NOM : Chamberlain. PRÉNOM : Jonas Xavier. SURNOM : Jon, Johnny, Jo, Papa, pour une certaine petite blonde. ÂGE : trentre-cinq ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : un certain huit décembre à Tarnos, près de Bayonne. ORIGINES : il aime se dire qu'il a des origines exotiques, ici et là, mais au final, il sait juste qu'il est français. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel. STATUT CIVIL : divorcé depuis quelques années déjà, il préfère dire célibataire. ÉTUDES/MÉTIER : ébéniste au chômage, il cherche à tout prix à trouver un emploi. PASSION(S) : sa fille, le bois, l'écriture, le sport, la musique. GROUPE : l'élixir de nina ricci. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé.

CARACTÈRE : calme, réfléchi, farceur, drôle, intelligent, possessif, jaloux, papa poule, sportif, sympathique, peu bavard, souriant, positif, enthousiaste, borné, généreux. TICS ET TOCS : 01. il fronce trop souvent les sourcils, ce que sa fille ne manque pas de lui faire remarquer. 02. il est le roi des gaufres aux pépites de chocolat. 03. il a appris à faire des tresses via des vidéos youtube, et il en est très fier. 04. il adore cuisiner, mais n'est pas très doué, sa fille étant bien plus habile en cuisine que lui et pourtant, elle n'a que huit ans. 05. lorsqu'il lui lit des histoires, il a tendance à faire des voix très très exagérées, et au lieu d'endormir Nina, il la fait rire à s'en tenir les côtes. 06. Il adore le sport, il en fait beaucoup, puisqu'il a du temps à tuer. 07. Il a entamé l'écriture d'un roman, il y a de cela des années, mais ne l'a jamais terminé. Ce n'est plus qu'un projet abandonné au fond d'un tiroir. 08. Nina lui a longtemps réclamé un chien. Au lieu de cela, il lui a acheté deux poissons rouges. Elle les a nommé Bob et Bobby. 09. Il adore les enfants, en voulait plusieurs. Sa femme en voulait aussi. Un mensonge, comme le reste. 10. Il pourrait accepter n'importe quel emploi tant il est désespéré. Emménager à Paris est ce qu'il appelle "sa dernière chance". Il craint que sans travail, sa fille lui soit enlevée. Et c'est quelque chose qu'il ne supporterait pas. 11. Il avait deux grands rêves, adolescent. Travailler le bois, et écrire. Il a choisit le premier, l'autre n'est qu'un rêve de gamin.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Il aime chacun des monuments historiques, qu'il prend plaisir à découvrir petit à petit avec Nina. Notre-Dame, le Sacré-Cœur, Mont-Martre. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Pour Jonas, c'est une nouvelle vie qu'il offre à sa fille. Lui, il aurait pu rester dans son petit village, se débrouiller seul. Mais pour elle, il a décidé de tout recommencer. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Le contraste entre la grande ville qu'est Paris et celle toute petite d'où il vient est plus que saisissant. Il a du mal à se faire à l'idée de croiser chaque jour des gens nouveaux, des milliers d'inconnus. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : effrayante, excitante, accueillante.

Il avait le regard rivé sur les papiers de divorce. Entre ses doigts, les feuilles semblaient peser des tonnes. Et elle, elle sirotait son thé, comme tous les matins, comme si elle ne venait pas de ruiner sans un mot cinq ans de mariage. Son cœur était serré, ses lèvres pincées, et il contrôlait à peine les tremblements de sa main. - Alors, c'est officiel. Il leva les yeux vers la femme qui avait partagé son lit. La femme qu'il avait connu. Elle lâcha un hm hm désintéressé, et son sang ne fait qu'un tour. - Putain, mais c'est quoi ton problème ? Il était si calme, d'habitude. Si réfléchi, si posé. Il frappa le bois de la table du plat de la main, les fourmis grimpèrent sous sa peau. Elle leva le regard, sourcils froncés et pupilles et soupira. - Je te l'avais dis. Il frotta sa barbe mal rasée dans l'espoir de contrôler sa colère. Elle le lui avait dit. C'était vrai. Elle ne savait plus où elle en était. Elle n'était plus heureuse. Il serait mieux sans elle. Les mâchoires serrées, il dû détourner le regard pour ne pas commettre d'erreur. Ou pleurer.

A un mètre tout au plus, cachés derrière le mur, deux petits yeux bleus emplis de larmes fixaient les deux adultes. - Papa… Le regard qui se lève, trouvant celui de la petite fille, et son cœur qui se serre au point d'en étouffer.  En une demi-seconde, toute sa colère s'était évanouie. Il se lève, dans une précipitation contrôlée, et s'agenouille près de l'enfant. - Princesse. Il lui sourit, un sourire sincère, celui d'un père à sa fille de quatre ans. Elle a les joues rebondies et cette habitude de baisser la tête lorsqu'elle est triste. Il glisse deux doigts sous son menton, l'obligeant à le regarder. Elle pleure, désormais, et joue nerveusement avec ses doigts. - Tout va bien. Tout va bien. Il la prend dans ses bras. Il attrape le stylo sur la table, et gribouille sur le fin dossier de papier. Sa signature. Dernier regard à cette femme qu'il ne reconnaît pas. Elle ne se battra même pas pour la garde de son enfant.


Ça fait un an. Elle a embarqué les papiers, pris sa valise, et n'est jamais revenue. Ça avait été d'une facilité déconcertante, pour elle. Elle avait donné un dernier baiser à sa fille, qui n'avait pas compris. Et elle avait disparu. Ça fait un an, et Jonas a sans cesse l'impression qu'il va se réveiller d'un mauvais rêve. Qu'elle n'est jamais partie, qu'elle n'a jamais changé. Qu'elle n'a jamais osé abandonner sa propre petite fille. Et lui, oh lui. Lui qui, du jour au lendemain, a dû s'adapter à cette vie imposée. Nina a posé tant de questions. Où est partie Maman. Quand va-t-elle revenir. Jamais, ma princesse. Maman ne reviendra pas. Parce que Maman est une lâche, sacrément égoïste. Et puis, elle a cessé de s'interroger. Ou peut-être qu'elle a simplement arrêté de l'interroger, lui.

Ses mains calleuses, marquées par les années à travailler le bois. Il les fixe, le cul au bord du canapé. C'est comme si toute son expérience avait été écrite sur ses mains. Et dans ces mains vieillies, durcies, blessées, se glisse des petits doigts. Lisses, doux, ronds et chauds. Il lève les yeux vers cette petite chose qu'il a tenu dans ses bras pour la première fois il y a huit ans. Elle le fixe de ses yeux bleus, remplis d'amour, d'inquiétude, d'interrogation. Alors il resserre ses doigts raides sur les siens, et la fait asseoir près de lui. - Ça va, ma princesse. Devant elle, il ne pleurait pas. Il était fort, pour elle. Il sourit, elle sourit, et il posa sa tête sur ses petits genoux frêles, cachés sous un pyjama rose vif. Son préféré. - Tu sais, tu peux pleurer, papa. Les grandes personnes ont le droit de pleurer. Et alors qu'elle caressait ses cheveux, il se dit que ses mains pouvaient guérir tous les maux d'un simple toucher. Et que si les enfants étaient un don du ciel, Nina était son ange gardien.


Elle dormait. Elle était si petite, si fragile. Ses cheveux blonds dans les yeux, ses paupières qui cachaient ses rêves. Il caressa du revers de la main le visage de son petit ange gardien, un sourire triste sur son visage. - Qu'est-ce que je vais faire? Il murmura, pensée prononcée, et la sentence qui tombe. Il se mit à pleurer. Il avait perdu son travail, aujourd'hui. Une phrase, et il n'avait plus rien. On doit mettre la clé sous la porte, je suis désolé. Il n'avait plus rien que cette enfant, cette petite créature de chair et de sang qu'il aimait plus que tout au monde. Et qu'il n'avait pas su protéger. Il avait perdu son travail. Il avait perdu l'argent, la maison, les jeux et le sourire. Il pleurait, agenouillé près du petit lit rose, et elle, elle ouvrit les yeux, et de ses petites mains dodues, sans poser de questions, elle essuya ses larmes.

C'était le dernier recours. Il vendit la maison. Les meubles aussi, presque tous. Le geste ultime pour sauver sa petite famille. Il ne supportait plus la campagne. Cette petite ville dont il connaissait tous les recoins. Ces rues où jamais rien ne restait un secret. Ces gens qui vous saluent, vous connaissent depuis si longtemps qu'ils savent tout de vous. Ils devaient partir. Vers Paris. Paris était une ville chère et immense. Mais Paris était une ville nouvelle, inconnue de ces deux aventuriers à la recherche de quelconque changement. Et puis, il y a Livy. L'ivresse de la foule et l'excitant anonymat. Les rues grises et la pluie. L'appartement un peu petit et les jeux au parc. Et puis, il y a nous, désormais.

PSEUDO/PRÉNOM : captain. (cécile) ÂGE : 20 ans. SEXE : girl power. VILLE : Limoges. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : ON M'A FORCÉE IMPRESSIONS : ça va, ça passe. FRÉQUENCE DE CONNEXION : sept sur sept, même quand je devrais pas, je suis là, et même quand vous croyez que je suis pas là, je suis là . UN DERNIER MOT ? bouya .

eh ben alors... où es-tu passé(e) ? ça fait maintenant une semaine que tu as commencé ta fiche, mais nous n'avons plus de nouvelles de toi... comment ça se fait ? ne nous dis pas que tu t'es noyé(e) dans la seine ! ici, le staff est rempli de maîtres nageurs accomplis et encore plus sexy qu'adriana karembeu ! autrement dit, tu n'as aucune excuse, on te sauvera coûte que coûte ! à partir d'aujourd'hui, tu ne disposes donc plus que de quatre jours pour nous demander un délai, sans quoi ton compte se verra supprimé. nous, on n'a pas envie de te laisser partir ! alors reviens-nous, tu nous manques déjà.

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !