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| For the Best & the Worst ≈ Gaëlle | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité | Sujet: For the Best & the Worst ≈ Gaëlle 23/5/2016, 19:06 | |
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ABIGAËLLE COURREGES featuring MELANIE LAURENT
NOM : Courrèges. PRÉNOM : Abigaëlle, mais ne l'appelez pas comme ça ou elle ne se retournera même pas. SURNOM : Aby pour les intimes, sinon les gens l'appellent généralement "Gaëlle". Elle n'aime pas spécialement son prénom donc ce diminutif lui convient. ÂGE : 36 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 29 Août 1979, à Paris. ORIGINES : Françaises avec un nuage d'allemand. ORIENTATION SEXUELLE : Pas intéressée, ça compte ? Hétérosexuelle. STATUT CIVIL : Célibataire. ÉTUDES/MÉTIER : Soigneuse animalier au Zoo de Vincennes. PASSION(S) : La liberté. GROUPE : Black Opium, d'YSL. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : Inventé.
CARACTÈRE : Alors, qu’on soit bien d’accord mes petits oiseaux… Vous la voyez, la gentille fille qui vous sert des sourires et des politesses quand vous vous adressez à elle, qui se montre cordiale, tolérante, patiente et particulièrement charmante ? Et bien, vous l’oubliez. Enfin, vous l’oubliez… Vous devriez plutôt vous méfier. Car si Abigaëlle possède un sourire charmant, elle est loin d’être une fille gentille et mignonne qu’on peut trimballer de gauche à droite sans qu’elle ne hausse la voix. Car ça, elle sait faire ; très bien même. Essayez de lui faire des bisous pour voir et vous risquez de vous faire mordre… C’est un conseil d’ami.
Gaëlle, c’est une fille sauvage, une force de la nature pas très grande mais qui n’a pas l’intention de se laisser marcher sur les pieds. Elle n’a pas la langue dans sa poche ni les yeux tournés vers le sol, préférant vous regarder en face quand elle a quelque chose à vous dire, que cela vous plaise ou non. Directe et radicale, elle a tendance à très vite cerner les gens et à appuyer – malgré elle – là où ça fait mal. Honnête et droite, le mensonge lui paraît comme une aberration et l’hypocrisie un virus contagieux que l’on ferait mieux de rayer de la surface de la terre. Abigaëlle est loyale, réputée pour être une personne de confiance… Encore faudrait-il parvenir à ne pas vous prendre un coup d’œil ronchon de sa part.
Elle aime marmonner ou, plutôt, dire tout haut ce que les gens pensent tout bas. C’est elle qui dirige sa vie et sûrement pas quelqu’un d’autre, quand elle aime c’est avec passion et quand elle déteste c’est avec vigueur. En revanche, c’est une personne qui vous laissera toujours une première chance, après tout on ne peut pas juger un livre à sa couverture. Si vous êtes suffisamment sûr de vous, elle vous aidera à trouver les outils et les moyens pour réussir ce que vous entreprenez ; mais attention à ne pas la décevoir. Une fois que sa confiance est perdue, c’est définitif : Aby a un côté fatalement rancunier qui ne lui a pas apporté que des bonnes choses… Peut-être qu’un jour elle retiendra la leçon et se montrera plus avenante ?
Au delà de cet aspect « peu féminin » d’après sa mère, Abigaëlle est une gentille personne… A sa manière. Si on est honnête avec elle, elle le sera avec vous. Elle apprécie les efforts et le travail bien fait. Elle aime la tranquillité et le respect de l’autre. Elle aime rentrer chez elle retrouver ses trois chats et son chiens même si son quotidien est peuplé d’animaux. Elle aime entendre ses collègues râler sur les températures glaciales ou sur des visiteurs malpropres alors qu’elle leur apporte un café pour se requinquer. Elle aime sortir avec ses amis autour d’un verre et pousse parfois jusqu’à danser tard la nuit. Elle aime chanter à tue-tête en pyjama et se faire enguirlander par ses voisins. Elle aime sa vie même si elle changerait bien quelques trucs, comme elle dit.
C’est une femme forte, qu’on apprécie ou qu’on déteste mais avec laquelle on ne reste jamais indifférent.
TICS ET TOCS : Elle récite "la famille tortue" quand elle nettoie les enclos, ça lui permet de se donner un rythme ≈ Elle collectionne les dvd Disney et les oeuvres de Jane Austen ≈ Elle s'est déjà endormie dans un musée à force d'y passer ses jeudis après-midi.
j'envoie des bons baisers de paris
QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Les rues vides en bord de Seine. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? C'est à une sacrée distance de tout son passé. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? La mentalité des beaux quartiers, cette capacité à rabaisser le commun de mortel pour quelques carrés de tissus haute couture. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Immense, étourdie et volage. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: For the Best & the Worst ≈ Gaëlle 23/5/2016, 19:07 | |
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être parisien, ce n’est pas être né à Paris, c’est y renaître
L’histoire aurait put être une belle histoire, du genre des jolis contes de fée qu’on peut trouver dans les livres où un prince tombe amoureux d’une jolie princesse, ils écartent un ou deux dragons sur la route pour se faire un nom puis ils construisent un château et décident de s’installer avec le reste de toute leur progéniture après avoir découvert l’oie aux œufs d’or. Et bien, celle d’Abigaëlle commençait juste après, au moment où le prince décide que sa compagne prend un peu trop de place sur le trône et décide de convoler hors noces avec une petite bourgeoise de la ville. Quelques parties de cartes et jeux de jambes plus tard, voilà qu’apparaissait le fruit d’un « amour » interdit… Ou simplement le résultat d’un grand couturier et d’une jeune fille de la haute qui a voulu avoir les rêves plus gros que le ventre. On se demande comment c’est possible quand on voit une femme enceinte mais, si, ça l’est. Abigaëlle a donc pointé son nez dans un univers loin des podiums ou des paillettes, fille illégitime et non désirée mais qu’il a bien fallu garder et élever. Ou presque, après tout, ne dit-on pas que les enfants s’élèvent seuls quand leurs parents se contentent de suivre la ligne déjà tracée sur le sol ?
Le petit univers qu’elle s’était forgé était rempli d’aventures et de légendes, sautant d’un meuble à l’autre au grand dam de sa mère pour simuler une invasion pirate sur un navire marchand. Elle créait des cabanes à l’aide de coussins et de draps. Se planquait au fond du grenier dans une chasse au trésor qui n’émerveillait qu’elle. Elle ne fuyait pas face à l’invasion de souris et s’inventait tout un harem des nombreux chats qui venaient peupler l’appartement dès qu’Abi en trouvait un. C’était une gamine qui ne manquait jamais l’occasion de se faire remarquer, bien loin des petites demoiselles sages à la robe plissée : Gaëlle, elle sautait dans les flaques pour écarter les indésirables et ne manquait jamais de s’interposer quand la brute de l’école s’en prenait aux plus faibles. Une école privée pour commencer dans la vie ? Rien de mieux pour lui donner l’envie de briser les clichés (inconsciemment) et d’abattre son cartable dans la tête du blanc-bec qui avait osé la traiter de « fille à papa ». Elle n’était pas une fille à papa. Elle n’avait pas de père de toute façon.
Vivante. Abigaëlle était un modèle de vivacité et de franchise à vous en couper au couteau. A force d’affronter un monde qui ne jurait que par les faux-semblants, elle avait fini par se raccorder avec sa mère : rien ni personne ne saurait lui dicter sa conduite. Elle avait essayé pourtant : la rendre bien élevée, lui enseigner la politesse, la faire venir à des grands dîners où les gens parlaient plus de leurs acquisitions que de réels problèmes, lui enseigner la sociologie depuis le plus jeune âge et surtout le respect de sa place. Mais Abi n’avait pas de place. Elle ne voulait pas rentrer dans le moule d’une société juste parce que c’était « comme ça ». Elle était curieuse, enhardie, combative et elle n’hésitait pas à se lancer dans la mêlée pour lutter contre l’injustice. Elle détestait ça. Elle détestait quand sa mère se mettait à pleurer parce que son père n’était pas là. Elle détestait quand elles avaient du quitter le grand appartement au centre de Paris pour autre chose de plus petit. Elle détestait quand sa mère lui mentait avec le sourire. Elle détestait qu’elle veuille faire d’elle une étudiante modèle passionnée de politique, alors que tout ce qui l’intéressait c’étaient les livres et les grands espaces. Sa mère, sa galère.
Elle a franchit les années d’études en oscillant entre bons résultats et catastrophes : quand Abigaëlle n’aime pas, elle le fait savoir. Quand on déteste les mathématiques on ne fait pas d’effort pour les retenir. Quand on se lasse de la philosophie on peut faire de petits animaux en papier à la place. Elle était connue pour son impétuosité et son côté sauvage, rien à voir avec les gamines timides dont les premiers émois occupaient toutes les conversations. L’amour ? Et puis quoi encore. Elle avait bien d’autres chats à fouetter que de s’occuper de ça et, alors que ses amies rencontraient leurs premiers petits copains, Gaëlle était plutôt les mains dans l’évier pour faire la plonge d’un restaurant. Ce père qu’elle n’avait que peu connu n’était pas le premier à mettre la main à la pâte pour les aider, et sa mère n’aurait jamais accepté qu’il les prenne en pitié. De ce fait, l’adolescente enchaînait des petits boulots qu’elle commençait tôt le matin par une distribution de journaux avant de terminer dans un supermarché ou à la plonge d’un restaurant. Elle était sociable. Elle était ronchon et coupante mais on appréciait ses sourires et sa capacité à se plier en quatre pour les autres. Peut-être cherchait-elle quelque chose dans ces contacts, une reconnaissance qu’elle n’avait jamais eu, mais elle ne l’aurait sûrement pas demandé d’elle-même si spontanément.
Se voiler la face est monnaie courante de tout être humain. Abigaëlle ne faisait pas vraiment exception quand, du haut de ses vingt ans elle s’était engagé dans des études d’économie alors que tout ce qui l’intéressait c’était de bouger au grand air. Mais il fallait un diplôme. Il fallait faire quelque chose de sa vie. Il fallait justifier les achats affriolants de sa mère en ayant un travail. Franchement ? Il y avait plus passionnant. Comme ce mec dont elle avait fini par s’amouracher sur les bancs de la faculté ; quatre rendez-vous plus tard et deux séances de cinéma, la voilà aux portes du Zoo de Vincennes pour découvrir un univers dont elle n’avait absolument aucune idée. Comme attendu, sa mère n’a pas vraiment apprécié qu’elle lâche ses études pour partir dans le monde des animaux mais elle ne lui a pas vraiment demandé son avis. Elle aimait ce qu’elle découvrait et faisait. Elle aimait ce type et elle l’aurait suivi n’importe où, qu’il soit standardiste ou chauffeur routier ; la chance avait voulu qu’il l’aide à mettre un pied dans l’univers des soigneurs animaliers. Elle n’en avait jamais décroché, découvrant enfin quelque chose qui pouvait occuper l’intégralité de ses journées sans que cela ne l’oblige à rester assise derrière un bureau à soupirer.
Abigaëlle avait découvert un monde qui lui ouvrait les bras et où elle s’était rapidement sentie à sa place. D’abord étonnés par son franc parler, les autres employés avaient fini par s’habituer à cette demoiselle aux airs de poupée qui n’hésitait pas à se salir les mains dans n’importe quelle substance. Elle était passionnée. Elle était râleuse. Elle était de ces filles qu’on pense imprenables et inébranlables… Et puis il y a eu la rupture. Une histoire étrange, un départ précipité et pouf, plus de petit-ami dans les environs de Paris ! Elle qui se pensait en sécurité et prête à fonder la vie de famille qu’elle avait voulue, voilà qu’on lui volait au nez et à la barbe sans l’attendre. En même temps, apprendre qu’on est enceinte n’est peut-être pas le meilleur moyen d’entamer une conversation de rupture… Il aura fallu faire avec. Laisser tomber et oublier. Etouffer ce secret et jeter des regards acides à sa mère quand cette dernière avait osé la comparer à elle. Hors de question. Absolument hors de question qu’elle devienne une créature semblable, à attendre un homme qui ne reviendrait jamais et à supporter le poids de ses erreurs. Elle valait mieux que ça, tellement mieux.
Son monde devait rester le sien. Qu’importe qui tentait d’y pénétrer, elle refusait d’être la créature faible que l’on manipule à sa guise. Ca, le nouveau soigneur animalier qui avait été embauché au Zoo de Vincennes l’avait appris malgré lui : avec Abigaëlle, on ne peut pas rire de tout et sûrement pas des autres. D’où se croyait-il sorti pour se permettre un jugement ? Et pourquoi est-ce qu’on venait s’assurer qu’elle le prenait personnellement en charge pour lui expliquer les us et coutumes de l’endroit ? Sérieusement, soit elle avait la poisse soit son mauvais karma avait décidé de lui revenir à la figure. C’était sa première rencontre avec Nate, un type qui avait l’air de débarquer d’une autre planète, dont elle se serait bien passé s’il ne s’était pas montré aussi investi au niveau de la volière. On dit qu’il faut toujours laisser une seconde chance aux gens, ne pas se baser sur une première impression même si elle est désagréable ; Gaëlle aura au moins le mérite de suivre ce dicton sinon elle n’aurait jamais vraiment découvert qui était ce grand mec au faciès d’ange.
Bon, il lui casse toujours les pieds même si ça fait désormais plusieurs années qu’elle se le coltine. Insolent. Téméraire. Audacieux. Casse-bonbon à sonner chez vous pendant votre jour de repos en prétextant que c’était sur sa route. Agaçant à poser ses pieds sur la table basse avant de se laisser envahir par l’un des chats d’Abigaëlle. Maladroit quand il cassait l’un des placards en voulant l’ouvrir un peu trop violemment. Enervant quand il voulait avoir le dernier mot face à elle. Insupportable quand il lui prenait la tête et qu’il était persuadé avoir raison. Amusant quand ils sortaient entre collègues et qu’elle le voyait faire du gringue à la première jolie fille venue. Attendrissant quand il s’inquiétait d’un oiseau malade et restait au-delà de ses horaires pour s’assurer qu’il mangeait correctement. Ereintant à force de ne jamais savoir sur quel pied danser avec lui. Franchement épuisant en fin de compte.
Ajoutez à cela sa mère, huppée depuis qu’elle s’était mariée avec un investisseur suédois, qui désespérait d’en faire une fille du monde et s’insurgeait de son tempérament… Jamais elle ne se marierait si elle continuait, et à trente-six ans on commence à se faire vieux ! En général Abigaëlle lui répondait en levant les yeux au ciel, se contentant du minimum d’appels syndicaux pour avoir la paix. Heureusement qu’il y avait son chez elle, ses chats et son chien, pour lui permettre un certain repos au milieu de ses journées pleines de surprises et d’imprévus. Mais après tout, ça forge le caractère, non ?
de paris à chez moi, il n'y a qu'un pas
PSEUDO/PRÉNOM : Davy. ÂGE : 25 ans. SEXE : Canard tigré. VILLE : Lyon. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Un beau lien bien tordu. IMPRESSIONS : C'est simple et joli par ici. FRÉQUENCE DE CONNEXION : Régulière. UN DERNIER MOT ? Pouet ! - Code:
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[color=#D04040]● [/color][b]Melanie Laurent[/b] aka [i]Abigaëlle Courrèges[/i]. |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: For the Best & the Worst ≈ Gaëlle 23/5/2016, 20:00 | |
| je te revalide ma belle . désolée encore pour la suppression . Tu es officiellement validé(e)
bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous ! |
| | | Invité Invité | Sujet: Re: For the Best & the Worst ≈ Gaëlle 23/5/2016, 20:10 | |
| reuh |
| | | Albane Garnier eau de toilette CRÉDITS : (ava) dreazy. (sign) anaëlle. PSEUDO : FREAKSHOW (laurine). | Sujet: Re: For the Best & the Worst ≈ Gaëlle 23/5/2016, 23:15 | |
| re-bienvenue chez toi ma toute belle, et encore mille excuses pour le désagrément j'espère que tu posteras bientôt ta fiche de liens pour qu'on puisse se le faire ce fichu lien |
| | | Contenu sponsorisé | Sujet: Re: For the Best & the Worst ≈ Gaëlle | |
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| | | | For the Best & the Worst ≈ Gaëlle | |
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