NOM : Lecomte. PRÉNOM : Icare. SURNOM : Aucun. ÂGE : 25 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 08/04/1990, à Rennes. ORIGINES : Il est cent pourcent français, lui qui aurait bien rêvé d'être un peu plus original que ça. ORIENTATION SEXUELLE : Pansexuel, filles ou garçons, ça lui importe peu, si quelqu'un lui plait il s'en fiche bien de savoir à quelle catégorie cette personne appartient. STATUT CIVIL : Célibataire, coeur brisé à la recherche de celui ou celle qui pourra le réparer. ÉTUDES/MÉTIER : Il bosse à mi-temps dans la librairie anglaise Shakespeare&Co, l'autre moitié du temps, il est vendeur dans un sex-shop. Après avoir obtenu son bac L, Icare ne s'est pas lancé dans les études. Il a eu un tas de petits boulots, dans des bars et des magasins, et il a de l'expérience dans plein de domaines, même s'il regrette parfois de ne pas être allé à l'université. PASSION(S) : Il fut un temps où toute sa vie tournait autour du football. Mais il a grandi depuis, et il s'est rendu compte qu'il n'était pas plus doué que la moyenne, ce qui l'a quelque peu mis en rogne contre la pratique. Aujourd'hui, ce qui le fait vibrer, c'est les voyages, découvrir de nouvelles choses. Ca c'est son trip. Et la littérature, ça aussi ça le rend heureux. Il a toujours un de ses bouquins préférés sur lui. Il aime les histoires, Icare, les trucs qui le tirent de ce monde et l'envoient ailleurs pendant quelques heures. Le théâtre, il adore ça. Il a même essayé de prendre des cours, joindre une troupe, mais il s'est vite rendu compte une fois de plus que c'était mieux vu de loin. Il aime écrire aussi, peut-être qu'un jour il arrivera à pondre quelque chose d'intéressant. GROUPE : Black opium de YSL. POSTE VACANT, SCÉNARIO, LIEN PRÉ-DÉFINI OU PERSONNAGE INVENTÉ : Scénario d'Emma.

   CARACTÈRE : Icare, c'est un peu un grand mélange de quarante stéréotypes différents. Extrêmement lunatique, il peut être adorable un jour et excecrable le lendemain. Plus jeune, il était la caricature de l'adolescent sportif et populaire. Plein d'énergie, toujours souriant et motivé, charismatique. Il formait avec sa copine de l'époque le couple phare du collège. On l'adorait, on rêvait d'être comme Icare Lecomte. Lui, il en jouait. Il avait appris à exagérer ces côtés-là de sa personnalité, pour coller au mieux au profil du sportif populaire, star d'une mauvaise série américaine. Les années l'ont changé. Il a réalisé que tout ça, ça ne valait rien, que quand tu sors de ton collège, le monde s'en fiche de combien d'admiratrices laissent des messages dans ton casier. Il a réalisé que le bonheur ne tient pas à ça, au contraire, le bonheur, ça se brise facilement, alors il vaut mieux être fidèle à soi-même. Icare, un grand romantique qui n'ose pas trop se l'avouer. Il aime se plonger dans des histoires inventées de toutes pièces, il aime rêver tout en gardant les pieds bien enfoncés dans le sol. Il ne croit plus au Père Noël, Icare. Il sait que la vie, ça craint la moitié du temps. Mais il sait aussi que ça a tendance à s'équilibrer. Alors il essaye de ne pas se faire trop de soucis, même si c'est difficile. Icare n'est pas le personnage le plus joyeux que vous pourrez croiser, mais il sait tout de même sourire, et ça a tendance à illuminer la pièce le peu de fois que ça arrive. Il est clair qu'il y a quelque chose de sombre en lui, une tâche noire, une chose triste et obscure. Mais il apprend peu à peu à vivre avec. Icare n'est pas particulièrement froid ou associal, il a juste un peu de mal à tisser de vrais liens avec les gens. Il se reconstruit petit à petit, et une partie de lui a peur de se laisser toucher par les mauvaises personnes. Il est très protecteur avec les gens qui comptent, et donnerait tout pour eux. C'est donc une place privilégiée.

Icare, il est curieux. Il a une soif de connaissance sans bornes et voudrait tout voir, tout savoir, tout essayer. Il aime l'aventure, l'adrénaline, un peu de danger. Peut-être qu'il a un côté autodestructeur, mais ça c'est un secret. Lorsqu'il tente quelque chose qui lui tient à coeur, il va au bout et n'abandonne pas. Il est déterminé et courageux, ainsi qu'indépendant. Il sait se débrouiller tout seul et l'a fait depuis pas mal de temps. Icare, c'est quelqu'un de fort, qui a beaucoup d'expérience pour son jeune âge. Il ne se laisse pas marcher dessus, et s'il faut se battre il est prêt à le faire. Il peut être du genre colérique et rancunier, à ne pas pardonner facilement si on lui fait du mal. Il sera au contraire prêt à se venger. Il peut se montrer bagarreur, agressif, et même violent si on le cherche. Icare est un homme impulsif et parfois imprudent, qui ne réfléchit pas toujours avant d'agir. Il a cependant en lui une grande tendresse et une certaine sensibilité.

Loyal et fidèle en amour et en amitié, ça ne l'empêche pas de passer quelques nuits avec des inconnus qu'il ne reverra jamais. Tant qu'ils sont sur la même longueur d'ondes, tout va bien. Il est du genre séducteur, toujours heureux d'utiliser son charme. Ca lui rappelle un peu ses années de gloire, quand tout était facile et rien n'avait de conséquences. Cependant, Icare cherche plus que ça, plus que juste du sexe. Il aimerait retrouver l'amour, quelqu'un d'exceptionnel qui fera chavirer son coeur. Ayant connu l'amour, il sait que peu de choses peuvent égaler cela. Il a beau jouer les gros durs, il se connait bien au fond. TICS ET TOCS : Il aime beaucoup de choses : le théâtre, la musique, la bonne bouffe, les voyages, l'histoire, la littérature. Il a passé des années en Amérique du Nord, mais il rêve de visiter l'Australie. Il a dansé dans un club de strip-tease pendant deux mois et ne l'assume pas vraiment. Paris, c'est un peu sa maison, là où il revient pour se sentir chez lui, et pourtant il a vécu les 15 premières années de sa vie à Rennes. Il regrette parfois de ne pas avoir fait d'études et il lui arrive d'envisager de s'inscrire à la fac. Il adore le dessin animé Anastasia. Il parle anglais couramment. Il a été un grand passionné de foot jusqu'à ce qu'un jour il réalise que ça ne le faisait pas kiffer autant que ce qu'il pensait. C'est étrange de se dire qu'on passe des années d'une vie à se donner à fond pour quelque chose, puis un jour on ouvre les yeux et on se rend compte qu'il y a beaucoup de choses plus intéressantes.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Un petit café près de la place de la Bastille, qui se transforme en bar/boîte de nuit à minuit, ou un piano-bar caché dans Pigalle. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Tout est à porté de main, tout est possible. C'est l'avantage des grandes villes. Et puis personne ne te juge, tu es insignifiant, une seule personne dans une masse énorme, mais dans le bon sens. Tu peux faire ce que tu veux, personne ne va te regarder de travers. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? C'est dingue que dans un lieu de telle liberté, où tout est possible, on puisse se sentir enfermé. Pourtant ça arrive parfois, de se retrouver au milieu des immeubles et d'avoir l'impression d'étouffer, de vouloir autre chose. Tu as beau aller dans les parcs, traîner le long de la Seine, la ville est toujours là. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Immense, belle, inspirante.

Bretagne. J'ai 15 ans et Papa et Maman s'entre-tuent. C'était pas prévu comme ça, rien ne présageait que les choses se passeraient comme ça. Pourtant ça arrive. Papa baise une fille bien plus jeune que Maman, ils parlent de divorce, se pourrissent la vie mutuellement, comme si c'était un jeu. Il y a Emma et moi au milieu de ces conneries. Ils ont pas l'air d'en avoir quelque chose à faire. Le déclic, il a lieu une nuit, alors que je suis dans ma chambre, en train de préparer mes affaires pour aller passer une semaine à Paris chez Vincent, mon cousin. Mes parents et Vincent ne s'entendent pas, mais j'ai gardé contact avec lui, et il veut bien m'héberger. Je dis à Maman que je vais passer du temps chez Simon, un de mes potes de 18 ans, qui a son appart' et qui veut bien me couvrir. Le déclic, c'est que je ne supporte plus de les voir s'engueuler. Je ne supporte plus de les voir. Je ne les supporte plus. Le déclic, c'est remplir ta valise et te rendre compte que la moitié des choses que tu mets dedans, ça ne t'appartient pas vraiment, ce sont les autres qui te les ont foutues dans les bras. Le déclic c'est quand t'as 15 ans et que tu réalises qu'il y a un million de choses que tu aimerais faire, mais que si tu restes dans le cocon dans lequel on t'a enfermé, tu n'y arriveras jamais. Le déclic, c'est dire à ta soeur de neuf ans que tu pars en vacances, tout en sachant très bien que tu ne reviendras pas.

