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Gauthier Lannaud black opium de ysl JE RESSEMBLE À : evan peters mon amr. CRÉDITS : oim (avatar) + oim (signature). PSEUDO : anaëlle da queen. | Sujet: (F) TAISSA FARMIGA 27/9/2015, 17:42 | |
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cora featuring taissa farmiga
NOM : au choix du moment qu'il s'agit d'un patronyme français. PRÉNOM : cora. il s'agit du prénom choisi par l'ancienne personne qui jouait ce scénario ce pourquoi je propose à nouveau celui-ci, mais il reste négociable. ÂGE : vingt-ans (voire vingt-et-un). elle doit avoir la vingtaine mais je préférerais qu'elle ait quelques années de moins que gauthier. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle bien qu'elle n'ait eu que très peu de relations amoureuses (voire pas du tout, je vous laisse le choix). STATUT CIVIL : ici. ÉTUDES/MÉTIER : ici. GROUPE : au choix, mais je vous conseillerai plutôt black opium ou eden. AVATAR : taissa farmiga, négociable avec freya mavor.
les choses à savoir
+ au niveau du caractère, j'imaginais cora méfiante, perdue, sarcastique, originale, protectrice, observatrice, audacieuse, intelligente, intrépide, vraie, fantasque, impulsive, caractérielle, extrême, compliquée, désinvolte, mystérieuse, solitaire, sensible, secrète + libre à vous d'ajouter d'autres traits de caractère tant qu'ils respectent ceux déjà présents qui, il me semble, jouent un rôle important dans la personnalité de cora. + cora est bien souvent victime de crises de paniques incontrôlables s'apparentant à de la pure folie mais n'étant pourtant ni plus ni moins que la conséquence désastreuse d' un passé qui ne l'a pas épargnée. ce qu'il faut savoir c'est que malgré une instabilité certaine et quelques blessures psychologiques profondes (ce qui lui vaut d'aller très régulièrement chez la psychologue), cora est une jeune fille très intelligente qui sait ce qu'elle fait et ce qu'elle veut. c'est une personne très réfléchie à la folie raisonnée bien que cela ne paraisse pas si évident pour les personnes extérieures. elle a une véritable aversion pour la drogue et tout autre produit illicite du même genre. je vous laisse libre d'en décider la raison. de mon côté, j'avais imaginé qu'elle aurait pu perdre un proche à cause de ce genre de substances destructrices ( overdose de sa mère, son frère, une amie ou autre, par exemple). il ne s'agit que d'une suggestion, mais il ne faut pas négliger le côté " passé chaotique" de l'histoire de cora. + concernant l'histoire, je n'impose rien de plus. les quelques points traités au-dessus sont déjà relativement conséquents je pense. pour le reste, it's up to you ! au besoin, je suis à votre entière disposition de toute façon, et nous aurons l'occasion de discuter de tout ça si toutefois vous êtes intéressé par mon scénario.
entre toi et moi
GAUTHIER LANNAUD ft evan peters + résumé du lien à venir. - extrait de ma fiche :
Comme si de rien n'était. A l'aide de ton index et de ton majeur, tu attrapes la cigarette que te tend Timothée avant de t'affaler sur la canapé, bien calé entre tes deux frères. « Eh, donne-moi ça. Tu sais très bien que c'est pas bon pour c'que t'as. » T'as à peine le le temps de réagir que déjà Quentin t'as confisqué l'objet en question. Tu te sens comme un gamin qu'on puni et ça t'énerve. « Mec, ça va, lâche-le un peu. Ça fait déjà plusieurs semaines que ça va mieux, son état est stabilisé, le médecin l'a dit lui-même. » Tu soupire face à ton aîné qui ne semble avoir aucune envie de te céder ce petit plaisir. Il n'est pas dupe, il est bien conscient que tu ne t'en prives pas dès qu'il a le dos tourné, et la vérité c'est que tu ne t'en caches pas non plus. Il accepte ce fait, c'est déjà pas si mal. Il faut simplement que tu te mettes en tête qu'en sa présence, c'est niet. Tu répliquerais bien que tu fais ce que bon te semble sous ton toit, mais contre toute attente, tu ne bronches pas. Tous les trois, vous êtes plutôt connus et reconnus pour votre entêtement sans borne alors tenter d'en discuter une énième fois avec lui était perdu d'avance. « Ça veut dire quoi "son état est stabilisé" ? Rien du tout. Il vit avec ce problème depuis qu'il est né, ça fait 24 putains d'années que son état est le même, c'est-à-dire, critique. Vous êtes déjà assez de deux pour vous en foutre. Moi, il est hors de question que je joue avec ça. » Tu ne peux t'empêcher de lever les yeux au ciel suite à ses propos. Il prend toute cette histoire à cœur, et tu lui en est reconnaissant, oui. Mais t'as la désagréable sensation d'être materné comme un enfant. C'est pas ton truc. « Dites, ce serait sympa si vous pouviez arrêter de parler de moi comme si j'étais pas là les gars. » Tu te penches vers la table basse et tu pioches quelques chips dans le saladier avant de poursuivre. « J'suis pas à l'article de la mort, j'ai eu le temps de prendre l'habitude de vivre comme ça. » tu te contentes d'ajouter de manière à les rassurer. T'as aucune envie que ta maladie devienne le sujet de conversation de ce soir. Toi, tu te fiches de tout ça. Du coup, tu passes du coq à l'âne presque trop naturellement. « J'ai rencontré une fille. » Tu balances ça comme si tu étais en train de dicter une liste de course, ou au moins un truc aussi sordide. Aussi, tu ne comprends que trop le silence qui accompagne tes propos les quelques secondes qui suivent. Tu vois ton cadet se redresser subitement sur le canapé. Il te regarde les yeux écarquillés de telle manière que t'as l'impression de lui annoncer que t'es enceint. D'ailleurs, tu ne peux t'empêcher de rire face à sa réaction. Tu as toujours pensé qu'il ferait un excellent comédien. C'est Quentin qui rompt finalement le silence, visiblement bien impatient lui aussi d'en apprendre davantage. « Allez... balance. » Tu prends le temps d'avaler une ou deux chips avant de reprendre la parole. « On a discuté... et c'était cool. » « Ouais, eeeeet ? » Une nouvelle fois, tu ne peux te retenir d'éclater de rire au visage de Timothée dont les sourcils arqués, le sourire narquois et le regard inquisiteur le font ressembler comme deux gouttes d'eau à un môme qui viendrait tout juste de jeter un oeil sous la jupe d'une jolie dame. Ce qu'il pouvait avoir l'air idiot. « Et c'est tout. » Une chute on ne peut plus décevante pour les deux commères avides de scoops croustillants que sont tes frères. De véritables gonzesses. « P'tit con va. » T'as à peine le temps de répliquer que ton aîné t'assène sans scrupule une franche tape derrière la tête, coup que tu décides de prendre pour une marque d'affection. « Dis donc mon vieux, j'espère que t'es au courant que t'es aussi inutile que les lignes bleues devant les caisses de supermarché. » Ok, t'as probablement jamais été essentiel à l'humanité, mais là tu pourrais presque être vexé si t'avais pas pris pour habitude de laisser les délires de Tim voler au dessus de ta tête. « Attends, t'as pas eu de copine depuis... » « Depuis Mathusalem ! » « Ouais... exactement ! Et quand enfin tu pourrais en avoir une en poche, tu te contentes de... parler ? J'vais te dire Gauthier, t'es qu'un sale abruti. T'es perdu ! » Tu réprimes un rire tandis que tu t'enfournes une nouvelle poignée de chips dans la bouche. Tu sais pas trop d'où lui vient ce talent pour les grands tragédies, mais ça lui va plutôt bien. Et c'est sûrement ça le pire dans toute cette histoire. Des copines, t'en veux pas. Les filles sont des nids à emmerdes. T'as assez donné. « Eh ! Moi au moins j'en ai eu... Tu peux pas vraiment en dire autant toi, p'tit puceau ! » Tes éclats de rires se mêlent immédiatement à ceux de Quentin qui n'en manquerait pas une pour enterrer le môme de la famille. T'es certain que pour ça, même dans cinquante ans vous vous serrerez toujours les coudes. Tu observes finalement la réaction de Tim, et en déduis rapidement qu'il va tenter de se défendre coûte que coûte : le nez froncé, les lèvres légèrement déformées par une moue exagérée, le regard menaçant (ou presque)... trois, deux, un... « Je suis PAS puceau ! C'est juste que... inutile de détourner la conversation. T'es incapable de saisir ta chance, c'est toi l'idiot ! » « Pas si idiot... je suis sûr que je vais la revoir. » A la tête de Quentin, tu devines déjà qu'il en doute plus encore qu'il ne doute en les capacités de Tim à faire la grève de la fin en plein milieu d'un fast-food - chose bel et bien impossible, t'en conviens. « Ouais bien sûr... t'es plutôt mignon quand t'as de l'espoir, mais la naïveté c'est pas franchement très viril... tiens, regarde Tim ! » Le temps de se prendre un coussin en pleine gueule, il poursuit. « J'te fais un topo rapide. Y'a environ 2 300 000 personnes qui vivent à Paris au moment où j'te parle. Ça t'aide à redescendre sur terre ou faut que j'développe ? » Que rabat-joie. Tout bien réfléchi, il l'avait bien mérité ce coup de coussin. « Je l'ai rencontré dans la salle d'attente la dernière fois que j'ai eu rendez-vous chez la psychologue. » Silence prévisible. Étrange malaise. T'as sûrement merdé en disant un truc qui fallait pas. Tu lèves machinalement les yeux au ciel alors que tu comprends finalement d'où vient le problème - si tant était qu'il y en avait un. « Nan attendez les gars, je vous vois venir mais... » « Parce que tu tapes dans les folles maintenant ? Gauthier, sérieux... arrête tes conneries. » Un lourd soupir s'échappe de tes lèvres sans même que tu ne t'en rende compte. Pour une fois, tu trouves son esprit bien étroit. T'as bien du mal à dissimuler cette pointe de vexation qui pointe le bout de son nez. D'un geste vif, tu reprends la cigarette qu'il t'avait confisqué quelques minutes plus tôt, et entreprends de terminer ce qu'il en reste, qu'il le veuille ou non. « Quentin, sois pas stupide. Moi aussi j'y vais régulièrement chez cette satanée psy, et alors quoi ? ça n'implique pas que je sois taré, si ? » T'ignores encore la raison de sa présence là-bas, mais t'es qui pour évaluer l'insanité des autres toi ? Tout ce que tu sais, c'est que vous avez discuté, et que c'était bien. Et que c'est tout ce que t'avais à dire à ce sujet qui vaille le coup d'être entendu. « Ouais bon, t'es pas non plus un exemple de normalité indéniable, t'es quand même vachement idiot... MAIS il faut bien avouer que là, tu marques un point. » Il hausse finalement les épaules comme pour s'excuser auprès de Quentin. « Désolé mec. » Tu accueilles avec plaisir la remarque de ton cadet qui pour une fois joue en ta faveur, même si ce n'est qu'à moitié. « Elle est pas folle, elle est... spéciale. » Tu crois avoir trouvé le mot juste. Celui qui lui va au teint, celui qui lui colle à la peau. Celui qui te pousse effectivement à croire qu'elle a simplement une autre vision du monde que la tienne, que la leur... que toutes les autres. Un sourire fend tes lèves. Timothée brise ton délire. « Pitié, tout mais pas la niaiserie. On arrête là ok ? Aucune objection ? PARFAIT ! » « T'es jaloux parce que t'es puceau. » Le pauvre, t'aurais presque de la peine pour lui. Au fond il ne mérite pas cet acharnement permanent et infondé (ou un peu fondé quand même mais la question n'est pas là). Toutefois, t'as pas vraiment de remords. Après tout, Quentin a visiblement à peu près autant de scrupules que toi, c'est-à-dire aucun. « C'est petit ce genre de conspiration, vous savez... mais c'est pas grave, je vous regarde d'en haut. » Ses yeux plissés qui lui donnent un air de fouine anéantissent si brusquement le peu de crédibilité qu'il avait encore que t'en ris sans honte. Il te suis lui-même, rendant ainsi cette piètre tentative de conversation sérieuse à néant. Selon le théorème des Lannaud, ça termine toujours de cette façon lorsqu'on rassemble trois idiots dans une même pièce.
si vous le souhaitez, vous pouvez également lire un extrait de la fiche de l'ancienne cora, tous droits réservés à la personne l'ayant écrit bien entendu. la demoiselle n'avait pas de pseudo mais il va sans dire que le copyright est interdit. par ailleurs, je ne vous demande pas de reprendre la même histoire au détail près, au contraire, je préfère que vous vous appropriez le personnage, mais si ça peut vous aider à situer davantage le personnage, voici l'extrait en question. - extrait :
Je déteste tout chez elle. Mais alors vraiment tout. Sa voix calme, insupportable. Son putain de canapé destiné à accueillir les petites fesses de tous les dérangés de la ville. Il ressemble vraiment à rien, ce fauteuil. Je détèste sa manière condescendante de me dire les choses. Comme si j'allais lui sauter à la gorge sans prévenir. Je déteste cette manie qu'elle a de faire semblant que tout va bien, que tout peut être réparé, alors qu'au fond, elle ressent uniquement de la pitié pour les gens comme moi. Les gens irrécupérables. Je déteste sa coiffure, aussi. Parce que ces bouclettes 60's, ça lui va tellement pas. Je déteste son attitude qui se fonde uniquement sur sa manie à s’immiscer dans mon âme comme un gourou charismatique en recherche d'adeptes, alors que mon principal but sur cette terre est de parvenir à empêcher toute intrusion dans mon esprit déjà suffisamment détraqué. Je repousse, c'est ce que je sais faire de mieux. Et elle, elle est formée pour encaisser ça. Et je déteste ça. Je déteste son attestation de réussite décernée par la fac, encadrée, accrochée au mur. Comme pour montrer qu'elle était légitime, qu'elle a les compétences. Or, si elle ne les avait pas, je ne serais pas obligée de me pointer dans ce fichu bureau. Pour conclure, ce bout de papier ne sert strictement à rien. Mis à part à rappeler combien elle est supérieure parce qu'elle se trouve être la seule sur ces territoires hostiles à contrôler ses pensées, à jauger ses capacités, à cerner sa santé mentale. Et pour quelqu'un qui te radote à longueur de journée "il n'y a pas de mal à demander de l'aide, à saisir une main tendue, parce que nous sommes tous égaux. Nous rencontrons tous des problèmes, personne n'est fou. Nous sommes tous au même niveau et bénéficions des mêmes ressources ", bah, je trouve que c'est bas. Qu'il n'y a rien de plus hypocrite. Enfaite, c'est même ça le problème. La salle, la psychologue, le bureau, tout regorge d'hypocrisie. Et j'étouffe. Mais il m'a aidé à respirer. Parce qu'il a été ma bouffée d'air frais psychologique. Ce jour là, je me sentais prise au piège, comme à chaque fois. Je me poussais à me remémorer les raisons pour lesquelles il était nécessaire que je me présente à ces rendez-vous. J'avais beau le nier, des raisons, il y en avait quand même pas mal. Alors, une fois de plus, j'attendais. Et il attendait, lui aussi. L'air aussi perdu que moi. Du genre "mais qu'est ce que je fous là", tout en sachant très bien pourquoi il se trouvait dans ce lieu qui ne lui ressemblait pas. Il avait ce regard sombre, cette coupe de cheveux en broussaille, cette attitude désinvolte, ce minois particulier, ce charisme à la kurt cobain. On a parlé, simplement. Et Dieu (en admettant qu'il existe, ça va de soi) sait à quel point ce que la communauté appelle "conversation normale" peut paraître très inaccessible, en ce qui me concerne. Après tout, c'est pas pour rien si je me retrouve dans cette salle d'attente, interpellée deux fois par semaine par une spécialiste en "comportements spéciaux" (dirons nous). Mais justement, dans cette salle d'attente, avec lui, je me sentais bien. Et c'était agréable. Ce garçon ? Mignon, très mignon, certes, je ne pouvais pas le nier, mais pas seulement. Il a quelque chose. Il a vraiment quelque chose. Quoi, j'en sais rien. Même moi, j'en ai aucune idée. Et ce truc a réalisé l'impensable, l'impossible, l'irréalisable. Il m'a fait réfléchir. M'a invitée, sans s'en rendre compte, à me dire qu'en réalité, il y aurait peut-être des raisons, désormais, qui me pousseraient à me rendre dans ce bureau. Et surtout, ce truc, il m'a conduit jusqu'à mon père. « C'est bon. Je vais y aller, chez ta psy. Mais que les choses soient claires : je ne le fais pas pour toi. Et ne crois pas que ça va changer quoi que ce soit. Ca ne va rien m'apporter, ça ne va rien résoudre, ça ne va pas me rendre heureuse, et ça ne va encore moins te rendre la fille. J'irai, point barre. Ca ne te donne en aucun cas le droit de te renseigner à ce sujet. Ni de me demander des comptes, ni même de t'inquiéter auprès du cabinet pour savoir si je me rends bien à mes rendez-vous, ou non. Ca me regarde. Et le jour où je trouverai un boulot, je partirai d'ici. De chez toi. Le jour même. En attendant, on va devoir se supporter. Et crois moi, vivre avec moi, c'est plus compliqué que ce que tu as pu imaginer. Mais je te souhaite pas bonne chance. Parce que tout ce bordel, tu l'as voulu. En attendant, oui. J'irai chez ta psy. ». Enfaite, le "truc" de ce garçon, m'avait poussé à faire quelque chose dont je ne me serais jamais cru capable jusque là. Du coup, j'ai envie de dire que oui. Oui, ce truc pourrait être important. LUANA KELLER ft scarlett leithold + lien à définir entre vous. je pense que celui-ci se dirigera davantage vers quelque chose de négatif. |
| | | Gauthier Lannaud black opium de ysl JE RESSEMBLE À : evan peters mon amr. CRÉDITS : oim (avatar) + oim (signature). PSEUDO : anaëlle da queen. | Sujet: Re: (F) TAISSA FARMIGA 27/9/2015, 17:42 | |
| petit message du créateur
Bonjour, bonsoir, bon matin, bonne nuit... bref, bon tout ce que vous voulez. Pour commencer, un immense merciiiiii d'avoir jeté un oeil à mon scénario et donc de vous intéresser, ça me fait le plus grand des plaisirs. Franchement avouez ce lien dépote tout, pas vrai ? techniquement vous n'avez pas le droit de dire non En plus, Evan et Taissa sont si choux ensemble. Mais bon voilà, en tant que créatrice, j'ai forcément quelques exigences (je vous promets qu'elles sont microscopiques, n'ayez pas peuuur). + Pour commencer, l'avatar est négociable avec Freya Mavor par exemple (parce que je l'aime d'amour et que je trouve qu'elle pourrait tout aussi bien coller au personnage). Je l'avoue, je suis un peu difficile concernant les avatars mais n'hésitez pas à me faire des propositions dans l'éventualité où le lien vous ferait de l'oeil mais pas les célébrités. cependant, pour être honnête je préfère que quelqu'un choisisse mon scénario pour le lien plutôt que pour l'avatar. Après tout, c'est avant tout le lien que j'ai envie de développer. + Concernant les rps en eux-mêmes, je ne demande rien d'autre que le minimum de lignes imposé dans le règlement. J'ai tendance à écrire beaucoup quand je suis lancée mais je ne veux pas que ça vous effraie. ne changez en aucun cas vos habitudes. du moment que le rp avance, qu'il est bien écrit et que je ne joue pas toute seule, le nombre de lignes m'importe peu. + Au niveau de la présence, il va sans dire que je ne veux surtout pas de membre fantôme. Les gens qui donnent de faux espoirs en s'inscrivant mais ne reviennent plus ensuite, ça a tendance à m'agacer fortement. Je ne vous demanderai donc qu'une seule chose : si vous souhaitez prendre ce scénario, assurez-vous d'avoir assez d'envie et de temps pour jouer ce rôle. Edit du 08/05/16 : Depuis que ce scénario a été créé, j'ai vu passer un nombre incalculable de Cora. Pour autant, aucune n'est jamais restée (comme vous pouvez le constater puisque le lien a été remis en jeu) mais en plus de cela, je n'ai jamais pu faire une seule scène. Des faux-espoirs, j'en ai eu, et en toute honnêteté, je suis fatiguée de tout ça. Du coup, ne vous inscrivez pas si vous avez pour habitude de vous inscrire sur des forums sur un coup de tête et de disparaître ensuite, par pitié.Et puis surtout, n'hésitez pas à aller demander des liens aux autres membres, à jouer avec eux, à flooder, à aller sur la cb... j'aime que mon scénario soit présent sur le forum également en dehors de la zone de rp. ça peut paraître un peu bête comme conseil de prime abord, mais c'est toujours plus agréable (que ce soit pour vous, pour moi ou pour les autres membres). et puis l'intégration se fait très facilement je vous promeeets ! Je crois avoir fait le tour, mais de toute façon, si vous avez la moindre question, je suis à votre disposition. Les portes du forum vous sont grandes ouvertes, mes bras vous sont grands ouverts, mon lit vous est grand ouvert. Bref, la totale. Il va sans dire que si vous prenez ce (superbe) scénario, vous aurez ma reconnaissance éternelle (et même des crêpes parce que je suis trop gentille) Avouez que c'est tentant... Alors justement, laissez-vous tenter !
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