NOM : fray. y a tellement de blagues à faire là-dessus, mais je m'en fous tellement que c'est souvent moi-même qui fait les blagues. PRÉNOM : evan. ma mère adore donner des prénoms américains à ses gosses, allez savoir pourquoi. SURNOM : ma petite sœur m'appelle vavan et c'est d'ailleurs la seule à pouvoir me surnommer ainsi. les autres n'ont qu'à chercher autre chose. ÂGE : vingt ans de pure connerie. connerie qui lasse un peu tout le monde, mais devinez qui s'en fout une fois de plus ? DATE ET LIEU DE NAISSANCE : le vingt-deux juillet dans la capitale française, ville que je n'ai jamais voulu quitter par la suite. ORIGINES : français du côté de ma mère, il y a quelques ascendances allemandes du côté de mon père. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel à 100%, même s'il m'arrive de me faire passer pour un gay avec un de mes potes pour faire fuir les filles trop collantes. question de faire plus en douceur, au lieu de devoir lâcher le fameux "t'es pas mon genre". STATUT CIVIL : célibataire qui s'en fout de tout. la vie de couple, c'est pas vraiment mon truc pour le moment. ÉTUDES/MÉTIER : étudiant en langues, spécialité anglais. le week-end, je bosse dans un supermarché. PASSION(S) : la natation, le skate-board, le basketball, la musique. GROUPE : l'élixir de nina ricci. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : inventé.

CARACTÈRE : à ce qu'il parait, j'suis fou. et moi, je réponds : lolilol. juste parce que je m'en fous de tout et que j'ai qu'un seul objectif : me sentir en vie. d'ailleurs, mon côté casse-cou m'a bien valu quelques incidents (je suis encore un peu traumatisé par la fois où j'ai renversé une mémé en dévalant une pente dans un caddie), mais ça ne m'empêche pas de continuer. je suis aussi le bavard de service, en plus d'être infatigable et d'avoir tendance à toujours vouloir mettre l'ambiance même quand c'est pas nécessaire. impossible de canaliser mon énergie. bref, en fait, je suis un vrai cauchemar pour les profs. et même pour les adultes en général. je suis "blasant" à ce qu'il parait. TICS ET TOCS : le matin, c'est impossible de me lever + j'ai cru à l'existence des licornes jusqu'à mes quatorze ans et quand on me parle de ça, je me sens obligé de nier. je vais pas en être fier non plus + je mets souvent des bandanas dans mes cheveux pour éviter de les avoir devant les yeux + j'adore tout ce qui est natation, skate et basketball. je faisais d'ailleurs parti du club de basket au lycée et j'ai même été champion régional de natation quand j'avais dix-sept ans + trop bordélique, ce n'est pas rare de me voir perdre mes affaires. j'ai même perdu mon chat une fois (mais ça va, je l'ai retrouvé cet abruti) + fan de dessins animés depuis tout petit, je regarde même les disneys avec ma petite sœur + puis bob l'éponge, c'est la vie. voilà + très tactile, ça se remarque directement quand j'apprécie quelqu'un + j'aime pas me retrouver seul. j'vous jure, c'est limite une phobie quoi.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? sûrement les champs élysées. il y a toujours du monde et, plus y a de gens, mieux je me sens. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? pour moi, paris, c'est une ville vivante. les rues pleines, les discussions sur les terrasses des cafés. bref, le plus cool d'après moi, c'est d'avoir l'occasion de voir la vie évoluer autour de moi. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? on va pas se mentir, certains parisiens ne sont pas des plus agréables. mais on s'y fait. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : vivante, lumineuse et... polluée ? (on va pas s'mentir, hein)

part number ouane ; la drogue, c'est mal. quand j'étais petit, mes parents ont directement compris que j'étais peut-être un peu trop hyperactif. ma tendance à courir partout et à me prendre pour tarzan fatiguait un peu tout le monde, mes parents y compris. ils en ont eu marre et j'ai donc eu le droit à un tour chez un psy (comme si ça allait m'aider, le big lol quoi) et on m'a refilé des médicaments pour soit-disant « canaliser mon énergie ». disons plutôt que j'étais à plat toute la journée. comme si j'étais drogué. ce que j'étais un peu. et par un peu, je veux dire un peu beaucoup. je passais mes journées à dormir ou allongé à jouer à pokémon sur ma game-boy. et ma théorie sur la question « pourquoi on a stoppé les médocs », c'est qu'à un moment donné, mes parents ont commencé à s'ennuyer. genre vraiment. on va pas dire que mes parents avaient une vie de dingue, pleins de trucs à faire et une vie sociale super active, puis ils étaient un peu en froid à ce moment-là, du coup y avait plus personne pour parler. alors soudainement, j'avais plus de médicament à prendre. mais bon, quand j'ai eu une fracture du bras après avoir escaladé un arbre du parc trois jours plus tard, ils ont encore dû regretter. tant pis.

part number tiou ; famille = le mal. chez les fray, la colonie de vacances, c'est presque un rituel de passage. tout le monde y a droit pendant son enfance dans ma famille, moi y compris. deux mois complets sans télé, sans téléphone, sans ordinateur. le bonheur absolu quoi. (notez l'ironie) pourtant, j'ai pas été une exception. mon père savait que ce genre de truc, j'aimais pas. et devinez ce qu'il a fait, en père responsable ? il m'a fait croire qu'on allait à disneyland. c'est qu'au bout de trois heures de route que j'ai compris qu'il y avait un petit problème. on était déjà à paris, un trajet à disneyland, c'était même pas une heure, alors le fait que je m'en sois aperçu au bout de trois, ça montre un peu ma lenteur d'esprit. je vous dis pas ma tête une fois arrivé là-bas. d'ailleurs, mon père m'a filmé, on a le droit à la vidéo à la fin de chaque dîner de famille. par contre, personne ne parle du fait que t'as été renvoyé dès la deuxième semaine parce qu'apparemment, voler les vêtements des filles pendant qu'elles sont à la douche, c'est mal. y en a qui n'ont vraiment pas le sens de l'humour.

part number tri : la chose. « evan, tu vas avoir une petite sœur » ou la phrase qui m'a éternellement traumatisé. genre, le truc que j'avais grave pas vu venir. ma mère m'avait annoncé, dans le plus grand des calmes, qu'un monstre allait débarquer. j'avais seize ans (ou l'âge où l'on voit tout être plus jeune que soi comme une créature venue d'un autre monde), alors voir ma mère enceinte, je l'avais pas prévu. elle avait déjà plus de quarante ans, pour moi, c'était déjà la ménopause quoi. cette gourgandine avait trouvé le moyen de pro-créer alors que mon père était en safari dans je sais plus quel pays africain depuis déjà trois mois (je savais même pas que ça durait aussi longtemps un safari, il faut combien de temps pour visiter une savane ?), alors ça augmentait le choc. limite si je ne pouvais pas témoigner sur le site VDM quoi, genre : « aujourd'hui, ma mère vient de m'annoncer qu'elle est enceinte de deux semaines. le problème ? mon père est en voyage depuis quelques mois déjà, alors ma mère ne l'a pas vu pendant ce temps. VDM. » quand la gosse, que j'avais décidé d'appeler officiellement la chose parce que pour moi, c'était presque un spécimen inconnu, est né, je l'avais tout de suite reniée. les couches, biberons et toutes les affaires de bébé, c'était pas pour le sale gosse que j'étais. d'ailleurs, officiellement aussi, c'était moi le baby-sitter de la chose le week-end, ainsi que les soirs après les cours. parfait. vraiment. le seul avantage à son existence que j'avais, c'était qu'elle adorait disney, et donc que j'avais une excuse à peu près valable pour regarder avec elle. puis peut-être, et juste peut-être, que je l'aime bien, cette gosse.

PSEUDO/PRÉNOM : steeran. aka alexia. ÂGE : seize ans. SEXE : féminin il me semble, à vérifier    VILLE : dans l'oise. (60) RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : vous êtes laids et je suis maso, so here i am    IMPRESSIONS : les membres sont graves adorables    FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les jours normalement parce que j'suis une no-life    UN DERNIER MOT ? j'vous kiffe