NOM : DUBOIS. PRÉNOM : GAËTAN. SURNOM : LADY GAGA Sinon toutes les variantes genre Gaga, Gaë, Tantan, Ga, Dubois, Oliver pour les gens qui ont trop lu Harry Potter et qui se croient drôles. Il préfère qu'on l'appelle Gaëtan du coup personne ne l'appelle comme ça. ÂGE : 20 ANS. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 23 FEVRIER 1994. ORIGINES : FRANCO-FRANÇAISES, et vive l'originalité. ORIENTATION SEXUELLE : HETERO. STATUT CIVIL : CELIBATAIRE. ÉTUDES/MÉTIER : ETUDIANT EN DROIT, il déteste d'ailleurs. PASSIONS : LA BATTERIE, c'est toute sa vie (je suis la personne qui a inventé le slogan "le cheval c'est trop génial", pour plus de rimes pourries envoyez moi un mp ). GROUPE : NINA RICCI. SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : SCENARIO.

CARACTÈRE : sympa - sociable - prêt à tout pour les gens qu'il aime et les choses qui le passionnent - insupportable le matin - un peu diva sur les bords (ne lui demandez pas de vous faire à manger) (ou de laver vos caleçons) (et surtout ne lui coupez pas la parole) - très bavard - fêtard - mais responsable - pas très romantique - mais fidèle s'il s'engage - loyal - jaloux - se trouve très drôle - n'est pas toujours très drôle - sarcastique - susceptible - n'a jamais compris les concepts de l'orthographe et de la grammaire - a toujours faim - ne répond jamais à son téléphone - bordélique au possible.
TICS ET TOCS : remonter ses lunettes et froncer le nez quand quelque chose l'énerve (genre quand les voisins viennent lui dire que non ce n'est pas normal de jouer de la batterie dans un appartement à trois heures du matin) - manger le céréale sans lait et le nutella sans pain parce que ça fait moins grossir - faire son jogging le mardi matin à 11h35 (il le fait depuis ses quatorze ans et considère que mettre un cours à ce moment-là est un crime) - lécher son assiette quand c'était vraiment bon parce "TA GUEULE C'EST PAS DEGUEU ET J'AI FAIM" - utiliser des gros mots et des insultes à tort et à travers sans jamais le penser (sauf quand c'est les voisins à trois heures du mat) - caresser les chiens qu'il croise dans la rue parce qu'il les trouve mignons - écouter selena gomez et one direction quand personne ne le regarde - faire des plans sur la comètes pour se marier avec Jennifer Lawrence et Hayley Williams.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? le jardin du luxembourg. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? TOUT. Le fait que ce soit une ville vivante, qu'on croise des gens absurdes à tous les coins de rue, qu'on puisse passer des quartiers les plus populaires aux quartiers les plus touristiques en moins d'une demi heure de métro. Et les noctiliens. C'est pratique les noctiliens. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Les gens qui ne ramassent pas les crottes de leurs chiens, les gens qui pissent dans les couloirs du métro, les petits mecs qui pensent que ça a un sens de chanter des chansons en portugais dans la ligne 6 (celle qui passe à la tour eiffel), les cafés qui pensent que leurs bières sont faites d'or et valent dix euros et les enfants qui braillent dans le bus. Oui, je suis parisien, J'AIME ME PLAINDRE. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : bruyante, vivante, plus-belle-ville-du-monde (ceci est un adjectif).

« MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !!! » Je soupire. « Balance. » Mon frère a toujours été comme ça. Pourquoi ? Je ne sais pas. Mais il ne supporte pas le bordel. Et le fait que je refuse de ramasser mes chaussettes sales dans notre chambre commune le stresse au plus haut point. « Clém, si ça te gêne tant que ça, tu prends mes chaussettes tu les mets dans la machine, on a ce débat depuis douze ans, c’est-à-dire depuis qu’on est nés, ça commence à me souler… » Je lui lance un regard noir et m’allonge sur mon lit. Je m’entends plutôt bien avec mon frère, malgré nos différences. Je suis bordélique, il est maniaque, je suis agressif, il est plutôt gentil, il a des bonnes notes, pas moi. Mais finalement, ça ne se passe pas SI mal. A part quand j’oublie mes chaussettes, caleçons et autres fringues sales par terre au milieu de la chambre. Ou quand il essaie de me forcer à me faire faire mes devoirs. Mais on fait quand même beaucoup de choses ensemble. Clément me défend contre nos parents, je le défends contre les personnes qui essaient de l’embêter au collège. Ça roule plutôt bien. « Gaëtan, je te demande pas le Pérou, je te demande juste de mettre tes chaussettes dans ce panier quand tu les enlèves. Je l’ai mis là pour pas que t’aies à aller jusqu’à la salle de bain. On dirait que tu aimes vivre dans la saleté. » Je hausse les épaules. Il faut admettre que mettre mes affaires dans ce panier n’est pas une montagne. Surtout quand on sait qu’il s’occupe d’apporter tout ça jusqu’à la machine après. Mais j’ai la flemme. Et soyons honnêtes, j’aime l’énerver. A la fin, il finit toujours par ramasser de toutes les façons. Sauf aujourd’hui apparemment. « MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !!!! » « BON CLEMENT ça va, je ramasse, cherche pas la merde t’es vraiment relou. » Je suis prêt à tout pour éviter une énième altercation avec ma mère. Je suis déjà assez le raté de la famille comme ça, je sais qu’elle trouve que tous les problèmes viennent de moi et j’en ai marre de me faire engueuler. Je ramasse la paire de chaussettes, les mets dans le panier et donne une petite chiquette à mon frère. « Bébé. » Il m’ignore. Il est trop habitué à mes provocations pour réagir. Il s’allonge sur son lit et prend un bouquin. Je plisse les yeux. Je déteste qu’on m’ignore. Cela dit, il a l’air assez déterminé à inclure maman dans nos conflits aujourd’hui. J’abandonne.


« 1, 2, 3, 4 » Olivier, Thomas et Alex, les trois amis avec lesquels j’ai fondé Swallow The Goldfish, commencent à jouer et je soupire. Je suis apparemment le seul à avoir bossé depuis la dernière fois. Ils sont insupportables. Thomas n’a même pas accordé sa basse. Olivier et Alex n’arrivent pas à comprendre le fait que s’il y a deux guitares dans un groupe de rock c’est pour une raison. Ils préfèrent jouer la même chose ce qui n’a aucun sens. Et ils ne le jouent même pas en rythme en plus. Je crois qu’Alex a un peu bossé sur sa voix cela dit. Il a vraiment du talent pour le chant. Encore heureux. Je ne suis peut-être pas le meilleur batteur du monde mais moi, au moins, j’essaie de m’améliorer et j’ai un sens du rythme correct. Pas comme les trois autres. J’arrête de jouer. « STOP STOP STOP ! Vous avez pas bossé vous me soulez sérieux. C’est n’importe quoi. On est en mai, la fête de la musique est dans un mois et demi, on peut pas jouer comme ça. On est nuls. Va falloir faire quelque chose les gars parce que là c’est vraiment, vraiment problématique. » Les trois autres se regardent et posent leurs instruments. Ils ont l’air d’avoir quelque chose à me dire. Je ne supporte pas quand on parle dans mon dos. Vraiment pas. « Bon, qu’est-ce qu’il se passe ? » Je pose mes baguettes et me lève. « Ben euh… » Thomas regarde les deux autres qui hochent la tête pour l’encourager. « On fait ça pour rigoler Gaëtan. Pas pour devenir