment. Tu te trouves des prétextes pour éviter les problèmes. C’est tout toi, ça, la fuite. D’abord trop jeune, ensuite trop pute, maintenant c’est parce que j’agis mal. C’est quoi ton putain de problème Roman ? » Hurlait t-elle en chargeant le revolver et le pointant sur lui, entre ses deux yeux, bientôt animés par la peur. Parce qu’elle était capable de tout, et donc de tirer. « Pourquoi tu m’ignores depuis des semaines pour ensuite me faire la morale sur mon comportement ? Depuis quand Monsieur est offusqué par les crétins que je me tape ? T’es devenu jaloux dans la nuit ? Tu as décrété que je t’appartenais parce que tu as une foutue bague dans ta poche ? » Elle le bombardait de questions, haussant toujours plus la voix, elle aurait pu le tuer. Il suffisait que son doigt dérape et tout prendrait fin. « Réveille toi mon grand, on est pas mariés, c’était des conneries tout ça. Rien de plus qu’un jeu pour passer le temps. Les promesses ça fait bien longtemps qu’on les tient plus. Tu as qu’à continuer à te soucier de tes petits tiroirs et de tes grands secrets. Le coup du mec mystérieux ça marche toujours. Et sincèrement, j’espère que tu regretteras. » concluait t-elle, en pointant l’arme sur le cadre posé sur la table de nuit. Eileen et Roman avant, lorsque tout allait bien, au détour d’une soirée, immortalisés sur un cliché. C’était le passé. Envolé, disparu, condamné. Alors, elle appuyait sur la détente en espérant que la balle vienne se loger exactement entre leurs deux visages. Prisonnière du papier. Sauf que, sous le coup de l’émotion, de la hargne, de la colère, et des tremblements, le canon s’était décalé sur la droite. Là où il était. Droit dans son viseur, comme si inconsciemment, elle avait voulu le tuer lui, plutôt qu’eux deux. L’instinct de survie, la fierté, le narcissisme poussé à l’extrême. Le temps était soudainement suspendu. Elle entendait un cri de douleur lui percer les tympans, la panique glisser dans ses veines, des injures lancées comme des poignards, et la scène se parsemer de rouge. Paralysée, incapable de faire le moindre mouvement, elle était en état de choc, avait t’elle vraiment fait ça ? L’arme glissait de ses mains et tombait brutalement sur le sol, dans un fracas qui l’a ramenait instantanément au monde réel. Tout s’était passé beaucoup trop vite, elle avait perdu le contrôle de la situation. Ils allaient trop loin, et en étaient les premières victimes. Jeu dangereux, mortel. Le souffle court, complètement affolée par la situation et l’étendue des dégâts, elle se précipitait sur Roman. La balle avait effleuré son épaule avec une violence inouïe, arrachant sa chair, faisant couler son sang. Il en garderait une cicatrice éternelle, l’expression de la folie d’Eileen tatouée sur la peau.
de paris à chez moi, il n'y a qu'un pas
PSEUDO/PRÉNOM : juliette ~ pyramids. ÂGE : vingt-trois ans. SEXE : ici. VILLE : grand est ~ metz. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : . COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : ici. FRÉQUENCE DE CONNEXION : ici. UN DERNIER MOT ? ici. - Code:
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[color=#D04040]● [/color][b]cara delevingne[/b] aka [i]eileen rosenbach[/i]. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 10:58 | |
| La Eileen oh ouiiiiiiiiiii
Et je retourne à ma fiche haha |
| | | Invité Invité | | | | Jaesun Chesnais l'elixir de nina ricci JE RESSEMBLE À : jeon jeongguk CRÉDITS : sv. (avatar) jecn (gifs signature) anaelle (code signature) | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 11:38 | |
| bienvenue ici |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 11:59 | |
| merci |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 13:54 | |
| Le retour d'Eileen |
| | | Invité Invité | | | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 19:25 | |
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 19:48 | |
| Bienvenue à toi :) Cara Delevingne : une valeur sûre |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 21:11 | |
| cara mon amour bienvenue avec ce perso qui à l'air amazing et puis ce nom si tu as besoin de quoi que ce soit, le staff est toujours dans le coin jon+cara |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 4/12/2016, 21:50 | |
| Bienvenue parmi nous jeune demoiselle ! Je suis absolument sous le charme de ton écriture, tu as une plume magnifique ! :O
Bonne continuation pour ta fiche, j'espère te croiser en RP à l'occasion ! ♥
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| | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 5/12/2016, 10:20 | |
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| | | Théoxane Fournier eau de toilette JE RESSEMBLE À : esti ginzburg, la magnificence. CRÉDITS : ecstatic ruby (avatar) + moi (signature). | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 5/12/2016, 13:38 | |
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| | | Emma Lecomte eau de toilette JE RESSEMBLE À : magda zalejksa. CRÉDITS : hedgekey (ava), tumblr (gif), quiet riot (sign), alcaline (icon). PSEUDO : flingueur. (mais on m'appelle lily dans le stème-sy) | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 10/12/2016, 17:35 | |
| caraaaaa
bienvenue (oe j'suis à la bourre). |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 11/12/2016, 00:03 | |
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| | | Lana Verdier j'adore de dior CRÉDITS : (ava) balaclava. (sign) anaëlle. PSEUDO : FREAKSHOW (laurine). | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). 11/12/2016, 16:24 | |
| Il est temps de terminer ta fiche
eh ben alors... où es-tu passé(e) ? ça fait maintenant une semaine que tu as commencé ta fiche, mais nous n'avons plus de nouvelles de toi... comment ça se fait ? ne nous dis pas que tu t'es noyé(e) dans la seine ! ici, le staff est rempli de maîtres nageurs accomplis et encore plus sexy qu'adriana karembeu ! autrement dit, tu n'as aucune excuse, on te sauvera coûte que coûte ! à partir d'aujourd'hui, tu ne disposes donc plus que de quatre jours pour nous demander un délai, sans quoi ton compte se verra supprimé. nous, on n'a pas envie de te laisser partir ! alors reviens-nous, tu nous manques déjà. |
| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). | |
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| | | | every single one of us the devil inside ~ (eileen rosenbach). | |
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