Paris. J'ai 18 ans et mon bac en poche, avec mention. Vincent est pété de thunes grâce à son talent pour donner des coups de pied dans un ballon, et moi, je me rends compte que je suis médiocre dans tout ce qu'on me pousse à faire depuis le bac à sable. Je regarde avec mépris le maillot de foot que j'ai toujours, même après trois années, et je le fous au fond du placard. La capitale, ça a tendance à t'ouvrir les yeux. Tout va vite, et tu te rends compte que si tu ne cours pas pour avoir ton train, personne ne va t'attendre. Des chances, t'en as pas quinze, alors il vaut mieux se décider à vivre ce qui te plait, et le faire à fond, sans s'attarder sur le reste. Et il y a tellement de choses à faire. Alors je pars pour New York.

New York. J'ai 20 ans et je rencontre Aaron. Il est beau, intelligent. C'est la première fois que je m'intéresse à un garçon. Il vient de finir ses études de langues, parle français couramment et fait de la photographie. Moi je bosse dans un café un peu pourrâve, mais la fréquentation est plutôt sympa, alors j'ai pas à me plaindre. Quelques étudiants, des artistes. Je marche dans les rues le soir et je m'arrête parfois devant les écrans géants de Times Square. Je m'installe avec Aaron dans un 25m², on a un matelas à même le sol, c'est un peu le paradis. Je change de job. Je me retrouve à danser dans un club de strip-tease, dans une boîte qui vient d'ouvrir. Je n'ai jamais été très doué pour la danse, mais bon... Le club ferme deux mois plus tard. Je me replonge dans mes bouquins préférés, je les redécouvre. Je me trouve un boulot dans un bar. Aaron veut faire le tour du monde, et moi je rêve de la côte Ouest, alors on plaque tout.

Arizona. J'ai 24 ans, enfin, 25 dans un mois. Aaron et moi, on a vu le Canada et le Mexique, je l'ai traîné jusqu'à San Francisco, et puis on s'est posé dans une petite ville au milieu de l'Arizona. On est arrivé là un peu au hasard, et notre but c'est toujours encore de partir, de voir des endroits incroyables, de découvrir plus de choses. Je veux faire les trucs les plus dingues qui soient. Je veux aller sous l'océan et dans l'espace. Rien n'est impossible et je ne veux pas gaspiller une seule minute de ma vie. Il y a trop de choses à faire sur Terre. On prépare notre tour du monde, tout en bossant un peu, et le départ est pour bientôt. Alors un soir, je me promène en ville avec Aaron, la main dans la sienne. On passe à côté d'une bande de mecs, et l'un d'eux se retourne et m'insulte. Je l'ignore, mais il continue, et ses potes s'y mettent. Ils nous suivent. J'ai peur et je serre la main d'Aaron. Il se retourne pour leur dire de la fermer. C'est là que le drame se produit, et ça va très vite. L'un d'eux frappe Aaron. Je m'interpose. Un poing me met à terre. J'entends un cri, et quand je me relève, ils sont tous partis. Il y a des plaies sur le torse d'Aaron, et du sang partout. Il meurt dans mes bras.

Paris. J'ai 25 ans et je hais la solitude. Je récupère mes bagages sur le tapis roulant, et je me dirige vers le RER qui me ramènera au centre-ville. Ca fait bientôt un an et j'ai réalisé que le tour du monde tout seul, c'est pas génial. Et puis rien n'est génial tout seul une fois que tu as eu l'habitude de le faire à deux. Je rentre à Paris, peut-être à la recherche d'un autre déclic. J'ai en tête des images que je veux oublier mais en même temps je me dis que ce serait ignoble de les effacer. Je retrouve ma ville et ça fait du bien, d'être chez soi. Je rêve toujours d'aventure, mais je me laisse du temps. Du temps pour rêver un peu, et guérir, et vivre un peu. Et puis il y a tellement de choses à faire ici, des trucs que je n'ai jamais fait. Je veux du temps pour moi, et je veux rencontrer des gens. Etre seul, c'est épuisant.

PSEUDO/PRÉNOM : May. ÂGE : 19 ans. SEXE : F. VILLE : Pariiiiis. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Le forum est superbe, le scénario génial, et pouf me voilà. IMPRESSIONS : Vous êtes cool je le sens. FRÉQUENCE DE CONNEXION : Disons 5/7. UN DERNIER MOT ?   .

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !