NOM : aubert, comme sa famille. un nom qui n'a rien de noble, d'excentrique, ou de prétentieux. un nom qu'il est fier de porter, et de hisser parmi les sommets parisiens. PRÉNOM : clément. un prénom qu'il n'affectionne pas particulièrement, mais contre lequel il ne peste pas non plus. SURNOM : clem. ça n'a rien d'original, rien de fantasque, rien de génial. c'est d'une banalité affligeante. ÂGE : trente-quatre ans. va avoir trente-cinq le jour de noël, mais il préfère s'arrêter de compter avant d'avoir envie de pleurer. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : paris, le vingt-cinq décembre 1981. ORIGINES : danoises, du côté de ses grands-parents maternels. mais il n'a gardé aucun héritage de ses origines nordiques. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. les femmes sont son pêché mignon, et l'ont toujours été. il a un faible pour les brunes, cependant. STATUT CIVIL : marié depuis quatre ans, mais ça ne l'a pas calmé pour autant. il profite de la vie comme s'il avait toujours seize ans, et ça lui convient parfaitement. ÉTUDES/MÉTIER : il a bien tenté de passer son baccalauréat, mais sans succès. clément n'a jamais été un cérébral ; lui, ses études se sont faites sur le terrain. devenu footballeur professionnel à dix-huit ans, il n'a jamais plus eu besoin de se poser de questions. PASSION(S) : son fils, qu'il adore mais ne voit pas suffisamment grandir. le football, et l'équipe du psg. les jolies filles, auxquelles il ne résiste jamais très longtemps. les alcools forts, qu'il absorbe souvent en trop grande quantité. la boxe, qu'il pratique trois ou quatre fois par semaine. le tir au pistolet, son autre passe-temps lorsqu'il se tient éloigné des terrains de football. GROUPE : eden de cacharel. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : pv de l'équipe du psg.

CARACTÈRE : plus difficile à cerner qu'on peut l'imaginer dans un premier temps : clément est très changeant. lunatique ? pas vraiment ; en réalité, il se décrit plutôt comme étant quelqu'un d'extrême, dans tous les cas de figure possibles et imaginables. prétentieux, il sait qu'il a réussi dans la vie et aime qu'on le lui rappelle. par ailleurs, il n'hésite pas à étaler sa réussite financière à la vue de tous, et ne se refuse rien - à commencer par des voitures de luxe ayant un moteur qui fait beaucoup de bruit. TICS ET TOCS : il passe voir son fils tous les soirs avant d'aller se coucher, et le regarde dormir pendant une quinzaine de secondes. c'est le seul moment où il sait qu'il n'est pas observé, pas jugé, pas épié. il sort en boîte de nuit minimum une fois par semaine. grand fan de série, il peut passer une après-midi à lézarder sur le canapé devant friends. les jours de match, il porte toujours un bracelet bleu que son fils lui a offert.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? le sacré cœur. il n'est pas particulièrement croyant, mais il adore ce lieu, où il va parfois se poser pour réfléchir. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? l'activité et l'agitation parisienne ; clément ne pourrait plus s'en passer, et angoisse à l'idée d'aller passer quelques jours au milieu de nulle part. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? l'attention des média. c'est bien simple, il est observé sans arrêt. sa vie professionnelle est scrutée, et sa vie personnelle épiée - il recourt donc souvent à des stratagèmes pour éviter d'être repéré. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : agitée. bruyante. hétéroclite.

25 décembre 1981 - il est né, le divin enfant.
Ses grands yeux clairs ont immédiatement fait fondre ses parents. Et son sourire hésitant a illuminé la pièce. Clément Aubert venait de charmer sa famille, mais aussi l'ensemble de l'équipe médicale. A l'époque, personne ne se doutait de la destinée exceptionnelle de cet enfant venu d'un milieu modeste. Sa mère l'avait embrassé sur le front, et l'avait serré délicatement contre son corps épuisé. Deux de ses doigts avaient glissé le long de sa petite joue pâle, et l'enfant nouvellement né avait fermé les paupières. Il avait la vie devant lui.

25 décembre 1991 - joyeux anniversaire, mon chéri.
Elle l'avait couvé du regard, et Clément avait aperçu une larme au coin de l’œil de sa mère. Il n'a jamais été en mesure d'expliquer cette touche lacrymale : était-ce de la joie ? était-ce de la peine ? était-ce une simple manifestation d'une autre émotion ? Elle avait tendu une main fragile vers son fils, que ce dernier avait saisi machinalement. Il n'avait pas eu conscience du soulagement que sa mère avait pu ressentir. Il n'avait pas compris que les bienfaits de ce geste étaient bien plus puissants que les mots. Elle s'était approchée de lui, avait entouré son cou de ses bras, et embrassé le sommet de son crâne - comme elle l'avait fait dix ans plus tôt.

25 décembre 2001 - tu m'offres quoi pour mon anniversaire, bébé ?
Vingt ans : le bel âge. Clément l'avait attendu, l'avait imaginé, et l'avait dignement fêté. Pour la première fois de sa vie, après le traditionnel gâteau d'anniversaire qu'il partageait avec sa famille, Clément s'était levé et préparé pour se rendre à une soirée dans un club particulièrement huppé de la capitale. Sa soirée. Organisée par ses amis du PSG.
Il avait bu. Beaucoup. Fumé. Énormément. La vie de Clément avait radicalement changé depuis que son statut de footballeur avait évolué. L'espoir était devenu un maillon sur lequel il fallait compter. L'espoir était en passe de devenir l'un des meilleurs joueurs de France. L'espoir commençait à être observé par les professionnels, mais aussi par les paparazzis ; il faut dire que l'espoir était loin d'avoir une vie rangée. L'espoir, bien sûr, c'est Clément Aubert. L'insolent, l'intrépide, le sournois Clément Aubert.
Ce soir là, il a baisé dans les toilettes d'une boîte de nuit. Une fille jolie, sans cervelle, avec des jambes interminables et une poitrine dans lequel il aurait pu se perdre. Clément ne l'a jamais recroisée.

25 décembre 2011 - papa, tu restes avec moi ce soir ?
Les petites mains de Bastian s'agrippèrent avec fermeté autour de la jambe de son père. Ce dernier abandonna aussitôt ce qu'il était en train de faire, et se pencha vers ce petit être innocent. Clément ouvrit grand ses bras, et accueillit avec bonheur son fils, qu'il souleva aussitôt. Il déposa un baiser sur sa joue, et le souleva encore plus haut. Il le fit sauter en l'air à plusieurs reprises, riant aux éclats avec lui. Très vite, la mère de Bastian fit irruption dans cette scène. Elle sourit avec tendresse, et se rapprocha de son mari et de son fils. Pour une fois, Clément l'autorisa à partager ce moment avec eux. Il laissa sa femme l'embrasser avec douceur, et plaça une main dans le creux de ses reins.
Bastian était né depuis presque cinq ans maintenant. Il avait été le fruit d'une union que Clément avait imaginé éphémère ; mais lorsque le mannequin allemand qu'il avait fréquenté à quelques reprises lui avait appris qu'il allait être père, il s'était décidé à assumer son rôle. Il avait officialisé les choses avec sa jolie blonde, sans être pour autant capable de l'aimer complètement. Il avait été le plus présent possible, et avait voulu être le meilleur des pères pour son fils.
Il l'avait couché, et avait repris ses mauvaises habitudes. Sa femme l'avait regardé faire, attendrie. Puis elle avait déchanté en le voyant se préparer pour sa soirée. Comme toujours, le footballeur ne dérogeait pas ses vieilles habitudes. Sa condition de père ne l'empêcherait pas de s'amuser. Et les yeux tristes de sa femme seraient oubliés après quelques verres.

25 décembre 2016 - et vous, où serez-vous lorsque je fêterai mes trente-cinq ans ?
L'heure n'est pas encore à la fête, mais Clément élabore déjà ses plans. Pour cette soirée spéciale, il sera en compagnie de ses coéquipiers dans un club parisien select. Sa femme ? Elle sera occupée ailleurs. Elle n'aime pas partager ce genre de moment avec son mari. Pourquoi ? Parce qu'elle le sait volage et peu scrupuleux. Parce qu'elle sait que sa présence n'empêchera pas l'inévitable. Parce qu'elle souffre dès qu'elle le surprend en charmante compagnie. Elle n'a jamais eu la preuve de ses infidélités, mais elle le sait. Elle le sent. Clément n'est pas clair, mais elle lui reconnaît au moins une qualité : il est un père formidable, même s'il est persuadé du contraire.

PSEUDO/PRÉNOM : a. comme dans pretty little liars, mais le côté bitchy en moins    ÂGE : vingt-quatre ans, mais plus pour très longtemps    SEXE : femme. VILLE : nancy. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : euh... parce que j'avais envie, parce que le pv me tentait bien ?    COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : bazzart. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 3x par semaine. UN DERNIER MOT ? soyez gentil(le)s avec moi, j'ai peur de me perdre   .

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !