Albane Garnier eau de toilette CRÉDITS : (ava) dreazy. (sign) anaëlle. PSEUDO : FREAKSHOW (laurine). | Sujet: (F) ZOELLA SUGG 28/12/2014, 16:15 | |
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juliette nom featuring zoella sugg
NOM : au choix. PRÉNOM : juliette et si ce prénom est déjà pris, choisir un prénom commençant par ju' comme julia, justine, julianne, judith julie...). ÂGE : vingt ans. ORIENTATION SEXUELLE : au choix. STATUT CIVIL : au choix. ÉTUDES/MÉTIER : vendeuse. GROUPE : au choix. AVATAR : zoella sugg.
les choses à savoir
☆ plutôt dynamique, boudeuse, bavarde, rancunière, franche, rêveuse, douce, fantaisiste, généreuse, têtue, jalouse, impulsive, chiante. ☆ ne tient pas en place, a toujours besoin de bouger, de rigoler, de faire toutes les conneries du monde. ☆ poste des vidéos sur youtube, sur ce que vous voulez. ☆ la famille tient une place très importante à ses yeux. ☆ a deux papas, ses parents étant un couple d'homosexuels. ☆ babane est sa meilleure amie depuis presque toujours. isaac est un ami d'enfance des deux filles. et léandre est devenu comme son meilleur ami aussi depuis qu'il est entré dans la vie de albane. ☆ les deux copines habitent en colocation depuis leur majorité. ☆ léandre est gay mais ne l'assume pas, les deux filles le savent et c'est juliette qui a eu l'idée de le faire former un faux couple avec albane pour que les parents du jeune homme lui foute la paix.
entre toi et moi
ALBANE GARNIER ft. selena gomez + l'une ne fonctionne pas sans l'autre, c'est aussi simple que ça. et ça dure depuis des années déjà. elles ont toujours été inséparables, jusqu'à prendre un appart' ensemble dès qu'elles eurent atteint leur majorité. - extraits de ma fichette:
Juliette, ou l'une des premières rencontres que j'ai fait dans ma vie. Et pourtant pas des moindres. Elle et moi, on peut dire à juste titre qu'on se connaît depuis le bac à sable. Nous nous étions suivi à l'école pendant tout notre parcours scolaire, et nous retrouvions aussi à jouer ensemble les jours de repos. « Est-ce que Juliette est là ? » adressais-je, à un des papas de cette dernière qui m'ouvrait sa porte d'entrée. Pas le temps de dire un mot qu'une tornade brune fonçait sur moi et me sautait dans les bras. « Il faut absolument que je te montre mon nouveau jeu » m'extasiais-je. Nous étions parties en courant vers ma maison, et avions rejoint ma chambre. Je m'empressais de sortir ce nouveau jeu électronique dont mes parents m'avaient fait cadeau il y a peu. Hyper concentrée, mon amie semblait tout autant en admiration que moi. Notre relation avait toujours été comme ça, nous avions toujours tout partagé, nos jouets, comme nos secrets. Elle était cette sœur que je n'avais jamais eu, mais dont j'avais tellement rêvé. Nos journées se terminaient souvent en bataille d'oreillers sur nos lits respectifs que nous utilisions en guise de trampoline. Les années défilaient, ne faisant que renforcer nos liens. Nous étions toujours de plus en plus proches, au fil des ans, bien que cela semblait ne plus pouvoir évoluer au vue de notre niveau d'attachement actuel déjà bien avancé. Allongées sur mon lit, nous papotions comme à notre habitude, quand je saisissais mon téléphone portable que je mettais en mode 'appareil photo'. Je me rapprochais de Aurore, essayant de faire une belle photo de nous deux. Évidemment, la demoiselle avait envie de plaisanter et faisait des grimaces pas possibles. « Allez Ju', fais-moi un sourire » commençais-je. Mais elle continuait de plus belle, et moi j'éclatais de rire. « Laisse tomber, c'est plus marrant comme ça » affirmait-elle. Il était clair qu'elle n'avait pas tort, c'était tellement drôle des photos n'ayant ni queue, ni tête. Et puis, c'était tellement nous. La séance se terminait donc en gros bordel, des cris qui fusaient dans tous les coins de la maison, des éclats de rire... tout ceci annonçant encore de belles photos qui promettaient d'être affichées et placardées sur tous les murs de nos chambres respectives. Juliette était comme ma moitié, mon âme sœur, ma meilleure amie en somme. Personne au monde ne pouvait me ressembler autant qu'elle. Nous plaisantions souvent sur le fait d'avoir été des jumelles séparées à la naissance. Si bien qu'on agissait même parfois en tant que tel. « Tu m'as inscrite à 'Secret Story' ? » m'exclamais-je. Ça, c'était la dernière bombe que ma meilleure amie venait de me laisser entendre. Et je commençais vraiment à flipper, parce qu'avec elle, je savais que je devais m'attendre à tout. Elle était franchement capable de tout me faire, et de tout m'inventer. Juliette hochait la tête à la suite de ma question, toute fière d'elle en plus. Je la regardais alors, ne sachant pas quoi faire, ni quoi lui répondre. « Non mais Ju' ! T'es sérieuse ? Tu m'as vraiment inscrite à 'Secret Story' ? » insistais-je. Si ça se trouve, elle était juste en train de se payer ma tête, c'était tout à fait probable aussi ce genre de choses. « J'ai une tête à plaisanter ? Je vais te montrer la feuille puisque t'as même pas confiance en ta meilleure amie » s'exaspérait-elle. Et moi je soupirais avant d'éclater de rire, elle avait le don de provoquer des psychodrames quand elle voulait. Puis, elle revint brandissant sa preuve en forme de feuille devant mes yeux. Je jetais ma tête dans l'oreiller à côté de moi dès que j'eus vu la feuille en question. « Sérieusement ? Il faut que je fasse une vidéo pour le casting. Mais t'es complètement folle ! » m'exclamais-je. Ce qui me perturbait surtout, c'était que je ne savais pas ce que j'allais faire dans une émission de télé-réalité comme celle-là, je n'avais jamais fait ça de ma vie. Et puis, si il fallait que je participe à ce programme, c'était avec Juliette, et non pas toute seule. « Comme si une vidéo allait te faire peur, tu fais comme moi. Je te montrerais comment fonctionne une caméra » ajoutait-elle, plus pour se foutre de moi qu'autre chose. J'étais quand même capable de faire fonctionner ce genre d'appareil. Je saisissais l'oreiller dans lequel je m'étais jetée il y a quelques minutes, et le balançais sur Juliette. Elle ne l'avait pas volé celui-là. Au final, j'aurais bien tenté de faire je-ne-sais-quoi pour me faire remarquer, j'avais de la ressource à ce niveau. Enfin bon, toujours est-il que je n'avais pas été retenue, et que c'était bien mieux comme ça. Je m'étais tout de même amusée à faire cette vidéo, et c'était le plus important. « Isaac ? Tu te rappelles quand tu collectionnais les jeux qu'il y a dans les boîtes de céréales ? » lui demandais-je, un léger sourire en coin. « Bah oui, c'était il y a pas encore si longtemps » m'affirmait-il. « Évidemment, que je suis con. T'as encore 5 ans dans ta tête » dis-je, en esquivant le coup que je n'allais pas tarder à recevoir. « Il m'arrive encore de les garder » ajoutait-il pour la route. « Tu te fous de ma gueule ? Mon pote est un éternel gamin. Comment suis-je censée vivre avec ça ? » me plaignis-je. (début du flash-back) Juliette, Isaac et moi étions assis, enfin à notre façon, sur notre banc habituel à l'école. Nous papotions de conneries et d'autres trucs, des sujets d'enfants de notre âge en fait. « Oh Isaac, j'ai encore trouvé un cadeau dans ma boîte de céréales ce matin » déclarais-je, toute excitée en me jetant sur mon sac pour en sortir le précieux trésor. Dès que je l'eus trouvé, je le donnais au petit garçon qui était déjà super heureux de pouvoir compléter sa collection. Pour me remercier, il m'offrit un petit bisou sur ma joue gauche, un souvenir que je ne risquais pas d'oublier de sitôt. « Ouuuuh les amoureux ! » s'exclamait Juliette. « Bah oui, Isaac c'est mon amoureux, c'est pour ça que je lui donne mes jouets » fanfaronnais-je. Jamais gênée de rien la Babane, et même plutôt fière d'elle. (fin du flash-back) « Et la fois où vous êtes venus à ma fête d'anniversaire, y'avait des glaces et j'ai fait tomber ma boule par terre et... » commençais-je. « Et tu t'es mise à chialer comme une gamine capricieuse » complétait-il. « Non mais n'importe quoi ! J'étais triste, c'est tout. Tu te rends pas compte que c'était une vraie tragédie pour moi à cet âge-là ! » me justifiais-je. « Rassure-toi, tu ferais encore une très bonne tragédienne aujourd'hui » plaisantait-il. J'étais habituée avec lui, il fallait toujours qu'il m'enfonce. « Je me souviens aussi quand t'avais demandé à ta mère ce que ça voulait dire 'I love you' » débutait-il. Je me cachais immédiatement la tête dans les mains. « Et tu m'as dit 'Et toi, est-ce que tu me i love you' ? » poursuivait-il, alors que nous éclations de rire tous les deux. « Arrête, j'étais super mignonne, et j'étais folle de toi. Je sais pas ce qui m'a pris d'ailleurs. Erreur de jeunesse sans doute » le taclais-je à mon tour. L'amour vache, c'est comme ça entre nous, c'est comme ça qu'on fonctionne. Mais on s'aime dans le fond, sachez-le. « Je suis en couuuuuuuuuuuuple » chantais-je, reprenant ce tube de Max Boublil que vous devriez tous connaître sinon c'est que vous seriez un inculte pur et dur. Et je vous détesterais pour ça d'ailleurs. « Quoi ? T'es en couple ? Mais depuis quand et avec qui ? » s'exclamait ma meilleure amie, en mode folie parce qu'elle a affaire à un scoop. Je détourne mon regard dans sa direction et c'est une mine désespérée que je lui affiche. « Non mais Ju' tu te fous de moi ? C'était ton idée que je sois 'en couple' avec Léandre » lui rappelais-je, espérant que la mémoire allait lui revenir. « Aahh tu parles de ça ! Je croyais que tu voyais vraiment quelqu'un » se justifiait-elle, du mieux qu'elle le pouvait. « Oui bah j'ai remarqué. Franchement, tu m'inquiètes. C'est ce dont on était en train de parler. T'as pas Alzheimer par hasard, parce que oublier ce qu'on vient de se dire y'a cinq minutes, ça relève du haut niveau » déclarais-je, alors que la demoiselle me faisait une belle grimace parce que j'osais me foutre de sa tronche. Après tout, c'était elle qui avait eu l'idée lumineuse de faire croire aux parents de Léandre qu'il sortait avec moi. De cette façon, il aurait enfin la paix, parce qu'on pouvait vraiment dire que ses parents étaient à fond sur la mission de lui trouver une copine. Le pauvre garçon, il n'en voulait pas de copine, il préférerait un copain en fait. Mais ce qui pour moi paraissait évident, ne l'était visiblement pas aux yeux de tout le monde. Je suis peut-être trop psychologue dans l'âme ou trop observatrice, je ne sais pas trop. Toujours est-il que je préférais que mon meilleur ami soit libre d'être lui-même. « Vous êtes sérieuses ? Non mais... Sérieux ? » demandait Léandre suite à l'annonce de Juliette. Est-ce que ça paraît si farfelu que ça ? Non c'est plutôt l'idée du siècle. « Okay, vous êtes folles. Clairement. Mais je dois avouer que c'est assez rusé... » ajoutait-il, comprenant qu'on n'avait jamais été aussi sérieuses de notre vie. « Ecoute, je suis la seule fille que tu aimeras jamais, alors rien ne sera plus crédible crois-moi » affirmais-je, dans un léger rire. Je m'étais toujours demandé ce qu'on ressentait en faisant du théâtre, je n'allais pas tarder à le savoir. Aujourd'hui, je suis à l'université, où j'étudie les langues étrangères. La danse reste toujours ma première passion, mais tant que je ne serais remarquée nulle part, je ne pourrais pas en faire un métier, ou tout au moins un peu plus qu'un loisir. En attendant, je me rabats sur un autre domaine qui m'intéresse aussi, dans un autre style. Pourquoi pas devenir traductrice, c'était une idée qui m'inspirait. Et les cours que je suivais semblaient me conforter dans ce choix. Concernant mes relations à l'heure qu'il est, elles n'ont aucunement changé. J'ai même emménagé avec ma meilleure amie, ce qui me permet de ne plus la quitter d'une semelle. Vivre avec la personne qui compte le plus à mes yeux, c'est assez comparable au paradis sur terre. Je ne dis pas que ce ne serait pas insupportable pour un autre colocataire. J'ai bien conscience que vivre avec deux filles comme nous, ce n'est pas le calme et la paix tous les jours. « Vous êtes bien sur le répondeur de Juliette et Albane, sauf que là, c'est notre soirée chips/télé, donc on vous rappelle après la pub » commençais-je, dans le combiner. « D'ailleurs, passe-moi le saladier » tentait Juliette, en essayant de saisir le plat. On entendait des cris et des plaintes de tous les côtés, admirez le calme de notre habitation. « Te fatigue pas, les chips, c'est pas pour les naines » clôturais-je. N'empêche que la seule défense de Juliette était de crier. Je réalisais enfin que le téléphone n'était pas raccroché. « Oups, alors laissez un message après le bip, on vous recontacte après la bataille de chips. Bye » terminais-je, en raccrochant pour de bon. Je savais très bien comment finissaient toujours les soirées chips/télé. Oh... Et d'ailleurs, bienvenue à la maison ! ISAAC DELATOUR ft. louis tomlinson + résumez ici la relation des deux personnages. - extrait de la fiche d'isaac :
Je m'amusais à donner des coups de pieds dans le ballon qu'Albane m'envoyait. Albane, c'était ma voisine. Elle avait mon âge je crois, et qu'est-ce qu'elle était jolie. On aurait dit Fiona dans Shrek, mais en mieux. En beaucoup mieux, même. Par contre, elle était littéralement nulle au football. Ceci étant, je ne lui en avais jamais tenu rigueur. Après tout, elle ne pouvait pas avoir toutes les qualités du monde. Quoi qu'au final... elle n'en avait pas énormément des qualités. Elle était même plutôt chiante en réalité. Alors que je lui faisais une énième passe, la brunette esquiva la balle avant de laisser tomber ses fesses mollement dans l'herbe. « Bon ça suffit, j'arrête de jouer. » « Mais pourquoi ? » demandai-je d'une petite mine triste. « Parce que j'aime pas tes jeux de garçons d'abord. Pourquoi on jouerait pas à la poupée plutôt ? » Une légère moue sur le visage, je fis mine de réfléchir à un argument béton qu'elle ne pourrait contredire. « Parce que que t'es dans mon jardin alors c'est moi qui décide à quoi on joue ! » « Oui mais nous on est deux filles, donc la majorité l'emporte. » Deux ? Alors elle était schizophrène en plus ? Je ne voyais qu'elle ici, moi. Ses propos ne tenaient même pas la route. Sceptique, je posai mon regard sur elle, comme pour lui signifier que j'attendais une explication de sa part. « Regarde, voilà Julieeeeette ! » Il n'en fallu pas plus à la petite fille pour se relever et courir vers son amie qui était en train d'enjamber le petit muret avec une difficulté non dissimulée. Juliette, c'était la meilleure copine d'Albane, et autant dire que lorsqu'elles étaient toutes les deux, je passais complètement à la trappe. Je l'aimais bien Juju, mais elle me piquait ma Babane. Sans attendre, je pris l'exemple de cette dernière et me laissai tomber par terre en croisant les bras. « Diiiiiiiiiis, est-ce que je peux utiliser tes toilettes ? J'ai trèèèès envie de pipi mais j'ai oublié d'y aller avant de partir et papa m'a dit que je n'avais pas le droit de m'en servir pour arroser les plantes. » Je relevai doucement la tête vers la deuxième brunette qui avait les collants tout troués à cause de son escalade d'il y avait quelques secondes. « Moui. » répondis-je simplement, une main sur la joue et l'autre arrachant l'herbe. J'étais un petit garçon, mais je boudais comme une fille. Le regard rivé au sol comme si soudainement l'anatomie des vers de terre m'intéressait grandement, je ne vis pas Albane s'avancer vers moi. En revanche, je sentis sa petite main venir recouvrir la mienne. « Pourquoi est-ce que tu fais la tête comme ça ? » me demanda-t-elle d'une petite voix. Je me forçai à ne pas répondre. « Regarde, je t'ai cueilli une fleur. » Timidement, je relevai la tête vers la brunette qui souriait de toutes ses dents - enfin presque puisqu'elle en avait une ou deux en moins à cette époque. Les yeux brillants, je me relevai d'un bon. « Oh attends, bouge pas, moi aussi j'ai un cadeau pour toi ! » Sans perdre une seconde, je me dirigeai vers la maison en courant et me mangeai la marche devant la baie vitrée. Ceci ne me déboussola pas pour autant, et, malgré mon pantalon déchiré et mes mains égratignées, je poursuivis ma route. Dans le couloir, je croisais d'ailleurs Juliette qui était venue demander de l'aide à ma maman car elle peinait à se reculotter. « Ah tiens, re-coucou Juju ! » lâchai-je le plus naturellement du monde avant de filer tout droit vers la cuisine. C'est une minute ou deux plus tard que je retrouvai Albane dans le jardin, un paquet de gâteaux à l'oignon à la main. J'ouvris le paquet en question et en sortit un gâteau que j'examinai le temps de quelques secondes. Il était rond, avec juste un trou au milieu. Parfait. « Donne-moi ta main. » Mais comme celle-ci ne venait pas assez vite, je pris la main de la brunette moi-même et passai l'un des gâteaux autour de son doigt. « Maintenant, t'es mon amoureuse à moi pour toujours ! » « Et on s'épousera plus tard ? » s'enquit la petite fille avec un sourire jusqu'aux oreilles. « Ben oui, évidemment. » répondis-je avant de déposer un bisous collant sur sa petite joue ronde. Ce fut la voix de Juliette qui vint nous interrompre. « Bon alors, on joue ? J'ai ramené mes poupées moi ! » Mais je n'avais toujours pas envie de jouer à des trucs de filles. Furtivement, je posai mon regard sur Babane, puis sur Juliette. Elles avaient les joues rosées et les yeux pétillants. Comment aurais-je pu leur refuser quoi que ce soit ? C'était mes copines, et je les aimais vraiment beaucoup, même si elle étaient chiantes à souhait. « D'accord, mais moi je joue le chien ! » Ce soir là, comme presque tous les soirs, le rire de trois enfants retentit dans l'un des jardins du quartier. Et un petit garçon, le sourire aux lèvres pensait en son for intérieur qu'il avait de la chance d'avoir rencontré deux amies comme elles. LEANDRE ROCHEBOIS ft. harry styles + résumez ici la relation des deux personnages. |
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