NOM : Bellamy, patronyme me venant de ma mère qui, à elle seule, a su m'élever comme il fallait. PRÉNOM : Amélie, le prénom de ma grand-mère maternelle que ma mère adorait. SURNOM : Lilie, Amé, Amel. ÂGE : Trente ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 25 Décembre à Paris. ORIGINES : 100% française. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle. STATUT CIVIL : En couple depuis quelques temps avec Benoît. ÉTUDES/MÉTIER : Urgentiste. PASSION(S) : La musique et la mode. GROUPE : L'Elixir de Nina Richie. SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : Scénario de Benoît Vernet.

CARACTÈRE : Amélie c’est le genre de fille qu’on adore. Spontanée, elle réfléchit rarement à ses faits et gestes. Ce qui peut parfois lui valoir des déceptions. Rieuse, elle se moque beaucoup des gens qu’elle aime, les taquinant gentiment. Elle aime l’humour et aime rire aux éclats, autant par le fait qu’on se moque d’elle, que par les blagues qu’on peut lui dire. Déterminée et positive, elle ne se laisse jamais abattre. Son métier d’urgentiste rentre également en jeu. Le fait de tout faire pour sauver une vie, de tout mettre en œuvre pour connaitre la cause du mal du patient, ce ne sont pas des réflexions de médecins ou de chirurgiens qui peuvent la blesser ou lui faire baisser les bras. Elle en a sous le pied et adore son métier. Elle ne laissera jamais un patient sans être vraiment aller au bout du bout. Elle se résignera à avouer qu’il n’y a rien à faire pour le patient qu’à ce moment. Cela peut déplaire et agacer, mais elle est comme ça. Sensible, il lui est arrivé et il lui arrivera de pleurer sur un cas dont elle ne voit pas de solutions. Cette barrière qu’on apprend aux futurs soignants, elle ne l’a jamais mise en place. Elle n’y arrive pas, à considérer un patient uniquement comme patient et rien de plus. Elle prend en compte toutes les dimensions du patient. Consciencieuse, elle fait son boulot comme elle aime le faire. TICS ET TOCS : iciAmélie, elle est accro à la caféine. Elle ne supporte pas l’odeur du tabac froid et déteste les fumeurs. Elle a cette manie de toujours se recoiffer lorsqu’elle rentre dans un magasin. Elle déteste l’hypocrisie et ne se prive pas pour le faire savoir. Une fois par semaine, la jeune femme se commande un repas dans un restaurant qui livre à domicile. Elle est passionnée par son métier et demande même à faire des gardes en plus, bien souvent. Histoire de ne pas passer son temps seule chez elle. Benoît est l’homme qui lui fait redonner confiance en l’amour. Leur relation naissante en est en grand partie la raison. Elle s’entend très bien avec les deux fils de Benoît..

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Montmartre. Non pas pour ses escaliers bien entendu, mais pour cette vue qu’on a de Paris une fois dans ce quartier. Pour ses peintres, pour ses petites boutiques qu’on peut difficilement trouver ailleurs. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? La vie parisienne est quelque chose d'unique. On n'a pas ce genre de vie dans toutes les villes de France. et c'est ce genre de vie que je vis à Paris, qui me plait. Se promener en ville sans forcément savoir où aller mais il y a toujours un endroit à voir, à visiter. Il y a toujours quelque chose à faire dans Paris et c'est ça qui est plaisant. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Bien entendu et comme beaucoup de monde, la circulation presque impossible, le fait de ne pas pouvoir se garer là où on voudrait et aussi facilement, le bruit des klaxons. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Lumineuse, Extraordinaire, Touristique.

« Maman, il est où mon papa ? Il est au ciel ? » Demande la petite fille à sa maman. Elle doit avoir cinq ans et déjà elle pose des questions embarrassantes. Sa mère est mal à l’aise, ça se voit. Elle prend le temps de réfléchir à la réponse qu’elle va donner à sa fille afin que cette dernière soit satisfaite et ne pas poser plus de questions sur le sujet. Elle se demande bien où la petite fille a été chercher cette question, où lui a-t-on parlé de son père mais surtout qui. « Ton papa … il est … Oui, il est au ciel, ma chérie … » Ment-elle à sa fille. La vérité éclaterait bien assez tôt pour se soucier, à l’heure actuelle, de dire la vérité ou non. La fillette n’a que cinq ans, elle a bien d’autres choses à se soucier que de savoir si sa mère lui ment ou non. La fillette semble satisfaite de la réponse de sa maman et elle retourne jouer avec les innombrables jouets qui traînent dans sa chambre de petite fille. Plus tard, dans quelques années, elle posera encore et toujours cette même question, sans qu’on vienne lui apporter des réponses précises. Sa mère feindra toujours de dire qu’il est mort dans un accident de voiture. Et les membres de la famille iront dans le sens de la jeune maman. En réalité, le papa de la petite fille ignore totalement l’existence de la fillette. Tout simplement, parce qu’alors que sa mère allait lui annoncer sa grossesse, cette dernière l’a surpris dans les bras d’une autre femme. Alors elle a prit ses jambes à son cou et l'a alors quitté sans donner plus d'explications. Sauf que la jeune femme, enceinte de quelques semaines, a oublié de mentionné ce détail à la fois futile pour le moment, mais tellement important et existentiel au fur et à mesure que le fœtus grandirait en elle.
La petite fille qui répondait au doux prénom d’Amélie fut donc élevé entre sa mère et ses grands-parents. Entourée d’amour et gentillesse, de générosité et de rires, elle n’a manquait de rien, ou presque. L’absence d’un père se fit de plus en plus ressentir, non seulement par ses questions récurrentes mais aussi par le besoin de la petite fille à vouloir voir son papa, coûte que coûte. Comprenant bien que c’était impossible, elle avait fini par lâcher l’affaire mais s’était juré qu’elle ferait tout, lorsqu’elle serait en âge, pour en savoir plus.

Elle frappe à la porte, espérant de pas se tromper d’endroit. La belle Amélie a maintenant 21 ans et se trouve devant la porte d’un appartement. Pas n’importe lequel, celui qu’occupe son père. Non, son géniteur conviendrait mieux. Elle n’a jamais eu de ses nouvelles et pourtant, elle ressentait le besoin d’aller vers lui, de le connaitre. La personne mit un certain temps avant de venir ouvrir la porte. Quand la porte s’ouvrit, la jeune femme retint son souffle. « Oui, c’est pourquoi ? » Demanda l’homme qui lui faisait face. « Euh … Excusez-moi, je n’aurais pas du venir … » Dit-elle avant de prendre ses jambes à son cou. Elle aurait voulu se faire toute petite, se volatiliser comme une mouche, partir le plus vite possible de là. Elle sentit une main sur son épaule, qui la fit s’arrêter dans sa course et se retourner. L’homme en question voulait en savoir plus sur sa venue. S’il savait ! « Attendez, vous vous êtes bien déplacer pour quelque chose quand même. » En quelques minutes, Amélie se retrouva assise dans le canapé. De son père. Dans le canapé de son père, chez son père. Il lui avait servi un verre d’eau, voyant la pâleur du visage de la jeune femme. Il avait refusé de la laisser repartir dans cet état. « Je crois que … vous êtes mon père … » Avait-elle lâché comme une vraie bombe. L’homme en face d’elle n’en revenait pas. Surtout, il ne la croyait pas. Alors elle se justifia en sortant des preuves irrévocables. Comme l’année où il était sorti avec sa mère, pendant combien de temps, le fait que c’était elle qui avait mis un terme à leur relation sans donner plus d’explications. Puis, elle lui avoua le pire. Que sa mère était enceinte au moment où elle l’a quitté. Il a alors tout compris. Le pourquoi de leur séparation. Sauf que la jeune Amélie lui expliqua les véritables raisons de leur séparation avec sa mère. Et alors il avoua.

« Homme de 45 ans. Accident de la voix publique. En arrêt cardio respi pendant 5 minutes. Tension artérielle à 9/6, Glasgow à 5. Plaies multiples. Constantes stables. » Amélie arrive en courant dans les urgences. Elle ne sait pas encore ce qui l’attend. Un terrible accident de la voix publique vient de se produire en plein centre ville de Paris et un bon nombre de victimes ne va pas tarder à arriver. D’habitude, elle est plutôt envoyer directement sur le terrain. Mais elle avait été de garde toute la nuit et avait préféré se reposer ici même, au sein de l’hôpital. Elle avait comme pressenti l’accident puisque si elle était rentrée chez elle, elle aurait été rappelée aussitôt. Garde de nuit ou non. « Box 4, s’il te plait. » Lui indiquant son collègue, Benoît, avant même qu’elle ne demande où il était nécessaire qu’elle aille. Elle se dirigea alors vers le box en question, suivie de près par ce même collègue. Tous les deux urgentistes, ils prendraient en charge l’homme accidenté. On n’est jamais assez de deux urgentistes sur un même cas de ce genre. « Il s’enfonce, on l’intube. Passer une ampoule d’Hypnovel pour le sédater. » Ordonna Amélie. Ils s’exécutèrent, concentrés et déterminés à sauver la vie de ce patient. Le collègue d’Amélie, Benoît, lui adressa un clin d’œil, signe qu’il était en accord avec les décisions de la jeune femme. Cela fait trois ans qu’ils bossent ensemble, qu’ils se soutiennent, qu’ils bossent en collaboration. Jamais un mot plus haut que l’autre dans chacun des cas qu’ils ont pris en charge mutuellement. Une belle histoire d’amitié s’est crée entre eux. Et pourtant, la jeune femme voudrait tellement plus de la part du jeune homme. Ce dernier étant marié et père de deux garçons, elle ne peut se permettre de tenter quoi que ce soit. Elle a trop de respect pour lui, pour ses enfants et pour sa femme. Malgré qu’elle sache que tout n’est pas rose entre sa femme et lui, elle n’est pas du genre à espérer qu’ils se séparent. Le voyant heureux tout de même, elle s’est fait une raison et a accepté l’amitié qu’il lui donnait, seule chose qu’il pouvait lui donner. Elle a alors lâché l’affaire et a eu bon nombre de conquêtes sans jamais réellement s’investir et y croire. Nombreuses ont été les fois où elle a même été déçu par l’amour, finissant par arrêter d’y croire.

Elle lui avait proposé pour sortir un soir, boire des verres entre potes, entre collègues. Benoît avait accepté. Elle s’était étonné elle-même de lui faire cette proposition, de prendre les devants alors que ce n’était pas vraiment son genre. Elle voulait qu’il décompresse, qu’il pense à autre chose qu’à ses histoires avec son ex-femme et ses enfants. Et elle, elle voulait juste passer une bonne soirée avec un bon pote. En amour, elle a déjà été déçue, malgré qu’elle se soit si peu investie dans ses relations amoureuses. Alors elle n’y croit plus, en l’amour. Elle espère rencontrer l’homme qui lui fera changer d’avis, qui lui sera fidèle, qui lui accordera sa confiance et en qui elle pourra avoir une confiance aveugle. C’est important pour elle la confiance, autant en amitié qu’en amour. Et ça, bon nombre de garçon ont piétiné sa confiance, sans le moindre remords, ni regrets. Mais soit, elle croyait uniquement au fait qu’elle rencontrerait bien un homme qui lui ferait changer d’avis, qui lui ferait changer tout ce qu’elle pense de l’amour. Autrement dit, elle voudrait que cet homme là soit  benoît. Cela faisait certes, trois ans qu’ils se connaissaient. Mais trois ans qu’ils se cherchaient, tout en respectant le mariage de ce dernier, Amélie s’était retiré de la course. Mais n’avait pu s’empêcher de le chercher de temps en temps, de le taquiner. Comme feraient deux bons potes. Alors cette soirée, rien qu’avec lui, était une aubaine. Juste histoire de passer d’autant plus de temps ensemble, entre amis. Sauf que les soirées se sont multipliées, se sont renouvelées. Sauf qu’un soir, il avait tenté et avait embrassé la jeune femme. Ce n’était pas l’envie qui lui manquait à la belle Amélie. Et elle avait surprise du geste du jeune homme. Par la suite, ils ont alors commencé une relation. Une relation tout d’abord cachée aux yeux des autres. Puis, au fil du temps, Amélie a souhaité vivre au grand jour son histoire avec Benoît. Sauf que le fait qu’ils travaillent au même endroit, dans le même service, qu’ils exercent exactement le même métier, n’aide pas et n’arrange pas les choses. Vivre une relation au grand jour au sein d’un hôpital n’est pas toujours vu d’un très bon œil par les autres médecins ou autres personnels. Alors elle attend le jour où ils pourront vivre leur histoire à découvert.

« On se fait un restaurant en amoureux ce soir ? » Demande-t-elle au blondinet en passant ses bras autour du cou du jeune homme. Ce dernier l’enlace alors, serrant ses bras autour de sa taille. « Ca va pas être possible, ce week-end. J’ai les enfants … » Il jette un coup d’œil à sa montre. « D’ailleurs, je vais devoir y aller, j’ai promis aux garçons qu’on dînerait tous les quatre avec leur mère. » « C’est une blague ? » Demande-t-elle. Il l’embrasse furtivement avant d’enfiler une veste et de prendre ses clés. « Je t’appelle dans la soirée, promis. » Et il claque la porte de l’appartement. Elle se laisse tomber dans le canapé, la mine déconfite. Elle s’imagine alors mille et une choses dans sa tête. Elle s’imagine alors que son ex-femme soit toujours amoureuse de Benoît, que les garçons insistent pour qu’ils dorment tous ensemble dans leur maison, comme avant, comme ma famille qu’ils formaient avant. Elle a peur, peur de la fragilité de leur relation naissante. Certes, Amélie adore les enfants de Benoît mais ces derniers ne seraient pas contre pour que leur maman et leur papa soit de nouveau réuni. Il rentrera alors tard dans la soirée, ayant oublié de téléphoner à sa belle dans la soirée. Elle se sera endormie dans le canapé, attendant son appel et l’attendant. Les enfants seront couchés une fois rentrés et Benoît réveillera sa belle, pour qu’ils aillent se coucher à leur tour. Et elle s’endormira sans adresser un mot au jeune homme,  toujours ses questions par milliers dans sa tête. Et lui s’endormira sans avoir pu rassurer sa belle.

PSEUDO/PRÉNOM : Justine. ÂGE : 23 ans. SEXE : F. VILLE : Dans une ville tout à fait au nord de la France. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Coup de coeur pour le forum et pour le scénario. IMPRESSIONS : C'est une bombe comme forum . FRÉQUENCE DE CONNEXION : Dès que possible. UN DERNIER MOT ?   .

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !