NOM : carr. c'est peut être court, un peu brut mais ça a le mérite d'être clair.  PRÉNOM : cézanne, vous savez comme le peintre français paul. mam' était amoureuse de ses tableaux alors forcément... SURNOM : céz, point barre. ÂGE : vingt-cinq DATE ET LIEU DE NAISSANCE : trois juillet mille neuf cent quatre-vingt-dix à paris. ORIGINES : français. ORIENTATION SEXUELLE : pourquoi s'priver bordel ? STATUT CIVIL : célibataire. ÉTUDES/MÉTIER : gros cancre, élève sans avenir, ambition zéro. j'dresse encore les appréciations merdiques de mes vieux bulletins scolaire ou on s'en carre ? autrement j'suis maçon. ça casse le dos et puis le béton bousille les doigts. j'suis pas à mes premières brouettes et ça arrive parfois de se prendre quelques coups dans la tête. PASSION(S) : le skate, la musique et les sensations fortes. GROUPE : black opium de ysl SCENARIO OU PERSONNAGE INVENTÉ : personnage inventé.

CARACTÈRE : on dit que j'ai un caractère de merde et les gens n'ont pas tort. j'suis peut être le gars le plus contradictoire qui existe, en plus d'être pessimiste. j'crois ni en moi, ni aux autres. j'suis même pas certain d'être heureux au fond. en vrai, je veux pas me poser la question, je réfléchi déjà trop alors si c'est pour me torturer davantage l'esprit, non merci ! j'suis pas vraiment un mec agréable et pourtant - je comprends pas, j'intéresse les femmes et certains gars. je les vois, à se retourner derrière moi. de quoi j'ai l'air franchement ? on a rien a envier à un pauvre con dans mon genre. ils devraient apporter plus d'importance à ceux qui en valent la peine. j'suis pas le mec idéal, c'est vrai. j'suis vulgaire, je m'énerve parfois pour un rien. je ne parle pas de mon passé, j'ai peu de conversation. et quand l'envie me prend d'être un connard, je m'envoie en l'air avec un gars ou une nana, ça dépend de l'humeur - il ou elle pense toucher le gros lot en passant une nuit dans mes bras. il n'y a vraiment rien d'exceptionnel. j'suis une brute, un ours mal léché. et ce qu'ils ne savent pas non plus c'est que quand j'ai finalement décidé de me laisser aller, d'être présent, je peux me montrer carrément possessif et carrément chiant. très vite jaloux, j'en suis même parfois parano. voyez, on y gagne rien à me fréquenter. on perd juste son temps, entre engueulades, ennui et agacement. j'suis vraiment pas un mec bien, pas un petit ami potentiel. j'suis une bête difficilement apprivoisable. une telle gueule pour quoi ? cacher l'ourson qui se cache derrière mon regard sombre ? foutaise, c'est vraiment cliché. faut pas croire aux miracles, faut pas avoir foi, point. traces ton chemin, ça vaut mieux pour toi. TICS ET TOCS : au lycée, j'étais le genre d'élève que les professeurs détestaient : branleur, moins que rien, casse-cou(illes), vermine, morveux, insolent, bavard, perturbateur. on continue comme ça ou vous avez compris ? + j'fume comme un pompier. alors oui c'est mal mais putain ta gueule avec ta morale. + j'passe souvent ma main dans les cheveux + j'suis un grossier personnage, pervers sur les bords, égoïste, je m'en foutiste. + j'ai jamais quitté paris et j'partirai sans doute jamais. même si des fois j'en ai plein mon cul, c'comme ça, j'aime trop c'te ville pour m'barrer. + j'suis pas le genre de type à me soucier de ce que les gens pensent de moi. qu'est-ce que j'm'en branle ! j'les emmerde, on peut pas plaire à tout l'monde façon. on est tous la tête de con de quelqu'un. + j'suis monté la première fois sur un skate à cinq ans + l'absence de ce connard de père a fait de moi un enfant turbulent, difficile et un ado instable. j'me faisait une joie de faire des conneries. j'ai passé beaucoup de temps en colle, dans le bureau du directeur mais je n'ai jamais eu affaire à la police. + pas très sentimental, voire pas du tout, les seules personnes auprès de qui je m'autorise à être tendre est ma mère et mon p'tit frère. et encore j'le cache bien. + son petit frère est autiste. + j'suis pas fidèle et c'est bien pour ça aussi qu'il vaut mieux ne rien espérer sentimentalement parlant avec moi. les relations sérieuses, ce n'est pas mon truc. c'est un foutu bordel ! + j'aime le sexe. + mon berger allemand s'appelle hank. + j'porte souvent mes t-shirts à l'envers et alors ? + j'ai de nombreux tatouages mais aucun piercings. + j'ai toujours plus ou moins su que j'étais attiré par les deux bords. + j'suis insomniaque. + je préfère les filles naturelles et craque énormément pour le bronzage intégral. un corps halé ça a toujours son petit effet. + les hommes aussi, je les aime simples. j'aime plutôt ceux qui font plus jeunes, type têtes de puceaux. + sexuellement, j'suis dominant avec les filles et les garçons. j'aime bien avoir le contrôle. + j'ai un regard très sombre, profond et transperçant. + j'ai peur de l'orage. + j'ai une collection très importante de vinyles.

QUEL EST L'ENDROIT QUE TU PRÉFÈRES A PARIS ? montmartre. QU'EST-CE QUI TE PLAÎT LE PLUS DANS LE FAIT DE VIVRE ICI ? tout simplement le fait qu'on soit en france. ET CE QUI TE PLAÎT LE MOINS ? la circulation, c'est vraiment le gros bordel pour conduire. les touristes aussi c'est gavant et puis le métro, putain j'aime pas y foutre les pieds. POUR FINIR, DÉCRIS LA CAPITALE EN TROIS ADJECTIFS : dynamique, grandiose, riche (culturellement - enfin même riche tout court mais ça...pas tout le monde l'est.)

année 2000.
l'heure de l'école est fini. tu as hâte de retrouver tes parents pour leur montrer un peu tes progrès en mathématiques. il faut dire que ça te surprend aussi avec la bonne note que tu as eu à ton dernier contrôle. fièrement, tu agites la copie au-dessus de la tête. tu traverses la petite cour avec hâte pour entre dans la maison. "maman, maman !" tu cries presque. papa est encore au travail à cette heure-ci. "devines quoi ?" tu laisses ton cartable dans l'entrée et files jusqu'à la cuisine. mais elle n'est pas là ; tu l'appelles encore un peu puis finalement tu décides de monter. un peu plus moins euphorique, tu te rends compte que la maison est bien silencieuse. c'est à ce moment là que tu entends des pleurs. ceux de ta mère. tu la retrouves, assise aux pieds de son lit. elle pleure des larmes de crocodiles. ça te fait tellement bizarre. tu l'as toujours vu forte ta maman mais ce soir, tu la vois autrement.  vulnérable et fragile. triste. dévastée. "maman." tu lâches ta copie qui fini par voler un instant en l'air avant de retomber sur le parquet de la chambre. "papa est parti cézanne. il ne reviendra plus." elle continue a t'expliquer pourquoi. tu as beau avoir dix ans, tu mûris d'un coup. tu prends cet air d'adulte qui ne te quitteras plus : cette sévérité qui s'installe dans les moindres de tes traits et cette colère au fond de tes yeux. elle avait rendez-vous à l'hôpital aujourd'hui, tu te souviens. les médecins lui ont dit que le bébé serait autiste. et ton père, cet enfoiré, il s'est barré juste après. il a prit ses affaires et il est parti comme un lâche, un homme méprisable. le super héros de ton enfance n'est en fait qu'un imposteur et un malpropre. ce voyou, cette sale vermine, ce bandit, ce salaup. connard ! tu te jures d'être là pour ta mère et ton petit frère, d'être un peu la figure masculine qui manque à la maison. tu retiens tes larmes car mine de rien t'es quand même un môme qui perd un parent. ça te rend triste malgré la haine qui brûle en toi. alors, tu serres des dents, tu fronces les sourcils, tu refoules les pleurs et tu viens sur les genoux de ta mère. tu la serres contre toi et ta main, tu la poses sur son joli ventre rond. protecteur. "je t'aime. toi aussi petit frère."

aujourd'hui.
le premier moment que tu préfères dans la journée, c'est quand tu t'assois dans ton vieux pick-up. alors, tu soupires une première fois et passes ta main crasseuse et abîmée dans tes cheveux. tu râles car ils accrochent, tellement il y a de la poussière incrustée. t'es crade de la tête aux pieds. tu schlingues tellement tu as transpiré. tu ferais tomber les mouches, sérieux. mais c'est comme ça, t'es pas un homme d'bureau. tu passes pas ta journée, le cul collé à une chaise. tu glandes pas à la machine à café. tu ris pas avec les collègues des derniers potins de l'entreprise. un tel à coucher avec un tel à même la photocopieuse. et alors ? c'était comment ? tu regardes pas les nuages par la fenêtre de ton bureau car tu t'emmerdes après une énième partie de candy crush sur ton téléphone. non. ils font vraiment pas partie du même monde ces gens là.
tu ne rentres pas de suite chez toi. d'abord, tu files chez ta mère pour la retrouver elle et ton petit frère manu. elle ne travaille plus depuis qu'elle est enceinte. ton petit frère est né pendant l'hiver deux-mille-quatre. elle est donc mère au foyer et s'occupe de lui h24. elle est très courageuse. à avoir élevé ses fils toute seule. tu n'as pas été un cadeau pendant quelques années. c'est vrai, tu t'attirais toujours des ennuis, tu étais insolant et vraiment très instable dans ta scolarité. elle passait pourtant des heures à te rassurer et as te dire que tout se passerait bien, que tu n'avais pas à grandir trop vite ; que ce n'était pas ton rôle de s'occuper d'elle. tu le faisais tout le temps. tu as négligé tes études pour venir en aide à ta mère et à ton frère. quand on parlait mal d'eux, tu entrais dans une colère noire et il était presque impossible de t'arrêter. tu as même bien failli être viré plusieurs fois de ton collège ou de ton lycée.
et après avoir passé une bonne partie de la soirée avec eux, quand manu est au lit, tu parles avec elle le temps de boire un café et de manger un chocolat suisse.
vient enfin le deuxième et dernier moment que tu préfères dans la journée. c'est quand tu te couches. tu te glisses dans ton lit et tu fermes les yeux pour essayer de décompresser l'espace de quelques instants. il est difficile pour toi de trouver le sommeil alors quand il ne se fait pas languir, tu te mets rapidement en position foetale. tu te laisses emporter par la fatigue ; parfois vers des rêves délicats et reposants ou quand tu n'as pas trop de chance, dans un monde ténébreux et agité.

PSEUDO/PRÉNOM : adoko/pauline. ÂGE : vingt-trois. SEXE : fille. PAYS : france. RAISON(S) DE L'INSCRIPTION : mon amour pour le rpg. IMPRESSIONS : wahou ! FRÉQUENCE DE CONNEXION : tous les jours. UN DERNIER MOT ?    

bravo, bravo, tu es venu(e) à bout de ta fichounette et tu as été accepté(e) à Paris. maintenant tu es libre de faire tes premiers pas en toute tranquillité - mais pas trop quand même. tu débarques peut-être en solitaire alors vas vite te faire de nouveaux amis qui n'ont qu'une envie : t'avoir dans leur agenda. ne sois pas triste s'il te manque quelqu'un dans ta vie, file créer son scénario pour le voir débarquer près de toi et te redonner le sourire. en plus, tu as la possibilité de demander des liens pour ce fameux scénario aux autres petits membres, et même de te proposer pour combler le vide de quelqu'un d'autre en te rendant par-là. en attendant, si tu es un fou/une folle de rp, accro jusqu'à la moelle - oui oui, on comprend ça très bien - tu peux aller rechercher un partenaire, le staff se chargera de vous concocter une petite scène juste pour toi et tes nouveaux amis. t'as vu comme tout le monde est mignon ici ? alors n'hésite pas à débarquer sur le flood et/ou la chatbox pour devenir le number one du délire. ne t'en fais pas si tu as un peu peur de faire le premier pas : les petits timides, on leur fait de gros câlin, et on les aide à s'intégrer grâce au parrainage. et puis si tu nous aimes, tu peux même voter pour nous, on te fera des crêpes pour te remercier ! on est un club de folie nous, et on a hâte de partager des tas de choses avec toi ! en attendant, amuse-toi bien parmi nous !