NOM : Carpentier; comme ta mère. PRÉNOM : Axel; un prénom bien français c'est un prénom qui en fait à la base est simplement anglais. SURNOM : on ne te surnomme pas. ÂGE : dix-huit ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : vingt août 1997. ORIGINES : françaises. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel STATUT CIVIL : célibataire. ÉTUDES : lycéen. PASSION(S) : ta batterie. lire. écrire. ton appareil photo. ta moto. GROUPE : black opium de ysl SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : scénario de Victoire.

CARACTÈRE : « Intelligent, Axel démontre de bonnes aptitudes scolaires et maintient une moyenne haute malgré son handicap. Cela est certainement grâce à son côté travaillant. Axel démontre une intégrité très forte ne semble pas avoir le besoin de se montrer autrement que tel qu’il est. Peut-être du à son côté artiste, le corps enseignant rapporte qu’en classe il est un rêveur, créatif qui a une tendance à être dans la lune. Pourtant ses notes n’en sont pas affectés. Axel a une tendance à être spontané et cela peut causer des problèmes en cours.

Cependant, Axel est un étudiant plutôt introvertie. Il ne tente pas d’entrer en contact avec les autres étudiants. Le sarcasme est présent et cela a causer plusieurs malentendus auprès de certains étudiants. Peut-être devriez-vous vérifier si ses problèmes d’impulsivité ne seraient pas reliés à un TDAH. En classe, plusieurs enseignants reportent qu’il est irritable et trouve que le matériel donné n’est pas adapté. Malgré tout, Axel reste un excellent élève perfectionniste.
Cependant vous devez comprendre que des comportements comme ceux que votre fils Axel ne sont pas tolérés et que nous sommes dans l’obligation de l’expulser de notre école.

Nous vous recommandons Madame Carpentier, d’inscrire votre fils dans une école adapté pour son handicap. Ci-joint sont quelques écoles que nous vous conseillons.  » - Lettre de l’école d’enfant entendant remise à Victoire lorsqu’Axel avait 13 ans. (Et oui, il a peu changé côté caractère depuis.)

TICS ET TOCS : incapable de supporter une porte ouverte, il referme toute les portes derrières lui. doit regarder absolument tout les soirs par la fenêtre pour s'assurer que sa moto est toujours-là. détourne le regard lorsqu'il est mal à l'aise. bouges beaucoup ses jambes lorsqu'il est assis, cela est pire s'il est impatient ou nerveux.  

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? le 13eme arrondissement, plus précisément la Bibliothèque Nationale de France. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? Vivre avec ta mère. Avoir la chance de voir ta tante souvent. Les ressources pour les sourds pleuvent à Paris et tu aimes ton école. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? la ville. elle pue. t'en a marre. tu étouffe dans celle-ci. tu veux vivre à la campagne. loin des touristes, des gens qui gueulent, de la ville en général.  POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : pourrie. terne. morose.

Tu es né quand ta mère n’avait que quinze ans. Cela fait que ta mère est plus jeune que la moyenne des parents, mais ta mère c’est la plus géniale. Elle l’a toujours été et le sera toujours. Ça a toujours été Victoire et toi contre le reste du monde. Combien de fois as-tu été désagréable auprès d’un prétendant de ta mère pour qu’il ne brise pas votre structure familiale? Tu ne comptes même plus. Tu aimerais qu’elle te parle de ton père, de sa famille, mais elle n’a jamais été très ouverte a tout cela.

Tu avais trois ans. Tu allais à la crèche à tous les jours. Un jour, en rentrant à la maison, tu te souviens d’avoir mal à la tête. Le soir même, tu n’avais pas trop faim et tu faisais une poussée de fièvre. Ta mère t’a simplement mise au lit, croyant que ce n’était qu’un petit rhume. Le lendemain, tu te réveilles. Ton cou est raide, ta tête te fait mal, tu te sens encore fatigué. Tu ne te plaint pas de cela, parce que tu sais que ta mère a d’autres problèmes. Elle t’envoie à la crèche à contrecœur ce jour-là. Cela dure quelques semaines. Jusqu'à un matin où tu ne veux plus te lever. Tu n’entends plus grand-chose. Ton ouïe disparaît tranquillement depuis un moment, mais tu n’avais rien dit. Elle te touche le front, la fièvre ne t’a pas quitté depuis quelques semaines.

C’est alors qu’elle décide que l’heure est venu d’aller à l’hôpital. Là-bas tu n’aime pas trop la lumière vive. Elle te fait mal aux yeux. Tu te souviens de ta mère qui te mis ses lunettes soleil trop grand sur les yeux. Pendant toute l’attente celle-ci t’a tenue dans ses bras, te donnant tout l’amour qu’elle pouvait te donner. À l’hôpital le diagnostic tombe. Une méningite bactérienne bien avancée. On s’occupe de toi à l’hôpital. Tu pleures beaucoup, en fait dès que ta mère n’est par-là tu pleures. Parfois ta grand-mère vient te visiter avec ta tante. Ta tante qui vient d’apprendre à lire et te lit tes histoires du haut de ses sept ans.

En sortant de l’hôpital, on ne donne aucune aide réelle à ta mère. On lui dit que ton ouïe devrait revenir avec les antibiotique qu’ils lui ont donnés pour toi. Pourtant, la méningite part, mais la surdité reste. Imaginez-vous être un enfant de trois ans, vous commencez à peine à faire des phrases claires et à maîtriser le langage un peu. On vous enlève cette possibilité d’entendre. Du jour au lendemain, vous n’entendez plus votre mère vous appelez. La communication devient difficile. Tu pleures beaucoup lorsque tu es seul. Tu ne le montres pas au monde entier, mais ce nouvel handicap te fait la vie difficile. À la crèche, on ne peut plus te prendre, à cause de ton handicap. Vous devez vous adaptez. C’est alors qu’elle trouve un organisme qui vient en aide auprès des gens atteint de surdités et leurs familles. Il y a possibilité pour elle d’apprendre à signer là-bas. Et pour toi aussi. Il existe des thérapies possibles pour que tu puisses apprendre à parler correctement. Aucune hésitation. Corps et âmes, ta mère et toi vous lanciez dans cette aventure.

Les années passaient. Au début, tu allais dans une école pour enfant normaux. Ta mère ne voulait pas que tu ais à vivre les répercutions de ton handicap. Tu détestais cette école. Tu étais un préadolescent horrible et tu t’organisais même pour te faire renvoyer. Une fois cela fait, ta mère t’inscrivait dans une école pour jeunes sourds. Là bas, tu avais parfois l’impression d’être enfermé dans une bulle, dans ton monde, mais tu ne laissais rien transparaître.

Dès que tu pu avoir ton permis, tu le prenais, achetant ensuite une moto. Ton rêve de petit garçon enfin réalisé. Tu avais un petit boulot, tu livrais les journaux depuis tes douze ans, gardant tout l’argent amassé pour ce rêve. Puis, une fois la moto acquise, tu prenais un petit boulot dans un supermarché. Tu places donc les produits sur les rayons et évite le plus les clients, tout en ne montrant pas qu’avec ton handicap tu n’as pas envie de leur répondre. Tu as très peu de patiente envers les gens entendant depuis que ta dernière amoureuse t’as brisée le cœur en te disant que ton handicap rendait votre amour impossible.

Pire? Tu as récemment appris que la famille de ton père n’était pas aussi éloignée que tu le pensais. Tes grands-parents paternels sortent dans le décors aujourd’hui et tu en veux à ta mère de t’avoir caché cela, même si elle avait surement ses raisons. Tu lui en veux et c’est étrange pour toi d’être fâché après elle.

PSEUDO/PRÉNOM : ekoala. ÂGE : 23 ans SEXE : est-ce si important?. VILLE : sherbrooke. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : le scénario me plaisait?. IMPRESSIONS : on me pose beaucoup de questions dans la fiche...Le forum est beau, et me plaît. FRÉQUENCE DE CONNEXION : 4-5 fois semaine. UN DERNIER MOT ? ici.

eh ben alors... où es-tu passé(e) ? ça fait maintenant une semaine que tu as commencé ta fiche, mais nous n'avons plus de nouvelles de toi... comment ça se fait ? ne nous dis pas que tu t'es noyé(e) dans la seine ! ici, le staff est rempli de maîtres nageurs accomplis et encore plus sexy qu'adriana karembeu ! autrement dit, tu n'as aucune excuse, on te sauvera coûte que coûte ! à partir d'aujourd'hui, tu ne disposes donc plus que de quatre jours pour nous demander un délai, sans quoi ton compte se verra supprimé. nous, on n'a pas envie de te laisser partir ! alors reviens-nous, tu nous manques déjà.