NOM : Andrews. PRÉNOM : Amir. SURNOM : Amiri. ÂGE : 30. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Juillet 1985 à Lataquié (Syrie). ORIGINES : Britanniques et Libanaises . ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro. STATUT CIVIL : Célibataire prétendant être marié. ÉTUDES/MÉTIER : Ingénieur en télécoms devenu soldat. PASSION(S) : le football et la cuisine (il répondra la photo si on lui demande). GROUPE : Black Opium d' YSL je pense. SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : Inventé.

CARACTÈRE : Courageux; loyal; pessimiste; curieux; taciturne; entier; travailleur; simple; mauvais perdant; observateur. Tout ça c'est bien beau mais ça ne dit rien du tout; comme tout le monde il change d'humeur, mais ce qui est sur c'est qu'il sourit moins qu'avant, que ses yeux se perdent plus souvent dans le vide, qu'il est plus discret; avant, ah avant, si vous l'aviez vu vous ne l'auriez pas reconnu! Travailleur et appliqué il l'a toujours été, mais avant il était jovial et sociable; c'est tout l'inverse aujourd'hui.  TICS ET TOCS : Alcoolique; insomnies; s'arrache la peau des lèvres; resale systématiquement; a peur des endroits clos; cache autant qu'il peut ses cicatrices; regarde tout le temps où il met les pieds; décroche toujours à la première sonnerie; n'aime pas les cols roulés ni les étiquettes dans le cou d'ailleurs; commence ses phrases en arabe, passe à l'anglais finit en français et jure en italien; ne mélange jamais le whisky. .

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? Un restaurant Libanais. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? La paix par dessus tout, l'élégance des gens dans la rue, la nourriture française. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? Le froid, la pluie, les embouteillages et les prix excessifs bien sur. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : Je dirais Douce, pour les voluptueuses courbes de la Seine; Cultivée, pour les arts et l'Histoire qu'elle donne à vivre; et enfin Surprenante car on ne connait jamais tout Paris.

Il aimait le métro, paradoxalement lui qui avait peur des endroits clos, il aimait le métro de Paris. D’abord il n’y pleuvait pas, logique, ensuite il y a avait toujours du monde, des gens pressés, des concentrés, des bourrés ; des gens souvent très égoïstes et peu bavards, pas comme chez lui, mais des gens qui vivaient en paix, tout simplement. Et cela faisait qu’il appréciait beaucoup le métro. Souvent il se plaisait à imaginer le prénom des gens, leur histoire, leurs pensées à cet instant. Comme un gosse, mais il faut dire que lui n’avait pas d’écouteurs ni de livres numériques pour passer le temps. Contrairement aux enfants français d’ailleurs. Il descendit de la rame à la station Convention, il aurait pu pousser jusqu’à Boucicault (cette façon de parler des lieux avec leurs noms de stations de métro, décidément très parisienne le faisait toujours sourire), mais il préférait marcher un peu, pour fumer sa dernière cigarette avant de rentrer chez lui. Enfin, chez eux, ou plutôt là où on les avait mis.
On était le 26, six mois déjà qu’ils étaient arrivés, épuisés, inquiets, après un périple de plus de quatre mois. Lui l’avait rencontrée en Turquie, deux semaines après son départ. On lui avait expliqué que les couples mariés n’étaient pas expulsés, que c’était encore mieux avec un enfant. Comme il n’y avait pas d’enfant, ils sont restés à deux. A partir de ce jour, ils étaient mariés si on le leur demandait, on avait même donné de faux papiers pour le prouver. Ils ne s’étaient pas parlé le lendemain, ni pendant les quatre jours à attendre le coup de fil du passeur. Il avait payé plus, et avait eu la chance de grimper dans un cargo en route vers l’Italie. Le reste du voyage était tellement long encore ensuite…il cessait d’y penser et marchait dorénavant d’un pas plus appuyé, comme pour fuir ces souvenirs. Une fois devant l’immeuble il ne prêtait plus attention depuis longtemps aux détails, au début, voir la lumière aux fenêtres le surprenait, ici c’était courant, et ce n’était pas dangereux, pas de couvre-feu. Alors aujourd’hui il ne faisait plus attention, et se contentait d’ouvrir, le digicode ne marchait pas, il suffisait de pousser la grande porte en verre pour entrer dans le hall. Il habitait au sixième étage, sous les toits, c’était curieux car le plafond était oblique, ‘mansardé’ comme on dit en français. Intrigué, il avait voulu savoir le pourquoi du comment. Des restes de sa formation d’ingénieur, son autre vie. Avant qu’il ne soit appelé pour faire son service, avant qu’il ne combatte, et avant qu’il commence sa troisième vie : celle d’immigré.
Elle était déjà rentrée, et dès le palier passé il pouvait sentir l’odeur du miel. Sans doute préparait-elle un plat de chez-eux. C’était toujours bon, il n’avait pas à se plaindre ; et puis, cela lui rappelait sa maison, sa famille. Il ne s’attardait pas trop sur la famille, car elle lui manquait terriblement. Surtout sa petite sœur Nisrine. Les enfants auraient dû partir avant lui.
En entrant dans la cuisine, alors qu’il la regardait s’affairer, elle dû sentir sa présence car sans se retourner, elle lui dit : « Il y a une lettre pour toi. Elle était sous la porte ». Il ne répondait rien, regardait vers la petite table de la petite cuisine, il y avait bien une enveloppe. Il ne comprenait pas, il ne recevait pas de courrier, personne ne savait. Et pourtant, en s’approchant il pouvait bel et bien voir ce qu’il y avait sur l’enveloppe. Il reconnut immédiatement son nom, et en haut à gauche, l’adresse de l’ambassade de Syrie à Paris. Ils les avaient trouvés.

PSEUDO/PRÉNOM : Piccolo. ÂGE : 24. SEXE : M. VILLE : Strasbourg pour le moment. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : Retour au rp. IMPRESSIONS : C'est posé, pas trop agressif visuellement. FRÉQUENCE DE CONNEXION :3/7. UN DERNIER MOT ? Jean-Pierre.

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !