|
|
| (Florian) purple lamborghini. | |
| Auteur | Message |
---|
Invité Invité | Sujet: (Florian) purple lamborghini. 14/9/2016, 01:22 | |
|
Florian Juliard featuring Harvey Newton-Haydon NOM : Juliard. Nom de l’alcoolique notoire du patelin d’où il vient, là-bas, en province. Et tu peux le trouver sur des putains de cartes panini. PRÉNOM : Florian. Ses parents ne font pas dans l’originalité, y’en avait cinq des comme lui à l’école. SURNOM : Flo, y’a pas à chercher bien loin. ÂGE : Vingt-sept ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Il est né là-bas dans le sud-ouest, à Bruges. En plein été, un huit août. Un mois avant, parce qu’il a toujours fait chier ses parents, depuis le début. ORIGINES : Le père Juliard, c’est un bon français. Mais ça a jasé quand il a épousé cette serbe. Parait qu’il est allé la chercher dans son pays. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel et même s’il a tendance à flirter avec tout le monde, il n’est pas vraiment de l’autre bord. STATUT CIVIL : Célibataire. ÉTUDES/MÉTIER : Il est payé des millions pour courir derrière un putain de ballon. C’est cet attaquant du PSG au maillot portant le numéro 9. Ce monstre là. PASSION(S) : Bien sûr, y’a le foot. Mais y’a aussi la mécanique, les vieilles bagnoles, les belles Harley, vibrant entre ses cuisses. Puis y’a la boxe, défouloir bienvenu pour un type rempli de violence et de haine, meilleure thérapie au monde. Y’a le tatouage, oeuvres d’art ambulantes. Y’a les bestiaux à quatre pattes à qui il offre énormément de temps et d’argent. Y’a les bestiaux à deux pattes abandonnés par leurs parents. Y’a ces émissions télé sur les pays du monde. Y’a cette fascination pour les musées. Pour les châteaux. Pour toutes ces choses qu’il n’a jamais eu enfant. GROUPE : Eden de Cacharel. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : Poste vacant.
CARACTÈRE : Gamin perdu qui a grandi tout seul, une trop grande bouche, une tête brûlée. Ça bouillonne tellement là-haut, dans sa boite crânienne, que ça sort tout seul, un flot de paroles incessants. Y’a pas de censure avec Florian, pas de bienséance, d’étiquette. La brutalité de la vie, la franchise d’un enfant. C’est parfois violent, parfois touchant. Il est de ceux qui réfléchissent après. De ceux qui se jettent tête la première. Ce type tatoué pourtant si effrayant, aux allures de mannequin underground, pas si méchant. Un franc parlé horripilant, des sourires aguicheurs, mais un coeur tendre. Il est la tornade de l’équipe, l’impulsif, le bagarreur, la liberté. Il est celui qui grogne contre l’entraineur. Qui frappe les journalistes. Qui insulte trop facilement. Pas d’hypocrisie, c’est tout ou rien chez lui. Il a compris qu’il fascinait le monde avec sa dégaine de vilain, il a compris que ça rapportait de jouer le vilain. Pas de grandes études sur son curriculum vitae, pas de grandes écoles, mais un cerveau qui tourne à une allure fulgurante, gamin débrouillard, adulte roublard. Empire à la gloire de Juliard, minettes en chaleur, types en pâmoison, icône de la nouvelle génération perdue. Preuve qu’un pauvre gamin de la campagne peut réussir, que y’a pas besoin de connaitre les bonnes personnes, que les rêves sont faits pour être réalisé. Il est ce type qui a réussi on ne sait comment, ce type qui a atterri là où il n’aurait jamais du être. Ce type qui a forcé le destin, les bras pleins de tatouages, la clope au bec, un ballon entre les pieds. Une force de la nature, un éternel adolescent. Cet être parfois trop brutale, ne sachant mesurer la portée de ses actes, de ses coups. Des mots souvent mal placés cachant un malaise grandissant. Une façade d’athlète, une âme torturée. Trop de non-dits qui flottent autour de lui, trop de secrets, de mystères, de silences. Y’a cette impossibilité de se confier, cette peur d’être rejeté, d’être abandonné, encore.
TICS ET TOCS : Une hygiène de vie merdique, il n’est pas l’exemple parfait du grand sportif. Cigarette sur cigarette, alimentation douteuse. Florian, il emmerde tous ces connards qui essaient de lui dicter sa conduite. Parce que temps qu’il peut encore jouer, le reste il s’en branle. Il crèvera peut-être trop jeune mais il sera une légende. - Mais Florian, on le verra jamais boire de l’alcool. Parce que c’est un truc qu’il redoute, être comme son père. Parait que c’est génétique l’alcoolisme. Il veut pas devenir comme lui. Il veut pas être une loque. - On lui demande de se taire durant les interview et d’en accepter le moins possible. Parce que ça finit toujours mal. Parce qu’il ne supporte pas les questions intrusives. - Il mange un avocat tous les matins, habitude matinale héritée d’une ex qui se peut vanter d’avoir tenté de sauver son hygiène de vie et d’avoir presque réussi. - Y’a un vieux chat qui traine dans son loft de luxe. Un truc immonde, un oeil en moins, une patte atrophiée, la queue coupée. Il l’a trouvé abandonné dans une boite en carton. Florian, il joue les durs, mais ce jour-là, il a chialé comme une gamine et depuis, Octopus rode. - C'est probablement le moins sympathique de l'équipe aux premiers abords. C'est le ronchon, c'est celui qui a la réputation de tête brûlée, du mec chiant. Mais il fait juste genre. - Coccards récurrents, lèvres abîmées, ecchymoses effrayantes, faut pas s'inquiéter, amateur de boxe. -
j'envoie des bons baisers de paris QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Probablement le stade. C'est chez lui. C'est le seul endroit où il se sent entier. Vibrer. L'amour de sa vie. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Être loin de son patelin. Loin de son père. L'effervescence, le mouvement. La vie. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Le mauvais temps, le métro, le manque de spontanéité. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Vibrante, rythmée, étouffante, . |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 14/9/2016, 01:22 | |
|
être parisien, ce n’est pas être né à Paris, c’est y renaître (thirteen years old) Sa mère, la serbe. Sa mère, la pute. Ouais, sa mère, cette connasse qui s'est barré avec un autre, du jour au lendemain. Qui a abandonné mari et gamin. Haut comme trois pommes qu'il était le Florian. Pas bien grand le petit maigrichon. Dans le village, on savait, on se doutait. On l'avait dit quand le Juliard a ramené cette brune plantureuse des pays de l'est, que ça tiendrait pas, qu'elle était là pour l'argent. Pauvre gamin qu'on répète. Pauvre gamin quand on le voit passer tout seul pour aller à l'école. Quand le père est convoqué mais trop soul pour déplacer sa carcasse abîmée. Quand les flics doivent le ramener parce qu'il traine à pas d'heure dans la rue. Quand l'assistante sociale pointe son nez enfariné et l'embarque dans un foyer pour quelques temps. Quand le gamin hurle et frappe avec rage. Mais on fait pas grand chose pour lui. On dit à ses propres enfants de ne pas le fréquenter. On le regarde d'un mauvais oeil quand il enfile ses crampons usés pour aller sur le terrain. On râle parce qu'il paie pas les séances de foot, parait que c'est gratuit quand on fait parti du système, pseudo thérapie pour gamin perdu. C'est un moins que rien. À peine neuf de moyenne au collège. Comportement violent. Verve acerbe. Impossibilité d'en tirer quoique ce soit. Les professeurs ont abandonné. Il n'a pas d'avenir. Probablement voué à devenir alcoolique comme son vieux - parait qu'on échappe pas à ça. Florian, il est tout seul. Gamin abandonné. Y'a bien que l'entraineur qui croit en lui, qui voit en lui autre chose que le petit merdeux. Qui lui répète sans cesse qu'il a du potentiel, qu'il ne faut pas qu'il gâche sa vie avec des conneries, qu'il doit y croire, y mettre toute cette rage qu'il a. Qu'il peut réussir, rabattre le caquet à tous ces enculés. Florian, il n'a pas grand chose mais il a ses crampons usés, son maillot, sa haine et son entraineur.
(twenty years old) Que de la gueule, qu'il hurle. Que des connards. Il envoie valser l'équipement de rage, s'attirant les foudres de son nouvel entraineur. Dernière recrue du prestigieux PSG. Y'en a qui se demandent encore d'où il sort l'énergumène. Il n'est pas comme les autres. Il vient du Sud, d'un trou paumé, d'une équipe de merde, probablement recruté par hasard. On le fait pas jouer sur le terrain, pas encore. Y'a encore des petites choses à corriger. Sa trop grande propension à frapper les autres. Son jeu beaucoup trop violent. Son incapacité à se calmer. Sa collection de cartons. Mais parait que c'est un monstre à son poste. Qu'il est prometteur. Il bouillonne tellement qu'il en devient effrayant. « Juliard, tu vas me suivre. » Rictus acerbe, yeux meurtriers, il emboite pourtant le pas du coach, presque docilement. Il ne comprend toujours pas comment il s'est retrouvé ici, à fouler le gazon verdoyant sa clope au bec. Jouer pour des grands, devenir une icone. Y'a tellement d'opportunités, de rêves. Un bras d'honneur à tous ces connards qui n'ont jamais cru en lui. Loin de son vieux alcoolique, de ce village qui le rongeait, le tuait peu à peu. À peine le temps d'attraper son sac qu'ils montent dans un taxi pour une destination inconnue. Un vieux bâtiment, aucune parole échangée, c'est probablement inutile. Derrière la porte, une salle d'entrainement, des sacs, un ring, des mecs en sueur. Un mouvement de tête vers un coin de la pièce, il ne comprend pas vraiment ce qu'il fout ici. « T’as un problème gamin. Y’a trop de haine et de violence là-dedans. » Un doigt qui s'enfonce entre ses côtes, lui arrache un froncement de sourcil. Une claque sur sa joue mal rasée, un mouvement de recul, un grognement. Il ouvre la bouche pour cracher mais se fait couper. « Tu peux pas jouer comme ça. T’es une espèce de bombe ambulante, tu peux pas blesser les autres. Faut que tu te débarrasses de tout ça. »
(twenty-two years old) « Qu’est-ce que t’as à me fixer abruti ? » Rictus diabolique, haussement d’épaule désabusé. Les néons l’aveuglent, la musique l’assourdit, il fait tournoyer son verre de coca, pensif. Ils sont proches l’un de l’autre, peut-être trop, quelques centimètres. Il la déteste cette fille. Elle le rebute, l’exaspère. De ses lèvres rouges et pleines à ses talons aiguilles vertigineux. De ses boucles brunes à sa peau basanée. « J’sais pas. Je cherche ta dignité. Tu l’as perdu en même temps que ta culotte ? » Une robe courte, bien trop courte. Un corps aux formes généreuses. Une langue acérée. Un esprit futé. Il sourit amusé, elle le fusille de son regard sombre rehaussé de maquillage, fait la moue, comme une enfant vexée. Elle bombe le torse et ses yeux à lui ne peuvent s’empêcher de se poser sur la poitrine généreuse, les courbes graciles d’un corps probablement affriolant. Elle est bonne et il la déteste. « Quoi ? T’es jaloux Juliard ? » Un murmure à son oreille, un souffle chaud contre sa peau, un sourire aguicheur, un décolleté troublant. Un jeu probablement trop dangereux. « J'ai pas envie de découvrir une mycose sur ma queue. » Elle roule des yeux, se détourne, le jugeant probablement inintéressant. Il sourit, ses yeux se perdant à nouveau sur son corps, sur ses fesses rondes, hypnotisés par sa démarche chaloupée, enivrante. « Mec, tu devrais te la taper, ça devient urgent là. » Deux types accoudés à un bar hochant stupidement de la tête, incapable de quitter du regard la jolie succube. Il avale une goulée de son coca, soupirant de désespoir. « J’crois que j’suis pas son genre. » Parce que même avec son compte en banque bien garni, sa tête sur une campagne de sous-vêtement, sur des posters, sur des cartes panini, elle continue de l’ignorer et de se taper l’autre abruti.
(twenty-five years old) « T’es venu. » C’est pas une question, une affirmation. Ouais, il est venu. Il est descendu dans le coin suite au message de la veille. Papa est mourant, je pense qu’il aimerait te voir. Un sourire un peu tremblant, presque timide, surprenant de sa part. Il dépose une bise sur sa joue blanche. Un bail qu’il ne l’a pas vu. Elle n’est plus la gamine chiante accompagnant son paternel aux entrainements. Il l’aurait à peine reconnu. Elle le prend au dépourvu en l’enlaçant avec force, s’accrochant presque désespérément à lui. Il lui rend son étreinte, soudainement nostalgique. « T’aurais du me le dire plus tôt. » Qu’il a un cancer. Qu’il est en train de crever. Parce que les meilleurs partent toujours les premiers. Parce qu’il échangerait la vie de son propre père contre le sien. « Il voulait pas. Mais je pense que c’est bien que tu sois là. » Elle s’éloigne, le trainant à sa suite à travers les couloirs de l’hôpital. C’est beau, c’est neuf, mais la mort rôde, silencieuse. Elle pousse la porte et ses poils s’hérissent. Il n’a plus rien du type impressionnant. De l’entraineur effrayant. De ce type qui croyait en lui. Juste une ombre, une infime partie de ce qu’il a pu être. « Tiens, le morveux ! » Flo, il esquisse un sourire vraiment tremblant, pour un peu, il chialerait comme un gosse. Elle le pousse à avancer, lui montre d’un geste discret un fauteuil. Il s’y affale avec toute la grâce qui le caractérise, aucune. Il est tout blanc sur son lit d’hôpital. Tout maigre. Des tuyaux le reliant à des machines effrayantes. Peinture morbide. Souvenir qui restera probablement gravé sur sa rétine. « T’as une sale tronche toi. » Qu’il balance, Florian. L’autre ricane puis s’étouffe. Elle s’approche de lui avec un verre d’eau, s’occupe avec tendresse de son paternel. Est-ce qu’il ferait la même chose si c’était son alcoolique de père sur ce lit ? Probablement que non. « Il était bien merdique ton match d’avant-hier. T’as deux pieds gauche ou quoi ? C’est pas parce que je vais crever qu’il faut que t’oublies ce que je t’ai appris ! » Il sourit à la remarque, elle se raidit et s’offusque. Il était vraiment merdique son match. « Dis pas ça papa. » Il hausse les épaules. « Eh lapin, je vais mourir, c’est sûr. »
(twenty-six years old) « J’vais t’attendre là. » Il est pas rassuré le grand tatoué. Non, vraiment pas. Il s’arrête devant la double porte des urgences, grimace sur le visage, air anxieux. Il aime pas les hôpitaux. L’odeur. Les blouses blanches. Les sourires censés rassurés. Les souvenirs. Trop de sentiments qui affluent. « Tu vas pas me laisser me vider de mon sang tout seul, sur le parking. » Un regard ennuyé, peu assuré vers son ami ensanglanté et sa main enroulée dans un tissus imbibé de sang. Rencontre fortuite avec un couteau trop aiguisé. Une inspiration tremblante, les portes s’ouvrent et l’avalent dans son propre enfer. Il fait dix pas. Peut-être vingt. À peine quelques mètres. Il ne compte pas, gorge serrée, poings serrés. Le va-et-viens incessant des blouses. Les pleurs. Les suppliques. Le sang. Les gens qui attendent qu’on daigne s’intéresser à eux. C’est trop. Il tente d’inspirer mais y’a l’air qui se bloque. Il écoute d’une oreille distraite son ami demander un formulaire. Ses poumons brûlent, son coeur s’affole, sa tête tourne. Il va mourir. Il se laisse tomber le long d’un mur quelconque, le tête enfouie entre ses genoux, paniqué. Il n’est pas rentré dans un hôpital depuis la mort de son entraineur. C’est peut-être risible mais ça l’a secoué de le voir là, étendu sur un lit, blanc et inerte. Parce que c’était un élément important de sa vie. Parce que c’était celui qui se rapprochait le plus d’un père. Celui qui l’a sauvé. Il inspire, difficilement. Il sent les larmes couler le long de son visage. Ses mains tremblantes. Son corps secoué de soubresauts incontrôlable. Sa respiration erratique. Il va crever. Puis une main sur son épaule, une voix douce, des mouvements circulaires sur son crâne, des murmures incompréhensibles. Il lève son visage et tombe sur Candice. La jolie Candice. Elle a son éternel sourire sur le visage, accroupie face à lui, lui demandant de se calmer. Ça va aller qu’elle lui balance. Il ferme les yeux et s’accroche à elle, tentant de calquer sa respiration sur la sienne. Il a l’air malin, Florian le rebelle, à pleurer comme un gamin.
(twenty-seven years old) « Et est-ce que le fait d’avoir été abandonné par votre mère à un très jeune âge et d’avoir vécu avec un père alcoolique a influencé vos choix ? » Grincement de dents, il serre les poings. Son oeil tique, ses sourcils se froncent, son regard se fait noir sur le connard qui a osé. On parle pas des parents de Florian. Sujet tabou que les journalistes évitent en général. Parce qu’il est sanguin le type. Parce qu’il a déjà fait perdre des dents à certains. Détruit des appareils photos hors de prix. Des carrières. Il inspire difficilement, ignore la question. Self-control. « Pourquoi vous évitez toujours la question Florian ? Ça fait parti de votre histoire, non ? » Sourire de travers, doigt d’honneur. Va te faire foutre qu’il balance. Il se lève avec violence de son fauteuil et récupère son smartphone, prêt à quitter la pièce et cet idiot de reporter quelconque. Il déteste les interviews. Vraiment. Que son manager aille se faire enculer. Que ce type se fasse écraser par un camion. Qu’ils crèvent tous. « Et si je vous disais qu’on la retrouvé ? Votre mère ? » Il se fige dans ses mouvements, pas sûr d’avoir compris. « Et que vous avez une soeur et un frère ? Qu’elle voudrait vous revoir ? » Y’a ses mains qui tremblent soudainement. Y’a sa mâchoire trop serrée. Y’a son cerveau qui pulse. Son sang qui ne fait qu’un tour. Le dos raide, il se retourne vers l’autre. « J’crois que t’as pas compris un truc connard. J’m’en balance de cette conasse. J’me fous qu’elle se soit reproduit. » Il n’en a rien à battre d’avoir des frères, des soeurs - mensonge. Il ne veut pas la voir. Elle est morte y’a vingt ans maintenant. Il n’a jamais eu besoin d’elle. Jamais. Où était-elle quand son paternel vomissait ses tripes sur le canapé ? Quand il était incapable de signer ses putains d’autorisations de sorties de classe ? Quand il fallait le récupérer chez les flics ? Quand il s’est cassé le poignet ? Quand il s’est fait largué par sa première petite-amie ? Quand il s’est fait viré de cinq lycées différents ? Quand il a été sélectionné au PSG ? Quand son rêve est devenu réalité ? « Tu peux lui dire que je l’emmerde. Qu’elle aille se faire foutre. J’ai pas besoin d’elle. » Non, il n’a pas besoin d’elle. Il est adulte maintenant. Il se débrouille avec ses millions sur son compte. Il n’a pas besoin d’une femme dont il a oublié jusqu’au son de sa voix. Une inconnue.
de paris à chez moi, il n'y a qu'un pas PSEUDO/PRÉNOM : Marion. ÂGE : Je suis vieille putain. SEXE : F. VILLE : C'est même pas une ville. Une église, trois maisons, un proxi. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Ça avait l'air bien dans le coin. COMMENT AS-TU CONNU LBD ? : Sur bazzart, je crois. Ça fait un bout de temps qu'il est dans mes marque-pages. FRÉQUENCE DE CONNEXION : Aléatoire, ça dépend de mes horaires de fou. UN DERNIER MOT ? J'y connais rien en foot, pardonnez-moi. J'essaie de m'instruire avec wikipédia et youtube, je suis du genre à aimer les défis. - Code:
-
[color=#D04040]● [/color][b]Harvey Newton-Haydon[/b] aka [i]Florian Juliard[/i]. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 14/9/2016, 01:30 | |
| Si vous voulez des liens, je suis partante ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 14/9/2016, 11:24 | |
| harvey + flo, je les aime d'amour, voilà un grand bienvenue chez toi mon chat et bonne chance pour ta fichette n'hésite à me nous harceler en cas de besoin, je suis nous sommes là pour toi et puis pour ta fausse connaissance du foot, on s'en fout hein. je pense pas que vous vous amuserez à faire des rps hypra techniques |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 14/9/2016, 12:33 | |
| Troooooop bien un footeux ça va donner droit à un petit lien avec ma Manon, qui est également footballeuse Bienvenue parmi nous avec ces supers choix et bon courage pour la suite de ta présentation |
| | | Sirine Deschamps eau de toilette JE RESSEMBLE À : emma watson. CRÉDITS : viceroy (avatar), moi (signature). | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 14/9/2016, 12:56 | |
| |
| | | Emma Lecomte eau de toilette JE RESSEMBLE À : magda zalejksa. CRÉDITS : hedgekey (ava), tumblr (gif), quiet riot (sign), alcaline (icon). PSEUDO : flingueur. (mais on m'appelle lily dans le stème-sy) | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 14/9/2016, 13:09 | |
| |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 14/9/2016, 21:27 | |
| C'est tout parfait ! Merci ! |
| | | Siam Lambert black opium de ysl CRÉDITS : (ava) valtersen. (sign) uc. PSEUDO : FREAKSHOW (laurine). | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 15/9/2016, 09:46 | |
| c'est toi qui est tout parfait |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 15/9/2016, 20:50 | |
| bon déjà toi je t'aime . harvey + un pv . bienvenue ici et si t'as un soucis, n'hésite pas à contacter le staff . |
| | | Jaesun Chesnais l'elixir de nina ricci JE RESSEMBLE À : jeon jeongguk CRÉDITS : sv. (avatar) jecn (gifs signature) anaelle (code signature) | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 15/9/2016, 21:37 | |
| Oh cool un footeux *.* Bienvenue |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 16/9/2016, 15:40 | |
| quel canon et puis un super pv en plus, tu fais des heureux bienvenue et bonne chance pour la fin de ta fiche |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 20/9/2016, 17:42 | |
| |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 21/9/2016, 13:53 | |
| Il est temps de terminer ta fiche
eh ben alors... où es-tu passé(e) ? ça fait maintenant une semaine que tu as commencé ta fiche, mais nous n'avons plus de nouvelles de toi... comment ça se fait ? ne nous dis pas que tu t'es noyé(e) dans la seine ! ici, le staff est rempli de maîtres nageurs accomplis et encore plus sexy qu'adriana karembeu ! autrement dit, tu n'as aucune excuse, on te sauvera coûte que coûte ! à partir d'aujourd'hui, tu ne disposes donc plus que de quatre jours pour nous demander un délai, sans quoi ton compte se verra supprimé. nous, on n'a pas envie de te laisser partir ! alors reviens-nous, tu nous manques déjà. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 21/9/2016, 23:02 | |
| Me jeter pas dans la Seine ! J'ai presque fini, manque deux/trois trucs. |
| | | Lana Verdier j'adore de dior CRÉDITS : (ava) balaclava. (sign) anaëlle. PSEUDO : FREAKSHOW (laurine). | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 22/9/2016, 00:01 | |
| j'espérais bien ne pas avoir à le faire |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. 25/9/2016, 15:08 | |
| ce pauvre petit flo qui a du se construire tout seul je trouve qu'il s'en sort vachement bien et j'adore la relation qu'il avait avec son entraîneur, c'est beau il est super attachant finalement derrière ses airs de gros durs tout est parfait pour moi, je te valide donc avec plaisir et j'espère que tu t'éclateras bien parmi nous et on t'offre 25 points pour avoir choisi un poste vacant aussi Tu es officiellement validé(e)
bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous ! |
| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: (Florian) purple lamborghini. | |
| |
| | | | (Florian) purple lamborghini. | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|