Green Day ou Blink. On sait que c’est ton rêve mais c’est pas le nôtre. Nous on fait ça parce qu’on a envie de s’amuser, parce qu’on aime passer du temps ensemble mais on s’en fout des fausses notes, on s’en fout des harmonies, on s’en fout de tout ça. On veut faire un petit concert pour la fête de la musique pour passer une bonne soirée, pas dans l’espoir de croiser un producteur ou le directeur d’une maison de disques. Il faut que tu comprennes ça… » Je passe une main dans mes cheveux, signe que je suis énervé. « Et vous parlez régulièrement tous les trois de moi comme ça ? » Je ne suis pas débile. Je comprends ce que mes amis essaient de me dire. Je suis déçu. Déçu parce qu’ils n’ont pas osé me le dire, comme mon agressivité naturelle me rendait cannibale. Déçu parce qu’ils s’en foutent de la musique. Déçu parce que je crois comprendre que c’est la fin des après-midis dans le garage de Thomas. Parce qu’il va falloir que je trouve un autre groupe. Parce que je ne peux pas vivre sans la musique, moi. Aucun des trois ne fait le moindre bruit. Je soupire, prends mes affaires et me dirige vers la sortie. « Appelez-moi quand vous aurez fini d’être trois gros cons. »


« BON GAËTAN TU BOUGES TON CUL ET TU VIENS M’AIDER A DEPLACER LE CANAPE » Je pose la pile de cartons que je viens de porter jusqu’à notre nouvel appartement par terre et vais prêter main forte à Loukas. « TU TE CALMES CONNARD JE SUIS LA ». Je soulève le canapé et aide mon ami à le déplacer de quelques mètres vers la gauche pour le placer à l’endroit où nous voulons qu’il soit, à savoir n’importe tout sauf au milieu du couloir. Après en avoir parlé pendant des années, j’emménage ENFIN avec Loukas et Jorden. Maintenant que je suis majeur, mes parents ont accepté de me laisser partir. Je sais bien que les engueulades à propos de la batterie à 4 heures du mat et des tours de vaisselle vont leur manquer mais j’ai l’âge de voler de mes propres ailes maintenant. Et habiter avec des potes qui ne sont pas trop dérangés par l’idée de m’entendre taper le plus fort possible sur mon instrument au milieu de la nuit est ma définition du bonheur. « JORDEN TU PENSES PEUT-ETRE QU’ON CRAME PAS QUE TU PRENDS LES CARTONS LES PLUS LEGERS DEPUIS TOUT A L’HEURE ???? » « C’EST PAS MOI QUI PORTERAI TA BATTERIE DONC TU TE TAIS » « JE PENSAIS QU’ON ETAIT AMIS » « BON VOS GUEULES J’AI FAIM ET ON PEUT MEME PAS ACCEDER A LA CUISINE TANT QU’ON A PAS FINI DONC VOUS VOUS TAISEZ ET VOUS VOUS ACTIVEZ ! » Mon estomac laisse échapper un bruit assez intéressant qui approuve à lui seul les paroles de Loukas. « Ok on se bouge, dans une demi-heure c’est fini et on déjeune ! Prouvons au monde que nous sommes vaillants et forts ! » Nous nous dépêchons donc de tout ranger en hurlant des cris de guerre et en se lançant quelques insultes au passage, pour le principe. Une heure plus tard, toutes nos affaires sont dans l’appartement. Chacun a mis ses cartons dans sa chambre où dans la pièce à laquelle ils correspondent. Nous avons même réussi à monter le frigo sans trop abimer la peinture. On est trop forts. Jorden, qui pour une fois a été prévoyant, sort un paquet de pâtes de son sac et met de l’eau à chauffer. « Allez, à table les gros ! » Je mets rapidement le couvert, dans mon immense bonté. Mes chers colocataires auraient tort de s’habituer à ce genre de réflexes venant de moi. « Bon, les gars, va falloir mettre quelques règles sinon on va pas se supporter longtemps. » J’approuve cette idée. « Déjà, le bordel ok mais pas trop. Celui qui organise une soirée range après. Quand vous mangez vous mettez votre assiette dans le lave-vaisselle. Et quand vous invitez une nana elle reste pour la nuit, pas plus. Je veux pas tomber sur votre copine à moitié nue tous les matins. » Je  hoche la tête, la bouche pleine. « Deal. » « Deal. » Je suis ravi. Cette coloc, ça va être trop bien.


« ERINAAAAAAAAAAAAAA » Je sors de la salle de bain torse-nu en tenant un string rose du bout des doigts. Ma nouvelle colocataire est assise sur le canapé, dans le salon. Je lui lance son string à la tête. « COMBIEN DE FOIS EST-CE QU’IL VA FALLOIR QUE JE TE DISE QUE CA ME DEGOUTE DE TOMBER SUR TOUS TES SOUS-VETEMENTS A CHAQUE FOIS QUE JE FAIS UN PAS DANS CET APPARTEMENT CONNASSE ? » Je repars vers ma douche. Je fais des efforts pour que mes fringues restent dans ma chambre de temps en temps, ce n’est pas pour tomber sur ceux des autres quand je veux me laver. A fortiori quand il s’agit des sous-vêtements d’Erina. « TA GUEULE JE PASSE MA VIE A RAMASSER VOS CALECONS SALE PARTOUT DANS L’APPART TU PEUX SUPPORTER UN STRING UNE FOIS DE TEMPS EN TEMPS NON » Je ferme les yeux un instant. Cette fille a vraiment le don de m’énerver. Elle est insupportable. Je l’aime. Mais je ne la supporte plus. « Bon, tu me soules ok, tu te démerdes mais tu laisses pas tes merdes par terre. » Si un jour on m’avait dit que je ferais chier quelqu’un parce qu’il ne range pas assez bien, je ne l’aurais jamais cru. Il faut que j’envoie un sms à Clément pour lui dire, il sera peut-être fier de moi. « C’est super sexiste comme comportement. Dans cet appart on a le droit de rien faire quand on est une feeeeeeeeeeeemme ! » Je soupire. Elle n’a pas totalement tort. Les sous-vêtements de Loukas et Jorden me perturbent beaucoup moins que les siens. Notamment parce que quand je les trouve, je les lave et je les vole ce qui m’évite de devoir aller faire des courses. Loukas ne s’en est toujours pas rendu compte avec sa mémoire défaillante. Ça me fait beaucoup rire. « A la limite, tu mettrais des trucs qui font moins putes ça me dérangerait moins » Je n’attends pas sa réponse et file sous ma douche. Il faudrait que j’arrête d’insulter les gens pour rien un jour. Mais pas demain. Demain, j’ai poney. Un quart d’heure plus tard, je suis tout beau tout propre. Je secoue mes cheveux pour les remettre en place et mets mes lunettes sur mon nez. Encore cinq minutes et je suis habillé. Je pose mes fringues sales sur le sol de ma chambre et vais rejoindre Erina sur le canapé. « Salut gros connard. » Je ne réagis pas. On ne se parle que comme ça. Je m’allonge et pose ma tête sur ses genoux. Je ferme les yeux et joue doucement avec ses cheveux. Elle est tellement naine qu’ils n’arrivent que 30 centimètres au-dessus de ma tête. Je ne sais pas pourquoi je fais ça. Pourquoi je me sens proche d’elle en ce moment. Mais je suis bien là. J’ai pas envie de bouger. Je sais que si je parle ou si je bouge un petit doigt, nous allons recommencer à nous insulter. Et je veux pas. Pour une fois dans ma vie, j’ai la flemme de m’engueuler avec quelqu’un. La flemme de hurler. La flemme de trouver l’insulte adaptée dans ma liste fournie. Alors je reste là, sans bouger. Et je m’endors.
« Bon, la belle au bois dormant, t’es lourd et tu baves, DEBOUT ! » J’entrouvre mes yeux. Erina me tapote la tête de plus en plus fort. Je m’étire et baille. « Ta gueule. J’ai dormi longtemps ? » Elle hausse les épaules. « Le temps des reines du shopping. Mais là, j’aimerais bien bouger. Sauf que ta tête est tellement grosse que je peux pas bouger. En plus tu t’es endormi avec mes cheveux dans la main, et tu refusais de les lâcher ». Je me sens rougir. Je me lève du canapé sans rien ajouter et me dirige vers ma chambre. Déjà m’endormir sur elle c’était limite. Jouer avec ses cheveux aussi. Mais m’agripper à elle dans mon sommeil et refuser de lâcher prise. C’est très, très, très, très, très gênant. « Tu vas où princesse ? » « Le plus loin possible de toi ». Je ferme la porte de ma chambre et vais m’asseoir derrière ma batterie sur laquelle je tape le plus fort possible. Au moins, le bruit m’empêche de penser à quoique ce soit d’autres. Erina ouvre la porte à un moment. Elle porte son manteau et me dit quelque chose. Je l’ignore. Je me fiche complètement de savoir où elle va. Je veux juste pas penser à elle. Parce qu’elle est trop insupportable. C’est ce que j’essaie de me dire.

PSEUDO/PRÉNOM : ticket to ride/clém(entine). ÂGE : 19 ans. SEXE : ça se discute. VILLE : PARIS CITY AIGHT. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : 1- c'est joli, 2- j'aime ashton 3- le scénario avec ashton est parfait 4- vous aviez l'air marrant 5- c'est dans paris DONC JE SUIS CONTENTE.    IMPRESSIONS : C'EST COMME JE L'IMAGINAIS. FRÉQUENCE DE CONNEXION : whenever wherever c'est à dire dès que j'ai cinq minutes. UN DERNIER MOT ? ... yolo